Etre Serviable Est Primordial

Ma femme est en plein désarroi, sa meilleure amie et collègue de travail vient de se faire larguer par son mec et elle a des idées noires

- Je dois absolument faire quelque chose pour Adeline je ne voudrais pas avoir un suicide sur la conscience
- Invite là à diner dans un premier temps
- Tu as raison chéri, merci de ta compréhension

C’est ce qui fut fait, j’ai fais la connaissance de cette femme de vingt sept ans, il faut être abrutit pour tromper et larguer une si belle nana, en douce j’ai estimé ses mensurations, rien à jeter, cette poupée ‘déballée’ doit faire bander un eunuque ! dommage qu’elle soit restée prostrée durant tout le repas, c’est a peine si elle s’est déridée lorsque j’ai balancé des histoires cochonnes pour détendre l’atmosphère, Anne m’a demandé en douce de nous emmener en boite le samedi suivant , au fond de moi-même je pensais que j’aurais bien aimer découvrir son corps et la baiser a la maison !

- Revient nous voir samedi prochain pour diner Adeline, ensuite nous irons tous en boite
- Excuse Anne, mais ce sera sans moi, pour mieux être décontractée et vous distraire vous irez seules, vous n’avez pas besoin de chaperon pour draguer
- Ah bon ? je pourrais draguer moi aussi ? après tout tu as peut-être raison, mais ça va me faire tout drôle de sortir sans toi pour la première fois, tu ne vas pas t’ennuyer ?
- Ça tombe plutôt bien il y a un match des six nations, j’inviterais Didier
- Je comprends mieux cachotier ! n’allez pas vous souler sans moi
- Je suis navrée de vous causer tant de soucis Paul
- Vous veillerez sur Anne, faites gaffe Adeline, elle a tendance à draguer tout ce qui a un aspect viril !
- Menteur ! je n’ai jamais eue l’intention de te tromper
- Dommage, c’est un vieux fantasme, excusez ces propos Adeline
- Ne vous en faites pas, je ne vais pas vous communiquer ma scoumoune, et puis j’ai bien l’intention de tirer un trait sur mon ex
- Bonne résolution ! je te choisirais un mec !
- Elle est assez grande pour ça chérie
- Tu peux amener une conquête ici si tu veux, nous avons de la place
- Je consommerais sur place !
- Eh bien ça promet les filles

Avec un peu d’appréhension j’ai vu partir ces deux beautés en boites, que peut –il leur arriver ? ma femme va veiller sur sa copine qui j’espère va prendre une bonne troussée, deux bonnes bières durant le match qui a été une belle déculottée pour mon équipe favorite, onze heures, pas la peine d’attendre ces dames, je vais me pieuter
Pourquoi est-ce que les formes généreuses d’Adeline sont revenues me hanter ? Pourquoi est-ce que ma main s’est emparée de ma bite devenue subitement raide ? je m’astique allégrement en imaginant qu’elle me chevauche pour un rodéo torride devant ma femme qui se doigte, évidement je me suis relevé pour aller ôter le sperme qui a coulé dans ma toison pubienne, puis c’est le néant, je tombe dans les bars de ‘Morphée’ nettement moins bandante qu’Adeline
Soudain des cris me font sursauter, il est deux heures du matin, c’est les femmes ? Que leurs arrivent-il ? je prend juste le temps d’enfiler mon boxer et me précipite dans l’entrée

- JÉRÔME ! JÉRÔME !
- Que se passe-t-il ?
- C’est Anne !
- Où est-elle ?
- Dans la voiture …
- Elle ne veut pas descendre ?
- Elle ne ‘peut’ pas, elle est complètement ivre, je n’ai pas la force de la soutenir
- Hében… bon, j’y vais, qu’est-ce que vous avez foutu ?
- Une drôle d’histoire… mais mettez là au lit avant que je ne vous raconte

En me parlant Adeline ne me regarde pas dans les yeux, ils se promènent sur mon torse, mes biceps et, surtout sur mon boxer qui moule parfaitement mes attributs
J’ai juste le temps d’extraire Anne du siège passager avant qu’elle ne vomisse sur les graviers de l’allée, je la porte dans mes bras comme une jeune mariée mais hélas l’ambiance n’y est pas, c’est lorsque je la dépose sur le lit que je remarque la large tache sur l’arrière da sa robe courte , se serait-elle fait pipi dessus ?.

.. j’aurais préféré, car cette odeur ce n’est pas de la pisse , c’est du foutre ! en regardant de plus prés l’intérieur de ses cuisses est tapissé de croutes blanches

- Adeline ?
- Oui ?
- Que c’est –il passé ?
- Mettez-là sous les draps, je vais tout vous expliquer, surtout ne vous fâchez pas, tout est de ma faute
- J’espère que vous avez une bonne explication …
- Ce n’était pas une bonne idée que d’aller en boite …
- Elle a été violée ?
- même pas …
- GHB ?
- Je ne crois pas
- Bordel de merde PARLE !! son slip lui colle au cul, combien de fois s’est-elle faites baiser ?
- Je ne sais pas exactement, venez vous assoir ce sera plus simple pour moi
- Apparemment elle est la seule à avoir bu ?
- Je n’ai pris qu’un verre pour rester maitre de mes sens
- Bon, aller accouche
- Ne vous fâchez pas sinon je repars de suite…
- Je me calme …
- Bien, en arrivant nous nous somment assises au bar, presqu’aussitôt deux gars sont venus nous encadrer, j’ai tout de suite senti les chasseurs de bonne occasions, Anne m’a fait un clin d’œil pour me faire comprendre que ça démarrait bien pour moi, ils nous ont payé un verre avant de nous inviter à danser
- Ils étaient bien ces gars ?
- Pas mal, genre jeune loup aux dents longues, courtois et bien habillés, de quoi mettre en confiance
- Tu parles !
- Anne s’est de suite collée à son cavalier
- C’était quel genre de danse ?
- Je crois que l’un d’eux a parlé au disc-jockey pour demander des slows
- Je vois …
- Ils désiraient changer de cavalière entre eux assez souvent, celui qui venait de quitter votre femme bandait, je l’ai nettement senti lorsqu’il s’est collé a moi, pour couper court a tout je suis retournée au bar, Anne était complètement désemparée mais semblait très heureuse qu’un homme s’intéresse a elle, elle m’a fait comprendre que vous lui aviez donné la permission
- Entre daguer superficiellement et baiser il y a une sacrée marge !
- Elle a encore bu un whisky et ils nous ont a nouveau entrainées sur la piste, cette fois c’était plus hard, je me suis laissée embrasser tandis que ses mains pelotaient mes seins
- Et Anne ?
- Pareil …ils ont encore voulus changer … celui qui embrassait votre femme m’a fait sentir ses doigts
- Pourquoi ? que sentaient-ils ?
- Ils sentaient …la femme …
- Elle se faisait passer des mains au cul ?
- Oui, il m’a dit : ta copine est ok pour une partie à quatre
- Et toi ?
- Juste par-dessus la robe …ça m’a énervée que nous ayons étés piégées ainsi, a nouveau je suis revenue au bar
- Et Anne ?
- Ils ont dansés tous les trois ensembles, je voyais le haut de ses cuisses …quasiment les fesses …aussi les seins …
- Ensuite ?
- Après être venus au bar pour boire encore ils ont soudainement disparu, je me suis précipitée à leur recherche

Ma femme vient de me faire cocu et je bande comme un cerf… ça n’échappe pas aux yeux aguerris d’Adeline dont la voix vient de changer, j’en profite pour porter une estocade

- Rappelez moi ce que vous avez vu de ma femme sur la piste de danse
- Lorsqu’elle était aux prises avec les deux gars ?
- Oui
- Eh bien ceci …

Adeline le regard vitreux s’est levée et a tiré un coté de sa robe sur une hanche dévoilant une partie de son ventre plat et son string immaculé mais tout de même taché a l’entre jambes, ensuite c’est sa bretelle qu’elle a fait glisser sur son avant bras, une large aréole est apparue ainsi qu’un téton dressé appuyé sur l’ourlet du décolleté, inutile de vous dire que ma queue est pliée en deux au maximum
A mon tour je me suis levé sans essayer de dissimuler mon boxer transformé en toile de tente, je l’enlace, tremblante elle se colle sur mon érection

- Oooohhhhhhhhhhh Paul si vous saviez comme les cris de votre femme se faisant baiser par deux hommes dans une pièce fermée à clé m’ont excitée, en fait j’étais jalouse de son sort
- Ils ne vous ont pas invitée ?
- Ils m’ont traitée de frigide coincée
- Que puis-je faire pour vous être agréable ?
- Enfoncez autant de doigts que vous pourrez dans mon vagin
- Libérez mon zob qui me fait un mal fou force d’être a l’étroit…
- Ouiiiiiii, oooohh quel manche !

Elle se détache de mon étreinte pour se baisser et engloutir la moitié de ma bite

- Relève ton cul que je puisse doigter ta chatte et ton p’tit trou en même temps

Courbée à l’équerre je finis de remonter sa robe sur ses reins et baisse son string trempé, je la choppe a la façon d’une boule de bowling, deux doigts dans son minou ouvert et mon pouce entre ses reins, instinctivement ses sphincters se serrent sur mes phalanges avant de se relâcher totalement afin que je puisse manœuvrer mes doigts comme bon me semble, mon autre main pèse sur son crâne pour que ma bite coulisse a ma guise dans sa gorge
Deux minutes de léchouilles sur mon frein suffisent à déclencher les jets puissants de mon foutre, tandis que ma paume se remplit de sa sève, elle se redresse rayonnante, un filet de sperme au coin des lèvres, je ne peux refuser le baiser qu’elle me demande, après tout ma femme m’a déjà fait déguster ma semence, je passe ma langue sur la trace de foutre avant de lui enfoncer dans le palais ,nos appendices buccaux se livrent une vraie bataille tandis que nos mains renouvellent le désir sur nos sexes

- Hé bien je vois que tu es réconciliée avec le sexe fort mon Adeline ! pardon pour ce déplorable incident mon amour
- ANNE ? ça va ?
- Je vais mieux mais je ne me souviens pas de tout
- Passe une main entre tes cuisses ça va te revenir !
- Oui, je sais… je me suis faite baisée en boite
- Combien étaient-ils ? combien de fois ?
- Deux ??? non trois avec le patron de la boite
- Tu leurs a tout permis ?
- Je crois qu’ils se sont servit sans ma permission
- Même ton cul ?
- Sans doute car je peux y entrer deux doigts sans peine
- Salope !!!
- Tu as sautée Adeline ?
- Non, pas encore mais j’allais le faire
- Je peux me joindre à vous ?
- Assied toi et regarde …Adeline ?
- Oui ?
- Choisit ta position
- Euuuuhhh ???? comme ça ??

La femme les mains sous ses genoux repliés sur la poitrine expose son entrecuisses a notre vue sans aucun complexe, son sexe entrouvert laisse voir le nacre de sa mouille

- Va- y chéri, montre lui ton savoir faire, fait la hurler, gave sa chatte de ton sperme
- Je lui permets aussi de pendre mon anus, tu m’as faite assez mouiller avec tes cris de chienne en chaleur a travers la porte de ce bureau, alors ton mari va éteindre l’incendie que tu as allumé en moi, vient Paul, enfonce ta trique indifféremment dans mes trous

Sans appréhension je m’installe entre les cuisses accueillantes et enfile facilement le con ouvert, mais sachant ma maitresse occasionnelle coincée sous moi Anne pose sa chatte odorante sur le visage de sa copine qui n’a d’autres choix que de lécher le foute séché dans la toison certes courte mais amidonnée de semences de ses partenaires multiples, ceci fait elle m’offre sa bouche pour un baiser passionné, ‘heureusement’ le goût de foutre domine celui de l’alcool ingurgité et régurgité ….


La nuit a été très mouvementée, je me suis fait réveiller à midi par deux femmes nues, douchées, prêtent à recommencer ….

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