La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 614)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°609) - Une sodomie hors norme -

Poitrine posée sur le sol, avant-bras repliés devant la tête, celle-ci plaquée au sol sur le côté, reins cambrés et cuisses largement écartées, soumis Endymion MDE offrait son trou, telle une salope, une vraie salope affamée en chaleur. Il voulait de la queue, il voulait se faire enculer, peu importe par qui, mais il lui fallait une bite dans le cul, une bonne grosse tige bien dure pour se faire empaler, profondément empaler ! Et il allait être exhaussé, mais pas à n’importe quel prix… Celui désigné n’était autre qu’Erwan, le soumis stagiaire noir richement doté par la nature. Jamais soumis Endymion MDE n’avait vu un engin pareil pendre d’entre des cuisses. Sa queue était hors norme, au repos, flasque, elle lui arrivait presque à mi-cuisses, à tel point qu’il portait une cage de chasteté sur mesure, et lorsqu’il bandait, la taille de sa bite était presque de la longueur d’un avant-bras. Lui aussi était affamé, ses couilles n’avaient pas été purgées depuis longtemps et de voir une salope en chaleur tordre du cul ainsi devant lui, l’excitait terriblement. S’il n’avait pas été solidement tenu par les couilles avec une corde les lui enserrant, il aurait sauté sur soumis Endymion MDE et l’aurait enfilé d’un trait. Bref, c’était un bel étalon en rut. Mais, ce n’était pas sans compter sur la perversité de Maître CharlEd ! Il le maintenait fermement et tirait avec force sur la grosse corde pour le contenir. A chaque soubresaut, le chien mâle soumis Erwan poussait un râle en reculant d’un pas puis repartait de plus belle à l’assaut de ce trou offert et prêt à être sailli.

- Du calme le chien, tu vas la sauter cette petite chienne, mais avant ça, flaire-lui bien son petit trou de lope ! ordonnait Maître CharlEd.

soumis Endymion MDE tremblait de tout son corps, Il avait froid. Il grelottait même, claquait des dents, bavait en tirant la langue.

Impossible pour lui de contenir et contrôler son corps, son épiderme frissonnait, pourtant en lui, une irrépressible chaleur lui envahissait les entrailles, telle une fournaise ! Comme anesthésié et pourtant conscient de ce qu’il ressentait au plus profond de chacune de ses fibres corporelles, cette chaleur l’irradiait et l’enfiévrait complétement. Il n’était plus lui… Tout lui semblait étrange, comme s’il était spectateur de sa propre vie, comme si le monde réel perdait à ses yeux sa cohérence intrinsèque, plus rien ne lui paraissait naturel ! Il n’avait plus le sentiment d’être l’investigateur de son propre fonctionnement, mais d’être simplement l’observation d’un fonctionnement automatique qui ne nécessitait plus son intervention. Il en était arrivé au point où il se considérait comme un simple objet, telle une machine sexuelle perfectionnée projetée dans cet univers de dépravation sordide, sans pour autant en avoir le contrôle. Cette crème aphrodisiaque que Maître CharlEd lui avait introduit dans le cul le rendait comme fou, fou de sexe, avec un besoin charnel jamais vécu et ressenti jusqu’ici ! Cette déliquescence, cette vie immorale et dissolue le conduisait pourtant à l’épanouissement. Il se voyait là, à terre, telle une bête avec ses chaleurs affamées, et en prenait un réel plaisir, sa queue raide perlait à grosses gouttes !

- Flaire et lèche bien son trou à cette petite salope, imprègne lui sa corolle de ta bave de clébard ! Ordonnait encore Maître CharlEd.

Tel un chien enragé, soumis Erwan, au contact de cet anus, inspirait bruyamment, donnait des grands coups de langue sur ce trou dilaté, parfois même, cherchait à le mordiller. Ce côté bestial était exacerbé par la volonté du Maître. Par tous les moyens en sa possession, il exerçait une perverse pression sur ces deux esclaves en chaleur. Il les drivait, les excitait tant et plus, les poussait dans cette perfidie monstrueuse et prenait un plaisir immense à les voir se comporter ainsi.
Il n’y avait plus rien d’humain ni même rien d’animal dans leur comportement, ils n’étaient autre que deux slaves lubriques, vicieux, impudiques et obsédés ! Pour le Maître l’objectif fixé semblait atteint, pour les deux esclaves l’objectif n’était pas encore réel tant que l’accouplement n’aurait pas eu lieu, tant que ce besoin de forniquer sauvagement, puissamment n’aurait pas été effectif … Pour corser le tout, les Maitresses Ella et Marina, jusqu’ici perverses spectatrices, avaient maintenant pris en main une cravache et assenaient des coups sur les omoplates et le fessier toujours tendus de soumis Endymion MDE. Ils étaient terriblement rudes, mais au fil du temps, les sensations douloureuses, lancinantes et obsédantes se volatilisèrent sous l’effet anesthésiant et euphorisant des endorphines. soumis Endymion MDE était au-delà de la souffrance dans un monde de pures sensations perverses. Son esprit s’évadait encore, il était là et ailleurs, il flottait en offrant son corps aux coups qui le lacéraient et que maintenant il acceptait comme une fatalité ou plutôt un bien-être mentalement masochiste à laquelle il ne pouvait ni même avait l’envie de se soustraire. Sans cesse, il tendait son cul bouillant et bien exhibé, affichait un comportement sans équivoque voulant faire comprendre, à celui et celles qui le dominaient qu’il voulait être sailli par sa position en levrette exposée fort explicite. Son dos meurtri et strié était secoué par de terribles tremblements. soumis Erwan en chien mâle tel un étalon viril en chaleur tenta de chevaucher à plusieurs reprises son congénère, et uniquement lorsqu’il y fut autorisé, sous la pression, soumis Endymion MDE s’affaissa lamentablement, poussa un terrible hurlement mélangeant douleur et plaisirs!

La pénétration fut apocalyptique, les assauts subites étaient puissants dans une cadence inouïe de vas et viens sauvages, bestiaux, qu’il crut que ses sphincters allaient se déchirer sous l’enculade vigoureuse, sous les coups de reins d’une rare vigueur d’énergie.
Mais l’esclave étalon en rut, s’enfonça encore plus profondément en donnant quelques autres coups de piston encore plus puissants pour loger tout entier son impressionnant membre au plus profond de soumis Endymion MDE. Et lorsqu’il y parvint, il ne bougea plus, resta en coït parfaitement emmanché jusqu’à la garde, glissa ses mains sous les épaules de soumis Endymion MDE puis agrippa ses doigts sur la nuque de celui qui n’était plus qu’un esclave sailli en posture femelle subissant cette pénétration aux plus profond de ses entrailles. Ils restèrent ainsi, deux ou trois minutes, complètement immobiles, leur corps n’en faisant plus qu’un, comme soudés, l’un à l’autre, dans cette pénétration anale. Mais le désir reprit le pas bien vite, soumis Endymion MDE tenta de soulever son bassin et imprima quelques mouvements de vas et viens, pour provoquer l’effervescence, l’emballement et l’emportement. Le coït prit une autre dimension, sous la lanière du fouet, les deux Maîtresses se déchainaient sur le dos de soumis Erwan, alors que Maître CharlEd, tirant sur la corde nouée autour de ses couilles, l’obligeait à se retirer totalement de soumis Endymion MDE pour l’enfourner de plus belle. Toujours cramponnés l’un à l’autre, les deux stagiaires soumis s’abandonnaient au délice de la chair, jusqu’au moment où, le chien mâle soumis Erwan manifesta quelques gémissement de plaisir intense. Alors, juste avant qu’il ne jouisse d’une éjaculation bienfaitrice qui l’aurait délivré du manque d’orgasme depuis des semaines, d’un coup sec et violent Maître CharlEd tira une nouvelle fois sur la corde attachée à ses burnes et le dégagea définitivement de soumis Endymion MDE, celui-ci donnant encore de savoureux déhanchements démontrant les plaisirs à la sodomie profonde laquelle il appréciait les effets !

- Tu n’espérais pas jouir dans le cul de cette salope, le chien ! annonça Maître CharlEd à soumis Erwan

Pour tout réponse, soumis Erwan émit un hurlement rauque et guttural, se plia en deux et porta par réflexe, ses mains sur ses couilles, tant la douleur lui fut terrible.
Mais au même moment, son corps fut pris des secousses convulsives, il roula sur le dos, dégagea ses mains de ses burnes et éjacula violemment par saccades successives envoyant loin son foutre épais et abondant sur le sol carrelé de cette grande pièce, sans même qu’il se soit touché la queue et encore moins masturbé ! Le Maître le laissait quelques secondes reprendre ses esprits tout en le fixant d’un regard sévère et réprobateur. soumis Erwan craintif eut peur de la réaction de Maître CharlEd et demanda le pardon en suppliant :

- Oh pardon, pardon Maître, je ne voulais pas… Je ne voulais pas jouir !

Maître CharlEd posa son pied droit sur le visage de l’esclave en lui donnant deux coups de cravache sur sa bite encore tendue. Le chien soumis se laissa frapper sans broncher d’un iota, ne voulant pas aggraver son cas.

- Tu as fauté le chien, gravement et doublement fauté. Tu le sais ! dicta Maitre CharlEd

soumis Erwan se tut, il attendit sagement la sentence en se plaçant les mains entre son dos et le carrelage, en signe de profond respect.

- Tu n’avais ni l’autorisation de jouir ni encore moins de porter tes mains sur ta nouille de chien. Tu le sais ça, sale cabot en rut ! Reprit Maitre CharlEd

Le Maître appuya plus fortement encore son pied sur la tête de soumis Erwan, lui déformant le visage en l’écrasant sur le sol. La sentence tomba !

- Celui que tu viens d’enculer, va te vider les couilles jusqu’à ce que plus une goutte ne sorte de ton sac à foutre. Tu vas voir que la masturbation e est un bien beau supplice !

Maitre CharlEd fit redresser soumis Erwan, lui attacha les mains dans le dos, et lia un poids d’un kilo à ses couilles. Il lui ordonna de rester debout, cuisses écartées, parfaitement immobile. Pour ajouter un peu de piment à l’affaire, le Maître agrippa à ses tétons deux pinces mordantes qui lui arrachèrent un long soupir. Pendant ce temps, le chien soumis Endymion MDE était attrapé par son collier et tiré à quatre pattes, près du foutre déposé sur le carrelage, par son congénère.

- Lape et avale ces cochonneries chienne ! lui ordonna Maîtresse Marina.

Dès lors que ces souillures furent totalement ingurgitées, Maîtresse Marina repris soumis Endymion MDE par son collier et le fit avancer à genoux, jusqu’à ce qu’il se retrouve face à cette bite monstrueuse, semi érigée, d’Erwan.

- Branle-le salope, tu peux aussi le pomper, je veux qu’il jouisse ! ordonna Maître CharlEd.

Alors soumis Endymion MDE s’employa, ses lèvres se posèrent sur ce gland énorme et encore gluant, puis il tenta d’avaler cette bite. Elle reprit de suite un volume extraordinaire, si bien que l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans s’interrogea : comment avait-il pu prendre un tel morceau dans le cul ? Mais son questionnement en resta là, très vite il se fit vilipender ; au gout de Maitresse Ella, la fellation n’était pas suffisamment ardente, elle lui assena deux ou trois coups de cravache appuyés sur ses épaules et lui ordonnant :

- Pompe mieux que ça, chienne, toi qui aime les bites, montre-nous ce que ta bouche s’est faire ! …

(A suivre …)

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