Le Roi De Sparte 1

Je suis le roi de sparte, j'ai pris le trône par ma maitrise des armes et de la guerre. Nous sommes sortis des ténèbres des invasions des barbares du nord et maintenant nous nous élevons pour former la plus puissante des cités. Nous nous sommes alliés aux tégéens, des hoplites excelent, presque nos égaux, mais presque fait toute la différence. L'une de nos cités d'hilote (les esclaves) s'est révoltée et nous sommes en marche pour l'écraser et faire un exemple.

Les tégéens nous ont reçu comme il se doit moi et mes soldats. Après avoir passé des serments et fait des jeux en l'honneur des dieux où je me suis illustré nous avons commencé une fête, une vraie, pas de celle que ces chiots d'argiens ont le mauvais gout de faire. Bref mon cercle et moi étions avec nos hôtes, savourant des vins forts et des mets simples, mais qui tiennent au corps.

Nous étions dans la plus grande salle du palais, des braseros maintenait une douce chaleur tandis que les tentures empêchait l'air frais de rentrer. Moi ? J'écoutais les musiciennes jouer de leurs instruments, appréciant ce raffinement qui sied aux vrais hommes, ceux qui descendent d'Héraklès, vainqueur des titans. J'ajustais mon manteau rouge sur mes épaules, laissant mon corps parfait à la vue de tous, montrant que je me sentais en sécurité chez des amis.

J'étais en train de triturer l'une de mes nattes quand une nouvelle musicienne arriva, et qu'elle musicienne ! C'était une harpiste, l'instrument le plus élégant et le plus complexe, et elle était d'une beauté. Nous les spartiates nous apprécions les femmes, les vrais j'entends, celle qui sont fortes de corps ET d'esprit, pas celles que les jeunes athéniens érigent en vertus.

Ses cheveux blonds descendait le long de son corps de nymphe, ses bras nus gracieux, ses grands yeux aussi brun que la terre la plus grasse et sa bouche était si délicate. Sa musique fut sublime et son chant exquis. Alors que je profitais de cet instant un tégéen qui était sur un divan à coté de moi se pencha dans ma direction.



-Jeune roi de Sparte. Voici la meilleure harpiste du Péloponnèse.
-Je vous crois sur parole mon ami. C'est une artiste de très grand talent
-Et ses talents ne s'arrêtent pas la, si vous voyez ce que je veux dire. Et j'ai crus comprendre qu'elle avait une certaine...admiration pour vous.
-Mes exploits sont déjà connus ?
-Votre défense du pont de Ménélas est raconté en attique et en Thessalie. Seul contre trente, voila un exploit homérique.
-Je suis flatté. Et je crois que je vais faire connaissance avec cette jeune harpiste.

Pas une seconde je n'avais cessé de la regarder, mes yeux rivés dans les siens pendant qu'elle exécutait des enchainements toujours plus difficile. Quand elle eut terminé elle se retira sous les applaudissement, pendant que moi je me levai et partait la rejoindre. Je la suivis jusque dans sa chambre, prenant garde à ne pas être vus pour ménager mon effet.

Elle s'assit sur un tabouret et souffla, elle massa ses doigts et commençât à enlever sa robe d'apparat.

-Pourquoi est ce qu'il ne m'a pas suivis ?
-Parce que nous ne nous montrons que quand nous le désirons. Surprise elle se retourna, sa bouche ouverte et ses mains crispées sur ses épaules.
-Roi de Sparte.
-Alors fille des muses. Tu me voulais ? elle rougit et détourna son regard.
-Oh roi je veu...
-Regarde moi dans les yeux. Ma voix était forte, puissante. Malgré mon âge elle avait déjà les inflexions de Zeus et cette beauté que tous vrai grec veux acquérir. Suis je tel que tu l'imaginais ?

Mon manteau rouge ouvert laissait voir mon torse musculeux et mes bras puissant. Je portais une cicatrice sur mon pectoral droit, un coup de lance. Mon pagne de cuir tombait mollement sur mes cuisses d'airain, solide comme le marbre. Je lui souris en lui prenant sa main usée par les cordes, un sourire franc, un sourire qu'encadrait une barbe épaisse et douce.

-Oui roi de Sparte.
Et même mieux. Elle se releva et m'embrassa délicatement, faisant courir sa langue contre la mienne.

Je la saisit et la plaquai contre moi, l'enlaçant dans mes bras. La chaleur dans la pièce devenait étouffante, nos baisés devinrent plus sauvages, nous étions seuls, coupés des autres par les tentures épaisses. Je commençait à enlever les attaches de sa robe quand elle glissa sa main sous mon pagne et empoigna mon sexe qui se trouvait déjà dans une belle érection que que mon vêtement de cuir retenait.

Sans hésiter elle se mit à genoux, à moitié nue, l'un de ses seins offert à ma vue, et m'enleva mon pagne, libérant ma verge qui se dressa devant ses yeux. Elle m'agrippa par les fesses, qu'elle serrait fort, et entreprit une fellation rapide, sa tête bougeant au même rythme que mes mouvements de bassins que je faisais tant l'excitation montait. Sa langue tournoyait tantôt autour de mon gland, tantôt elle léchait mon sexe de tout son long, me faisant gémir.

Cela aurait pu continuer longtemps mais je voulais plus qu'une simple fellation. Je me retirais de sa bouche et soulevais sa robe, la voyant enfin nue. Elle me regarda avec avidité, ses yeux s'attardèrent sur mon manteau que je portais toujours.

-Montre moi ta force roi de sparte.
-Viens.

Elle me sourit d'un air mi-mutin mi-gênée puis s'approcha de moi. Elle glissa ses bras le long de mes épaules, sous ma cape, et souleva sa jambe. Comprenant ce qu'elle voulait je saisissais sa jambe, mettait mon sexe à l'entrée du sien qui luisait de son excitation et tout en prenant son autre jambe je la pénétrais. Elle plaqua sa tête contre mon cou tant le plaisir était grand mais rabattit quand même mon manteau, cachant nos corps qui s'accouplaient fiévreusement.

Je sentais sa poitrine s'écraser contre la mienne à chacun de mes coups de reins puissant, ses jambes complètement abandonné dans mes bras. La pièce s'emplit de ses petits cris stridents qui gagnaient en intensités.


-Oui....oui....oui...ah..ah..ah...oui....HAN !

J'étais déchainé, mes coups de bassins se succédaient à une vitesse folle, mon sexe sortait à demi du sien et y replongeait pour mieux chercher le plaisir. Ses mains se crispèrent contre mon dos, ses ongles entaillèrent mes épaules galvanisé je poursuivais dans cette position. Les pans de ma cape retombèrent, dévoilant nos corps brûlant recouverts de sueur. Elle se pencha en arrière, m'offrant sa poitrine que je léchais avidement, mordillant ses beaux seins si ronds et si durs, m’attardant sur ses tétons roses.

Ses jambes se serrèrent contre ma poitrine et je sentis qu'elle étais au bord de l'orgasme.

-Hum...hum...hum....Attention j'accélère.

Joignant la verge à la parole je la plaquais contre moi et la pilonnais à une vitesse extrême, plus rapidement que ma lance pénétrant la chair de l'ennemi. Elle poussa un hurlement rauque à s'en casser la voix et se laissa retomber contre moi, ses bras ne la soutenant plus.

-...Merci.
-Ce n'est pas finis. Elle releva la tête et me regarda dans les yeux, j'y lus de la surprise, une surprise très plaisante.
-J'en veux encore. Maintenant !

Elle m'embrassa violemment et se dégagea de mon étreinte. Son corps brillait, la sueur reflétant les braseros de la pièce. Je la saisit et l'allongeai sur la lit.

-S'il te plait roi de Sparte. S'il te plait ne te retient pas.


Je ne répondis pas, il n'y avait rien à répondre. Je ma plaçais au dessus d'elle lentement, appréciant le contact de nos peaux, faisant courir ma langue sur sa poitrine qui avait le gout du sel. Elle gémit, frustrée, elle voulait que je la prenne sans attendre, sentir la puissance de mon corps, sentir à quel point j'étais un homme.

Je la pénétrais lentement, calmement. Je plongeai ma langue dans sa bouche, caressant la sienne au même rythme que mes coups de reins profond. Des râles de plaisir s'échappait de sa bouche ouverte, sa langue courait sur ses lèvres.
A mesure que le temps passait elle faisait courir ses main sur mon corps, s'attardant sur mes flancs, pétrissant mes épaule. J'embrassais sa poitrine d'abord lentement puis je lapais la sueur qui se concentrait entre ses seins. Elle emprisonna ses bras autour de ma tête, pour que que le contact de ma langue sur sa peau ne cesse jamais. Nous sommes resté longtemps comme ça mais le plaisir ne montait pas assez pour nous deux

Décidé à aller beaucoup plus vite je me redressais sur mes bras et me mit à accélérer la cadence, déterminé à la faire hurler de plaisir. elle essaya de répondre à mes coups de reins en donnant elle aussi des coups de bassin mais c'était peine perdue et elle se laissa complètement aller. Sa voix magnifique qui avait chanté pour la fête emplissait la pièce de ses gémissement de plaisir, résonnant à mes oreilles comme autant d'invitation à y aller plus fort encore.

Elle agrippa mes bras et enserrera ses cuisses autour de moi, je la pénétrais avec une telle force que sinon elle aurait été balloté de partout, ce qui étais un peu le cas. Ses gémissements devinrent des cris extatiques quand j'y allais encore plus fort. Rien d'autre ne comptait que ma verge allant et venant en elle, rien d'autre ne comptait que ses hurlements de plaisir à mes oreilles. J'endurais une jouissance sublime mais je ne m'arrêtais pas, au contraire je me mis à crier également, trouvant la dedans la force de tenir encore et de l'amener à un orgasme magnifique.

Son corps fut agité de spasme et elle poussa des sons inarticulé, le moment était venus. Dans un dernier effort je la pilonnais comme jamais et elle poussa un long hurlement aigu quand elle jouit. Son vagin se contracta et ce fut pour moi aussi le final, j'explosais en un orgasme sublime, enfoncé en elle jusqu'à la garde, me déversant en jets de semence surpuissant.

Épuisé je me laissais tomber à coté d'elle, nos corps offerts à l'air surchauffé.

-Jamais je n'avais ressentie cela.
-Moi aussi, tu es exceptionnelle.
-Est ce que je pourrais t'accompagner ? Je n'ai pas envie de me passer de ça, dit elle en passant sa main sur mon sexe.
-Ne t'attends pas à beaucoup d'égards
-Tant que je peux faire l'amour avec toi roi de Sparte rien n'a d'importance, pas même les autres femmes qui iront dans ta couche.


C'est à ce moment qu'une tenture se souleva et que l'un de mes compagnons d'armes apparut. Surprise elle voulut se couvrir de ma cape mais je l'en empêchais, le pudeur n'est pas une qualité pour nous spartiates et mon ami avait bien le droit de voir avec qu'elle beauté j'avais jouis. Il sourit et l’apprécia brièvement avant de tourner son regard vers moi.

-Les tégéens sont prêts à partir. Demain nous écraserons la révoltes des hilotes.
-Enfin, l'appel me manquait.

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