Découverte

J’avais 17 ans cet été là. Et bien entendu j’étais puceau. En fait j’avais découvert depuis peu la masturbation et je m’y adonné avec une frénésie toute juvénile, farfouillant dans la chambre de mon père à la recherche de magazines érotiques dont je collais les pages avec insouciance. J’étais plutôt beau gosse, grand, mince le cheveu noir, mais d’une timidité telle qu’il ne me serait jamais venu à l’esprit de tenter quoique ce soit avec une fille.
Et pourtant, avec mon meilleur pote et voisin Emmanuel, on ne parlait que de ça dès qu’on en avait l’occasion. Aussi blond que j’étais brun, il était joli garçon, mais je n’avais jamais vu en lui un objet d’un quelconque désir, juste un pote avec qui on parlait cul, et de plus en plus, masturbation.
Un soir, où on avait joué au tennis toute l’après midi sur un parking près du petit parc de notre résidence, on discutait de la frustration de ne pas pouvoir sentir une autre main que la notre nous toucher, quand il me balança soudain qu’on pourrait peut être se branler mutuellement. Un peu interloqué, mais excité comme je l’étais je n’ai pas repoussé l’idée même si elle ne m’était jamais venue à l’esprit. Mais j’ai commencé à observer Emmanuel différent, tandis que, de son côté, il concevait son plan à voix, désignant des buissons où on pourrait se cacher, du PQ à aller chercher. J’entendais l’excitation dans sa vois et je me découvrais pour la première fois objet de désir… Et j’en bandais comme un fou dans mon jean. Mais je flippais à cette idée du buisson et je lui dis. Il se calma, et nous commençâmes à envisager les choses de manière un peu plus pragmatique. C’était les vacances pour nous mais pas pour nos parents et nous avions beaucoup de temps libre seuls. Il me proposa de passer chez lui le lendemain, dans la matinée, et d’en discuter à nouveau. J’avais chez moi un vieux livre érotique qui traitait de relations entre mecs et je le dévorais durant la soirée, dans mon lit, la gaule fièrement pointée vers le haut.

J’y redécouvrais ce qui pouvait se faire entre garçon et j’étais excité et effrayé en même temps. En me caressant, j’essayais d’imaginer la bouche d’Emmanuel sur moi, sur ma queue, mes couilles, j’essayais de ressentir ce que cela pouvais faire de la prendre en bouche même si j’avais peur d’être dégouté. Et puis, allongé sur le dos, je soulevais doucement mes jambe et écartais mes fesses, glissant mon index dans mon sillon et tâtant mon anus. Je ne m’étais jamais touché là mais la sensation fut si forte que je manquais de jouir. J’essayais timidement de m’enfoncer un doigt mais mon anus, serré, résiste. Je m’enfonce alors le doigt dans la bouche et salive copieusement jusqu’à l’enduire au mieux, puis je glisse à nouveau mon doigt entre mes fesses, et j’appuie. Je sens mon doigt entrer, mais je ressens une douleur et j’essaye de me détendre et il s’enfonce petit à petit. La sensation est étrange et excitante, à la fois de me sentir pénétrer et de sentir mon anus se contracter sur mon doigt. Je bande comme un fou et commence à me masturber tout en gardant mon doigt enfoncé. Plus ma main agite et plus mo trou semble se détendre et mon doigt s’enfoncer plus profondément. J’écarte rapidement les draps avant de jouir. L’orgasme m’inonde avec une puissance nouvelle, au point que j’en étouffe un cri, tandis que mon anus se contracte sur mon index enfoncé jusqu’à la garde. Je jouis si fort que je gicle à foison, sentant mon sperme inonder mon ventre et ma poitrine, si fort que les première gouttes ont même atterrit sur mon visage, au coin de mes lèvres. Encore excité, je pointe ma langue pour y gouter, découvrant une saveur salée. Je m’endors des idées érotiques plein la tête.
Au réveil je suis toujours excité. Nu dans mon lit, je me sens pour la première fois de ma vie, sexy, avec n’envie de sentir le désir de l’autre. Je suis allongé sur le ventre et je lève la croupe comme pour m’offrir, écartant mes fesses des deux mains et j’adore la sensation. Je me lève et file devant le miroir m’admirer.
Mon regard sur mon corps a changé, je me fais bander…
J’arrive chez Emmanuel vers 10.00. C’est sa mère qui m’ouvre, elle est sur le point de partir et ne revenir que dans une heure. On aura donc pas beaucoup de temps. Emmanuel vient me chercher et on s’installe dans sa chambre. Je lui raconte mon expérience d’hier. Il s’en amuse en m’expliquant qu’il avait déjà essayé bien avant, s’enfonçant même le manche de sa brosse à cheveux dans le cul. Je sens qu’il a un peu d’avance sur moi dans tout ça. Lorsque sa mère nous fait savoir qu’elle s’en va, on se retrouve seul, pas pour la première fois dans sa chambre, mais la première fois avec cette tension sexuelle entre nous. On discute de chose et d’autre, et puis ça bifurque sur la masturbation à nouveau, et on compare nos techniques de vive voix. Finalement, comme il le souligne, on a peu de temps, et il propose tout de go de comparer nos techniques en se masturbant l’un devant l’autre. C’est un acte très intime pour moi jusqu’à maintenant et l’idée de ne pas me cacher pour le faire me trouble. Mais je vois son regard sur moi et la bosse qui déforme son jean et je finis par accepter. Il me propose des magazines mais je lui dit que je préférerais que l’on s’excite mutuellement. Il se met debout face à moi et commence à déboutonner sa chemise, et je l’observe. on a souvent eu piscine ensemble mais je ne ‘avais jusque là jamais regardé comme un corps. Tandis que les boutons sautent l’un après l’autre, je sens mon sexe grossir dans mon pantalon. Ce n’est pas un jean main un pantalon d’été et cela se voit donc très vite. Son regard se baisse vers la bosse et il sourit. Je pose machinalement ma main dessus et commence à me caresser. Sa chemise glisse de son torse. J’ai envie de le toucher mais je n’ose pas. Je vois qu’il m’observe à présent et je comprends qu’il attend la même chose de moi. C’est la première fois que je me déshabille devant quelque de cette manière. J’y prends un réel plaisir, encore une fois je me sens sexy, et lorsque je laisse glisser ma chemise le long de mes bras, je suis surexcité.
Il l’est lui aussi à l’évidence puisqu’il a déjà ouvert son jean et glisser sa main dans son slip, se caressant doucement. J’ouvre à mon tour mon pantalon et empoigne ma queue d’une main, dans mon slip. Puis je murmure « tu montres ». Il sourit nerveusement et tire sur son slip, dévoilant son engin enserré entre ses doigts. Il n’est pas circoncis comme moi et son gland à moitié décalotté et tout rose semble étrange. Puis il commence à bouger la main, en me disant que c’est mon tour. Je laisse alors glisser mon slip au sol et me dévoile, bandant face à des yeux étrangers. Je sens son regard sur mon corps nu et sur ma queue dressée tandis que sa main s’agite plus rapidement. Je n’ai pas l’habitude de me branlait debout et je lui demande que l’on s’allonge sur son lit. Nous sommes tous les deux allongés, moi nu et lui toujours avec son slip. Nous nous branlons doucement en nous regardant, et je suis fasciné par le mouvement de sa main sur sa bite, par ses couilles et son pubis couvert de poils plus foncés que ses cheveux. Il me demande soudain de me retourner et je comprends qu’il veut voir mon cul. Je m’exécute, troublé de voir ses fesses, auxquelles je prêtais peu d’attention jusque là, faire l’objet de tant de convoitise. Je tourne la tête pour le regarder se branler en me fixant le cul. J’aime. Ma queue est dure dans ma main. Je me retourne à nouveau en me caressant et demande à voir le sien. Il se lève rapidement et se tient devant moi, de dos, faisant glisser son slip le long de ses jambes. Je découvre ses fesses pleines et roses, tandis qu’il s’amuse à bouger les hanches. Il me signale qu’il va bientôt jouir en se retournant.
Je vois son gland écarlate et humide. E lui demande la voix tremblante s’il veut jouir sur moi et il accepte avec empressement. Je m’allonger à nouveau sur le dos et me masturbe plus rapidement, tandis que je vois s’approcher et, toujours debout, se mettre entre mes jambes et secouer sa queue au dessus de mon ventre. La position est très bandante je sens que je vais venir aussi bientôt mais il me précède en poussant un cri et je vois son sperme gicler et je sns le jet chaud éclabousser mon ventre et ma poitrine, et j’arrête de me caresser le temps d’observer tout ça, son regard fixe sur moi tandis qu’il jouit, sa grimace le sperme qui vient encore.
Il s’effondre soudain sur le lit près de moi. Je le regarde et trempe mon doigt dans son sperme avant de le porter à ma bouche. Son gout est différent du mien. Il me regarde faire avec un sourire. Je veux jouir à mon tour. Je me redresse sur les genoux et le surplombe, il se met alors sur le dos et m’observe. Je me branle de plus en plus vite et juste avant e jouir, je sens sa main sur ma cuisse. C’est la première fois que quelqu’un me touche et j’éjacule aussitôt, couvrant sa poitrine de longs jets de sperme. Je n’ai jamais autant juté et la force de l’orgasme me terrasse, je reconnais à peine le cri qui sort de ma gorge. Il nous faut quelques minutes pour retrouver nos esprits, et Emmanuel file dans les toilettes pour en ramener du papier pour qu’on s’essuie. Il demande tout de go si je veux que l’on recommence et je lui déclare crânement que je veux aller plus loin. Ce samedi, je suis seul à la maison, et il pourrait demander à ses parents à passer la nuit chez moi. Son sourire me laisse à penser qu’il attendait une telle proposition. On se rhabille, de peur que sa mère nous trouve dans cet état tout en commençant à envisager le déroulé de la soirée. On finit par tomber d’accord sur l’idée d’un jeu, comme un strip poker mais avec des gages en plus, qui iraient crescendo. On propose chacun d’écrire ses gages sur des cartes que l’on dévoilerait au fur et à mesure. Il me demande si on se donne des limites et je lui réponds non, puisque si l’un d’entre nous ne veut pas faire quelque chose, il n’aura qu’à refuser. C’est au moment de partir qu’il me prend par la hanche me retourne face à lui et embrase mes lèvres. Je réponds timidement et lui glisse un à samedi. Il reste trois jours.
Trois jours de préparation dans tous les sens du terme, dans la relecture des scènes homos du bouquin pour comprendre ce qu’il est possible faire, dans l’écriture des gages dont certains me font rougir, et aussi dans la découverte à nouveau de mon corps, me piner les tétons et y trouver du plaisir, me caresser sur tout le corps, me réfugier dans la salle de bains et chercher des objets qui me rappelleraient sa queue, mais elle me semble énorme en comparaison. J’ai trouvé que la crème Nivéa pouvait servir de lubrifiant, et devant la glace, je m’enfonce un doigt avec une facilité déconcertante. Je me penche en avant et me tord le cou en écartant mes fesses pour jeter un œil à mon anus. Je décide d’essayer avec deux. La douleur est là mais je sens mon sphincter s’ouvrir. L’entrée est assez facile mais la sensation d’avoir les entailles fouillées qui me trouble. Je trouve la brosse à cheveux de ma sœur, le manche est moins gros que mes deux doigts mais plus long. Je file avec dans ma chambre, m’enferme, l’enduit de crème, mon anus est encore tout poisseux de Nivéa, je le touche à nouveau, m’allonge sur le lit, soulève mes jambes en l’air en les bloquant avec les bras. Je me sens ouvert et place la manche de la brosse face mon anus. Il s’y enfonce sans trop de difficulté et je pousse plus avant, la sensation est vertigineuse, je me sens vraiment pénétré, fouiller, j’ai du enfoncer près de 10 cm avant de renoncer. Quand j’entame le mouvement de va et vient, j’ai l’impression première qu’on m’arrache les entrailles, mais doucement le plaisir s’installe et je sens mon gland cogner contre mon ventre. J’ai enlevé la brosse de mon cul avant de me masturber, de peur de me faire mal mais l’orgasme a été très fort. Le vendredi soir, j’ai réussi à presque glisser trois doigts. Je me sens près. Il sera là à 18.00 samedi.

Une demie heure avant son arrivée, je me suis douché consciencieusement, j’ai été dans la chambre de ma sœur chercher il joli culotte que j’ai enfilé, puis je me suis habillé, d’un pantalon de toile et d’une marinière. Il arrive à l’heure et quand j’ouvre la porte, je le trouve souriant mais intimidé, portant pantalon et chemise comme à son habitude. On discute quelques minutes puis il m’accompagne dans ma chambre. J’ai mon set de carte et il sort le sien. Chacune a son lot de gage que l’autre devra effec. Le poker commence, tous les deux l’un en face de l’autre, à quelques mètres de distance. Il a plus de chance que moi au début et marinière et chaussettes disparaisse assez vite quand une nouvelle mauvaise main condamne mon pantalon. Je me lève alors et me rapproche de lui. Il peut voir que je bande tandis que je déboutonne mon pantalon. Je me retourne ensuite et le glisse doucement le long de mes jambes, laissant apparait mes fesses engoncées dans la culotte de dentelle de ma sœur. Je sens qu’il apprécie et je remarque en m’asseyant qu’il ne quitte pas des yeux ma bite qui déforme ma culotte.
La chance change enfin de camp et il lui faut très peu de temps pour se retrouver en slip. Je suis impressionné par la bosse entre ses jambes quand il perd à nouveau. Il se lève à son tour et me fait lui aussi son numéro, se cambrant largement tandis qu’il me dévoile ses fesses parfaites, puis se retournant pour faire glisser son slip et laisser jaillir sa queue tendue comme un arc. Il est superbe et je me retiens de me toucher en le regardant.
Quand il perd à nouveau il sait qu’il va devoir se plier à l’un de mes gages et j’en tremble parce que je le connais, je me souviens parfaitement de la carte où il est écrit qui doit se mettre à genoux devant moi, me branler et me prendre en bouche quelques minutes.
Je le vois lire la carte et sourire et rougir en même temps. Je me lève, toujours en culotte de dentelle. Il franchit les quelques mètres qui nous séparent et se tient face à ma queue, coincée sous la dentelle. Je ferme les yeux, personne avant n’a touché mon sexe, et je le sens tirer sur la culotte pour le libérer et délicatement l’enserrer entre ses doigts. Je frissonne tandis qui commence à me branler, et j’ouvre les yeux pour le voir, ma bite dans la main, me fixant des yeux tandis que son visage se rapproche. Je le vois ouvrir la bouche et prendre doucement mon gland entre ses lèvres. Je grogne de bonheur. Il prend alors ma bite en bouche, l’avalant en partie tout en suçant. C’est trop bon. Je le sens me sucer pendant quelque temps, mais j’en perds la notion, tout à la découverte de la sensation. J’ouvre les yeux, juste le temps de la voir se retirer… Je lui demande s’il a aimé et il se contente de sourire. Je me retrouve bientôt debout devant lui, tentant d’être le plus sexy possible en enlevant ma culotte, me cambrant au mieux, la faisant glisser le long de mes jambes et me penchant le plus possible pour qu’il profite de mon cul. Quand je me retourne, il a sa main sur sa queue, un signe d’appréciation.
Je jeux reprend et en perdant je m’aperçoit que sa propre carte est assez proche de la mienne, si ce n’est que je dois le prendre en bouche pendant qu’il me doigte. J’ai le rouge aux joues quand je travers, nu et à quatre pattes, els quelques mètres qui nous séparent. Je me place sur le côté alors qu’il s’est assis sur le sol. J’essaye de me cambrer pour qu’il profite de ma croupe et je prends timidement sa bite dans la main. Elle est chaude et dure et il soupire d’aise. Je le regarde pendant que je commence à le masturber et je vois son regard sur moi, mon visage, mon corps. Il tend la main et me caresse le dos pendant que je me penche vers son sexe. Ses mains sur moi me font du bien. Je tends mon cul à l’extrême tout en rapprochant ma bouche de sa queue. Je sens sa main sur mes fesses. Je suis prêt à le prendre en bouche quand je le vois porter un doigt à sa bouche et l’enduire de salive. Je murmure un oui impatient et gobe doucement son gland. Sa réponse est électrisante. Tout son corps se tend et je sens qu’il oublie tout quelques secondes, centre uniquement sur ma bouche. Je lui lèche le gland, puis enfonce sa queue doucement dans ma bouche. Tandis que je le suce, je sens sa main se glisser entre mes fesses et me toucher l’anus, puis timidement le titiller avant de s’y enfoncer. J’ai envie que ce moment dure, j’aime sentir les réactions de sa queue sous lmes lèvre mais je sens que si je continue il jouir et je ne suis pas prêt. Quand je me retire son doigt est profondément en moi, mais je me dégage et retourne à ma place, sentant ses yeux sur mes fesses. Je ne me suis jamais senti aussi sexy. Je pense que nous n’allons pas pouvoir jouer plus longtemps. Je lui demande s’il veut continuer, il hésite et je lui propose ‘d’aller dans la chambre de mes parents. Je me lève et lui tends la main, il se redresse à son tour et se trouve tout près de moi. Sans y réfléchir je l’embrasse avec passion, mangeant ses lèvres. Nos deux queues se touchent. Je le tire par la main et fil dans la chambre où je m’allonge, l’invitant à se mettre tête bèche. Je me retrouve à nouveau face à sa queue et je sens qu’il me suce tout de suite, et l’excitation m’emporte et je fais de même, le prenant pleinement en bouche. Il s’est enfoncé ma bite au plus loin possible tout en écartant mes fesses et titillant mon anus. Le suçant maladroitement, j’essaye àmon tour de découvrir son petit trou et comme je veux le voir je retire sa bite de ma bouche et grand bien m’en pris car à ce moment là je l’entends pousser un cri tandis que je lui enfonce un doigt dans le cul et je vois son sperme gicler, me maculant en partie le visage et les épaules. Je le regarde jouir. Il m’a oublié, tout à son orgasme, et j’en profite pour enfoncer mon doigt plus profondément, et en glisser un deuxième. Son anus est bien dilaté et mes doigts y coulissent sans problème, et je suis excité comme jamais. Je me redresse, le visage couvert de sperme, et je me place entre ses jambes, les relevant haut. Ma queue se trouve face à sa fente, et je l’enduit encore de la salive venant s’ajouter à la sienne. Quand mon gland commence à se présenter face à son trou, je vois qu’il revient à lui. « oui, prends moi souffle-t-il ». Il me regarde, anxieux alors que je pousse doucement mon gland contre son anus qui résiste. Mais mes caresses préparatoires ont fait leur effet, et je le sens qui se fraie un chemin. La barrière passée, mon gland est aspiré en lui alors qu’il pousse un cri en grimaçant. Ma queue est incroyablement serrée dans son fourreau de chair chaud. Je reste immoble quelques secondes, tout au plaisir d’être en lui, puis je commence à vraiment l’enculer, bougeant doucement en lui. La sensation est indescriptible, et il ne faut que quelques secondes avant de sentir l’orgasme venir. Perdant tout contrôle je commence à le baiser plus fort, insensible à ses soupirs de douleur, et je vois de toute façon que sa queue est à nouveau dure, signe qu’il y prend plaisir. J’explose soudain en lui, emplissant son cul de foutre. L’orgasme me semble durer une éternité, je suis si enfoncé en lui que mes couilles sentent ses fesses. J’en ai tellement lâché qu’il doit être plein de foutre et je m’effondre à ses côtés, toujours en lui. Je dois rester presque inconscient quelques temps mais quand j’ouvre à nouveau les yeux je sens ses caresses sur moi tandis qu’il tient sa bite dans sa main. Ma queue a glissé hors de son trou mais se durcit aussitôt en le voyant. J’ai envie aussi de le sentir en moi. Je me redresse et me mets à califourchon au dessus de lui. Je sens sa queue cogner mes fesses. J’enduis mes doigts de salive et commence à me doigter pendant qu’il me masturbe, un doigt puis deux que je fais tourner. J’ai le cul en feu, je le veux. J’empoigne sa queue et la glisse entre les fesses. Voila son gland face à mon trou. Je tiens ferment sa queue pendant que je descends à sa rencontre. Son gland me dilate l’anus mais je continue à descendre. La douleur se mêle au plaisir, je le sens s’enfoncer en moi. Il a cessé de me branler pour me caresser, la poitrine, les hanches, les fesses. Quand enfin il est pleinement en moi, je le vois se redresser et me sucer les tétons et je rugis de plaisir, alors que je sens de timides coups de reins me déchirer les entrailles. La sensation est unique, a la fois douloureuse et jouissive. Je sens ses coups de reins de plus en plus affirmés et je les accompagne tout en me branlant. Je vois le plaisir sur son visage et je me penche pour l’embrasser à pleine bouche. « Baise moi » lui dis-je. 9a l’excite et il commence à vraiment me défoncer le cul, sa queue coulissant dans mon anus… quand il jouit en moi, la sensation est telle que j’explose presque au même moment, couvrant son ventre et sa poitrine de mon sperme tandis que je sens le sien me remplir. Je m’effondre à nouveau sur le côté, laissant glisser sa queue hors de moi. Je suis allongé sur le dos, les yeux fermé, le visage et le torse maculés de nos semence et sentant s’écouler de mon anus son sperme encore chaud. Je perds notion du temps.

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