Le Voyage Scolaire En Espagne

Le voyage scolaire en Espagne

Je vais vous raconter le voyage scolaire que j’ai fait en Espagne. J’avais à l’époque 16 ans et j’étais donc en classe de 1ère. Etant en S, l’espagnol n’était pas une matière très importante et pour tenter de motiver les troupes, la prof avait eu l’idée de nous faire chatter avec des élèves espagnols de notre âge. Le principe étant de rendre le cours plus interactif. Je tiens quand même à préciser que notre prof rendait le cours attractif à elle toute seule ! Elle avait à peine la trentaine, typée espagnole, brune avec des yeux marron. Environ 1m65/70 avec des jolies formes. A vu de nez je dirais 90C mais c’est surtout son gros cul bien ferme qui faisait sa force d’attraction. Inutile de dire que lorsqu’elle écrivait au tableau, l’ensemble de la classe était attentif !

Pour en revenir à son idée pour rendre les cours plus intéressant, le principe était que chaque élève français ait un correspondant espagnol. Surement par peur qu’il y ait des dérives, nous ne pouvions pas nous voir, ni échanger des adresses mails ou facebook…

Nous voici donc au jour du premier chat. La prof nous explique ce que je viens de vous raconter et pour nous motiver encore plus, elle annonce qu’elle a obtenu les accords et les financements pour que nous allions rencontrer nos correspondants en cours d’année. Elle nous attribue alors nos correspondants avec lesquels nous allons échanger toute l’année. Je tombe sur une fille qui s’appelle Catalina.

Nous commençons donc à dialoguer tant bien que mal. Après plusieurs séances, nous arrivons à échanger assez facilement bien qu’il nous manque souvent du vocabulaire que nous prenons le temps de chercher. Au fur et à mesure de nos conversations, j’en apprends d’avantages sur elle. Je découvre que ma correspondante à l’air d’être une sacrée coquine. Elle me dit coucher avec pas mal de mecs et de filles. Nous avons donc un point commun : nous sommes accros au sexe.

Du coup, nous parlons souvent de sexe (j’avoue que cela ne m’a pas beaucoup aidé au BAC !) et bien que nous n’ayons pas la possibilité de nous voir, nous nous échangeons des descriptions assez précises. Catalina a donc 16 ans elle aussi. Elle mesure 1m72 pour 55 kg. Elle ne semble pas avoir de très gros seins mais il parait que son petit cul est incroyable. De plus, pendant nos conversations, elle m’a avoué que ma description lui plaisait beaucoup et qu’elle n’avait jamais couché avec un français. Inutile de vous dire que j’ai hâte d’aller à Valladolid. Et je crois que Catalina a hâte que nous venions !

C’est finalement en avril que nous nous rendons en Espagne. Les quatre bus partent du lycée pour de nombreuses heures de routes. Nous partons à 18h car nous devons récupérer des élèves dans un autre lycée qui n’est pas vraiment sur notre route alors que le voyage est déjà long. De plus, la prof souhaite que nous nous arrêtions visiter certains lieux une fois en Espagne. Tant qu’à parler espagnol, la prof aurait pu trouver une ville à la frontière ! Pour passer le temps, nous nous occupons comme nous le pouvons : discussion, musique, jeux… Après un arrêt pour manger, nous reprenons la route pour la nuit. Au fur et à mesure que les kilomètres passent, de plus en plus de gens s’endorment. Je discutais depuis un moment avec Romain, mon meilleur pote, lorsque celui-ci a profité du fait que la place à coté de la prof soit libre pour aller lui parler. Je regarde alors autour de moi et je vois que la fille assise à coté d’Emilie s’est endormie. Emilie me voit et je lui fais signe de venir. Je suis assis au fond du bus, sur le coté droit. Il n’y a personne d’autre que moi dans cette dernière rangée car les autres préfèrent les autres rangs où l’on peut allonger le siège pour dormir.

Emilie se faufile jusqu’au dernier rang du bus et elle s’assoie à coté de moi. Pour ceux qui n’ont pas lu mon récit « La nuit du réveillon » Emilie est la fille la plus cochonne du lycée.
Elle ne doit pas être loin d’avoir couché avec tous les mecs présents dans le bus et c’est une excellente suceuse, d’où son surnom : Pipelette. Ce n’est donc pas innocent de ma part de lui avoir fait signe de venir, surtout après le nouvel an que nous avons passé. D’ailleurs, je n’ai pas eu l’occasion de la baiser depuis. Elle s’assoie à coté de moi et place une couverture sur elle. Nous discutons un peu et l’air de rien, je commence à la caresser. D’abord ses cuisses, puis sa chatte à travers ses collants. Emilie se blottit contre moi et pose sa tête blonde sur mon épaule. La couverture nous permet d’être assez discrets même si tout le monde semble dormir dans le rang devant nous. Ma main est maintenant passée sous son collant et sous son string. J’enfonce deux doigts dans sa chatte. Elle mouille abondamment et sa respiration s’accélère. Je sens alors sa main qui frotte ma bite à travers mon jean. Nous continuons de nous caresser un petit moment. Soudain Emilie m’embrasse et disparait sous la couverture. Je sens mon jean s’ouvrir puis elle sort ma bite de mon caleçon. Elle l’embrasse, fait glisser sa langue dessus puis elle la gobe en entier (on ne se fait pas surnommer Pipelette sans savoir faire un gorge profonde !). Elle me suce tranquillement et joue avec mes couilles. Je relève un peu la couverture pour voir son visage sur ma bite. Je coince la couverture dans les sièges, ce qui me permet de la voir et de libérer mes mains pour caresser ses mains et lui appuyer sur la tête.

Elle me taille une super pipe et je dois prendre sur moi pour ne pas faire de bruit. Tout en gardant une main sur sa tête pour lui imposer mon rythme, j’utilise mon autre main pour la doigter de nouveau. Elle fini par se redresser et elle me dit à l’oreille : « Je veux ta bite en moi ». Nous ne disposons pas de beaucoup de place malgré qu’il n’y ai personne d’autre dans le dernier rang du bus où nous sommes car si nous dépassons des autres rangées de sièges, nous allons immédiatement être grillé par la première personne qui regarderas derrière.
Mais Emilie ne semble pas en être à son coup d’essai dans un bus car elle me dit qu’elle sait comment nous allons faire. Je reste assis et elle vient se positionner au dessus de moi. Elle me tourne le dos pour faire face au reste du bus et voir si quelqu’un se retourne. Elle s’empale alors sur ma bite. Je m’agrippe à ses hanches et je l’aide à remonter puis à se faire embrocher par ma bite. Nous allons très vite et après seulement une dizaine de minutes, je sens la sauce venir. Emilie s’agenouille alors devant moi et me suce frénétiquement jusqu’à ce que j’inonde sa bouche. Elle m’embrasse puis retourne s’assoir à coté de son amie qui dort toujours comme la grande majorité des occupants du bus. Comme j’ai toute la rangée arrière pour moi, je m’allonge et je m’endors facilement maintenant que mes couilles sont vidées.

Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Romain qui est allongé sur l’autre partie de la rangée. Il est lui aussi réveillé et j’engage donc la conversation avec lui :
«
- T’es allé faire quoi devant avec la prof ?
- Lui demander des trucs sur le voyage et lui parler.
- Te moques pas de moi t’as essayé de la draguer !
- Bah tranquillement vers la fin mais pas trop non plus. Juste des trucs gentils !
- Comme quoi ?
- Je l’ai félicité et remercié d’avoir organisé tout ça et il est possible que je l’ai un peu complimenté sur sa gentillesse et son physique.
- Tu lui a rien fait d’autre ?
- Non devant c’est pas très discret de toute façon. Mais elle a pas fermé la porte non plus ! Par contre toi derrière tu t’es pas ennuyé ! (Il me montre le string de d’Emilie qui est resté par terre)
- Tu m’a laissé tout seul alors fallait bien que je m’occupe !
- T’aurais pu écouter de la musique ou dormir comme tout le monde.
- Mais tu sais bien que je suis pas comme tout le monde. Et puis j’avais trop envie de baiser.
- Tu l’as carrément baisé dans le bus ?
- On s’est caressé, elle ma sucé évidement et après je l’ai sauté.

- C’est vraiment une salope cette fille ! La preuve elle part sans son string et elle s’en rend même pas compte !
- T’as qu’à aller lui rendre si t’as peur qu’elle s’enrhume ! »

Nous arrivons sur une aire de repos et la prof annonce que l’on s’arrête une heure pour manger. Tout le monde descend du bus. Je suis juste derrière mon pote lorsqu’il aborde Emilie en lui montrant son string.
«
- Eh Pipelette, tu as oublié ça derrière.
- Ah bah rend le moi !
- Tu rêves ! Je suis pas ton père, je traine pas derrière toi gratos pour te rendre tes affaires.
- Alors on va aux toilettes et on règle ça !
- Tu vois ma petite Pipelette, tu sais analyser le juste prix de mes services ! »

Je les vois qui se dirigent vers l’intérieur de la station service. Je reste avec un groupe d’amis et nous allons acheter de quoi manger. Après manger, je vais pisser et me laver les mains. Lorsque j’entre, je constate que Romain est toujours occupé avec Emilie grâce aux sons qui sortent de l’une des cabines. Je commence à soulager ma vessie toute en écoutant et c’est alors que j’entends une troisième voix. Je crois reconnaitre l’un des mecs de la classe. Etant d’un naturel curieux, je ne peux m’empêcher d’aller voir de qui il s’agit. J’entre dans la cabine voisine de la leur et je regarde par-dessus la paroi. Je vois alors Maxime, qui est dos au mur avec Emilie sur sa bite. Romain et derrière elle et il l’encule sauvagement. Ils lui font une double pénétration qui l’a font couiner de plus en plus fort. Je serais bien allé les rejoindre mais à trois dans une cabine, ils sont déjà bien assez serrés ! Et puis il ne reste plus qu’une dizaine de minutes avant notre départ. Alors que j’allais sortir des toilettes, la porte s’ouvre violement et je vois celui qui doit être le responsable de la station entrer. Les cris d’Emilie s’arrêtent net et bien que je ne comprenne pas tout ce qu’il me dit, je comprends qu’il me demande ce qui se passe ici. Comme je ne veux pas balancer mes camarades et pour qu’ils n’aient pas de problème, je lui réponds que je n’en sais rien. Il commence à fouiller toutes les cabines. J’en profite pour partir rapidement et rejoindre le bus. Je reprends ma place et j’attends le départ. Mais ce départ va être quelque peu différé. En effet, au moment de l’appel, trois personnes manquent à l’appel. Je vous laisse deviner de qui il s’agit ! La prof commence à s’inquiéter et c’est à ce moment que nous voyons nos trois camarades arrivés escorté par le gérant et un employé. Comme les portes sont ouvertes nous entendons toutes la conversation entre le gérant et notre prof (qui nous est traduit par une fille d’une autre classe qui est bilingue).
«
- C’est à vous cette bande d’obsédé ?
- Ceux sont mes élèves oui. Qu’on t-il fait ?
- Une partouze dans les toilettes de ma station service. C’est inadmissible !
- Je suis confuse et désolée.
- Vous pouvez, plein de clients se sont plaints ! Reprenez votre salope et vos deux connards et dégager d’ici !
- Montez immédiatement dans le bus vous trois ! Comment puis-je me faire pardonner ?
- En partant, je ne veux rien d’autre. Ah si, je ne veux jamais vous revoir ! »

Les bus repartent donc vers notre prochaine destination, un village du Moyen-âge. Notre prof décide de séparer nos trois zozos. Elle fait assoir Romain à coté d’elle. Je suis sur que ça l’arrange et peut être que son numéro de charme de hier a bien marché en fait ! Maxime est assis vers l’avant et elle dit à Emilie d’aller à sa place qui est plus dans le fond. Elle traverse donc le bus sous les railleries de tout le monde :
«
- Alors Pipelette, tu as bien mangé ?
- Salope, tu as bien pompé à la station ?
- Si t’as encore faim, j’ai ma bite !
- Ils t’ont prise ensemble ?
- Pipelette elle est accro à la quequette ! »

Tout le monde s’arrêtent lorsqu’un prof accompagnateur nous engueule et quand Emilie s’assoie, plus personne ne fait attention à elle. La monotonie de la route reprend mais elle s’arrête rapidement pour moi. Comme la prof a déplacé deux personnes, il est logique que deux autres personnes doivent changer de place. C’est ainsi que je vois une fille venir s’assoir dans la rangée du fond à la place de Romain. Je l’ai déjà croisé mais elle est en L et donc je ne la connais pas. En la regardant arriver, je remarque qu’elle a un certain charme bien qu’elle ne soit pas une bombe. C’est une rouquine aux yeux bleus. Elle est petite, environ 1m60. Elle a de jolies petits seins et un cul bien proportionné avec son corps. Elle porte un jean moulant avec un haut et une veste qu’elle enlève en s’asseyant à une place de moi et elle me regarde à travers ses lunettes. Puis elle sort un livre et commence à lire. Je lui dis qu’elle peut s’assoir à coté de moi et que je ne vais pas la manger. Elle me dit que ma réputation me précède et qu’elle est très bien où elle est. Elle m’a l’air coincé et pas très sympathique. En plus, elle est timide car elle est devenue toute rouge en parlant. Ca me fait une moyenne avec Pipelette ! Même si elle n’est pas une bombe, elle a un certain charme et je tenterai bien de la décoincer. J’entame donc la conversation mais ce n’est pas simple. Malgré tout au bout d’une dizaine de minutes, je sais qu’elle s’appelle Amandine et qu’elle a 16 ans. Mais elle veut lire tranquille et elle se déplace à l’opposé de la rangée. Je la matte sans me gêner et ma bite en devient dure. Elle déforme même mon jean. Je remarque qu’elle jette parfois des regards vers moi et plus particulièrement vers la bosse de mon jean. Je remarque aussi qu’elle bouge pour faire bomber sa poitrine et qu’elle écarte un peu les cuisses (faudrait juste lui expliquer que ça serait efficace si elle était en jupe !). Nos regards finissent par se croiser et je perçois un trouble chez elle. Nous arrivons dans un petit village dont le nom m’a complètement échappé. C’est là que nous allons visiter un château et je dois dire que cela m’ennui à l’avance. D’autant plus que ce château n’a rien d’extraordinaire. Il est en ruine et l’unique intérêt de ce village (enfin ce qui l’en reste) est qu’il y a des semblants de reconstitutions historiques de scènes de la vie quotidienne.

Nous descendons donc du bus. Les profs nous laissent nous promener dans ce village comme bon nous semble mais ils nous demandent de participer à un maximum d’activité et de regarder un maximum de reconstitutions. Je déambule donc dans les rues et je me dirige vers les remparts pour prendre de la hauteur et sortir de la foule. C’est alors que je vois Amandine qui s’approche de moi. Elle est seule mais je remarque qu’elle à un cahier et un stylo et qu’elle prend des notes. Lorsqu’elle arrive à ma hauteur, j’entame la conversation et elle s’assoie à coté de moi :
«
- Tu voulais pas me voir dans le bus tout à l’heure mais maintenant tu me poursuis !
- Non c’est juste que je voulais prendre de la hauteur pour faire un croquis de la ville.
- Un croquis de la ville ?
- Oui pour pouvoir mieux comprendre l’agencement de la société de l’époque.
- Ah ok ! Je croyais que tu venais ici pour moi.
- Non c’est surtout le point de vue qui m’attire.
- Tu veux plutôt dire que tu voulais retrouver le point de vue que tu avais dans le bus !
- Comment ça ?
- Arrête de faire ta coincée ! J’ai bien vu que tu regardais ma bite dans le bus.
- C'est-à-dire que ça attirait l’œil. Je suis pas habitué à voir des sexe si gros.
- Parce que tu en as déjà vu, c’est déjà bien. Tout le monde doit croire que tu es vierge !
- Non je ne le suis pas. J’ai tenté l’expérience cet été avec un ami pendant une soirée. J’étais loin de mes parents et des gens que je connaissais alors j’avais pas peur du regard des autres. Et j’avais envie de tenter l’expérience. J’ai lu plein de nouvelles érotiques qui m’avaient donné envie d’explorer ma sexualité.
- Bah là tu es loin de ta famille et tu es séparée des gens qui pourraient te juger par un rempart alors tu risques pas grand-chose.
- J’ai lu un récit une fois d’une princesse libertine du Moyen-âge qui m’avait beaucoup touché et depuis je rêve de prendre la place de cette princesse !
- Je suis pas un prince mais on est dans un château et vu les regards que tu m’as lancé, je suis sur que tu as envie de sexe (je pose ma main sur sa cuisse en lui disant cela).
- Oui j’avoue que ça me manque beaucoup depuis l’été dernier. Et c’est vrai que j’avais des aprioris sur toi mais tu me plais alors je crois que je vais me laisser tenter mais il faut être très discret !
- Elle faisait l’amour où quand elle voulait être discrète ta princesse ?
- L’endroit le plus attirant c’était dans une tour.
- Vas dans la tour là bas. J’arrive dans cinq minutes comme ça personne ne nous verras y entrer ensemble. Et ce sera l’occasion de faire une reconstitution historique de l’accouplement ! »

Pendant qu’elle se dirige vers la tour, je ne peux m’empêcher de mater son joli petit cul. J’attends donc un peu puis je me dirige à mon tour vers cette fameuse tour. C’est l’une des rares à être encore intacte. Lorsque j’entre, je tombe sur un escalier. Deux choix s’offre à moi : monter ou descendre. Alors que je regarde vers le haut, je vois un soutien gorge dans l’escalier. Décidément, cette Amandine me surprend de plus en plus. Elle n’est peut être pas si coincée que ça ! Je prends donc le soutien gorge et je monte. En arrivant en haut, je trouve Amandine qui est en train de prendre des notes. Je m’approche d’elle et je me place à sa gauche. D’où nous sommes, nous surplombons la ville. Je décide alors de lui mettre une main aux fesses. Elle ne dit rien et continue de prendre des notes comme si de rien n’était. Son cul est très agréable à tripoter. Il est bien ferme. D’où nous sommes, des gens pourraient nous voir. Je décide donc de m’accroupir et je baisse son pantalon. Elle porte une culotte pas très sexy et qui fait plus qu’ado coquine mais ce n’est pas grave car je lui enlève rapidement. Je me place entre ses jambes et j’entame un cunni. Elle est toujours dans la même position que lorsque je suis arrivé mais j’ai le sentiment que sa prise de note n’est plus très efficace. Elle se laisse enfin distraire et sa chatte dégouline. Elle pose son cahier et prend appui sur le mur du rempart car ses jambes commencent à trembler de plaisir.

Ma langue joue avec son clito pendant que mes mains parcourent son corps. Je lui dis qu’il est grand temps que la princesse se serve de mon épée. Je m’assois sur un créneau de la tour. Amandine baisse mon pantalon et englouti ma bite comme une affamée. Elle commence à me sucer. Elle y met de la bonne volonté mais elle ne suce pas très bien. Surtout qu’il y a seulement quelques heures, ma bite était dans la bouche de Pipelette ! Je reste assis à me faire sucer pendant quelques minutes. J’ai même l’occasion de faire signes à un groupe de ma classe qui passe en bas de la tour avec la prof. Sauf qu’à cet instant, j’entends la prof dire qu’ils n’ont qu’à monter eux aussi. Nous nous rhabillons donc rapidement avec Amandine et nous reprenons l’escalier. Nous descendons tout en bas de la tour. Nous arrivons dans une pièce extrêmement sombre. J’aperçois une grande table. Amandine rebaisse mon pantalon et s’agenouille mais comme elle suce mal et que j’ai encore la bite dure, je préfère la sauter. Je la fait donc s’allonger sur cette table. J’écarte ses cuisses et j’enfonce ma bite dans sa chatte. Elle est très étroite. Elle hurle de plaisir. Comme je ne sais pas s’il nous reste beaucoup de temps, je la bourre vigoureusement. Elle couine assez fort et comme je sais que les autres vont certainement emprunter le même escalier pour monter dans la tour, je ne veux pas qu’ils puissent entendre ses cris. Je lui mets donc sa culotte dans la bouche. J’agrippe ses cuisses et je pose ses jambes sur mon torse. Je la baise violement. Mais elle semble apprécié puisqu’elle jouie rapidement. Les contractions de son vagin m’achèvent et je jouis dans sa chatte. Je l’aide à se relever et à s’habiller puis nous remontons. Arrivé à hauteur de la porte du rempart, elle m’embrasse et part. Je lui dis que j’espère qu’elle a pris des notes de ce qu’il se passe dans les tours !

Je remonte alors au sommet de la tour où je trouve le groupe que j’avais vu tout à l’heure. Je vois que Romain n’arrête pas de suivre la prof comme un petit toutou. En plus il fait le fayot ! Je suis certain qu’il fait tout pour se la faire. La prof engage alors la conversation avec moi :
«
- On te croyait perdu. Tu sors d’où ?
- Je suis allé voir en bas mais il fait sombre et y a rien à voir.
- C’est parce que tu ne sais pas quoi chercher !
- Faudrait déjà y voir !
- J’ai une lampe torche allons y. »

Nous descendons donc là où j’ai baisé Amandine. Avec un peu de lumière, je remarque qu’en fait il y avait pas mal de choses à voir. La prof semble émerveillée jusqu’au moment où elle tombe sur la capote que nous avons laissé sur place. Pour détendre l’atmosphère je dis :
«
- Je ne savais pas qu’il y avait déjà des préservatifs à cette époque !
- Ne sois pas idiot, ce lieu sert visiblement de chambre à coucher pour certains. J’espère que ce n’est pas encore mes élèves.
- Je n’ai vu personne d’autre quand je suis descendu.
- De toute façon, il est l’heure de rentrer. Tout le monde au bus ! »

En remontant, je suis juste derrière la prof et j’ai une superbe vu sur son gros cul qui dandine sous mon nez. Cela me fait bander. En arrivant au bus, je retourne à ma place. Mais je remarque qu’Amandine s’est assise à sa première place. Elle semble gênée en me voyant et m’évite du regard. Ce n’est pas grave, elle m’a au moins permise de me vider les couilles. La prof souhaite préparer la prochaine étape avec l’un des autres profs et Romain a donc le droit, à sa plus grande tristesse, de venir s’assoir derrière.
«
- Fait pas cette tête, tu es triste de venir t’assoir avec ton meilleur pote ?
- Je préfère les nibards de la prof au tiens !
- Tu l’as toujours pas baisé depuis le temps que tu lui tourne autour et que tu fayottes ?
- Non et j’ai constamment la bite dure ! Entre son odeur, ses yeux, sa voix, ses seins et son cul, c’est impossible de débander !
- Bah passes à l’attaque.
- Faut que je trouve le bon moment et le bon endroit.
- Dans la tour c’était un bon endroit si tu avais voulu.
- Qu’est que t’en sais ?
- Je suppose c’est tout !
- Ah je comprends, tu n’es pas monté la haut pour la vue et encore moins pour prendre des notes !
- Et tu veux que je fasse quoi d’autre ?
- Tu t’es tapé la rouquine je suis sur ! Me fais pas croire que c’était pour discuter du Moyen-âge.
- Je voulais savoir comment les gens baisaient au Moyen-âge ! »

Je lui raconte alors tout ce que je viens de vous raconter. Le voyage se poursuit. Nous nous arrêtons de nouveau pour visiter une Cathédrale. Mais a part Romain qui a trouvé la prof intéressante, il n’y avait pas grand-chose de palpitant. Nous étions tous groupé, donc impossible de baiser. Et par respect, je n’aurais pas baisé dans ce lieu de toute façon. Le voyage reprend et nous arrivons enfin à Valladolid. Nous allons jusqu’au lycée de nos correspondants. Lorsque nous arrivons, nous sommes invités à aller dans le gymnase ou des rafraichissements nous attendent. Puis nos correspondants arrivent pour nous récupérer et nous emmener chez eux. Nos profs nous appellent donc les uns après les autres et chacun découvre avec plus ou moins de joie son correspondant. Certains sont déçus et disent que les descriptions qu’ils ont eues ne correspondent pas à la véritable personne. C’est ainsi que j’en viens à penser qu’il se peut que ma correspondante ne soit ni la beauté ni la cochonne qu’elle a prétendu être. Je suis dans mes pensées lorsque j’entends mon prénom. Je m’avance donc vers les profs et je suis alors rassuré. Je vois une jolie brune sortir du groupe d’espagnols lorsque le prénom de Catalina est appelé. Je dévisage cette fille. La taille et le poids qu’elle m’a annoncé semble correspondre. La beauté de son cul n’a pas été exagérée mais elle m’a menti sur ses seins. Elle a une jolie paire de seins. Certes ils ne sont pas énormes mais ils ont l’air très ferme. Elle porte une jupe très courte et un top moulant et décolleté. Elle n’a pas forcement un très jolie visage mais elle a beaucoup de charme. On se fait la bise et on discute un peu. Je ne suis pas le seul à la trouver mignonne car j’entends un prof qui nous accompagne dire que je suis bien tombé.

Nous sortons donc du lycée pour aller chez elle. Sa mère nous attend dans la voiture. En la voyant, je comprends pourquoi Catalina trouve qu’elle n’a pas de gros seins. Sa mère a une poitrine énorme. Mais le reste de son corps et aussi proportionnellement plus gros ! Il faut dire qu’avoir quatre s n’est pas ce qui aide le plus à garder la ligne. De toute façon, c’est sa fille qui m’intéresse. Nous arrivons chez elle et elle me fait visiter la maison. Elle me montre ma chambre qui est en fait un bureau au rez de chaussé. Mais au moins j’ai une chambre pour moi tout seul et si jamais il y a des ronfleurs dans cette famille, je ne les entendrais pas puisque je suis à l’écart des autres chambres. Catalina me montre sa chambre et nous restons un long moment à discuter (plus ou moins facilement). Nous échangeons aussi quelques contacts physiques comme des mains qui se frôlent ou qui se posent sur des épaules. Le courant passe bien entre nous et nous sommes attirés l’un par l’autre. Mais le temps passe vite et il est déjà temps d’aller manger, bien qu’il soit 22h30. Après manger, je passe par la douche et je retourne dans ma chambre. En descendant, je croise Catalina qui me dit de ne pas m’endormir trop vite et qui me dépose un bisou sur la joue.

Je suis en caleçon, allongé dans mon lit depuis une quinzaine de minutes lorsque j’entends la porte s’ouvrir doucement puis se refermer tout aussi doucement. Grâce à la lumière de la Lune, je vois Catalina qui s’approche de moi. Elle porte une nuisette très sexy. Elle grimpe sur le lit avec sensualité. Elle se place à cheval sur moi et s’avance lentement en frôlant mon corps. Sa main s’attarde un peu sur ma bite qui est déjà bien dure. Je suis rassuré sur un dernier point : c’est vraiment une cochonne. Lorsque sa tête est à la hauteur de la mienne, elle me sourit puis nos bouches sont comme attirées l’une par l’autre. Nos lèvres entrent en contact et nos langues font de même. Elle se laisse tomber sur moi. Ses mains caresses mon visage, mes cheveux et mon torse pendant que les miennes caresse ses épaules, son dos, ses fesses et ses cuisses. Ensuite, je fais glisser les bretelles de sa nuisette tout doucement le long de ses épaules. Enfin sa poitrine est libre. J’en profite donc pour caresser ses seins. Mes lèvres quittent les siennes pour se poser sur ses seins que je lèche avec plaisir.

Catalina se redresse et après avoir bien profité de mes caresses, elle embrasse mon torse et se dirige lentement vers ma bite. Elle m’enlève rapidement mon caleçon et me branle doucement. Je constate qu’elle est habituée à se taper des bites car elle est très habile. Je constate aussi rapidement que c’est une excellente suceuse. Elle bouffe ma bite tout en jouant avec mes couilles. Elle suce quasiment aussi bien que Pipelette. Je profite de cette délicieuse pipe. Avec ma main je caresse ses jolis seins. Cela doit lui donner des idées puisqu’elle place ma bite entre ses deux nibards. Elle entame alors une bonne branlette espagnole, ce qui est la moindre des choses vu le contexte ! Après plusieurs minutes, je la tire vers moi et nous nous embrassons à nouveau. Puis je la bascule sur le dos et je me place sur elle. Je l’embrasse encore puis ma bouche parcours ses épaules, ses seins, son ventre et j’arrive devant sa chatte toute lisse. J’entame alors un cunni qui semble lui procurer énormément de plaisir. Elle ondule et pousse des petits gémissements de plaisir. Puis elle me supplie de la prendre. Je me place sur elle et je m’enfonce doucement. Nous sommes en missionnaire. Elle enroule ses jambes et ses bras autour de moi puis je la bourre violement. Nous sommes très excités et elle me demande d’aller encore plus vite. Je la saute maintenant sauvagement et nous finissons par jouir intensément.

Elle continue de me serrer contre elle. Nous nous embrassons un long moment et comme je bande toujours, j’ai envie de la baiser encore une fois. Cette fois, c’est elle qui prend les choses en main. Je suis allongé sur le dos et elle se place au dessus de moi. A ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir, c’est son cul qu’elle présente à ma bite ! Elle me tourne le dos et s’assois sur ma queue. Elle est habituée à se faire enculer car ma bite entre aussi facilement que devant. Elle s’agite sur moi un long moment puis nous basculons sur le coté. Avec une main je joue avec ses seins pendant que mon autre main agrippe ses hanches. Je la baise comme une brute. Elle couine vraiment très fort. Finalement, j’inonde son cul et nous nous endormons dans cette position. Le lendemain, c’est sa mère qui vient nous réveiller. Elle ne semble pas gênée ni surprise de trouver sa fille nue dans les bras d’un mec qu’elle ne connaissait pas il y a un jour. Nous allons à son lycée et nous prenons par aux divers activités qui sont organisées, principalement des visites. Nous n’avons pas l’occasion de baiser dans la journée car nous sommes toujours en groupe et il n’est pas simple de s’isoler. Malgré tout, elle n’hésite pas à me tenir la main ou à se coller à moi. Evidement, je pense qu’aussi bien du coté espagnol que du coté français, tout le monde sait ce que nous avons fait durant la nuit.

Le soir, nous baisons de nouveau. En fait, nous passons plusieurs jours à suivre le même programme : visite et baise. Je pourrais vous raconter chaque journée en détail mais mon récit ressemblera alors plus à un Kâma-Sûtra sans image qu’à un récit. La veille de notre départ, une soirée est organisée dans le lycée. Lorsque je vois la tenue de Catalina, je bande instantanément. Elle porte une robe qui couvre à peine ses fesses et qui dévoile la moitié de sa poitrine. Elle fait très salope mais qu’elle est belle. En marchant dans le couloir qui nous mène à la grande salle, je passe une main sous sa jupe pour vérifier ce que je pense et effectivement, elle ne porte pas de string. La soirée se déroule normalement et bien qu’il s’agisse d’une soirée « scolaire » les espagnols ne semblent pas gêner de distribuer de l’alcool, ce qui ne plait pas trop à nos profs. Mais malgré tout, ils sont les premiers à en profiter. Catalina se frotte à moi en dansant. Nous nous embrassons et je tripote son cul sans retenu. De toute façon, nous ne sommes pas les seuls à s’être rapproché ! Au bout d’un moment, elle m’entraine dehors. Nous sommes dans une sorte de grand jardin. En avançant, on peut entendre et voir des couples qui sont déjà en train de baiser. Catalina m’entraine jusqu’à une petite fontaine qui est dans le fond du jardin. Elle s’agenouille devant moi et elle me suce directement. Après un long moment, elle prend appui sur la fontaine et bombe son cul. Je me place derrière elle et je la saute sans retenu. Elle couine de plaisir. Après cinq minutes passées dans sa chatte, je décide d’investir son cul. Je l’encule violement. Nos corps se heurtent, ses cris deviennent plus fort et finalement lorsque je sens que je vais jouir, je la retourne et je gicle sur dans sa bouche. Elle n’en perd pas une goutte. Elle se redresse, elle m’embrasse langoureusement et je la serre dans mes bras. Elle me dit que c’est la dernière fois du voyage que l’on baise. Elle est assez triste et moi aussi mais comme on dit, toutes les bonnes choses ont une fin. Comme nous repartons tôt le lendemain matin (qui est en fait dans deux heures) nous partirons directement après la fête. Catalina me dit qu’elle préfère rentrer chez elle et achever ce séjour sur ce bon souvenir. Nous échangeons nos numéros, elle m’embrasse une dernière fois et rentre chez elle.

Je retourne à l’intérieur bien que je n’ai plus tellement envie de faire la fête. Je cherche mon pote Romain mais je ne le trouve pas. Comme je le cherche depuis un moment, je remarque que je ne vois pas non plus notre prof. Je me dis alors qu’il a peut être réussis finalement. Lorsque je vais aux toilettes, j’ai la confirmation de ce que je pense. J’entends une femme couiner et je reconnais immédiatement la voix de notre prof. J’utilise la même technique qu’à la station service et je découvre mon pote entrain d’enculer le gros cul bien bandant de notre prof. Celle-ci est appuyée sur les toilettes. Elle est totalement nue, tout comme Romain d’ailleurs. Lui il est derrière elle. Il s’accroche à son cul et je vous garantis qu’il la prend à grande vitesse. Il lui met plein de fessés, ce qui semble exciter la prof. Je peux voir ses seins aller d’avant en arrière à chaque fois qu’elle se prend un coup de bite. Finalement, elle s’assois sur les toilettes et mon pote gicle sur son visage et ses seins. Puis ils s’embrassent langoureusement. Là, la prof lui dit : « Je ne pensais pas qu’un gamin de 16 ans pourrait mieux me baiser que mon mari ».

Je quitte rapidement la pièce et l’heure du départ est déjà là. Nous reprenons donc la route pour de nombreuses heures. Nous avons repris nos places habituelles. Malgré la fatigue, l’excitation de la fête ne nous aide pas à dormir. Nous discutons donc avec Romain.
«
- Finalement tu as réussis à te la faire la prof !
- Comment tu sais ça ?
- Je suis allé pisser et j’ai entendu sa voix alors je suis allé vérifier !
- Sale mateur va. T’as pas filmé au moins ?
- Non !
- C’était long et laborieux pour la séduire mais ça valait le coût. Qu’est ce qu’elle est bonne !
- Ca je n’en doute pas. Mais t’as gouté aux produits locaux au moins ?
- Non ! Désolé mais moi j’étais hébergé chez Diego, pas chez la salope du coin.
- Ca c’est clair que c’est une salope. Tous les soirs je l’ai sauté pendant des heures !
- T’aurais pu faire tourner !
- T’avais qu’a demander, je t’aurais pas dit non et elle non plus.
- J’étais trop occupé avec Eva.
- Ah tu appelles la prof par son prénom maintenant ?
- Je connais le fond de son cul alors on va pas faire de chichi !
- Et son mari tu vas faire du chichi avec lui ?
- Il a qu’a bien la baiser et elle ira pas voir ailleurs ! Et ta rouquine, elle voudrait pas revenir derrière ?
- Je l’ai pas revu depuis que je l’ai baisé et elle avait pas l’air chaude pour le refaire.
- Tu lui as pas fait prendre son pied ?
- Si mais je crois qu’elle était hyper excitée alors elle s’est lâchée mais c’est une coincé et elle est toute gênée quand elle me voit maintenant. T’as qu’à appeler ta Eva si t’as besoin de baiser !
- Ou refait venir Pipelette plutôt !
- Vu qu’on la monté dans le bus en la portant, ça m’étonnerait qu’elle soit en état de sucer.
- Quelle pute celle la, jamais dispo quand on a besoin !
- Je te dis, il te reste que la prof !
- C’est trop risqué ici.
- Au moins y a pas son mari !
- Toute façon on a déjà planifié un rendez-vous pour baiser quand on sera arrivé. »

Nous finissons par nous endormir. Lorsque je me réveille, nous avons passé la frontière. Je vois Emilie qui revient des toilettes où elle a du passer une bonne partie de la nuit à décuver. C’est alors que Maxime lui lance : « Pipelette, tu as raté la station de ton pote. Je suis sur qu’il aurait été content de te voir ! ». Romain me confirme ce que je pense, pour qu’ils les laissent partir, le gérant de la station lui a demandé une pipe qu’elle lui a faite avec plaisir. Après de longues heures, nous arrivons enfin à notre lycée. Nos parents nous attendent pour nous récupérer. En récupérant mon sac, je vois Romain qui lance un regard complice à la prof qui est avec son mari avant de lui lancer un : « c’était vraiment géniale Madame, merci beaucoup ». Son mari semble se réjouir du succès de sa femme. Si seulement il savait qu’il n’est plus le seul à la sauter. Je retrouve ma mère dans la foule et nous rentrons à la maison.

Depuis, je discute régulièrement avec Catalina et il nous est même arrivé de nous revoir et pas seulement pour amélioré notre vocabulaire ! Amandine, si tu lis mon récit, j’espère que tu l’as aimé et qu’il t’a rappelé de bons souvenirs même si nous n’avons jamais eu l’occasion de rebaiser ensemble. Je salue aussi Eva, mon ancienne prof, qui a toujours une relation avec Romain et qui je le sais, lit mes récits. Comme d’habitude, vous pouvez me contacter par mail ou rejoindre le groupe de fans sur Facebook. Je vous remercie pour tous vos messages de sympathie. A bientôt pour de nouveaux récits.

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