Privée De Sexe

Vite, dépêches toi, baises moi, j'en meurs d'envie. Telles sont les paroles de la femme d'un type que je ne connais même pas: nous sommes amants depuis peu. Ses envies de baises sont venues après notre premier baiser, à la sortie de notre chorale. Je l'ai emmené dans un café boire une boisson chaude: il faisait un froid polaire. Nous bavardions du prochain concert que nous devions donner. Pas loin de nous un couple de jeunes amoureux lui faisait dire qu'il avait de la chance. Je demandais pourquoi:
- Ils s'aiment et vont sans doute de faire l'amour: je les envie.
- Ah bon, pourquoi les envier, vous être mariée et vous aussi faites l'amour.
- Non depuis longtemps.
- Que se passe-t-il ?
- Il se passe que je ne peux plus jouir avec lui, il est trop brutal.

Son visage change depuis qu'elle parle. Je ne sais que faire, après tout si elle est mal baisée je n'y suis pour rien. Elle pose sa tête sur mon épaule en sanglotant. Je suis extrême ne gêné. Qu'est-ce qu'elle veut. Je vais essayer les grands moyens: je pose mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre la bouche. Notre premier baiser est sensationnel de sensualité. Elle m'excite à tel point que je commence à bander. Je ne me retiens plus, je saute des étapes pour lui poser directement une main sous sa robe. Elle écarte les jambes. Me voila lui caressant l'intérieur des cuisses. N'importe qui pourrait nous voir, je m'en fout totalement, j'ai envie d'elle maintenant: elle est très baisable malgré sa trentaine bien avancée. Elle me pousse à aller plus haut, là où la morale bien comprise m'interdirait d'aller. Je trouve son entrejambes, je sens sa culotte toute mouillée: elle aussi a envie, je ne sais si elle me veut ou si elle a tout simplement envie d'une baise.
Réconfortés par les boisons chaudes et nos caresses, enfin celles que j'ai données, je l'emmène chez moi qui habite à deux pas. Je la fais entrer dans le séjour, elle s'assoit sur la banquette, je vais vers elle, l'embrasse encore.

Nos langues reprennent leur ballet. Ma main retourne vers son sexe. Elle écarte toujours les jambes: je trouve son clitoris, le caresse. Elle est penchée en arrière, se laissant branler. Enfin elle jouit, m'embrasse en me remerciant:
- Il y a si longtemps qu'un homme de m'avait pas faite jouir.
- Quand même tu te branles quelque fois ?
- Oui, souvent même en ayant des fantasmes avec toujours une main d'homme sur moi et sa bouche sur la mienne: je n'arrive à jouir que seule.
- Pourtant avec moi, tu viens de jouir.
- Justement tu réalises mon fantasme.
- Et si je te demande de baiser avec moi ?
- Avec toi, je ne sais pas. C'est sans doute à tenter.
Pour tenter moi tenter c'est essayé. Je la pelote à peu près partout, sauf les pieds. Je la remets assise sur la banquette, lui fait écarter les jambes: je passe ma tête pour aller vers son entrejambe. Elle pose ses mains sur ma tête pour guider la langue sur son clitoris ne chaume pas un instant. Je la lèche longtemps, elle jouit encore et encore. A chaque fois elle pousse un léger cri. Quand il me semble qu'elle a suffisamment joui ainsi, je lui demande de me masturber juste un petit moment avant que je la baise. Elle commence à bien me branler quand elle arrête tout. Je crains le pire. La pire arrive quand elle prend ma bite à pleine bouche. Elle me suce comme une friandise, sauf que mon perme n'est pas sucré quand elle le reçoit. Je pense qu'elle va le recracher: pas du tout, elle le passe d'une joue à l'autre, le garde longtemps dans la bouche avant de l'avaler et finir par me dire qu'elle aime beaucoup ma semence.
En attendant elle a jouit, j'ai jouis dans sa bouche, mais pas dans sa moule. Je lui en fais la réflexion: pour elle ce n'ai pas grave: elle va me faire bander à sa façon. Je lui demande de se branler devant moi, je sais qu'elle me fera bien branler aussi. Sans pudeur, elle ouvres ses jambes, me montre tout son sexe, pose trois doigts réunis sur son bouton et entame un vas et viens qui lui donne du plaisir et surtout que me fait bander.

Elle n'a plus d'excuse: elle se couche sur le dos, ouvre le compas de ses jambes me demande de venir sur elle, prend ma queue dans sa main, me guide, ne me lâche que quand je suis presque entré dans sa caverne. Je m'attendais à une baise relativement pépère: elle se déchaîne complètement dès que je suis en elle. Je la sens jouir plusieurs fois, pousse toujours le même petit cri. Je n'ai pas encore joui: elle se tourne me donne ses fesses, les ouvre bien à deux mains:
- Encules moi maintenant.
- Oui je vais te la mettre au cul.
- Vite, mets moi la à fond?
J'aime quand une femme me parle ainsi. J'aine ce genre d'initiative venant d'une femme.
Je la lui mets après qu'elle se soit bien mouillée le petit trou. Je force un peu pour y rentrer: c'est normal, il y a longtemps qu'elle ne s'ai pas faite sodomiser. La première douleur passée, la voilà accompagnant mes allez et venues. Elle jouit encore et encore: c'est véritablement ne femme privée de sexe véritable depuis longtemps.
Nous finissons pour cette première. Elle se rhabille, m'embrasse sur la bouche et part sans plus rien me dire.
Nous nous revoyons à la fin de la répétition suivante. Nous ne passons pas par le bistrot: directement chez moi.
Nous recommençons à peu près comme la dernière fois, sauf que nous ajoutons deux beaux 69 à notre répertoire, répertoire qui ne cesse de grandir à chaque fois: nous nous voyons maintenant plusieurs fois par semaine. C'est ainsi quelle me demande de me dépêcher pour la baiser.


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