Un Chaud Voyage N°2

le lendemain matin, vers 5h elle se réveilla, et constatant qu’elle ne nous avait pas rejoint, eut soudain honte ;des larmes s’échappèrent de ses paupières, encore endormies ; avec de douces caresses dans ses cheveux et sur le cou, je la rassurais et lui dit combien nous avions été heureux de la soirée et qu’elle n’avait rien à regretter et qu’au contraire j’étais heureux de sa jouissance ainsi fistée et que je me promettais de le faire le plus rapidement possible ; mes paroles la calmèrent et je sentis qu’à nouveau, le sommeil réparateur la plongeait sans doute dans de jolis et ardents rêves.

Vers 10h, le dernier marin se présenta au bateau ; Joël, de son prénom ,avait 25 ans, assez mince grand,1.80m, le teint pâle, le parfait portrait de l’étudiant ; en effet il devait passer son brevet de marine marchande, avant la fin de l’année, et c’était le dernier convoyage qu’il assurait ; son installation, et la reconnaissance des divers instruments, l’étude du projet de route et les conditions météo nous occupèrent toute la journée, finissant nos derniers achats de produits frais ;
Une rapide description du bateau, pour comprendre la suite :
Une nacelle centrale, poste de navigation, salle à manger (carré), et cuisine, deux coques avec deux cabines séparées par un cabinet de toilette avec douche, à l’avant entre les deux coques un grand filet, très confortable et très agréable en navigation pour les bains de soleil et à l’arrière un grand salon extérieur où souvent nous prenions nos repas. Dans la première coque, à l’avant notre jeune comparse et à l’arrière la nôtre, plus large, avec un lit de 2m sur 2 ; dans l’autre coque la cabine du propriétaire et en demi niveau, une petite table salon, où nous avions passé la première soirée.

Dès 5 heures du matin, nous prenions la mer après une bonne et calme nuit de repos, le grand large nous attendait ,et pendant les trois jours suivants, la vie à bord se déroulât avec son lot de répétition : calcul de la route, repas, lecture, farniente sur le trampoline à l’avant, et pêche, sans compter la prise de photo des dauphins et baleines, fréquents dans ces eaux ;lors d’ une séance de bronzette ,nini, max et moi, je remarquais que notre Joël matait à partir de sa cabine ; il faut dire que trois corps nus devaient valoir le coup d’œil ; je le signalais discrètement à Nini et lui proposais d’aller faire un petit câlin ; elle accepta et après un sourire coquin à Max, nous partons main dans la main vers notre cabine ; nous fermons rarement la porte, mais cette fois ci, je le fis volontairement ; le coquin voulait mater, il allait entendre ; nini étant déjà nue, il me fut facile d’atteindre ses points sensibles et le souvenir de la soirée d’arrivée me mit rapidement le feu au corps, elle embouchât avec délice ma verge tendue, la quittant pour me lécher jusqu’aux boules, les prenant dans sa bouche, glissant parfois jusqu’à mon petit trou ; un vrai bonheur, mais ne voulant pas jouir trop vte je rompais le combat et la renversant sur la couchette, je lui titillais le clito avec ma langue, puis pénétrais l’entrée de son vagin ,goutant avec délice les premiers prémices de son plaisir ;très vite, Joël dut profiter de nos ébats car dans la cabine, elle ne se retenait pas, ses plaintes et ses petits cris devaient être très perceptibles, y compris du trampoline ; je la soupçonne même d’en avoir un peu rajouté au début, car par la suite pas de faux fuyant ; je plongeais dans sa vulve, les cuisses écartées pour pouvoir la lécher profondément, une onde commençait à envahir son corps et sans préavis je remplaçais ma langue par mon sexe tendu ; la réaction fut immédiate et elle se mit à ronronner de plaisir, je la baisais en lui parlant à haute voix de notre voisin qui devait écouter, car il n’avait pas bouger de sa cabine qui maintenant était entrouverte ; je la pistonnais avec délice et la retournant ,je m’attaquais à son anneau, qui sous la pression lâcha aussitôt ; avec un han de satisfaction, j’attaquais sa cavité et elle s’empressa de me dire, « oh oui, continue, encule moi, vas-y fort , va bien au fond »la séance fut courte car nos pensées pour le voisin et notre baise fougueuse se termina par une jouissance commune et je déversais mon jus dans ses entrailles.


Je retournais alors vers le trampoline et en passant, par la porte entre-ouverte, je vis enfin notre jeunot, rouge comme une pivoine ; il avait bien entendu notre baise ; dehors, la chaleur me surprend, puis je retrouve Max, toujours nu, le sexe encore en érection, il se caresse doucement et je dois dire que le tableau est bandant ; nini nous rejoignant ,je lui fit remarquer qu’elle se devait de calmer notre capitaine après l’avoir laissé hier soir ; sans dire un mot, elle s’assit sur son ventre et me regardant bien dans les yeux se planta sur son sexe ;max n’eut pas grand-chose à faire car elle se vautrait avec vigueur sur lui et les mouvements du bateau accéléraient la pénétration ; ni tenant plus, je me plantais derrière elle et je la sodomisais ; prise en sandwich, elle se laissait faire, embrassant à pleine bouche notre ami et c’est de concert que nous lui donnèrent sa récompense en de puissants giclées de sperme ; repue, elle s’allongea sur sa serviette, et nos deux langues s’appliquèrent à nettoyer les traces du sperme qui coulait de ses cavités ; nos langues se touchaient le long des lèvres et nous prenant la tête elle nous demanda de nous embrasser ; je regardais l’homme en face de moi et timidement ,ne sachant sa réaction , je posais mes lèvres sur sa bouche ;il me surpris et il se mis à me rouler une pelle, pénétrant mes lèvres avec sa langue, je cédais à la pression et passant au-dessus d’elle , je l’embrassais avec fougue ; l’arrivée de Joël, arrêta nos ébats , mais je savais qu’il nous avait vu.
Les jours qui suivirent, le mauvais temps nous occupât tous les trois(Nini ne prenait pas les quarts), pas question de batifoler , le cœur n’y était pas ; enfin à la tombée de la sixième nuit, le ciel se découvrit et enfin la chaleur revint ;c’est Joël qui était de quart et dans notre cabine la chaleur était étouffante, Nini dormait et pour prendre un peu de frais, je quittais la cabine et je remontais dans le carré, pensant y voir Joël ; rien dans le carré et très étonné je fis le tour du bateau ; notre homme était à l’avant, le peu de vent lui apportant un peu de fraicheur ; il était en slip et sursauta à mon arrivée ; « désolé de te surprendre, mais je ne pensais pas te trouver là »
« Pas de problème, j’avais trop chaud et avec ce calme, rien à faire »
« Ok, si tu veux je peux passer un moment avec toi, je n’arrive pas à dormir »
« Si tu veux, la nuit sera moins longue, encore trois heures de quart »
Nous nous asseyons dans le salon extérieur et après un long moment de silence, je lui demandais si nos relations parfois bruyantes ne le gênaient pas
« Plus maintenant mais je suis surpris de votre liberté et je me demande comment tu supportes que ta femme soit prise par un autre homme » ;
J’essayais de lui expliquer le candaulisme et le plaisir que nous avions tous les deux à voir l’autre faire l’amour et que depuis le début de nos aventures, notre amour n’a pas diminué d’un pouce et qu’au contraire, notre confiance réciproque n’avait jamais été aussi forte et que nos relations amoureux n’en étaient que plus performantes
« Et vous êtes tous les deux bisexuels ? Sa voix était plus sourde et il ne me regardait plus
« Bien sûr, nous profitons ainsi de la plénitude de nos relations quand l’occasion le permet ; nous t’avons choqué ? Et toi, comment vis tu ce voyage ? Je crois que tu as assisté à la majorité de nos ébats, car maintenant tu ne fermes plus ta porte.
Son silence me donne une idée de sa gêne ;
« Que ressens-tu quand tu nous regardes ou quand tu nous entends » pas de réponse
« Et toi, tu es bi, homo ou hétéro » en parlant j’ai posé ma main sur son bras et je le sens qui frisonne
« Tu as froid ou cela te donne envie ? Il ne retire pas son bras et j’en déduis que ses pensées sont plutôt portés vers ce qu’il a vu ; honnêtement, cela t’a plu ? Ma main lui caresse doucement le bras
« Vous voir m’a souvent donné des envies » sa voix est plus ferme et il ne refuse pas le contact
« Qu’est ce qui t’a le plus ému (je veux qu’il arrive à se si par rapport à mes premières questions) le corps de nini, nos ébats dans la cabine, alors que tu étais derrière ta porte, ou nos derniers jeux sur le trampoline ? » Enfin il se livre et répond avec plein de douceur dans la voix
« Je n’ai pas eu beaucoup de conquêtes féminines et une fois, un début d’aventure avec un autre étudiant ; et pour répondre à plusieurs de tes questions, c’est l’ensemble de vos jeux qui m’excite ; ta femme ayant un beau corps me plait, mais je n’oserais jamais la toucher et vous voir vous embrasser, toi et max a réveillé des souvenir que je croyais avoir oubliés » je me rapproche de lui et mes lèvres viennent se poser sur son visage, un petit mouvement de recul, puis ses lèvres se joignent aux miennes ; mes mains se promènent sur son corps dévêtu et descendent vers son sexe, la bosse est significative, mon Joël est pris du même désir que moi, et baisant son slip, mes mains caressent sa verge, elle est fine , tendue au maximum et d’une belle longueur ; mes mains jouent avec ses boules ; lui empoignant les fesses, ma bouche vient engloutir ce chibre plein de fougue ; elle tressaute dans ma bouche et mes va et vient le mettent au supplice ; sa respiration s’accélère et ses mains me prenant la tête m’immobilise et son bassin enfin pousse sa verge au fond de ma gorge, il vient buter contre mon voile et se mordant le bras pour ne pas crier, se repend dans mon gosier en longs jets ; sa jeunesse se vide et ne voulant pas avaler, je laisse couler son sperme le long de son sexe ; me redressant, je lui redonne sa semence dans un baiser fougueux, qu’il me rend avec bonheur ; voulant garder une marge de manœuvre, je le laisse et je retourne discrètement dans ma cabine, le laissant finir seul la fin de sa veille ; je veux qu’il ait faim de sexe.
(À suivre)

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