L'Adorable Fugueuse

Ce soir en rentrant du boulot un violent orage éclate en rase campagne, vu l’intensité de la pluie je roule tous feux allumés, dans mes phares j’aperçois une forme humaine qui marche sur le bas coté, je ralentis et découvre que c’est une jeune femme, voire une jeune fille, en regardant de plus prés c’est quelqu’un qui n’a pas changé de vêtements depuis quelques jours, elle porte a bout de bras une sorte de sac en toile, après avoir hésité je m’arrête, les cheveux collés devant les yeux la jeune fille semble m’ignorer

- HEP ! HEP !! Venez, ne restez pas sous ce déluge
- Je n’vous connais pas monsieur
- Vous ne risquez rien, montez !
- Je dégouline, je vais inonder votre caisse
- Ça n’a pas d’importance montez je vous dis !

Elle finit par céder, sa robe qui n’a pas vu de machine à laver depuis longtemps lui colle a la peau, je ne sais même pas si dessous elle porte des sous- vêtements

- Je vous emmène a la maison pour vous sécher, rassurez vous je ne suis pas un sadique !
- Je sais me défendre, vous vivez seul ?
- Oui, vu l’heure, vous allez passer la nuit chez moi le temps de laver votre robe de prendre une douche demain matin je vous ramène en ville, vous dormirez sur le canapé convertible
- J’aimerai prendre une douche c’est vrai
- Une douche ou un bain c’est au choix, vous devez avoir faim ? je vous propose une omelette ?
- Une omelette ?? Huuuummmm j’adore ça ! ça fait un bail que je n’en ai pas mangé
- Vous avez froid ? vous grelottez !
- C’est la réaction ça va passer
- Voilà, nous arrivons

Une fois entrés elle regarde autour d’elle, méfiante, de la vaisselle sale dans l’évier et un fouillis organisé semble la rassurer

- Suivez-moi à la salle de bain, je vais vous prêter, soit un teeshirt, soit une chemise d’homme, désolé mais je n’ai que des slips de mec
- Ça iras très bien merci ça fait quelques temps que je ne porte plus de sous-vêtements ils étaient trop sales, je vais me faire couler un bain
- Voici le shampoing et le gel douche à tout à l’heure …….


- Myriam, je m’appelle Myriam
- Moi c’est Pascal

Avant même que je ne quitte la salle de bain Myriam fait passer sa robe collante par-dessus sa tête, j’ai eu le temps d’apercevoir dans la glace une touffe brune qui lui coure sur les cuisses, deux belles poires lui servent de seins ! Quant au postérieur qui me fait face il est sublime
Au bout d’un moment j’entends chantonner, c’est bon signe, ça me fait drôle de savoir qu’une femme nue se prélasse dans ma baignoire ….
Je range mes chaussettes sales qui trainent sur le divan de l’unique pièce à vivre et débarrasse mon bol du petit dej du matin, c’est ça la vie de célibataire
Je casse les œufs lorsque Myriam arrive les cheveux enroulés dans une serviette, elle porte la chemise bleue que je lui ai confiée le haut est assez ouvert pour confirmer que sa poitrine est évidemment nue, et en bas je n’ose pas scruter, c’est difficile a juger, c’est mon slip noir ou une toison drue ?

- Je peux vous aider pascal ?
- Ça va aller merci, comment vous sentez vous ?
- PROPRE !! dite moi ou est la machine à laver pour ma robe
- Nous allons faire mieux, elle est déchirée, demain matin je vous accompagne pour que vous achetiez de quoi vous habiller décemment
- Comment vais-je vous rembourser ? en couchant ??
- Il n’est ni question d’argent ni de coucher voyons !
- Je ne suis pas assez belle pour vous ?
- Je n’ai pas dis ça vous êtes ravissante Myriam !
- Peut être que c’est moi qui ai envie de vous ? savez-vous depuis combien de temps je n’ai pas eues de relation sexuelle avec un homme ?
- Ne vous croyez pas obligée de faire semblant …
- Comment dormez-vous habituellement ?
- Nu pourquoi ?
- Comme moi ! si vous alliez prendre une douche pendant que je prépare le repas ?

Parlait-elle sérieusement ? Toujours est il que je me suis masturbé sous la douche en rêvant de voir de plus prés le tablier de sapeur qu’elle a entre les jambes, une fois les dents lavées j’enfile un bermuda que je mets habituellement pour vaquer dans l’appart

- Whoooouuu quel homme ! Faites gaffe je vais vous sauter dessus !
- Ne vous moquez pas je n’ai rien de superman !
- Je n’aime pas les mecs trop baraqués … si j’en crois votre bermuda vous êtes plutôt musclé du bas ! vous l’aimez baveuse ?
- Qui ça ?.
.. ho excusez moi, vous parliez de l’omelette ? !!
- Vicieux ! allez à table !

Assise en face de moi je n’ai d’yeux que pour ses seins qui tanguent sous ma chemise au moindre mouvement

- Pourquoi es-tu sur la route ?
- A cause des beaux yeux d’un connard que j’ai suivit et qui m’a larguée a huit cent kilomètre de chez moi sans un rond après m’avoir bien baisée avec des copains a lui
- Depuis combien de temps as-tu fugué ?
- Un an, j’avais dix-sept ans il en avait quarante, ça fait huit mois que je galère, tu es le premier qui s’intéresse a moi , je tiens a te remercier a ma façon ….je t’offre tout ce que je possède … voilà ….

Myriam s’est levée et a balancée la chemise sur le sol, elle est entièrement nue, ses seins arrogants pointent vers moi, sa chatte est bien cachée par sa touffe abondante

- Et toi ? montre-moi ?
- Tu veux que j’ôte mon bermuda ?
- Jouons à armes égales ! tu aime être nu ? moi aussi
- Alors voilà…..
- Mais tu bande !
- C’est ta faute !
- C’n’est pas ‘ma faute ‘ mais ‘grâce’ à moi ! tu es privé depuis longtemps ?
- Au moins six mois
- Huuuummmm ! j’en connais une qui va se régaler ! j’aime les belles queues, ça te gêne mes poils en forêt vierge ?
- Pas du tout, c’est trop rare pour ne pas apprécier
- Dépêche toi à manger ton omelette, y’en a une qui commence à être baveuse !

En deux minutes les assiettes sont vidées, je lui prends la main pour la guider vers ma chambre, les draps tirés Myriam s’assied sur le bord du lit un peu anxieuse, à présent je crois qu’elle bluffait

- Tu veux dormir ?
- NON ! je n’ai qu’une parole, prend moi pascal, baise-moi sans préliminaires
- Allonge-toi …je peux t’embrasser ?
- Ouuuuuuuiiiiiiiii …..

Une fois ses jambes repliées je m’allonge sur elle effleurant juste son corps, seule ma queue traine sur son ventre, sa main vient la cueillir et la guide vers sa fente, après avoir séparés ses poils avec mon gland elle ne bouge plus, nos langues entrées dans nos bouches s’immobilisent, ses bras forment un collier autour de mon cou

Lentement je cambre les reins, ma queue s’immisce dans un volcan au cratère étroit qui recrache une coulée de lave ininterrompue, une fois nos pubis accolés Myriam se tend comme un arc, elle pousse un long soupir et mord ma langue, je me retire doucement avant de replonger sèchement sans crier gare, c’est le signal, elle se tord comme un ver sous moi, ma queue est si malmenée et tellement en manque que ma jouissance arrive trop vite et passe pratiquement inaperçue
D’avoir jouis est une délivrance pour moi, je reprends le dessus, mes deux mains sous ses fesses menues je la défonce littéralement
Ses seins font des bonds, sa tête vire violemment de droite à gauche elle hurle sa jouissance, nos pubis imprégnés de mouille s’entrechoquent, Myriam s’accroche a moi quand elle sent ma verge se raidir a nouveau dans son ventre, je m’immobilise afin que cette fois elle ressente tous les jets qui fusent de mon gland enfoui profondément en elle, la fille part dans une lamentation partagée entre rires et larmes

- Que c’est booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!
- Tu m’as tué !
- Attend un peu je vais te ressusciter dés que j’aurais retrouvé mon souffle !
- T’as encore envie ?
- Et celui là ? tu l’oublie ?
- Ton p’tit cul ?
- Ben oui !
- Il a déjà servi ?
- Avec mon ex et ses potes je ne pouvais pas y échapper !

Myriam se retourne et le nez sur le matelas expose sans complexe sa rondelle cernée de poils amidonnés de foutre et autre sève

- Va-y pascal, n’ai pas peur de me faire mal, ‘ ils’ me rentraient toutes sortes d’objets plus gros que ta queue

A genoux au plus prés de son postérieur je pointe ma queue sur la bouche qui se rétracte et s’ouvre au rythme des pulsions de son cœur, mes doigts posés juste derrière mon gland je force sur la cible, mon membre disparait lentement, avalé par le tunnel sombre, Myriam pousse un long soupir comme si ça la soulageait

- MUUUUUUUUUMMMMMMOUUUUIIIIIIIIIII !!!!!!!!!! HAAAAAAAAAA !!!!!!

Rassuré, j’entreprends de la sodomiser sans ménagements, sans violence mais à longs vas-et viens, terminant sèchement sur ses petites fesses, elle hoquette de plaisir et pousse son cul à ma rencontre, une de ses mains passe entre ses cuisses pour venir agacer son clitoris

- Accélère pascal, je jouis … je jouis …je jouis ….
. JE JOOOOUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!
- MOI AUSSIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!! HOOOOUUUUUUUUAAAAAAAAAAA !!!!!!

Épuisé je me laisse tomber sur se reins frêles, nous nous allongeons complètement le temps de récupérer et que ma queue mollissant veuille bien se retirer de l’anus ouvert

- Que faisons-nous maintenant ?
- Maintenant ? Nous allons manger avant de baiser !
- Et demain ?
- Nous baiserons toute la journée !

cela fera six mois demain ...

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