(65). Caroline Offerte À Plusieurs Hommes : La Dette De Jeu.

Je souhaite vous faire vivre l’après Sandrine, les choses étant claires maintenant entre nous, je n'ai plus qu'à effec mon deuil « simplement » et à ma manière.
J’ai retrouvé Éric pour moi toute seule pour traverser ces moments délicats pour moi. Je me suis engagée à ce qu’il me « déconfine » sexuellement comme il le souhaite.
Éric m’a fait déjà plaisir avec notre petit week-end à Lyon et moi je lui ai fait la surprise d’organiser une rencontre candauliste avec un coquin extraordinaire Bisimwa…Un homme adorable et d’une rare courtoisie, très beau, coquin, joueur, cérébral, viril et endurant.
J’ai vraiment besoin de sexe, viril, je suis prête à assouvir certains fantasmes qu’Éric souhaite pouvoir me faire réaliser.
J’ai ressorti les talons aiguilles, les belles robes, les bas, les collants, je soigne mon allure générale pour faire de moi une femme extrêmement féminine et sensuelle malgré mon âge.
Je sais que ça excite Éric, de me vénérer sous différentes formes, soit me dégrader en m’humiliant et en me rabaissant. C’est ce que je désire. Je lui ai demandé de prévoir trois fantasmes non réalisés.
Éric qui a beaucoup d’imagination a prévu pour commencer un scénario d’une rencontre avec plusieurs hommes à qui il doit une grosse somme d’argent perdue au poker.
Le scénario est bien écrit et m’excite terriblement. Depuis plusieurs jours maintenant, je suis aux anges avec Éric et ses projets.
Éric a bien compris que j’ai besoin d’être prise violement dans cette période.
Éric n’a jamais posé de questions concernant mon brusque changement de comportement, mais il est ravi des conséquences qu’il avait eues. Lui aussi avait besoin d’oublier Sandrine, car je lui ai interdit de continuer à la voir.
Donc Éric est en recherche de partenaires pour réaliser son scénario à la perfection.
Je suis volontairement écartée des recherches et je ne suis au courant de rien, rien ne filtre, je ne dois pas valider les profils comme nous avons l’habitude de le faire.


Après quatre semaines de recherche, Éric semble satisfait.
Pour ce genre de casting, il faut toujours un minimum de préparation en amont.
Éric a pris soin que mes futurs partenaires soit en rapport avec mes exigences habituelles :
L’âge entre 45 et 55 ans, c’est ce que je lui ai demandé, pas de débutant libertin, être bien calibré et en pleine forme physique, la présentation, la diction et leurs façons de communiquer, et puis la gestuelle, la façon d’être.
Cinq profils ont retenu son attention. Éric leur propose une rencontre entre homme uniquement et séparément en prenant un certain nombre de nos vidéos afin de les visionner en leur compagnie.
Mon directeur de casting en véritable chasseur de têtes où de queues est satisfait, il a réussi à filtrer les talents parmi la masse de libertins qui souhaitent jouer avec moi.
C’est le jour « J », ce 23 septembre, nous avons rendez-vous à 21 heures à la Rochelle, dans une zone industrielle.
Éric a tout prévu concernant la tenue : une lingerie d’or avec des chaînes tombant en cascade sur mes fesses et côtes en référence aux films de James Bond. J’ai un maquillage doré jusqu’aux bouts des ongles. Je dois jouer le thème au mieux !!!
Nous arrivons devant un grand bâtiment de logistique d’un grand groupe de transports internationaux de la zone industrielle vers 20h45, poste de garde, le vigile nous demande les papiers d’identité, je suis surprise et étonnée, nous attendons un bon quart d’heure avant d’entrer dans le « lieu de débauche ».
N’étant qu’en lingerie sous mon manteau, je n’ai pas très chaud et je rouspète d’impatience.
Éric ne perd pas de temps, il est dans son rôle :
- Tu ne comprends pas Caroline ? Je leur dois un paquet de fric et si je ne leur file pas, ils vont me faire la peau !!!
Éric est à fond dans le personnage et je me prends au jeu.
- Combien leur dois-tu ?
- J’ai tout perdu. Tout !!! Vraiment tout !!! Je suis mort !
- Qu’est-ce que tu veux dire Éric ? Qu’as-tu fais ?
- J’ai joué et j’ai perdu…J’ai honte !!!
- Cela va s’arranger Chéri, tu vas voir !!!
- Oui, mais à quel prix, ils vont te faire un contrat…
Nous sommes enfin autorisés à entrer dans l’enceinte de l’établissement, parking direction, puis l’accueil s’illumine, nous descendons de voiture, je pars bien devant Éric comme prévu.
Un gros balèze nous accueille froidement à l’entrée :
- Vous êtes attendus par Monsieur S…..n ? C’est bien ça ?
- Je viens de la part de Monsieur Éric, remettre ce qu’il lui doit.
- Ah, fallait le dire tout de suite. Entrez !!!
- Mon chauffeur doit également venir…
Je suis alors le colosse accompagnée de mon « chauffeur » Éric, le gros balèze nous fait monter deux étages. Puis me stoppe sans ménagement et nous demande d’attendre et frappe à une porte.
Cette situation m’excite au plus haut point.
De l’autre côté, un homme l’invite à entrer, ce qu’il fait. Je comprends que c’est à cet homme que j’aurai à faire.
Je regarde Éric, qui semble prendre plaisir à jouer les chauffeurs, et je suis de plus en plus excitée car Éric ne veut rien me dire sur la suite des évènements.
Quelques instants plus tard, le balèze réapparait et me fait signe d’entrer. Je suis nerveuse mais fait tout pour ne rien laisser paraître. Je dois paraître aussi ferme et déterminée que possible, c’est le scénario.
Je franchis donc la porte et pénètre dans un bureau gigantesque et honteusement luxueux. Je pense aussitôt que cet homme-là doit avoir un certain niveau de vie.
J’avance vers l’homme assis derrière son bureau qui m’observe avec beaucoup d’attention.
Je m’arrête à environ un mètre du bureau et l’homme brise le silence :
- Ainsi tu es l’épouse d’Éric. Dis donc, à le voir jouer je n’aurais jamais imaginé qu’il pouvait avoir autant de chance.
- Euh je vous remercie. Je viens vous remettre l’argent qu’il vous doit.
L’homme saisit l’enveloppe que je lui tends, puis affiche un large sourire dès qu’il l’ouvre.
- Je n’ai jamais été très doué en maths, mais je crois pouvoir affirmer qu’il en manque un certain nombre.
- Oui je sais. Je vous promets que nous vous rembourserons les 2000 manquant aussi rapidement que nous le pourrons. (Je connais parfaitement mon texte).
- Ah, de toute évidence nous nous trouvons face un problème.
Soit c’est un problème de communication entre vous deux, soit c’est Éric qui ne sait pas compter.
- Que voulez-vous dire ?
- Ce que je veux dire, c’est qu’il ne me doit pas seulement 5000€, il doit également 5000€ à trois de mes associés. Et ton cher mari a joué sa femme au poker et qu’il la perdue. Je vais donc avoir la chance de pouvoir coucher avec toi. Etais-tu seulement au courant de cela ?
Je fais semblant de ne pas être au courant et d’être morte de honte.
- Je vois bien dans quel état tu es et je vais te faire une proposition si tu le veux bien.
- Je vous remercie Monsieur.
- Appelle-moi Max.
- Oui Max !!!
- Écoute, je te propose quelque chose, comme tu m’es sympathique, attirante et désirable sexuellement, je vais téléphoner à mes trois associés pour voir s’ils sont d’accord pour passer l’éponge. Je te propose de repasser dans dix minutes pour que je puisse t’informer de leur décision. Ça te convient ?
- Je n’ai pas d’autres choix ?
- Si tu tiens à Éric…Non.
- C’est d’accord. Je repasserai dans dix minutes.
- Parfait. Ah juste une chose. La prochaine fois que tu dois rentrer dans mon bureau, essaye d’être plus sexy où moins habillée. J’ai une réputation à tenir tu comprends.
Après un passage rapide aux toilettes et le petit coup de lingette magique pour être « propette » car la scène m’a excitée comme jamais…Comme prévu, toujours accompagné d’Éric, je me présente devant la porte du bureau de Max.
J’ai suivi la recommandation émise quelques minutes plus tôt par Max j’ai donc retiré mon manteaux, je suis donc parée d’une lingerie d’or composée d’un string et d’un séduisant soutien-gorge ouvert dans un très beau tissu imprimé reptile de couleur or. Bijou doré au creux des seins. Le tout coordonné avec des caches tétons et le string assorti avec des chaînes tombant en cascade sur mes fesses et côtes. J’ai un maquillage doré jusqu’aux bouts des ongles.
Le même balèze nous accueille et sans même dire un mot mais en n’oubliant pas de poser les yeux où il faut, nous conduit au bureau de son « patron ».
Il frappe deux coups à la porte et sans même attendre une réponse, il ouvre la porte puis s’en retourne à son poste. Il n’y a pas de lumière dans la pièce, seule la lampe de bureau est allumée. Je respire un grand coup, pénètre dans le bureau et referme la porte. Éric rentre également mais reste à distance comme prévu.
L’homme que j’ai vu plus tôt se tient à la même place que quand je l’ai rencontré la première fois. Une nouvelle fois, c’est lui qui brise le silence.
- Bonjour. Je vois que tu as fait ce que je t’ai demandé. C’est très bien. Je savais qu’on allait s’entendre tous les deux. Tu n’as pas l’air d’avoir froid aux yeux. Néanmoins, en ce qui concerne notre petit différent, les choses ne se sont pas aussi bien passées que je l’espérais.
Je fais semblant d’être surprise par cette nouvelle.
- Que dois-je donc faire pour régler ce différend ?
- Mais nous ne sommes pas des monstres. Vu la charmante négociatrice qu’Éric nous a envoyé, nous nous sommes dit que nous pouvions surement trouver un arrangement. Qu’en penses-tu ?
- Je suis d’accord.
- Parfait. Comme nous sommes tous réunis ici ce soir, je pense que nous pouvons dès à présent entamer les négociations.
Je me retourne alors, suivant le regard de Max et parvint à distinguer trois chaises occupées, à l’autre bout de la pièce, dans le noir le plus complet. Mon cœur s’emballe subitement. Je n’avais pas imaginé un tel scénario.
Éric est un grand cachotier et surtout très doué pour les surprises.
Je n’ai surtout pas envie de faire demi-tour. Je tourne de nouveau mon regard vers mon interlocuteur qui affiche un grand sourire, surement ravi d’avoir enfin réussi à me surprendre. Il reprend aussitôt la parole :
- Pour commencer, petite salope que tu dois être, je te propose de gagner les faveurs de ton auditoire.
Sa main disparait sous son bureau et un petit ‘clic’ se fait entendre.
Je me retourne de nouveau et découvre ce que l’interrupteur avait déclenché.
Un spot vient de s’allumer au milieu de la pièce laissant apparaître une barre verticale.
Je ne juge pas utile de poser la moindre question. Je me souviens de la consigne reçue juste avant de rentrer de nouveau dans le bureau, une lettre provenant à n’en pas douter du mystérieux Max. Il y était écrit :
- « Je sais ce que tu as fait, tes nombreux amants et ce que tu aimes que l’on te fasse !!! Mais maintenant il est trop tard pour faire machine arrière. Ce soir, on va te faire une proposition que tu devras accepter. Quoique nous te demandions, fais-le. Je te promets, tu ne vas pas regretter... »
Bien que je n’aie passé que quelques instants avec l’auteur de cette lettre, je fais entièrement confiance à cet inconnu choisi par mon petit Chéri.
Je me dirige donc doucement vers la barre tout en essayant de calmer mes tremblements et de me remémorer ce que j’avais vu faire dans les films avec de pareilles barres.
J’ai aussi les images de mes deux filles, même si les relations avec elles sont compliquées, je me suis déjà essayée à la danse à barres verticales car elles pratiquent cette discipline sportive et artistique. C’est une discipline qui demande force et souplesse pour évoluer avec grâce.
Ce sport à une réputation sulfureuse à cause de la tenue des danseurs, très peu couvrante. Or il s'agit d'une nécessité physique, les vêtements standards n'accrochant pas le métal de la barre, la peau doit être directement en contact avec la barre. Différentes parties du corps servant d'accroche, il est donc nécessaire d'avoir une tenue proche des maillots de bains.
Je me mets face à mon auditoire que je n’arrive toujours pas à distinguer à cause du spot qui pointe vers moi. Je regarde Éric, qui nous observe assis près de la porte d’entrée.
Je retire alors mes escarpins « Jimmy Choo » à talons aiguille de 12 cm, c’est le modèle Ari digne de conte de fées avec un design couvert de luxueux cristaux Swarovski. C’est encore une folie d’Éric qui avait cédé à un de mes caprices.
Cet escarpin est idéal pour un évènement ou une soirée exceptionnelle. Et cette soirée m’a semblé adaptée pour les sortir.
Je ferme les yeux, essayant d’imaginer que seul mon mystérieux futur amant m’observait, et j’entame ma danse.
Je commence par poser mes mains dans mes cheveux.
Petit détail important j’ai changé de tête. J’ai opté pour une toute nouvelle coupe, j’ai troqué mon carré blond pour une coupe courte à la garçonne qui me va à ravir d’après Éric.
Une coiffure particulièrement moderne qui semble vraiment me rajeunir.
Donc je pose mes mains dans mes cheveux, puis les fait glisser doucement vers le bas, insistant bien sur mes seins. Je descends jusqu’à mes chevilles, puis remonte exactement de la même manière.
En faisant cela, j’ondule très légèrement avec mon corps. On aurait cru que j’avais fait cela toute ma vie !!!
Puis après avoir tourné quelques secondes autour de ma « merveilleuse » poitrine, (commentaire de Max) j’entreprends d’enlever les quelques agrafes qui maintiennent les chaines dorées. Une fois cela fait, je les retire doucement.
A la vue de mon 90-C parfaitement rempli, l’un des spectateurs fit entendre un :
- humm mm…
Faisant comprendre qu’il apprécie la vue que je lui offre.
Je colle donc la barre entre mes seins et m’accroupi doucement, en prenant soin de la maintenir où je me trouvais.
Je me relève ensuite tout en gardant la barre contre moi. Au bruit que faisait le soutien-gorge, nous devinions bien qu’il n’appréciait pas ce que je lui faisais subir.
Le principal était que les spectateurs apprécient eux.
Puis je leur fis dos et dégrafe mon soutien-gorge.
L’homme à son bureau, Max se trouve désormais en face de moi et assiste au spectacle avec beaucoup d’attention.
Je me rassure en me disant qu’au moins je ne faisais pas ça pour rien vu qu’ils avaient l’air d’apprécier le spectacle.
En ce qui me concerne, cela m’excite terriblement de jouer le rôle d'une stripteaseuse prostituée, car finalement Éric est en train de me prosti dans son scénario.
Et visiblement, il ne s'en plaint pas que je lui fasse profiter de mon nouveau talent.
Éric me considérait déjà comme la femme la plus sexy du monde, mais lorsque je lui ai fait ce striptease, il s'est vraiment senti comme le plus chanceux des hommes. (Paroles d’Éric).
Je laisse donc mon soutien-gorge tomber à mes pieds. Un des trois spectateurs me siffla, visiblement ravi lui aussi.
Après avoir de nouveau respiré un grand coup, je fis volteface afin de faire découvrir ma poitrine aux trois hommes.
J’entendis l’un d’eux murmurer à l’oreille de son voisin :
- Ça c’est de la gonzesse !!!
Tandis que je poursuivais ma danse, je déboutonne ma dernière chaine dorée puis la fit glisser tout doucement jusqu’à mes chevilles.
Je ne porte désormais plus qu’un simple string en tissu imprimé reptile de couleur or et légèrement transparent. Je dois vous avouer qu’il ne cache plus grand-chose.
Je me mets alors en position accroupie, la barre entre les cuisses. Je tiens la barre fermement de mes deux mains, les bras tendus au-dessus de ma tête.
Je débute alors des mouvements verticaux, à la force des bras, frottant ainsi mon sexe contre la barre. Quelques légers gémissements m’échappent, malgré ma grande concentration sur ce que je fais, j’y prends un énorme plaisir.
Éric toujours bien installé près de la porte filme et se délecte du spectacle.
Et le moment le plus attendu, approche. Dans quelques secondes, je serais nue face à ces hommes, des inconnus choisis par mon mari Éric,
Je ne suis pas timide, mais cela me dérangerait bientôt plus que de leur faire une fellation. Cependant, je ne peux y échapper.
Après environ trois minutes à me frotter contre la barre, je me redresse donc et pose mes mains quelques centimètres au-dessus de mes seins.
De nouveau je les fais glisser le long de mon corps doucement, tout doucement, repoussant au maximum le moment où je finirai par atteindre le dernier morceau de tissu masquant mon intimité.
Mais ce moment arrive. Je ferme alors les yeux et ne put cacher un petit gémissement de plaisir, une respiration saccadée, une accélération du rythme cardiaque et frissons au moment où mes doigts passèrent sous la dentelle afin de l’entrainer dans leur mouvement de descente.
Une fois le string arrivé à mes pieds, je m’empresse de le retirer, me redresse et cache mon intimité avec mes mains.
L’homme installé derrière son bureau, Max, intervint aussitôt :
- Je suis désolé, ma belle, mais il va falloir être un peu plus convaincante que cela. Vu que tu t’es plutôt bien débrouillée jusque-là, j’accepte d’oublier ce que je viens de voir et de te laisser encore quelques minutes.
- Ce n’était pas assez sexy ?
- C’est moi qui pose les questions…Tu m’appartiens...Profites-en, je ne serai pas toujours aussi clément.
Pour la première fois de la soirée, je perds alors mon calme. Que pouvais-je bien faire à présent ?
Je souhaite passer aux choses sérieuses excitée comme je suis, je regarde Éric qui ne bronche pas.
Pendant quelques secondes, qui me parurent durer une éternité, je reste plantée debout, les mains toujours devant mon sexe sans savoir quoi faire.
Je me remémore alors la lettre. Je dois absolument les satisfaire.
J’entreprends alors de me remettre dans la position précédente, à savoir accroupie, la barre contre mon sexe. Comme quelques minutes auparavant, je me frotte contre la barre.
Je m’excite toute seule. Mais au bout d’un certain temps, je réalise que je mouille abondement, diminuant d’ailleurs la sensation de brulure que me procure la barre lors de mes va-et-vient.
Je fais alors ce que je peux pour me détendre, afin d’amplifier le phénomène de lubrification. Puis, ayant jugé que cela suffisait, je me redresse et fit un pas en arrière.
Je me mets alors à quatre pattes face à la barre et pose un doigt sur celle-ci à l’endroit où je m’y étais frottée.
Comme je l’avais prédit, un léger filet accompagne mon doigt lorsque je le retire.
Je l’approche alors de ma bouche et le lèche. J’adore ce moment, et je suis certaine que ça va leur plaire.
Je m’approche alors de la barre et commence à la lécher.
Je fais de longs et lents mouvements avec ma langue, comparable à des caresses. L’homme derrière son bureau se lève alors. J’ai réussi mon coup !!!
- Félicitations, me dit-il. Je suis convaincu et je pense pouvoir affirmer sans me tromper qu’il en est de même pour mes collaborateurs. Tu peux te relever petite salope.
Je m’exécute et me tourne vers mon interlocuteur.
Machinalement, j’allais poser mes mains devant mon sexe, mais quand j’allais le réaliser, j’ai remis mes bras le long du corps aussi sec, ce qui fit sourire Max.
- Bon nous allons désormais aborder les modalités du contrat. Nous avons décidé à l’unanimité que nous avions déjà été bien trop gentils avec ton mec.
- Oui, Max…
- Nous ne lui ferons rien tant que nous serons satisfaits de ton comportement. Et étant donné qu’il nous doit 5000€ à chacun, et en plus il t’a jouée, et il t’a perdue, Bon nous allons désormais aborder les modalités du contrat.
- Alors tu acceptes ?
Avant de répondre je me tourne vers Éric, tout souriant en train de filmer, je ne connais pas ces hommes et physiquement je les découvre à peine.
- Et quand débuterait le premier… jour ? Ma demande est hésitante car je suis troublée.
- Dès ce soir, me répondit Max…
- Nous allons t’essayer tous les quatre, voir si tu es aussi douée que ton petit cocu de mari nous a déclaré !!!
- Ah très bien !!!
- Quoi qu’il arrive, tu nous appartiens pendant cinq semaines, pendant ce temps, ton mari ne doit pas te toucher, tu dois faire chambre à part et être en permanence disponible pour nous…Impossible de refuser. Nous pouvons être très violents avec « Monsieur » cocu.
- C’est d’accord. J’accepte, dis-je avec grand sourire.
- Parfait. Tom, Phil, et Olive… Elle est à nous pour cinq semaines au minimum. Profitons en bien !

A suivre si vous le voulez bien.

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