Münchner Freiheit Partie 3

La journée, déjà bien entamée, nous a permis de constater une complicité à la ville comme au lit. Un bon repas en tête à tête sur une terrasse ombragée, puis une balade dans les rues de cette belle ville, tout en parlant de mille sujets. Mais à l’heure où les ombres s’allongent, il a bien fallu que nous nous séparions. Je l’embrasse et caresse son corps de folie à l’abri d’une porte cochère, la queue raide plaquée contre son ventre, je pourrais la prendre, là, debout, à 1,5 mètre des passants. Mais nous convenons de faire vite pour ne pas nous faire du mal.
— Merci, petit français. Tu es merveilleux. Je... ne t’oublierai jamais. me dit-elle, les yeux dans les miens.
— Appelle-moi. Si tu en ressens le besoin, appelle-moi. Je pourrai t’attendre, si tu le veux.
Puis je dépose un baiser chaste sur ses lèvres, respire un grand coup son parfum, son odeur de femme, puis libère mon étreinte, les yeux clos pour ne pas la voir partir. Je reste là, à l’ombre de cette porte, les yeux fermés, écoutant son pas s’éloigner sur le trottoir. Une grosse part de mon être saigne, meurtri par cette douloureuse séparation. Une femme comme cela donne vraiment envie de s’enfermer avec elle en jetant la clef par la fenêtre.
En traînant les pieds sur le chemin du retour, je m’arrête pour boire une bière à la terrasse d’une grande brasserie, juste avant que le soleil ne se couche. Il me reste 3 cigarettes dans mon paquet de HB — c’est une marque de blondes. Je les grille en une heure, dépité, avant de rentrer chez mes hôtes, le cœur dans les chaussures. Une douche et je me couche.
Les jours qui suivirent furent d’une grande banalité. Déjà, je m’étais engueulé avec mon employeur pour ne pas être venu bosser la veille. Normal. Mais bon, les stigmates de ma blonde se faisaient sentir. Les copains, sympas, me tirèrent (oups !) en ville dans les Kneippen. En quelques jours, mes hormones avaient repris le dessus. Une certaine chaleur, une certaine pression envahissaient de nouveau mon bas-ventre.

Mes yeux plongeaient naturellement dans les Dindrl, ces robes spécifiques que portent les serveuses, mettant en valeur leurs charmantes poitrines. Mais cours après les filles, elles te fuiront, fuis-les… et tu te branleras !
Et pourtant, c’est au travail que je trouve une alternative à mes besoins. Un de mes collègues, d’habitude en service les matins, vient de changer de groupe. C’est dans les vestiaires en nous changeant que je découvre Andonios pour la première fois. Ce beau Grec a la trentaine. Sa carrure sportive, lorsqu’il est en caleçon, prend une certaine dimension, révélant un corps d’une puissance phénoménale. Insoupçonnée jusque là sous ses fringues, sa taille mise à part, ses 1,90 mètres de muscles bandés sous sa peau très mate lui donnent une allure d’athlète de haut niveau.
Il s’avère vite être un excellent collègue de travail, débordant de vie et d’humour, toujours souriant, avec un petit accent plutôt agréable. Sans pudeur ni gêne, la main emprisonnant son sexe à travers son caleçon, il n’hésite pas à me répéter qu’il me trouve plutôt à son goût, lorsque nous sommes seuls fort heureusement. Il est très agréable également en dehors du boulot. Vers une heure du matin, une fois le service terminé, nous avions l’habitude de nous retrouver autour d’un verre dans les établissements voisins, le temps de décompresser. Andonios, bien qu’en couple, ne dérogeait pas à ce rituel avant de rentrer chez lui “assumer son devoir”, comme il le disait si bien.
Un soir de fermeture, nous ne nous retrouvions que tous les deux en terrasse. Il était environ une heure trente du matin et en cette belle nuit d’été, nous refaisions le monde... à grand coup de Téquila. Ses capacités d’absorptions étaient peu communes et comme je m’en inquiétais, il me répondit avec un sourire grivois que l’alcool ne lui faisait pas grand-chose à part lui donner envie de “baiser”. La main sur son paquet est équivoque, son sourire ne ment pas, le message est direct. Mais voilà, on bosse ensemble, je crains qu’un dérapage ne me crée plus de problèmes que de plaisir.
.. pourtant, il m’attire irrésistiblement.
Je l’entreprends donc sur la rumeur concernant la bisexualité des Grecs, me gardant bien de lui révéler cette facette de mon individu. Le voilà parti à m’expliquer son mode de fonctionnement en toute impudeur, n’hésitant pas à me dire qu’il prenait autant de plaisir entre les fesses d’un homme que celles d’une femme. Si les deux étaient certes différents, en général, les hommes étaient plus chauds, plus participatifs. Je lui demande ses origines. Sa mère est libanaise, son père grec, beau mélange !
Peuple au sang chaud, j’ai souvent entendu les plaisanteries grivoises à propos des Grecs. Quant aux Libanais, ils ont la réputation d’être fortement membrés. Je l’ai d’ailleurs vérifié. L’ayant vu brandir son mandrin dans les vestiaires, il semblerait que mon échantillonnage soit plutôt… représentatif !
L’heure avançait, l’alcool et la fatigue se combinaient dangereusement, je voulais rentrer. Je réglais et demandais à Andonios s’il voulait profiter de mon taxi, ce qu’il accepta à condition que je vienne boire un verre chez lui. Au point où j’en étais...
Et nous marchons pour aller jusqu’aux taxis. Il ne lâche pas l’affaire, me dit que mon cul l’excite et qu’il est persuadé que j’aime ça. Sa femme est absente quelques jours, que si l’envie de tenter l’expérience était là, je ne le regretterais pas. Déjà qu’il me plaît, là, j’avoue jouer les vierges outragées pour sauver la face. Mais me retrouver sous les assauts de ce beau mâle...
À peine dans le taxi, il prend ma main pour la poser sur son pantalon, usant de tous les stratagèmes pour arriver à son but. Il bande et c’est du sérieux. Une grosse barre tend la toile jusqu’en haut de sa poche, un gros joujou pour adulte plutôt averti.
— Ça te plaît pas, un bon morceau comme ça ?
Je lui réponds par l’affirmative, lui expliquant qu’en effet, elle ne me laisse pas insensible. L’alcool a raison de mes verrous, je révèle mon côté bi. D’ailleurs, mes doigts ne peuvent s’en séparer.

Pendant que notre chauffeur traverse la ville dans une totale indifférence, Andonios déboutonne son falzar pour exhiber son impressionnant gourdin. D’abord l’alcool, et maintenant, la chaleur de ce chibre que mes doigts étreignent, c’en est trop pour résister. Je me jette sur son gros nœud et l’embouche comme je peux. Mes lèvres le décalottent et son goût puissant se révèle à ma bouche vorace. Je pompe sa queue avec appétit, faisant fi de l’endroit où nous sommes, sentant à peine sa main pétrir mes fesses.
— Tu aimes vraiment, je le savais. Tu vas voir chez moi. annonce-t-il. Tu vas apprécier comme je baise.
Son petit accent, sa franchise… sa proposition. J’accepte, mais en posant mes conditions : pas de violence. S’il devient trop brutal, je lui explique que je m’en irai. Il brandit sa queue lourde pour rajouter :
— Pas brutal ! Seulement grosse et dure !
Ça, je connais bien, les grosses queues. Avec Patrick, un ancien amant hypermembré, j’ai pu apprendre à les accepter. Le temps de refermer son pantalon, nous arrivons dans sa rue. Je le suis jusqu’au deuxième étage. Mon cœur bat fort, j’ai toujours un peu de trac dans ce genre de configuration, impossible de savoir où l’on met les pieds tant que l’on n’a pas repéré les lieux. Mais l’appartement est visiblement très propre.
À peine la porte est-elle franchie que sa main claque mon cul, me disant qu’il en a très envie. Nous nous déshabillons en quelques secondes, avides de luxure, de sensations. Je découvre ce colosse à poils, mais ne prends pas le temps de le dévisager. Il me faut cette queue, de partout et sans délai. J’ai besoin de la sucer et pour cela lui impose de se coucher pour venir me mettre en 69, présentant mes fesses au-dessus de son visage. Délicatement, j’embouche sa belle queue encore molle, son long prépuce en faisant une papillote géante. Ma main prend ses couilles et les caresse, jouant avec ce paquet lui aussi XXL, mais d’une infinie douceur. Son sexe sent fort le mâle propre, tandis que mes lèvres coulissent sur cet épais cylindre qui de nouveau s’allonge.
Ma langue pénètre l’extrémité de son prépuce et danse autour du méat, puis glisse entre la peau et la surface du gland, le puissant goût musqué de son sexe envahissant mes papilles.
— Suce bien, encore, suce bien, après je te baise longtemps. me dit-il en continuant de me lécher l’anus, me claquant gentiment sa main sur les fesses de temps à autre.
Presque bandé, j’aspire très fort son prépuce joueur, puis de mes lèvres serrées, je le décalotte en l’engouffrant au maximum. Il souffle, m’en claque encore une, et enfonce sa langue en réponse à mes attaques. Je le pompe avec beaucoup de salive, le prenant le plus loin possible. Mon nez s’enfonce alors dans les plis de ses bourses.
En guise de transition, j’essaie de lui gober une de ses grosses balles, mais seule la peau vient dans ma bouche lorsque j’aspire. Il bande dur comme de l’acier maintenant, son gland parfaitement décalotté brun rose déborde de sa hampe turgescente. C’est la première fois que je remarque une odeur aussi typée sur le sexe d’un homme, pourtant très propre. Il transpire la virilité, bande comme un âne, et je vais sentir ses grosses couilles contre mes fesses dans quelques minutes, si tout se passe bien.
Comme un jouet, il me tourne et me met sur le dos, prenant mes deux chevilles dans une seule de ses mains. Sans forcer, il me soulève les fesses juste en levant son bras afin de me surélever en glissant son oreiller sous mes reins, puis me ramène les genoux sur ma poitrine. Je place alors mes mains derrière mes genoux pour me maintenir. Lui, à genoux devant mes fesses offertes, prend son puissant membre en main et le place sur mon œillet trempé et déjà bien ouvert.
— Va doucement, ne me déchire pas, doucement.
J’ai connu les assauts de Patrick, le plus fort sexe en diamètre que mes fesses aient pu recevoir, certes. Mais les 5 premières minutes sont toujours délicates, le temps de détendre le sphincter, même si je suis demandeur. Lentement, il m’enfonce son gros gland, sûr de lui et, contrairement à ce que sa puissante charpente laisserait penser, avec respect et tendresse. Les yeux fermés pour mieux ressentir cette pénétration, je pousse pour bien m’ouvrir.
J’adore la sensation irremplaçable d’une grosse bite se frayant gentiment un chemin, lorsqu’un large gland repousse les chairs qui aussitôt se referment autour de ce corps étranger… pour s’en faire un allié ! Par de petits coups, il s’immisce en moi, répétant que c’est bon. Puis ses grosses couilles rentrent lentement en contact avec mes fesses. Mon Dieu que c’est bon d’être enculé de la sorte. J’envoie une main sur le côté pour venir lui soupeser son énorme paquet incroyablement doux, le malaxe un peu au passage en lui demandant de ne pas bouger quelques instants, le temps de prendre la mesure.
Puis il recommence à bouger de quelques centimètres dans mon cul bien détrempé par sa salive, et ce fort diamètre faisant rouler mon anneau me transporte de plaisir.
— Ta queue est bonne, continue doucement, j’adore comme ça.
Me sentant à l’aise, il gagne lentement en course.
— Tu l’aimes, ma queue dans ton cul ? Moi j’aime ton cul.
Je ne réponds pas, je l’apprécie, c’est une évidence. Et de ses bras noueux, sans déculer, je me retrouve sur le côté en chien de fusil, toujours assailli en de longues tirades. Mais il change toujours de position, et avant que j’aie le temps de comprendre, c’est à quatre pattes qu’il m’encule, à couilles rabattues en une série de sprints puissants, puis de longs va-et-vient.
Soudain, il se retire, et je pense qu’il va peut-être jouir ! Je lui bondis dessus et le prends immédiatement en bouche en le branlant, mon autre main sous ses couilles, mais non, il n’en est pas encore là. Il me remet sur le dos, place ses pieds de chaque côté de ma tête, m’offrant une vue magnifique sur ses organes, se penche pour attr mes jambes et les passe entre les siennes. Je suis en position d’autofellation, ni plus ni moins, et m’écartant les fesses, il lâche un long filet de salive dans mon trou béant, et m’enfile sa bite de titan bien droit en pliant bien ses jambes. Wouaaah, cette sensation d’extase est incroyable. Il me remplit en venant me coiffer le sexe de ses bourses, m’offrant la vue également de cette masse venant s’écraser au contact. Une petite claque sur la croupe n’est pas des plus désagréables.
— Tu te rends compte de ce que tu allais manquer ? lance-t’il.
Mais je suis trop occupé par les sensations qui me submergent pour lui répondre. il me pourfend ainsi un long moment. Lorsqu’il se retire, je m’affale sur le lit, content de me déplier un peu, même si le sentir s’enfoncer jusque dans ma gorge tout en voyant cette belle grosse paire est électrifiant ! Mais pas de répit. Agenouillé au sol devant le lit, c’est mes jambes qu’il tire et place de part et d’autre de ses hanches, place ses mains sous mes fesses en me tirant dans le vide. Je me retrouve en appui sur mes coudes, le cul largement écarté par ses gros battoirs, comme si je ne pesais rien. Et lorsqu’il baisse ses bras, comme un bilboquet je m’empale sur sa queue droite est raide.
— Tu baises bien, quelle queue tu as !
Dans cette posture, son bout est en appui constant contre ma prostate, j’ai l’impression qu’il est directement dans mon ventre. Au rythme de ses bras puissants, il me baise solidement, m’empalant jusqu’au pubis. Ma queue gonfle sans vraiment bander, mes burnes sautent à chaque voyage, ma jouissance grimpe de plus en plus.
— N’arrête surtout pas. Oui, je vais jouir. Oui, continue, s’il te plaît, viens ! Jouis avec moi, viens dans mon ventre !
Et il ne s’arrête pas, son infatigable musculature assure et tout en écartelant bien mes deux globes, il me pourfend de son membre.
— Tu aimes le Grec, hein ? Tu vas me faire jouir. Tu me veux en toi ?
— Oui, viens !
Ses mots me stigmatisent, et alors qu’il intensifie sa baise pour enfin jouir, son prodigieux gland trouve mon point sensible et déclenche une agréable brûlure tordant mon ventre, avant que celui-ci ne se creuse dans un puissant spasme. Mon sphincter anal enserre alors sa belle bite dans un orgasme spontané. Mon sperme ne gicle pas, mais sous la pression, l’appui régulier de cette intense pénétration, il coule en continu de ma queue qui elle, saute de gauche à droite, et arrose ainsi nos deux ventres. Je râle en continu, lui répétant qu’il est trop bon, que j’aime sa queue, et sûrement plein d’autres choses dont je n’ai plus conscience tant je nage entre deux mondes.
Il me remonte les genoux sur mon ventre en se redressant, mes mollets sur ses épaules, m’écrasant de tout son poids sur le lit. Sa queue me paraît démesurée, obèse, tant il me pilonne, ses couilles me frappant si fort les fesses que je ne sens plus les miennes écrasées contre son pubis. Je suppose que les mots grecs qu’il crie à quelques centimètres de mon visage sont des mots crus, l’expression de son plaisir !
Soudain, enfin, en quelques coups de bélier, je sens sa hampe vibrer dans mon cul contracté, m’informant qu’il décharge en moi. Son corps tendu ne lui sert alors qu’à me planter sa queue qui gicle sans fin son foutre au fond de mes entrailles. Mes deux mains sont plantées sur ses fesses dures comme du bois, et de mes doigts crispés, je l’oblige à m’enculer encore et encore alors qu’il m’insémine, tant il me fait vibrer.
Essoufflés, rompus, l’un vidé, l’autre rempli, il repose ses genoux à terre, et pose mes jambes en coton sur le côté, sa queue toujours en moi. Lentement, je la sens désenfler, et en quelques minutes, Andonios, avec beaucoup de précautions, se retire.
Je suis anesthésié. Il se redresse, tout sourire, sa queue épaisse encore bien longue bien que pendante. Comme bien souvent après un tel plaisir, mon ventre est tout bizarre, agréablement silencieux, détendu, malgré ce qu’il vient de vivre.
— Je vais préparer à manger, et après, si tu veux, on continue ? me dit-il le plus sérieusement.
Ne m’entendant pas répondre, il considère cela comme un oui, et me dit de ne pas bouger. J’entends la douche couler, je me sens bien, les jambes dans le vide, le cul ouvert au bord du lit… Je me dis que j’en avais bien besoin.
Lorsqu’il me secoue l’épaule pour me réveiller, je découvre la table basse du salon sur laquelle le couvert est dressé. Quelques plats, une bouteille de vin, tout est prêt.
— Il faut manger pour avoir des forces. Viens !
Il est toujours nu. La nuit est tombée et une lampe indirecte donne une douce lumière. En me redressant, son sperme commence à couler entre mes fesses, et Andonios me tend une serviette en papier avec un large sourire en rajoutant :
— C’était très bon !
Le papier coincé entre mes fesses, je lui demande à prendre une douche, et lorsque je passe à côté de lui, il me donne une bonne claque sur la fesse. Je comprends que c’est amical. Le passage aux toilettes me confirme qu’il n’a pas simulé en déchargeant.
Nous mangeons l’un en face de l’autre sur deux tabourets, tout en parlant de nos pays, de nourriture, de vin et de femmes. J’ai une vue imprenable sur le colosse et son sexe recouvert de son très long prépuce, ce qui est loin de me gâcher l’appétit. Les vapeurs d’alcool s’estompent
Accoudé à la fenêtre, je m’accorde une cigarette avant de venir le retrouver sur le lit. Les jambes écartées, Andonios expose fièrement ses si beaux attributs. Je commence par lui lécher longuement ses bourses, en aspire la peau soyeuse, et me gorge de cette forte odeur. Je n’aime pas spécialement les odeurs intimes, mais lui à une odeur terriblement excitante et stimulante.
Puis je joue avec son prépuce, le tète, y glisse ma langue, souffle dedans pour le gonfler. En se tendant, la peau se retire naturellement et je peux enfin le sucer à ma guise. Je suis à genoux entre ses jambes, ses bourses dans une main, sa hampe dans l’autre, je l’avale sans l’économiser, ne pensant qu’à mon plaisir, égoïstement, frottant mon nez dans ses poils pubiens lorsqu’il est tout au fond de ma gorge, pour bien m’imprégner de son odeur musquée. Il force mes lèvres par son fort diamètre, s’imposant à chaque descente entre mes dents.
— Tu suces très bien.
Sa queue au goût de mâle hyperviril me transporte, je le sucerais bien jusqu’à ce qu’il m’envoie toute la sauce, mais il semble décidé à me reprendre. Et il le fait si bien, c’est tellement rare.
Pragmatique, il trempe son doigt dans l’huile d’olive d’un des plats restés sur la table, et me le met au cul en étalant bien l’huile sur ma rondelle. Allongé derrière moi, il me soulève la jambe très haut pour bien m’ouvrir les fesses. En quelques coups de bassin, son dard bandé trouve la porte de mes reins, et s’y enfonce tout doucement.
Je ne ressens aucune douleur, mais véritablement un immense plaisir lorsque mes chairs sont repoussées pour lui céder du terrain.
— L’amour, pas baiser. Juste faire l’amour. me glisse-t-il à voix basse en me remplissant l’ampoule de son volumineux gourdin.
Touché par sa douceur, il vient de sodomiser ma sensibilité au passage ; je repense à la délicatesse de Franck lorsqu’il m’enculait, son sexe ne me délivrait que du bonheur. Il aimait me remplir de désir, me faire le désirer, pour mieux atteindre le nirvana. À l’identique, mon arabo-grec vient de me déployer toute sa puissance, toute sa virilité lors de ce premier rapport. Maintenant, il semble vouloir me satisfaire.
— Ouiiii… tout doucement, j’adore comme ça. Ne me baise pas fort, prends-moi longtemps.
Alors que j’attends qu’il commence à bouger, il se retire, s’enduit copieusement la bite d’huile d’olive, reprend exactement la même posture et se glisse en moi tout doucement jusqu’à la garde.
Il va me faire l’amour. Les 30 minutes qui suivent, il me fait gémir, parfois crier de plaisir, me faisant sentir toute sa longueur, ses belles couilles dans ma main entre mes jambes, les ongles de mon autre main plantés dans sa fesse.
Mon sang bat à mes tempes, mon souffle est court, mes muscles anaux le massent puissamment, ce n’est que jouissance pour moi, mon cul et sa bite en osmose le temps d’un acte d’une infinie tendresse, paradoxalement sensuelle en regard de la première partie de soirée. Lorsqu’il me dit qu’il veut jouir, il se transforme presque en vibromasseur en me poussant les fesses de son bassin, sa queue plantée en moi, son gland juste derrière mon nombril.
J’en ai les larmes aux yeux, je me revois sous le splendide corps de l’homme qui a partagé ma vie quelques années, et qui savait me donner tant de plaisir, toujours avec beaucoup de douceur. Après lui, je n’ai jamais retrouvé d’hommes m’offrant des rapports aussi harmonieux. Andonios me surprend d’autant plus.
Il gonfle, se dilate, mais je le supplie d’attendre, je veux le faire jouir entre mes lèvres. Je me dégage, presque à regret tant il me fait vibrer en étant en moi. Resté docilement sur le côté, la verge palpitante, je me place en 69 entre ses jambes, ma tête sur sa cuisse, ses bourses dans ma main et glisse sa hampe dans ma bouche. Le gros gland parfumé à l’huile d’olive vibre au rythme de son cœur, il va jouir dans une demi-seconde. Mes lèvres se soudent instantanément autour de lui, et dans un léger soubresaut, sa liqueur claque contre mon palais, chaude, épaisse, puissante.
Je l’avale alors qu’il en arrive encore, à peine plus salé cette fois. L’odeur de son sexe remplit mes narines, le goût fort de son foutre tétanise mes papilles, la chaleur et la quantité de son éjaculât comble mes attentes tant il décharge abondamment. Ses performances me fascinent, j’adore qu’un homme qui vient de me donner tant de plaisir entre mes reins vienne s’oublier entre mes lèvres. Je me délecte de toutes ses effluves, de tous ses goûts, savourant sa queue débandant entre mes lèvres, la tête posée sur sa jambe, le nez dans ses bourses, conscient du moment précieux que je suis en train de vivre…
Après quelques heures de repos, une fois le soleil bien haut dans le ciel, nous profiterons longuement de nos corps, tantôt tendrement, d’autres fois plus intensément. Jamais personne n’a eu vent de nos ébats, il s’est avéré très discret. Il n’était pas rare qu’en sortant du travail, on fasse un bout de chemin ensemble. Münich regorge de parcs et d’endroit discret, lieux idéaux pour s’isoler le temps d’une pipe.
Je n’ai jamais revu Elke, à mon grand regret. Udo me recevait parfois chez lui pour me confier son membre si productif. Les quelques mois que je passais dans cette ville me laissèrent des souvenirs aussi variés qu’enrichissants. Malheureusement, des affaires réclamèrent ma présence dans le sud de la France, mettant un terme.

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