Le Jardin De La Rue George

Il y a 42 ans de cela, je venais de rentrer du service militaire. J'avais 20 ans. J'avais trouvé un petit appartement tout pourri dans la rue George à Marseille, en face de la caisse de retraite. Je venais de renouer avec ma famille.
Mon appartement était séparé en deux par le couloir d'entrée. D'un côté, ma chambre et le coin cuisine, de l'autre, une chambre noire. Mon frère m'a demandé d'héberger une de ses copines. Toujours prêt à rendre service, j'ai accepté. Il m'a dit qu'elle travaillait la nuit et qu'elle rentrerait le matin. Moi, j'avais trouvé un travail de chauffeur livreur pour une lunetterie. Comme nous n'avions pas les mêmes horaires, il était convenu que nous ferions un double des clés de l'appartement pour elle.
Le matin, elle me réveillerait pour le petit déjeuner pour moi et le diner pour elle. Ca a bien fonctionné pendant une quinzaine de jours. Elle ne devait pas avoir plus de 18 ans. Elle était jolie et bien roulée.
Quinze jours après son arrivée, le cinéma a commencé. Elle est venu prendre son repas, vêtue seulement d'une culotte et d'un sous-tif, couverte d'un déshabillé transparent. La semaine suivante, elle enlevait le haut. Ses seins étaient magnifiques. La semaine d'après, ce fut le bas. Putain, quel cul !
Elle s'assit en face de moi et me regarda fixement :
- Qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je.
- T'es pédé, t'aimes pas les femmes ? fit-elle.
- T'es la copine de mon frère. Qu'est-ce que tu veux que je fasse.
Bien sûr que tu me plait, je me paluche tous les soirs, depuis que tu es là.
- Ah oui ? Et là tu bandes ?
- Oui !
- Fais voir !
Je me suis levé et j'ai baissé mon pantalon et mon slip. Elle s'est précipité vers moi, s'est agenouillée et a embouchée ma bite. Sa bouche était chaude et sa langue experte.


Elle suçait ma bite comme un tête sa mère. La vue de ses lèvres autour ma queue m'excitait au plus haut point. Sa langue pointue soulignait la base du gland, m'arrachant des soubressauts. Quand elle a lèché la petite fente, j'ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé.
Puis, elle s'est relevée, et est venue s'empaler sur moi. Sa chatte était aussi chaude que sa bouche. Ses mouvement de bas en haut, m'ont arraché une nouvelle giclée. Elle a attendu que je me calme un peu, puis s'est relevée. Elle s'est couchée sur le ventre, en travers de la table et a soufflé :
- Prends -moi le cul !
Je ne me suis pas fait prié. Quand ce fut fini, j'ai demandé :
- Tu vas le dire à mon frère ?
- De quoi t'as peur ? Qu'est-ce que tu crois que je fais la nuit ? Je suis pas la copine de ton frère, je tapine pour lui ! Si tu lui dis rien, il saura jamais !
J'ai été surpris par cet épisode, parce que depuis pas mal d'années, j'avais déjà remarqué que je plaisais plus aux garçons, qu'aux filles. D'ailleurs la suite va le prouver.
Un jour, j'ai perdu mes clefs. Les téléphones portables n'existaient pas encore. J'ai été obligé d'attendre qu'elle rentre.
A cette époque, il y avait encore des bancs publics, dans la rue George. Un peu en colère, je suis allé m'asseoir. Très vite, un homme est venu s'asseoir près de moi. Pour le dissuader de m'entreprendre, je me suis déplacé sur un autre. Il m'a rejoint, immédiatement. En ce temps-là, je faisais largement plus jeune que mon âge, et le gars m'a pris pour un ado perdu.
- T'habites le coin ? me demanda-t-il.
Je n'ai pas répondu. Je me suis levé pour m'éloigner. Le gars m'a suivi. Un peu plus loin, il m'a rattapé et m'a poussé vers une haie de buissons. Jamais, depuis que j'habitai là, je n'avais remarqué cet endroit. Deriière les buissons, des cyprès chachaient à la vue des passants, un petit jardin, qui se révéla être un lieu de rencontre gay.

Le gars posa sa main sur mon cul et appuya sa caresse. Il avait touché le point sensible. Que ce soit un homme ou une femme, caresser mon cul est pour l'auteur une promesse de victoire. Je me suis laissé faire. Il m'a déshabillé entièrement, m'enlevant jusqu'aux chaussettes. Il m'a tiré, et m'a plaqué, à poil, contre un arbre. Il m'a pris les bras et les a enroulés autour du tronc. Il s'est baissé et a écarté mes fesses. J'ai alors senti sa langue qui lubrifiait mon petit trou. J'ai compris qu'il allait m'enculer.
Ma queue s'est raidie. Le gars l'a sentit et l'a empoignée.
- T'aimes ça, hein, petite salope !
Tu parles, ça a commencé au collège. Les caresses sous le bureau, les fellations pratiquées à la demande de mes camarades de classe. Il faut dire qu'à cette époque je ressemblais vraiment àux gravures représentant les éphèbes grecs. Mon corps était plutôt gracile et mon cul rond et bombé. Depuis longtemps, j'avais remarqué les regards en dessous de mon confesseur et de mes profs.
Le gars s'est relevé, a écarté mes fesses et j'ai senti sa pine me chatouiller. D'une violente poussée, il s'est enfoncé en moi d'un seul coup. J'ai eu un peu mal.
- Putain, t'es serré ! Eructa-t-il. Je vais me régaler.
Il est ressorti de moi et m'a retourné. Il m'a fait mettre à genoux et a présenté son chibre à mes lèvres. J'ai ouvert la bouche et mes lèvres se sont écrasées sur les poils de son pubis. Il a pris ma tête entre ses mains et a m'a imprimé le mouvement des ses hanches.
- Quand je te le dirais, tu reprendras la position. Je veux jouir dans ton cul, pour mieux t'enculer.
Effectivement, quand il fut au bord de la jouissance, je me suis relevé, et il s'est de nouveau dans mon cul. Il a joui immédiatement. J'ai senti les soubressauts de son engin et les gouttes brûlantes de son sperme, coulant dans mon cul.
Il s'est alors agité. Ses cuisses heurtaient violemment mes fesses. Son sexe avait grossi, et ses coups de boutoirs me labouraient le cul. Il prit le mien et j'ai joui dans sa main.
Quand il eut fini, il se dirigea vers le banc ou se trouvaient mes vêtements, me les lança et disparu.
Je suis retourné plusieurs fois au petit jardin. Des hommes me saluaient.
- Bonjour, petit ! Me lançaient-ils, avec des petits sourires narquois.
Mais, jamais plus je n'ai été entrepris.

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