Crème Solaire

Crème Solaire


La 3e journée de croisière fût aussi ensoleillée que les 2 premières. Après un avant-midi de marche et de magasinage sur les bords de la plage se San-Coco, nous somme retournée sur le bateau pour profiter de la piscine, du buffet et du chaud soleil d’après-midi.

Ma compagne me dicta les victuailles qu’elle désirait voir revenir du buffet et je m‘exécutai. Prenant bien soin de rapporter 2 gros pina cola da en surplus. Les saucettes et les drinks se succédèrent au rythme des vacances et des gens pas pressé qui ne veulent pas être saoul mort à 16h.

Je lisais paisiblement mon livre lorsqu’une voix douce me murmura à l’oreille : « j’aimerais bien que tu m’enduise….de crème solaire ». La réponse ne se fît pas attendre. J’adore appliquer la crème solaire, c’est comme voler des caresses, un geste publique mais privé à la fois. Entre le romantisme et l’exhibitionnisme. Pas en plein milieu du dos, mais l’entre-jambe, la bordure de la culotte, le côté du sein. Hmmmm.

Je m’assis donc sur ma chaise, face à ma partenaire, elle, couchée sur le ventre devant moi. J’empoignai le tube de crème, en mis une bonne portion dans le creux de ma main et j’appliquai doucement la crème fraiche sur la peu doré de ma bien aimée.

Mes mouvements étaient lents et sensuels. Prenant bien soin de ne négliger aucune surface, oubliant presque que nous n’étions pas seule. L’odeur de sueur, de soleil et de crème au coco nut se mêlaient dans l’air. J’avais une vue imprenable. Son sein, écrasé contre la chaise de plage, se bombait sur le côté et sortait légèrement de son support, laissant paraître la ligne de bronzage. Je pouvais lire le plaisir sur le visage d’Èva. Baigné dans le soleil, son demi-sourire et le mouvement discret de ces lèvres me laissaient croire que mes efforts produisaient plus d’effet qu’une simple caresse. Cette hypothèse fût bientôt confirmée lorsqu’elle entrouvrit ses jambes me permettant d’observer son sexe pulser dans son maillot.



Je fus pris d’une érection instantanée. Heureusement, mes bermudas offraient assez de protection pour dissimuler ce changement soudain de pression sanguine.

J’étais hypnotisé par son bikini lorsque j’entendis : « viens me rejoindre dans 5 min, pas avant. ».

Elle se leva sans en dire plus. Mais de toute façon je n’avais pas vraiment besoin de plus d’explications. Certaines chose mérite moins de détails que d’autre pour être bien comprises. Je la regardai partir, ces fesses magnifiques me disait bye bye, à chaque pas qu’elle faisait. Puis elle disparu de l’autre côté des portes coulissantes. Je ramassai nos choses en vitesse puis arriva à notre cabine.

La surprise fut totale. Je cognai et la porte s’ouvrit sur ma douce moitié, enduite d’huile de la tête au pied, tenant dans la main un gin tonic. Elle me tira à l’intérieure et me tendis le drink. Je pris une gorgée, puis 2, puis 3 pendant qu’elle m’enlevait le seul vêtement que je portais. Elle ignora complètement mon membre. Se redressa puis pris une énorme gorgée du drink.

Elle me poussa vers le lit et m’y plaça sur le ventre. Elle laissa tomber une bonne quantité d’huile sur mon dos et mes jambes sans l’étendre avec ces mains. Elle plaqua son buste contre mon dos et étendis l’huile en se servant uniquement de ces seins.

À genou, les mains chaque côté de mon corps, elle se balançait de droite à gauche et d’avant arrière. Elle pressait ces attribues contre mes fesses, mes jambes et mon dos. La chaleur de son corps, la douceur de sa peau, l’huile abondante qui coulait sur le bord de mon dos excitaient chaque centimètre de peau touché. Ces mamelons étaient très durs.

Elle exigea que je me retourne, l’huile gicla de nouveau sur mon torse mon visage et ma queue. Elle y prenait plaisir comme si en m’éclaboussant d’huile, elle me rendait les nombreuses éclaboussures de sperme que j’ai tant de plaisir à lui faire subir.

Cette fois, c’est sa chatte imberbe qui agit comme applicateur.
Elle retourna puis se frotta sur mon torse, me faisant dos, elle gigotait de plus en plus. Ces mouvements devenaient de plus en plus brusques et de plus en plus raide. Je saisis ces hanches avec mes mains mais en utilisant ces pieds, elle me replaça dans ma position initiale.

Elle frotta longtemps sa chatte sur mon menton, sur mon front, sur ma bouche. Plaçant simultanément ma graine entre ces seins. Ces mouvements étaient si frénétiques que je ne sentais presque pas son clitoris passer de mon nez à mon menton. Elle manifestement le sentait très bien et en témoignait par des gémissements aigus et une respiration soutenue.

Sa sève mêlé à l’huile remplissaient ma bouche, ces seins serrait ma graine et la massait vigoureusement. Si nous n’avions pas fait l’amour si souvent depuis 2 jours, j’aurais déjà déversé ma sève depuis longtemps.

Elle empoigna mes cheville pour se donner du support, elle bougeait très vite, je sentais qu’elle allait venir d’un instant à l’autre. Dans cette position inhabituelle, c’était très excitant.

Ces cris remplirent la chambre au même moment ou le plaisir la remplis elle, déversant sa sève fraiche dans ma bouche.

Elle prit quelques secondes pour savourer le moment puis se retourna subitement, mis sa langue profondément dans ma bouche. Mes mains libres saisirent ses seins. Torturant ces mamelons à la limite. Elle me jeta un regard complice et envoutant. Elle alla se placer debout, à plat ventre sur la table à café.

Je la suivi, et n’attendant pas d’autre permissions, je m’introduisis en elle, la prenant par les poignets. L’huile me forçait à la tenir solidement. Les bras tendu vers l’arrière, le visage et les seins plaqués contre la table le corps couvert d’une épaisse couche d’huile. Elle se laissait brasser au rythme des mes élans. Me remerciant de chaque coup avec un son égal au plaisir produit. Je sentais le fond d’elle à chaque passage, contractant mon membre pour lui procurer plus de plaisir.


Son orgasme fut violent, ses spasmes me firent presque lâcher prise. J’ai maintenu mon rythme, ignorant sa demande de lui venir dessus, de la beurrer, je suis venu en elle, mêlant la sève à la sienne.

Je la pris par le cou en la redressant, sortant doucement hors d’elle, recueillant le fruit de nos plaisirs avec ma main libre. Je lui enduis le visage, le cou et les seins, en la retournant et en fourrant ma langue dans sa bouche.

Durant la douche qui s’en suivi, le souper et même le spectacle en soirée, je pu voir le regard complice de ma fiancée.

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