Retour De Voyage

Je suis si loin de toi. À l'autre bout du monde pour le boulot. Je me caresse souvent, je me doigte un peu, je me titille le bout des seins et les pince aussi. Mais surtout, j'imagine nos retrouvailles.Je les scénarise et les affine.
Voilà ce que je te propose mon amour, mon homme. Je sais que tu seras à l'aéroport pour venir me chercher. Mais je serais probablement très fatiguée par 13h de vol. Tu m'accompagnes chez nous, tu me déshabilles lentement. Mes chaussures, mon jean, ma culotte tout doucement pour le plaisir de voir apparaître ton petit cul préféré, tout blanc au milieu de ma peau bronzée, puis mon pull, enfin tu soulèves doucement mon tshirt pour libérer mes seins laiteux, ronds et fermes. Tu me donnes une douche, tu me laves, tes mains caressent mon corps, tes doigts glissent entre mes cuisses, tu t'occuppes de mon clito, juste pour me faire spontanément écarter les jambes pour que tu puisses me doigter un peu, en quelques secondes je jouis sous tes doigts experts, tu me connais tellement bien et déjà 10 jours sans sexe. Tu me sèches et me guides jusqu'au lit. Tu me demandes ce dont j'ai envie... "Fais ce que tu veux, je te laisse faire, fais moi jouir encore et prends ton plaisir." "Alors mets-toi sur le dos, je m'occupe de tout." Je m'allonge confortablement, tu écartes mes genous, glisses ton beau visage entre mes cuisses ouvertes et écartes mes grandes lèvres doucement pour découvrir mes pétales humides et palpitants, déjà ta langue joue, va et vient, elle glisse entre mon clitoris et l'entrée de mon minou, encore et encore, je sens la force des vagues monter, je jouis sous ta langue, ça me coupe le souffle mais je réclame "encore"... tu recules légèrement pour avoir une vue plus large, voir mon corps trembler de plaisir, mes hanches se cambrer, animale, voir mon sexe s'ouvrir et se contracter au fur et à mesure de ma jouissance... Quand je commence à redescendre, tu remontes en m' embrassant partout, mon ventre, le bout de ta langue dans mon nombril, tu remontes et tu trouves mes seins, les tétons déjà durcis, un puis l'autre, pas de jaloux, tu les lèches, les têtes, puis les mordilles un peu, encore, plus fort, tu me fais crier, je me cambre, je réclame encore et toujours, je ne suis plus une femme, ta femme, ni même ta femelle, je suis fontaine, rivière, je suis une chatte brûlante, je suis un trou infini qui a besoin d'être empli, pris, pénétré, encore et encore, je suis un territoire qui s'offre, un jardin qui a un besoin impératif de semence.

Tu abandonnes mes seins tendus pour ma bouche, nos baisers sont profonds, fougueux, envahissants, ta langue, mmmm, ta barbe mal rasée pique, j'écarte mes jambes, je me tortille, tu glisses infiniment doucement ta queue en moi, millimètre par millimètre, je te supplie de me me baiser là maintenant prends moi vite fort prends moi... tu ne cèdes pas. Tu imprimes de longs mouvements, lents, si lents, tu prends ton temps et les vagues m'envahissent, je crie, je gémis, je râle, j'abandonne toute volonté, un orgasme gigantesque me soulève, sa force m'électrocute, mon corps se soulève et retombe, plusieurs fois, je tremble, tu continues tes va et vient délicats... Je reprends mon souffle, j'ouvre les yeux, ton regard sur moi est heureux, satisfait, conquérant aussi. Les yeux dans les yeux. Nos sourires de plaisir, de désir. "J'ai soif". Ton sourire devient carnassier. Ton sexe se retire du mien, un mouvement rapide, quelques gestes pour te placer au dessus de moi, j'ouvre la bouche et accueille ton membre ruisselant de moi. Tu recommences tes va et vient, un peu plus appuyés, un peu plus rapides, nos regards se croisent dans le miroir posé à côté du lit, tu te regardes, non tu t'admires, en train de me baiser la bouche, tu vois aussi comment je me caresse comment j'enfonce mes doigts et me branle fort pendant que je te suce je te gobe je te prends tout entier énorme... Ma main gauche vient caresser tes couilles, les soupeser, évaluer la quantité de sperme contenue. Tu accélères dans ma bouche, malgré la taille de ta queue tu vois que je souris, mes yeux te disent "vas-y". Ton souffle se racourcit. Quelques derniers coups de rein et tu jouis, "Ouiiiiii, ouiii, oui...". De longues et chaudes giclées de jute me remplissent la bouche, j'avale tout ce que je peux, ça déborde un peu, encore une ou deux petites giclées, j'avale, ton sexe n'est plus si dur, il prend moins de place, je peux le lécher, tu te retires, tu t'allonges à côté de moi, ton pouce essuie un peu de sperme sur mes lèvres tu le glisses à l'intérieur et je le suce.
Ne pas perdre une goutte de ta précieuse semence. Je m'endors, satisfaite, nourrie, rassasiée.

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