La Force Fait Loi

Cela fait trois ans que nous jouons ensemble et après un bon resto, nous reprenons la route pour rentrer ; nini me rappelle que nous avons fait les premiers baisers coquins dans un parking situé dans le bois que nous traversons ; pourquoi pas renouveler et sans hésiter, je rentre dans le bois et me gare ; passant derrière, nini se fait provoquante, relevant sa robe, et je découvre qu’elle n’a plus son string « quand l’as tu enlevé ? « « juste avant d’aller manger et d’ailleurs les voisin de la table d’à cote l’ont bien vu eux; il fut dire que j’ai tout fait pour ; il n’y a que toi qui n’a rien vu » pour me faire pardonner, je lui saute dessus et sans hésitation ma bouche vient se coller sur sa chatte ;en deux minutes, sa robe est tombée sur le siège et ses tétons débordent de son soutien-gorge ; ma langue découvre alors une grotte pleine de cyprine, ce qui ne m’étonne pas après sa narration. Ses mains s’appuient sur ma tête et ma langue lui fouille la chatte, alternant le clito et la cavité béante ; ses gémissements traduisent un début de jouissance, quand soudain on frappe sur la vitre et quand je me redresse, j’aperçois deux képis et j’entends « police nationale » ; Comme un diable je me redresse, alors que nini essaie de rattr sa robe qui reste coincer.
« Vos papiers, ceux de Mme et ceux de la voitures s’il vous plait » le ton n’est pas agressif et j’obtempère alors que le deuxième fait le tour de la voiture et regarde nini, rouge de confusion qui se bat discrètement avec sa robe pour cacher ses cuisses toujours découvertes, mais elle a réussi à cacher sa chatte.
« Vous savez que les actes sexuels sont interdits en public ? «
« Désolé, c’est notre anniversaire de rencontre et nous pensions être seuls »
« Et non voyez-vous, nous étions là ; pas de chance » et regardant les papiers de nini
« Ce n’est pas votre femme ! » « Non nous vivons ensemble seulement »
« Veuillez descendre du véhicule ! » pour moi pas de problème, mais pour nini c’est beaucoup plus délicat car elle est pratiquement nue, elle marque un instant d’hésitation et il reprend d’une voix plus dure « Mme veuillez descendre ! » ; je veux l’aider mais il me retient par le bras, « vous ne bougez pas, elle peut descendre seule ! » tétanisée, elle s’extirpe de la voiture et essaie de cacher sa nudité avec sa robe en bouchon.


« Tous les deux face à la voiture, les mains sur la carrosserie » cette fois le ton est cassant et manifestement nous devons nous plier à l’ordre ; nous écartant brutalement les pieds, ils commencent une fouille au corps ; sur moi, je peux le comprendre, mais sur elle je ne comprends pas ; elle est nue, la robe est tombée au sol et elle ne peut rien cacher ; j’essaie de le faire remarquer, mais je me fais rabrouer. Stupéfié je constate qu’il palpe nini de façon complète, ses mains se promenant sur tous le corps ; « écartez mieux les jambes, je dois vérifier que nous ne cachez rien » et sans hésitation, il lui fouille la chatte sans ménagement. Beaucoup plus longtemps que nécessaire, il la pénètre et ses doigts semblent s’agiter et l’on peut entendre le gargouillis d’où je suis ; stupéfait, j’en déduis qu’elle mouille, et le policier s’en vante auprès de son compère « putain, elle est pleine de jute, viens voir ! » je regarde nini, et je constate qu’elle n’a plus peur. Les yeux grands ouverts, elle me regarde, son visage traduit son plaisir naissant. « S’adressant à moi et me mettant les menottes: ne bougez pas, c’est votre intérêt ». Les deux agents sont maintenant autour d’elle et la retournant il lui fouille à tour de rôle le vagin, pendant que l’autre lui plote les seins
« Putain, elle mouille, j’en ai plein les doigts, regarde elle jouit » en effet, elle a écarté un peu plus ses cuisses et ses gémissements traduisent sa jouissance ; la faisant mettre à genou, ils sortent leurs braquenards et lui présentent à sucer. pour elle pas de problème, même si les deux sexes sont trop gros pour les sucer en même temps ; sa langue va de l’une à l’autre, avant que le plus jeune lui enfourne carrément jusqu’aux couilles d’une seule poussée ; elle s’étrangle et à un haut de cœur, mais il n’en n’a que faire , bien au contraire , il renouvelle plusieurs fois l’opération ; nini à les larmes aux yeux , tellement il la baisse fougueusement ; il se branle entre ses lèvres et bientôt, prêt à jouir, il lui bloque la tête et se repend dans sa gorge, restant entre ses lèvres pour qu’elle avale son sperme ; elle essaye de se retirer, mais il la maintient fermement, et il ne se retire que quand elle a avaler sa semence.

L’autre, le sexe, gros, long, le gland décalotté, la retourne et la faisant se pencher sur le capot, il la pénètre violement, même mouillée, elle ne peut retenir un cri quand la queue s’enfonce d’une seule poussée ; et sans attendre il recommence une nouvelle pénétration, puis accélère les coups de pistons ; pour nini, ce n’est plus la douleur , mais la jouissance qui la fait crier ; bien au contraire elle réclame plus , lui demande de la défoncer, ce qui ne manque pas de faire ; à chaque poussée , j’entends le claquement du bassin sur ses fesses ; les deux compères ne manquent pas de lui faire des commentaires des plus salaces, mais ils ignorent qu’elle aime se faire traiter de salope, et au contraire , elle recule son bassin pour une saillie plus puissante. Pour moi, je bande, et c’est difficilement que je réussis à sortir mon vit et à me branler ; quand ils s’en aperçoivent, les golibets jaillissent
« Regarde le cocu se branle en voyant sa femme se faire prendre comme une salope ; putain, elle est bonne ta femelle et on va s’en occuper, rassure toi, tu vas l’entendre jouir sous nos queues » il ne lui faut pas longtemps pour éjaculer à son tour et je réalise alors qu’il l’engrosse sans préservatifs. J’ai le tords de leur faire la remarque, avec un grand sourire narquois, « tant mieux , on va te la féconder , tu auras un souvenir » quand il se retire , un filet de sperme s’écoule sur les cuisses de nini ; le deuxième a retrouvé sa superbe et aussitôt il prend la place libérée, avec la même puissance, il la fouille, la baisse à grand coups de queue ; nini n’est que jouissance, gémissant à chaque poussée, réclamant quand il se retire avant de mieux la pourfendre ; pour moi je ne peux me retenir et je jouis en la voyant prendre autant de plaisir, encourant à nouveaux les railleries de ses assaillants ; lui tournant la tête vers moi, « regarde cela le fait jouir de te voir prise comme une petite salope, dis-lui que tu aimes nos queues » comme elle ne répond pas aussitôt , il lui tire les cheveux ; vas-y dis-lui que tu aimes te faire saillir et que tu aimes le faire cocu » cette fois, en me regardant droit dans les yeux, elle acquiesce :
« , j’aime leurs grosses queues qui m’ont rempli, tu es cocu, j’aime qu’ils me défoncent, et j’ ai encore envie qu’ils me remplissent le sperme.
» il a repris sa saillie, continuant ses commentaires les plus crus ; puis s’accrochant à ses épaules, et se cabrant, se tournant vers moi » putain, je la remplis, et elle aime J’en suis sur recevoir ma jute « en effet en écoutant nini, je comprends qu’il se vide en elle « oh c’est chaud , encore vide tes couilles, baisse moi encore « ses yeux sont révulsées et elle s’agrippe à la voiture sous l’effet de sa jouissance ; et quand il se retire, elle s’écroule sur le sol .Soudain leur vibreur se déclenche
Se rajustant, il me retire les menottes et je me précipite, inquiet, vers elle ; m’embrassant fougueusement elle me dit « c’était bon et je t’aime ». Avant de s’éclipser, le plus vieux me tape sur l’épaule « un bon conseil, il ne s’est rien passé, nous avons ton adresse donc silence et de plus, je sais que ta femme a aimé et qui sait, nous irons peut être vous voir. »

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