Les Plans De Gabriel

L'année dernière, j'ai participé à la manifestation pour le mariage pour tous. Dans mon dos, quelqu'un m'a soufflé à l'oreille :
- Quand on a un cul pareil, on ne devrait pas avoir le droit de s'habiller.
C'est comme ça que j'ai connu Gabriel. Je me suis retourné et j'ai répliqué :
- On peut en parler devant un café ?
Après la manif, on s'est retrouvé au troquet du coin.
- Qu'est-ce que tu veux me dire ? Dit Gabriel.
- Ben manifestement, tu aimes regarder !
- Oui ! Et alors ?
- Je cherche quelqu'un comme toi. J'aime montrer mon corps. Mais pas seulement dans la rue. J'aimerais me montrer quand je baise. Je voudrais me fringuer en gonzesse super sexy, qu'on veuille et qu'on voit mon cul. Je vais te raconter deux histoires qui te feront comprendre ce que je voudrais.
Je voudrais par exemple porter des bas et une culotte de femme blancs. Par dessus, une jupe rouge ultra courte, qui se soulève et laisse voir mes fesses, à chacun de mes pas.
L'autre histoire se passe dans un cinéma porno. Ici, on n'allume jamais la lumière, parce que les clients passent leur temps à se branler où à baiser. Moi, je suis exhibitionniste. Je veux monter mon corps à tout le monde, et aussi à me faire sauter en public. Voici ce que j'ai imaginé. Dans ce cinéma, ceux qui espèrent une aventure, se tiennent debout en attendant qu'un quidam viennent les aborder, tâter le terrain par des attouchements, puis sucer une bite bite ou se faire sucer, voire enculer. Alors voilà, moi je serais debout contre le mur. Toi, tu passeras en revue les clients et tu t'arrêteras devant moi. Tu déboutonneras ma chemise, très lentement, puis tu l'enlèveras et la laissera tomber à terre. Ensuite, tu embrasseras ma poitrine, tout en défaisant la ceinture de mon pantalon.

Tu me feras mettre à genoux. J'ouvrirai ta braguette, sortirai ta queue et te sucerai. Après, tu me relèveras, me tournera vers le mur et me pencheras en avant. Tu m'arracheras mon slip, et tu m'enculeras devant tout le monde. Après ça, tu me laisseras là, le cul offert à ceux qui en voudront. Qu'est-ce que t'en pense ?
- Que ça pourrait déclencher une émeute.
- Mais toi, tu me protégeras ?
- Pas de problème !
Ca s'est passé exactement comme j'avais prévu, et finalement Gabriel a accepté de mettre au point quelques scènes bien gratinées.
Quand il m'a quitté pour aller s'asseoir dans la salle, pour me surveiller, deux gars m'ont attrapé par les bras. J'étais toujours à poil. Le premier s'est déculotté et s'est couché par terre. Son acolyte m'a poussé vers lui et m'a fait glissé à l'oreille :
- T'es fatigué d'être debout, non ? Ben voilà ton siège, dit-il en montrant la bite de son copain. Vas-y assieds-toi !
J'enjambais le gars et m'empalais sur la pine raide. Le deuxième me poussa sur son torse et s'agenouilla derrière moi. Il glissa ses mains sous mes fesses, releva mon cul, et s'y enfonça. Ma tête était dans le cou du mec couché. Un autre larron, le pantalon baissé, vint s'asseoir à côté. Il empoigna mes cheveux et releva ma tête. Il fourra alors sa bite dans ma bouche.
Gabriel avait tout filmé. A la maison, quand j'ai regardé le film, je me suis branlé plusieurs fois.
Gabriel avait des idées venues d'ailleurs. Un jour, dans un bus, au vu de tout le monde, il me caressait le cul, sans que personne ne réagisse. Pourtant, je voyais bien que certains étaient excités. Il m'a alors entraîné vers le fond, hors de la vue du chauffeur. Il a sorti sa bite, s'est assis et m'a fait mettre à genoux. J'ai pris sa bite dans la bouche et l'ai sucée. J'ai recraché le sperme sur le sol, et personne n'a réagi. Sauf une femme qui nous a regardé d'un air courroucé.

Gabriel m'a acheté des tenues venues d'ailleurs. Ca attirait vraiment les regards. J'y étais aussi pour quelque chose. Je me baissais, faisant semblant de lire quelque chose sur une affiche. Ca découvrait mes fesses, faisant s'éxorbiter les yeux des passants.

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