J'Ai Pervertis Ma Collegue N°4

De voici de retour, avec un nouveau pseudo et nouveau mail, mais pourtant c’est bien la suite de ma chère collègue Fannie, cette petite bourgeoise à qui je fais découvrir la perversité de la vie intime avec son consentement. Fannie ne demande qu’à continuer dans nos jeux, elle est demandeuse, mais jusqu’où est-elle prête à aller ? Pas facile à évaluer.

Samedi 14h, Fannie me téléphone pour me dire qu’elle a un rendez-vous près de chez moi et qu’elle aimerait bien me voir. Franchement je n’avais pas prévu et pas ment envie de la voir. Je lui dis donc de me rappeler éventuellement après et que je verrais si je suis disponible à ce moment-là. Un peu plus de deux heures plus tard, elle me téléphone. Bon d’accord, je lui dis de me rejoindre au pub. Fannie arrive et nous nous mettons à discuter.
-c’est quoi cette coiffure Fannie ?
-je sors de chez ma coiffeuse, elle m’a fait une permanente.
-ah oui ! Ok
-tu n’aimes pas ?
-oui enfin il y a mieux.
Fannie est un peu vexée et elle décide de partir. Je la ratt dans la rue, lui prend la main et l’amène chez moi. Elle ne se fait pas vraiment prier.
La porte à peine fermé, je plaque Fannie contre le mur.
-qu’est-ce qui ne va pas ?
-tu me critiques, tu n’aimes pas ma coiffure, j’en ai marre.
-oui et alors ? Je dois te dire ce que tu veux entendre ? Ta coiffure est bof, il y a mieux.
-tu es juste pas sympa, limite gougea.
-je dis ce que je pense. Si tu veux que je mente, ne compte pas sur moi. J’ai une amie coiffeuse qui te mettrait bien plus en valeur, que ta soit disant permanente.
Il y a un long moment de silence, puis Fannie rétorque.
-eh bien présente-moi ton amie.
-ok je l’appelle pour voir si elle n’est pas trop prise.
Je téléphone à Amina, une belle algérienne qui tient un salon de coiffure.
-bon ! Ok elle veut bien te voir mais ne pourra pas s’occuper de tes cheveux aujourd’hui.

Elle donnera son avis. Nous pouvons y aller dans 2 heures.
-Ah oui, mais… il faut que j’appelle à la maison pour prévenir que j’aurais du retard.
Fannie s’isole pour téléphoner à son ami. A son retour, je la bascule sur le canapé, lui retrousse sa jupe et retire sa petite culotte.
-c’est quoi cette culotte ?
-je ne savais pas que, enfin je n’avais pas imaginé que nous nous verrions et que…
Je me plonge dans son entrejambe et ma langue fouille sa toison pour trouver son intimité. Elle mouille déjà abondamment. Je recueille ce liquide qui coule dans son entrejambe et m’active sur son clitoris. Sans grand effort, Fannie libère son plaisir exprimant sa jouissance. Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits, je la retourne, la fait mettre quatre pattes, sort ma queue et la pénètre d’un coup. Son intimité est tellement lubrifiée que la pénétration est sans obstacle, sans retenue. Mes vas et vient sont par moment lent, langoureux, puis vigoureux, claquant mon pubis fortement contre ses fesses, arrachant à Fannie des râles de plaisir.
-alors tu ne pensais pas me voir aujourd’hui ?
-noonn !!!
-et pourtant tu es là, tu n’avais qu’à retirer ta culotte dans l’ascenseur.
-mais, je ne peux pas faire ça comme ça ?
Je prends Fannie profondément, encore plus profondément, un puis des doigts venant titiller son anus. Je crache dessus afin de lubrifier et d’y pénétrer un doigt qui qui s’active dans son fondement, augmentant la plaisir.
-si, quand tu viens me voir, je ne veux pas de culotte, point.
-oui, oui je ne le ferais plus promis.
-tu as intérêt sinon je te laisse et je passe à autre chose que toi.
-non ne fais pas ça, j’ai besoin de toi, j’ai trop besoin de toi.
-bon très bien, mais fais attention sinon je pourrais vraiment punir ou te laisser.
En prononçant ces mots je claque ces fesses fortement.
-aie aie… promis je ferais ce que tu dis.
Sans rien dire, j’amène Fannie au plaisir final mon membre dans son intimité et deux doigts dans son anus.
Le temps à Fannie de se réajuster et nous allons chez mon amie coiffeuse. Arrivée chez Amina, il reste une cliente dont son salarié s’occupe.
-ah salut toi, alors voilà celle dont tu me parles depuis plusieurs jours.
-oui, je te présente Fannie.
Amina ne perd pas de temps, très vite elle assoie Fannie dans un fauteuil, l’observe.
-je peux faire ce que je veux sur Fannie ?
-oui complètement, n’est-ce pas Fannie ?
-euh !!! oui, enfin je crois que… non non je préfère vous faire confiance, faite ce qui vous semble bien pour moi Amina.
La cliente qui quitte le salon nous regarde, puis quitte le salon. Amina appel sa salarié.
-Anaïs, tu peux faire un peu de rabe ce soir, j’ai cette charmante cliente et à deux nous irions plus vite ?
-Bien sur Amina.
Fannie, surprise, un peu perdue par cet empressement, cette précipitation ne dit rien et observe.
-moi je propose une coupe à la mode depuis déjà quelques mois. Tu m’as amené une jolie femme. Regarde cette photo, je pense que ça serait le top pour elle.
Je regarde le modèle et rapidement valide la coupe.
-et vous Fannie que pensez-vous de cette coupe ?
Amina lui montre la photo. Fannie écarquille les yeux en découvrant la coupe choisit.
-quoi ? Carrément, mais je ne suis pas sûr que …
Au même moment Anaïs fixe les poignets de Fannie au fauteuil avec des bracelets velcro.
-laissez-vous faire Fannie personne ne verra et saura.
-oui mais mon ami ?
-vous saurez le persuadé fannie, une femme sait être persuasive quand il le faut.
Sans perdre de temps les deux coiffeuses s’occupe de la coupe de Fannie. Moi je regarde cette action, une avancé supplémentaire dans la domination de cette bourgeoise, j’en tire une réelle satisfaction. Je regarde ce changement s’effec. Amina et Anaïs rigolent, plaisante avec Fannie durant la coupe, elles là mettent à l’aise, la prépare et la détende. Après une quarantaine de minutes Fannie est prête.

-voilà voilà Fannie, vous êtes maintenant toute belle pour mon ami.
Moment d’observation. Fannie découvre sa nouvelle tête. Moi je découvre la nouvelle coupe, carré court avec la nuque et les côté rasé, laissant apparaitre la blancheur du crâne de Fannie. Les cheveux lâchés personne ne peux savoir que Fannie à les cheveux très court. Fannie ne dit rien.
-alors ça te vas ?
-oui, surprenant.. ! Mais finalement c’est discret, j’aurais jamais osé faire cette coupe.
Amina pose sa main sur la nuque de Fannie et lui caresse.
-c’est très doux, vous avez les cheveux fin ce qui lui donne une telle douceur.
Amina s’approche et colle ses lèvres sur la bouche de Fannie, déposant un bref bisou.
-vous me plaisez beaucoup Fannie, mais j’ai déjà Anaïs.
Anaïs retire les attachent de Fannie.
-je suis la chose, la femme, la soumise d’Amina, voulez-vous que je vous face une toilette intime Fannie ?
-euh non, pour aujourd’hui ca va suffire je crois, j’ai besoin de comprendre ce qui s’est passé.
Je règle Amina et nous voilà sur le chemin du retour à mon appartement. Je propose à Fannie de monter pour prendre un café, ce qu’elle accepte.
-alors tu penses quoi de ta nouvelle coupe ?
-je crois que tu me fais faire vraiment tout ce que tu veux, je ne me reconnais plus.
-c’est pas ce que je te demande.
-la situation est étrange, je suis dans l’incompréhension de m’être laissé faire et à la fois dans l’excitation. J’ai été horrifié de me retrouver avec les cheveux si court, mais quand on me touche c’est agréable, en plus c’est relativement discret, personne ne peux savoir quand mes cheveux sont lâchés. Est-ce que ça me plait, je ne sais pas encore, R ne va pas comprendre je pense.
-moi, de toute façon, je veux que tu restes avec cette coupe, tu iras voir Amina régulièrement pour entretenir ces cheveux courts qui doivent le rester. Regarde les photos que j’ai pris.
Je fais découvrir à Fannie les photos prise avec mon smartphone durant sa coupe.
Elle est surprise du fait que j’ai pu prendre des photos sans lui dire et de se découvrir, de découvrir sa coupe au fur et à mesure.
-tu sais Fannie, ton mec, moi je m’en moque complètement. Tu connais l’accord. Dès que tu veux arrêter, tu t’arrêtes, mais ça sera définitif.
-non non ! Je ne veux pas arrêter, pas du tout, j’ai besoin de ce que je vis avec toi, mais jusqu’où je vais aller avec toi ? Je n’en sais franchement rien, moi qui étais fidèle, classique, droite dans mes bottes, là je suis à l’opposé de tout.
- oui, peut-être, je n’en sais rien. Moi je sais ce que je veux et ce que tu es, une salope de bourgeoise qui a envie de sortir de sa vie actuelle, alors on va continuer.
Je prends Fannie par la main et la tire vers moi.
- déshabille-toi.
Elle s’exécute. Je lui caresse le corps, découvrant son sexe poilu poisseux, mouillé. Ma main remonte sur sa nuque tondue.
-attache tes cheveux, je veux voir et toucher ce qu’Amina t’a fait.
Les cheveux attachés, je reprends la caresse de sa nuque, ma deuxième main s’insérant dans son intimité. Je sens Fannie se lâcher progressivement, je la pénètre de trois doigts, accélérant et accentuant mes vas et viens.
-tu aimes ça, tu mouilles comme une belle salope dis dont !
-oui III c’est bon, t’arrête pas, non continu à caresser ma nuque, c’est tellement bon.
Très bien, gagné encore une fois. J’ai touché encore un point sensible sur cette bourge….
Je retire mes doigts de son intimité et je commence à titiller son clitoris, là en peu de temps Fannie monte dans son excitation et part dans son plaisir.
-oh ouiii, je jouiiiiis.
Je laisse Fannie reprendre ses esprits.
-je vois que ton passage chez Amina n’a pas été inutile.
- je ne comprends pas, c’est quoi cette sensation, elle décuple mon plaisir.
-tu te lâches ma belle bourgeoise, c’est tout, tu es une petite salope qui aime jouir de partout et de tout. Viens me sucer maintenant. Attends, met ça dans ton minou.
Je lui tends un œuf vibrant.
-c’est quoi ?
-Met le et tu verras bien.
Fannie insère l’œuf. Je le mets en route ce qui lui permet de sentir les premières vibrations. Je lui prends la tête avec mes deux mains et la dirige vers mon sexe. Elle ouvre la bouche et commence sa fellation. Bien évidemment je joue avec l’œuf vibrant, montant, descendant la puissance, mon pied venant titiller son clito encore une fois. L’action des deux réunis, Fannie repart dans une excitation. Pendant qu’elle me suce, sa respiration s’accélère, je sens que je vais partir, me libérer dans sa bouche. J’augmente progressivement l’œuf vibrant pour arriver à la vitesse maxi. Durant pas loin de cinq minutes l’œuf est au maximum de ses vibrations, mon pied toujours à frictionner le clito, la respiration de Fannie étant de plus en plus forte et rapide. Je lâche mon jus au fond de la gorge de Fannie tout en appuyant le plus possible sur son bouton tout excité. Cette bourgeoise part encore une fois dans un plaisir silencieux avec ma queue en bouche.
-alors tu as compris à quoi servait cet œuf ?
-oui, là j’ai compris l’utilité.
- bon je crois que pour aujourd’hui tu as découvert suffisamment de nouveauté.
-euh ! Je crois que j’ai avoir besoin de me reposer maintenant. J’espère que R ne va pas être chiant.
-Chiant ? Pourquoi ?
- je ne sais pas, des fois il est gonflant.
-et bien pour éviter qu’il soit gonflant, à ton arrivé tu vas lui sauter dessus et lui faire l’amour. Je veux qu’il te prenne, qu’il se vide après tout le plaisir que tu as prise avec moi et tout ça sans te nettoyé la chatte. Tu vas lui demander de la lécher le sexe, comme ça il goutera à mon jus, sans s’en rendre compte.
-quoi, mais il va, enfin il va se demander pourquoi je suis autant mouillé.
-parce que tu as envie de lui et que ton passage chez la coiffeuse t’a procuré des sensations hors du commun.
-mais ce n’est pas correct, il risque de se rendre compte de quelques choses.
-correct moi je m’en fou et toi tu le trompe déjà alors ne me dis pas que tu es gêné. Se rendre compte je ne crois pas. Allez va te faire laper les poils de la chatte par ton mec, c’est mon défis, alors au boulot.
Fannie me regarde et ne dis rien, elle se rhabille.
-et n’oublie pas de m’envoyer un sms pour me dire que c’est fait, que tu t’es fait bien nettoyer la chatte par ton cocu de mec et qu’il ta rempli et pour preuve je veux que tu me fournisse une photo, n’importe laquelle, mais une photo.
Fannie ne dit rien et part retrouver son chez elle.
Deux heures plus tard un sms arrive.
« Tu avais raison il ne s’est rendu compte de rien, il a avalé ta semence et le reste. Pour ma coupe, il a trop rien dit. Promis la photo suit. A très vite ».
La photo à suivi, je garderais le silence sur son contenu. Maintenant ou vais-je encore pouvoir amener cette bourgeoise ?

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