La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 651)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°650) - Une surprise à bord -

Endymion MDE ne parvenait plus à se redresser ni se lever, il était éreinté et courbaturé. Tous ses muscles étaient douloureux, et c’était sans doute ses adducteurs qui le faisaient le plus souffrir, tant il avait dû garder les cuisses largement écartées. Pourtant le Maître lui ordonnait de faire vite, et d’aller rejoindre le skipper et de se mettre à sa disposition. A peine avait-il franchi le seuil de la cabine de pilotage qu’Etienne l’humilia, comme il aimait et savait le faire.

- Alors la trainée, t’es-tu bien fait tringler et remplir, telle une grosse pute ?

Endymion MDE ne répondit pas, il avait appris à accepter ses injures… D’ailleurs en étaient-elles ? Il baissa simplement la tête, et resta bras ballants le long du corps, à attendre un ordre, une autre humiliation, ou que sais-je encore. Le skipper tout en barrant, le fit approcher, lui attrapa un lobe fessier, le lui écarta et rapidement examina de près sa petite rondelle dilatée.

- Oh ouais… tu t’es bien fait prendre ! Ton trou n’arrive même plus à se refermer et en plus il suinte le foutre !

Pour vérifier ses dires, il planta sans la moindre difficulté, son majeur dans l’anus d’Endymion MDE.

- C’est fou ça… ça rentre comme dans du beurre… Ah des putes, j’en ai connu… mais des comme toi… et en plus ton cul est chaud bouillant… Je suis sûr qu’il a envie d’en prendre encore !

Le slip de bain du skipper dessinait une terrible excitation, mais Etienne en resta là pour l’instant. Il ordonna à soumis Endymion MDE d’aller chercher en cuisine, le plateau qu’il avait préparé et du jus de fruit frais qu’il trouverait dans un des réfrigérateurs, puis de remonter sur le pont arrière du bateau, pour aller servir les trois Dominants. Madame Gabriella et Monsieur Henri, en maillot de bain, étaient installés dans des transats, à l’ombre d’une toile tendue juste au-dessus d’eux.

Couchée à même le sol, à leurs pieds, la jeune soumise ne bougeait pas. Endymion MDE en la voyant fut très surpris. Il l’avait quitté avec une belle chevelure blonde, là, elle était totalement chauve. Plus la trace d’un cheveu sur la tête. Sur ces entrefaites, Monsieur le Marquis arriva, lui aussi en maillot de bain et s’installa dans le troisième transat.

- Sers-nous Ma pute ! lança-t-il à soumis Endymion MDE

Lui aussi, fut étonné de voir la femelle soumise sans un poil… Elle était parfaitement imberbe de la tête aux pieds. Il questionna ses hôtes. Ceux-ci lui répondirent qu’Estelle (c’était le nom de leur chienne soumise) leur avait demandé d’être rasés. Ils avaient accepté cette proposition, la jugeant intéressante et parfaitement humiliante. Monsieur Henri précisa encore :

- Lorsque nous la sortons, nous lui mettons une perruque sur la tête, tantôt blonde cheveux mi-longs, tantôt brune cheveux très courts, tantôt rousse… Ainsi, on a l’impression d’avoir trois femelles à notre disposition ! Tu sais mon cher Edouard, nous n’avons pas tes moyens financiers pour entretenir tout un magnifique cheptel d’esclaves comme tu as…

Il éclata de rire, en se frottant le ventre. Puis Madame Gabriella, sur un ton beaucoup plus précieux, intervint dans la conversation. Avec un brin d’hésitation ou de gêne, elle interrogea Monsieur le Marquis d’Evans.

- Mon Cher Edouard, nous aurons, en son temps à vous demander un petit service !
- Mais si je peux, ce sera avec grand plaisir Ma chère Gabriella.

Alors Madame Gabriella se lança. Elle expliqua que leur chienne Estelle leur avait demandé, il n’y avait pas si longtemps, d’avoir un . Eux, estimaient qu’il était encore trop tôt, car elle n’avait que vingt un ans, mais pensait qu’il était normal qu’un jour, elle soit enceinte… Bien que soumise, elle n’en était pas moins femme, et la nature faisait qu’une femme pouvait être mère, si elle le désire… Alors Monsieur Henri et Madame Gabriella avait jugé recevable cette proposition.


- Vous avez parfaitement raison ma chère Gabriella, je comprends parfaitement que vous ayez accepté cette proposition exprimée par son instinct maternel et naturel. Mais en quoi puis-je vous rendre service ?

Madame Gabriella resta un temps silencieuse, puis toujours hésitante reprit la parole.

- Tout comme vous mon Cher Edouard, avec vos esclaves, nous avons à cœur de rendre notre soumise heureuse. Nous lui avons donc précisé que nous accepterions cette maternité… (elle se tut longuement)… Mais pas à n’importe quel prix. Nous seuls déciderions, le moment opportun ! Nous seuls déciderions avec qui nous la ferions féconder. Elle en a parfaitement convenu, et sans hésiter un seul instant, elle a signé un document, attestant cela, que nous tenons dans notre coffre. Henri et moi-même pensons qu’il serait bon pour elle qu’elle soit saillie par un mâle soumis de son rang. Et c’est là que nous avons pensé à Vous mon Cher Edouard, ou tout au moins à Votre cheptel de chiens soumis. Nous sommes sûrs que l’un d’eux fera l’affaire, car nous savons la qualité de ceux qui sont sous Votre Joug…

Monsieur le Marquis d’Evans se gratta la tête en réfléchissant… L’idée lui plaisait effectivement. Mais il ne voulait pas imposer une paternité à l’un de Ses chiens soumis fut-ce un esclave soumis et obéissant.

- Ma Chère Gabriella, nous pouvons sans doute envisager la chose. Mais vous comprendrez aisément que celui choisi, ce chien soumis mâle sélectionné, devra sans la moindre contrainte, vous m’entendez bien, sans la moindre autorité, accepter d’être le géniteur.

Effectivement Madame Gabriella comprenait parfaitement et était tout à fait d’accord avec les propos tenus par Son Grand Ami, Monsieur le Marquis d’Evans. Le Maître se tourna vers son soumis, toujours planté immobile, debout, bras croisés dans le dos.

- Tiens, toi le chien, accepterais-tu d’être ce mâle géniteur ?, lança le Châtelain, presque en boutade.


A brûle pour point, Endymion MDE était dans l’incapacité de répondre, il était dans le mutisme le plus absolu. Voyant l’hésitation, le Maître reprit la parole aussitôt :

- Viens ici le chien, couche toi à Mes pieds, apporter une réponse immédiate à une telle demande est impossible. Je voulais simplement voir comment tu réagirais… et tu as très bien réagi Mon chien !

La conversation coupa court, le Skipper appelait à tue-tête Endymion MDE.

- Va Ma pute… va voir ce que veut Etienne. Ordonna le Maître.

Le skipper expliqua à l’esclave MDE qu’ils arrivaient à Fort de France en Martinique. Qu’ils allaient accoster quelques minutes seulement pour prendre deux autres passagers, un ami d’Etienne qui serait à bord pour le seconder, mais aussi une femme, une cuisinière pour aider à s’occuper des repas pour quelques jours. Pendant tout le temps de la manœuvre, soumis Endymion MDE resta près d’Etienne et suivait les consignes qu’il lui dictait.

- Renfile le caleçon la pute, et dès que nous serons à proximité de l’embarcadère, tu sauteras à quai pour arrimer le bateau, avec les bouts que je te lancerai.

Trop préoccupé par la manœuvre, soumis Endymion MDE, ne fit pas cas des deux passagers attendant près de là où le bateau accostait. Il attacha tel qu’Etienne le lui avait expliqué les bouts puis remonta tant bien que mal sur le Croix Rousse pour faire glisser la passerelle. Plié en deux, échine courbée, il fixait maintenant la passerelle à des anneaux arrimés au quai. A ce moment précis, il sentit une main lui caresser les fesses par-dessus son caleçon puis une voix lui dire :

- Alors soumis Endymion MDE, on ne dit plus bonjour correctement !

Étonné, il sursauta et se retourna. Face à Lui Madame Marie la cuisinière du Château était là. Alors, sans réfléchir, sans une once d’hésitation, soumis Endymion MDE, là, sur le quai se prosterna aux pieds de cette femme et lui adressa ses plus respectueuses salutations.


- C’est bien le chien, c’est bien… je vois que tu as gardé de bonnes manières, pour autant, redresse-toi vite, du monde te regarde.

En effet, quelques badauds interloqués étaient restés pantois devant l’attitude d’Endymion MDE, il attrapa les deux grosses valises et remonta à bord, suivi d’un homme jeune, d’une trentaine d’année, un certain Maximilien.

Monsieur le Marquis embrassa Marie chaleureusement, visiblement ces retrouvailles l’enchantaient :

- As-tu fait un bon voyage ma chère Marie ? Je suis heureux de te retrouver !
- Excellent Monsieur le Marquis, quel bonheur d’être ici, avec ce soleil. J’ai quitté le Beaujolais sous la grisaille et le froid…
- Je t’accompagne dans ta cabine, tu dois surement avoir besoin de te rafraîchir un peu, (puis s’adressant sévèrement à son soumis) … toi, apporte les bagages de Madame Marie et repars immédiatement au travail.

Le Croix Rousse largua les amarres et Endymion MDE regagna le poste de pilotage. Etienne était en pleine conversation avec Maximilien, lorsque l’esclave MDE arrivait. Il se fit interpeller immédiatement par une puissante gifle de la part du skipper :
- Qu’attends-tu pour te foutre à poil salope !

Effectivement, dans le feu de l’action, soumis Endymion MDE avait oublié d’ôter son caleçon. Il s’excusa promptement, et ôta ce vêtement poisseux et souillé. Sitôt nu, il prit une seconde gifle :

- Il me semble ne pas t’avoir vu saluer Monsieur Maximilien, la pute !

Maximilien regardait sans rien dire soumis Endymion MDE quelque peu tétanisé par ses erreurs et étourderies. Il le vit s’agenouiller devant lui, puis se prosterner en levrette. Il lui tendit le bout de sa basket, Endymion MDE la lui lécha avec empressement. Toujours sans rien lui dire, il attrapa l’esclave par un bras et le fit se redresser. Immédiatement, Endymion MDE prenait une attitude humble et respectueuse, il baissa la tête, croisa les bras dans le dos, écarta les cuisses. Maximilien le toisait avec arrogance. Il fit le tour de l’esclave, sans le toucher, juste en le regardant sévèrement. A un moment, il lui attrapa les couilles et sa nouille encagée en tirant le tout vers lui. Endymion MDE ne broncha pas, ses orteils se plièrent pour rester accrochés au sol. Maximilien le relâcha, puis lui attrapa les bras, et lui fit poser ses mains sur la tête. Il appuya sur son dos pour lui faire incliner le torse en avant, et une fois l’esclave en position, Maximilien se mit accroupi derrière lui. Il lui attrapa son fessier de ses deux mains, lui dégagea son sillon anal afin de mettre en évidence son anus. Maximilien se racla la gorge et cracha sur son trou. Son index étala largement le crachat, puis glissa en lui… Etienne tout en tenant la barre avait assisté au spectacle, pour une fois n’avait rien dit, mais son excitation était grandissante, alors il ne put s’empêcher de faire quelques commentaires humiliants.

- Tu sais Max, inutile de lui préparer le cul, il a tellement l’habitude d’en prendre des grosses, qu’un doigt glisse tout seul !
- Je vois ça ! lui répondit Maximilien très tranquillement en faisant aller et venir son doigt dans le cul d’Endymion MDE
- C’est une pute, et Monsieur le Marquis d’Evans souhaite que nous le considérions comme telle… Il est à notre entière disposition, jour et nuit, dès lors qu’il ne met pas ses trous au service des Dominants. Je crois que nous allons bien nous amuser avec cette docile salope…
- Bonjour les garçons ! lançait Madame Marie
- Bonjour Madame Marie, répondirent-ils ensemble
- Je vois que vous avez pris possession de l’objet, c’est une bonne chose, mais je vais en avoir besoin en cuisine.
- Vous avez la priorité Madame Marie, répondit Etienne. Et comment va Walter ?
- Bien, il va même très bien ! Il gère le cheptel au Château durant l’absence de Monsieur le Marquis, alors il n’est pas sans travail !

Maximilien aurait bien mis autre chose que son doigt dans ce cul, il se caressait la bite au travers de son jean…

- Désolé jeune homme, mais dès que je n’en aurai plus l’usage, je vous le confirai sans problème.

Madame Marie attrapa Endymion MDE par les cheveux et l’entraina derrière elle jusque dans les cuisines. Une fois arrivés, Madame Marie relâcha sa tignasse et ordonna :

- A genoux salope et mains sur la tête !

(A suivre…)

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