Bm... W !
Généralement, cest moi qui prends les devants : je quitte. Là, allongée contre moi, Gaby mannonce avec sérénité quelle désire mettre un terme à notre relation, invoquant le fait quon nira jamais plus loin « nous deux ». Pour ma part, les choses étaient claires dès le départ, nous prenions du plaisir ensemble, et puis « nous verrons bien où cela nous mène ! ». Aujourdhui, il ny a plus rien à voir, de toute évidence.
Ce petit bout de femme brune dà peine 1,60 mètre au corps dadolescente mavait plu au premier regard. Son regard de braise, ses cheveux noirs aux reflets de geai la rendaient simplement irrésistible, je navais pas hésité longtemps pour laborder et lui faire la cour. Femme de caractère, ce nest pas le premier soir que je lavais conquise ni le deuxième dailleurs. Chose originale, elle mavait embrassée passionnément alors que je la déposais devant chez elle, justement à lissue du deuxième rendez-vous. Ma main se posa alors délicatement sur son ventre plat, tout en savourant ses lèvres. Mimaginant déjà la découvrir quelques minutes plus tard, mes doigts remontaient lentement vers ses seins. Une fois que ma main fut parvenue à destination, elle me demanda si je bandais. À ma réponse positive, elle me dit alors :
Branle-toi, là, devant moi !
Déstabilisant, pour le moins, ce genre de demande. Jeus beau essayer de la convaincre de monter chez elle, ou bien de venir chez moi, rien à faire. Néanmoins, je mexécutai, espérant
quelle change davis.
Le siège en bascule de quelques degrés, je dégrafais mon bénard, baissais mon caleçon, et ma queue bandée bondit hors de sa cage. Ses commentaires furent aussi hot quélogieux, puis de nouveau, elle mintima lordre de me branler devant elle. Voyant quelle ne lâcherait pas, je me mis en branle de la main gauche, persuadé quen lui caressant le dos, ses lèvres viendraient à mon secours. Cest bien la première fois que je me branle au premier rendez-vous.
Ma main coulissait régulièrement sous le regard fixe de Gaby tandis quelle minvitait à lui montrer ma jouissance. Elle consentit à poser sa tête contre mon torse, ce fut ma condition pour jouir, sous peine de tout remballer. Ses cheveux dans mon visage, je menhardis quelque peu, et cest en létreignant fort contre moi que je lui balançai en plusieurs salves de mon plaisir en plein visage.
Ce nest que le lendemain que je découvris son corps dantilope, et ce fut également la dernière fois que mon sperme se perdit en sa présence. Pour lheure, cest notre complicité qui sabîme. Son désir de construire est plus fort que nos orgasmes, je peux le comprendre, et ne tente dailleurs pas de lutter : la coupe est fêlée, les dés jetés.
Comprenant que Gaby ne plaisante pas, je me lève, enfile mes vêtements, dépose un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, et sans un commentaire, me retire dans la nuit, la mort dans lâme. Une rupture, provoquée comme subie, est un échec, et il ny a aucune fierté à tirer, seulement un enseignement, tout au plus. Le Cintra maccueille royalement, étalant son tapis de zinc rien que pour moi, privilège réservé aux V.I.P. Pas une âme, on doit être proche de la fermeture. Le Canadian Club que me sert le barman me réconforte temporairement, la Camel brouille ma vue, et la musique dambiance me les brise menu. Au troisième Whisky, je me dis que noyer ma tristesse dans lalcool ne mapportera rien, et décide de retourner affronter la nuit. Lair cru me fait du bien, et marche au fil des rues, lalcool circulant dans mes veines mapporte un pseudo-réconfort salvateur. La nuit porte conseil, dit-on. Et cest vrai même sans ment dormir. Mes pas me portent à travers la ville endormie, et sans même men rendre compte, je me retrouve une fois de plus à lorée de ce grand parc où les hommes aiment à se retrouver quand vient le soir.
Assis sur un banc, jen allume encore une, et la ritournelle reprend : homme, femme, quand vas-tu choisir une sexualité et ty tenir ? Le temps test compté, un jour tu seras seul comme un con, tu verras.
Je peux masseoir ? Putain, je ne lavais même pas vu arriver, celui-là. Jacquiesce, il se pose à côté de moi, à la limite légale de promiscuité quun banc public tolère. Et il commence par la météo, alors que je nai rien projeté et surtout pas très envie de discuter. Je suis victime de mes pieds ! Ce sont eux qui mont tiré jusque-là !
Écoute, je ne suce pas, je ne baise pas, jai une toute petite bite, et ma copine vient de me larguer, je ne sais même pas ce que je fous là. OK ? Ça, cest dit, il va de cette façon probablement se lever et partir.
Désolé. La mienne aussi, elle sest barrée. Je me sens con, mais alors con
lâche-t-il.
Désolé, dis-je en me sentant soudainement idiot davoir été si brutal. Il y a longtemps ?
Un mois, maffirme-t-il. Et ce soir, il sest dit que peut-être il rencontrerait un mec sympa pour passer un moment, quil en avait assez de partager ses larmes et ses branlettes avec sa boîte de Kleenex. Le temps quil mexplique son cas, je le dévisage un peu. La quarantaine, bonne gueule, jeans, chaussures de cuir, un superbe blouson « fleur de cuir »
ce nest pas un indigent. Ses phrases sont formées, il sait sexprimer, et il est direct, au moins.
Puis il me demande ce qui mest arrivé
même si je ne baise pas ni ne suce. Il a de lhumour, au moins. À lévocation de mon dernier rapport avec Gaby ce soir même, il me qualifie de veinard, que ses besoins ont toujours été importants, et que ses burnes lui remplacent presque le cerveau. Et à brûle-pourpoint, il me demande si jai déjà essayé avec un homme. Il a de toute évidence faim, et ne perd pas de temps.
Disons que ce nest pas la première fois que je me retrouve là. Et toi ? ne désirant pas abattre toutes mes cartes dun coup.
Au lycée, avec un copain. Il ma sucé quelques fois, je lai branlé un peu, mais il en avait une toute petite, cétait frustrant.
On a une chose en commun : on naime pas les petites bites ! dis-je avec ironie
Ma femme ma toujours dit que jen avais au moins pour deux, risque-t-il alors, un peu décoincé. Ma bite aurait bien besoin dun peu de compagnie, ce soir. Tu
veux la voir ?
Je mapproche un peu de lui tout en disant que je nai pas trop la tête à la bagatelle, posant ma main sur sa bosse dun geste quelque peu désinvolte. Il savère tout de même que ce premier contact est fort sympathique, « ça » a lair bien dodu ; une verge très dessinée irradie ma paume dune douce chaleur. Bien que peu enclin à un banal plan qui se bornerait à une petite pipe derrière un buisson, là
je lui propose toutefois de nous isoler dans sa voiture, même si la nuit est calme. Il suffit que je me penche sur lui pour que quelques excités déboulent comme des mouches, et jargumente sur le fait que son jouet semble mériter un peu plus dintimité. Il accepte sans hésiter, mais me confie avoir tout autant le trac que lenvie, et sexcuse déjà dêtre un peu puceau sur ce coup.
Nous faisons quelques pas en nous rapprochant du parking, ce qui me permet de jauger sa démarche, et de voir que nous faisons la même taille. Sortant ses clefs de sa poche, il bipe et cest un superbe coupé BMW qui répond à lappel. Je siffle dadmiration alors quil minvite à monter côté passager. Les portes refermées, je lui propose de prendre la route vers la montagne. Nous pourrons alors discuter en roulant et voir autre chose que le cul
des voitures. Dans un délicieux feulement, la voiture sébranle
Tout en enchaînant les virages, Jérome me parle de sa femme, de sa beauté, de son corps
et mexplique que son boulot la tellement accaparé ces 2 dernières années, quil ne sest pas rendu compte à quel point elle sennuyait.
Je linvite à se garer sur un parking situé sur les hauteurs. De là, nous avons une vue magnifique sur toute la ville, et ce nest pas à une telle heure de la nuit que lon viendra nous casser les pieds. Ni les couilles dailleurs. Sur un fond musical sympathique, je me permets de lui demander pourquoi un beau mec comme lui ne cherche pas plutôt une nouvelle copine, ou ne se paie pas les services dune professionnelle, et vient chercher du sexe dans un endroit aussi glauque que ce parc ?
Depuis cette superbe pipe que ce mec ma fait vivre, jai un petit goût dinachevé, limpression de louper quelque chose denrichissant. Avant de me consoler dans les bras dune autre femme, il va falloir que joublie la mienne, et cest trop frais, il me faudra du temps. Et puis le cul dune femme, ça, je connais ! Un homme, ce nest pas la même chose. Enfin, jimagine ! Cest plus physique, moins cérébral, plus pour le sexe, je pense, enfin
jespère ! Et pas la peine de lui faire la cour des heures durant pour finir avec une fille qui ne suce pas ou ne sait même pas te rouler une pelle. Et puis jaimerais beaucoup goûter le sexe dun homme, savoir ce que cela fait de sucer.
Tout un programme ! Mais jai fait lamour juste avant de te rencontrer, je ne vais pas te la proposer. Par contre, jai beaucoup aimé ce que jai senti dans ton pantalon, assis sur le banc.
En revanche, moi je suis propre ! Tu ne suces vraiment pas ? risque-t-il timidement. Il est carré, franc, et a besoin dattentions particulières, le personnage est attachant. Lentement, lenvie de mettre un goût sur le sexe, dont ma paume a deviné les contours, me picotte le bout de ma langue.
Il ne faut pas écouter toutes les légendes urbaines, et encore moins y croire lorsque vient la nuit. Jaccepte de me pencher sur ton cas. Montre-la-moi vite. dis-je en retirant mon blouson pour être plus à mon aise.
Il recule son siège et dinstinct, sallonge pour que je puisse moccuper de lui plus aisément. Il dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon, puis relève également sa chemise. Même sil sagit dune pipe en voiture, un peu de sensualité ne nuit pas, je ne veux pas spécialement lessorer en quelques secondes. Ma main glisse dans louverture et rencontre une belle grosse bébête ainsi quune solide paire de couilles, confirmant que je ne devrais pas perdre mon temps. Naturellement, ses fesses se soulèvent et de ses doigts, il descend son pantalon jusque sur ses chevilles. Ainsi libre de ses entraves, il écarte de lui-même ses jambes, soffrant ainsi à mes yeux habitués à la pénombre, révélant pleinement la beauté de son solide sexe.
Son torse puissant et son ventre plat quasiment imberbe se terminent sur quelques poils pubiens entretenus, juste au-dessus dune belle verge renflée. Ses lourdes et volumineuses couilles sont parfaitement en rapport avec sa queue, il dispose dun sérieux matos, une belle arme, bandée au 3/4, le gland presque recouvert par un prépuce qui semble ronger son frein pour libérer toute lartillerie. Sa queue est à limage de sa voiture, cest une belle cylindrée !
Ma main droite vient malaxer ses belles grosses boules alors que la gauche traverse son abdomen juste au-dessus du pubis, mes lèvres lui chuchotant que son corps est passionnant, quil me donne envie de le goûter, de le sucer.
Putain
je sais que je ne vais pas tenir longtemps, jen ai trop envie. Suce-moi, s'il te plaît. Suce-moi vite, jai les burnes qui vont exploser tant elles sont pleines.
Comprenant limminence de la situation, je le maintiens par la base tandis que ma bouche se pose sur lénorme bonbon que forme son bout en pleine croissance, et descend en le décalottant, ce qui lui arrache un gémissement si caractéristique de labandon, ou de laboutissement. De la langue, je découvre la douceur de son beau gland, mattardant longuement sur le frein, ma main cajolant toujours ses testicules. La bouche pleine de salive, je dévale lépaisse hampe en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour souvent remonter lécher son gros nud maintenant en pleine érection. Sa solide queue occupe complètement lespace, plus jen avale, plus il en pousse ! Et, bien que je ne sois pas parti pour une aventure ce soir en traînant mes guêtres dans ce foutu parc, je ne regrette pas ce qui coulisse dans ma bouche en ce moment. Jérome bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le parcourent avec appétit, prenant autant de plaisir à le sucer quà lentendre me dire quil va hurler tellement je lui fais du bien.
Il ne tiendra pas, cest une évidence, mais cela na aucune importance. Ma fellation est douce, régulière, jouant cycliquement de la langue sur son gros gland dur, massant ses belles couilles pour bien les stimuler, et veillant à bien pomper sa hampe en laspirant fort pour la comprimer. À peine sept ou huit minutes de ce traitement suffisent. Il me crie de faire attention, car il va jouir, pensant probablement que je me vais me retirer pour le finir à la main !
Il est vrai que nous navons pas parlé des modalités avant, mais avec le plaisir que mapporte une telle queue, il est hors de question pour moi de gâcher linstant et de ne pas le laisser venir entre mes lèvres. Je garde le même rythme langoureux et le sens se tendre, se gorger de sang. À linstant où son bassin part vers le ciel, le majeur de ma main droite lui presse le scrotum tout en conservant ses burnes dans ma main. Ma main gauche enchâsse fermement la base de sa longue hampe, alors que de puissantes ondes le parcourent. Son sperme me claque dans la bouche, brûlant, fougueux, goûteux, en de longues giclées que je mempresse davaler. De nombreuses secondes, il jouit ainsi, violemment, semblant aussi incapable darrêter de crier son plaisir que de disperser son abondante semence, comme sil déversait dun coup entre mes lèvres lexcès de sa solitude e.
Comme à mon habitude, je raccompagne sa belle verge dans sa retraite, le léchouillant gentiment pendant quil se détend, avant de gober ses belles couilles pour les remercier du sperme quelles viennent de me donner. Son goût de mâle se combine alors à celui de son nectar, laissant à jamais son empreinte intime gravée dans ma mémoire. Délicatement, de la pointe de la langue, je parcours sa grosse bête maintenant au repos sur son ventre, baise son gland, et me redresse silencieusement, tandis que la radio lance Have a drink on me dAC/DC. Ironie ? En tous cas, je savoure le plaisir de lavoir fait jouir, et dégusté.
Je
je ne mattendais pas du tout
à un truc pareil. Je pensais
je ne sais pas, moi... que tu me finisses à la main ! Oh le pied que tu mas fait prendre ! Cétait génial. Je ne suis pas ton premier mec, cest clair.
Si, si, je tassure. Tu es le premier
de la journée ! Tu sais, je viens de me prendre un râteau, et je ne pensais pas du tout me retrouver entre les jambes de quelquun en déambulant dans les rues ce soir. Ni homme, ni femme. Jétais plutôt parti pour prendre une cuite, seul, dans un bistrot.
Y a pas dalcool dans mon sperme, je te le garantis, tu peux y aller tant que tu veux !
Tu as une queue formidable et un sperme délicieux, je pourrais te sucer toute la nuit ! Tu as exactement le genre de calibre que jaime prendre entre les fesses. Jaime les larges pénétrations, être rempli en douceur. Cest comme si ça ne sarrêtait jamais, on a le sentiment de goûter à léternité.
Heureux quelle te satisfasse. Wouahh, tu mas fait décoller. Tu es complètement bi ?
Sans trop lâcher son sexe, me voilà parti à lui expliquer mon amour pour les deux sexes, ma propension à pouvoir prendre du plaisir avec un homme lorsque son sexe me plaît, lorsquil est propre et sympathique, acceptant sans aucun problème quil me sodomise lorsque le courant passe bien, et que sa bite est éligible à lacte. Sucer, baiser, avaler, mais pas de pelles avec un mec !
Nous discutons ouvertement, et il nhésite pas à me questionner sur mon ressenti, ce que mapporte le sexe dun homme, si je suis viril lorsque je suis avec une femme, si la sodomie est douloureuse. Il mavoue ne jamais avoir pris une femme par derrière, que son épouse lui avait toujours systématiquement refusé ce plaisir, alors quelle adorait pourtant le sexe en général. Rien détonnant lorsque lon découvre le calibre de la bête, cest du XXXL, et peu de femmes raffolent de ce genre de jouet dans le croupion. Les mecs sont plus téméraires, ou plus masos ? !
À un moment, nous sortons en griller une, tous deux appuyés contre son capot de voiture, les lumières de la ville sétalant à nos pieds. De compagnie agréable, nous refaisons le monde, nous sommes bien là, à prendre le frais, et je le lui fais remarquer.
Euh
tu mas beaucoup soulagé ! ironise-t-il. On y prendrait vite goût !
Tu prêches un convaincu. Le foutre dun homme, si tu aimes, tu ne peux plus ten passer. Sucer, ça devient une addiction, cest un peu comme pour les vampires. Sucer sans aller jusquau bout, sans avaler, ou tout au moins laisser mon amant soublier entre mes lèvres, finalement, ne mapporte pas grand-chose. Et pour peu que la queue soit belle...
Tu me fais bander rien quà tentendre en parler. Tu peux me sucer encore un peu, s'il te plaît ? Cette fois, je devrais tenir un peu plus longtemps, si tu veux
Quoi, si je veux ?
En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre que tirer un petit coup... Décidément, ce mec commence à bien me plaire, et je réalise que depuis que je suis en sa compagnie, Gaby ne me manque finalement pas tant que cela. Cest incroyable, ce don quont certains mecs pour occuper lespace !
Pour toute réponse, je dégrafe mon pantalon, le fais glisser avec mon caleçon pour le retirer.
À poil au beau milieu de la nuit sur un parking à quelques dizaines de mètres de la route, mon côté provoc prend le pas, la situation, tout comme la belle bite de Jérome, mexcite.
Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en débouclant sa ceinture, satisfait de mon acquiescement. Je me penche sur lui alors quil dégrafe son pantalon, et sa belle queue luisante se retrouve livrée à la lumière lunaire. Ma main la lui agrippe et ma bouche ouverte lengloutit jusquaux couilles dune seule traite. Lui, cest ma tête quil att, appréciant mon enthousiasme, et son autre main vient caresser mes fesses libres daccès. Toujours sensuellement, je pompe son gros sexe gonflant rapidement entre mes lèvres, veillant bien à lhonorer sur le plus de longueur possible. Ma langue joue allègrement lorsque je nai plus que son gland en moi, je laspire fort pour lui tirer le sang à la tête. Ses petits cris de satisfaction me parviennent à peine tant la tâche mabsorbe, et ses doigts qui découvrent un nouveau terrain de jeu mémoustillent. Ils ne tardent pas à minvestir le rectum, à en tester la souplesse, lélasticité. Quelle est bonne, sa bite, bien renflée, volumineuse, son gros gland lisse tendre comme un énorme bonbon en gélatine
Alors que sa bonne barre bien humide de ma salive martèle mon visage, jaspire une à une ses boules fermes, nhésitant pas à les remorquer un peu pour bien laguicher, puis passe un bras entre ses jambes pour venir lui pétrir les fesses, tout en lui disant que sa queue me plaît, quil devra décharger au moins autant que tout à lheure, que je naime pas les petits joueurs, quil ne fasse pas semblant de bander lorsquil va me la mettre.
Je lui mords maintenant la hampe en parcourant sa raie du plat de ma main, et sens bien au travers des soubresauts de sa bite que cette caresse ne lui est pas indifférente, je mattarde vers son anus et le masse en appuyant mon index et mon majeur réunis, sans toutefois chercher à le pénétrer. Lui ne sen prive pas, me doigtant de plus en plus intensément. Mon cul se réveille, réalisant la potentialité de ce qui circule entre mes lèvres, et le plaisir que cette bite va lui procurer ! Cest son gland qui me pénètre de nouveau jusquaux amygdales, large au possible, gonflé à bloc. Cette pine me fait trop bander, il me la faut. Sa bite est enflée, ma bouche est grande ouverte, et il me traverse le crâne, je suis prêt.
Ta queue mexcite, jai trop envie que tu me prennes. Elle est si grosse, jadore ça ! Tu vas me « gabariser ».
Ca risque rien, tu es sûr ? Et si quelquun arrive ?
On sera plus nombreux ! Et toi, tu risques de me faire jouir très fort ! Laisse-moi faire, ne jouis pas trop vite et tout ira bien. Viens !
Je me mouille les doigts et menduit lanus de ma salive. Ce qui est pratique, cest que lorsque lon suce, au bout dun moment, la salive sépaissit et devient un peu gluante, remplaçant agréablement tout lubrifiant, jy ai souvent eu recours. Je men masse très fort les bords de mon trou pour bien lassouplir, il en aura besoin.
Par expérience, je sais que lorsque jai vraiment envie de me faire prendre, je peux y parvenir pratiquement à sec, avec un minimum dexcitation. Bavant copieusement sur son gland le temps de quelques aller-retour et je me redresse, prêt à me livrer.
Jai trop envie de la sentir me traverser le ventre. Viens vite me la mettre.
Sans perdre de temps, je me tourne et prends appui sur le capot tout en saisissant la lourde queue de Jérome pour lattirer entre mes fesses. Le contact mouillé de son gland contre mon anus établi, je le promène circulairement plusieurs fois en lui demandant de bien senfoncer en moi, puis le place juste à lentrée de mes reins.
Vas-y, viens jouir en moi, fais-moi hurler.
Dinstinct, ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien mouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre quil doit plonger graduellement. Son bout bien gluant de salive me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour limmobiliser quelques instants.
Je ne te fais pas mal ? sinquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !
Non, cest toi qui es surdimensionné, je prends juste le temps de mouvrir à ta queue. Viens, encule-moi lentement maintenant.
Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi timidement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que jai besoin quil recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse malgré lembonpoint de son membre, Jérome investit mes reins, et ses commentaires en disent long sur le plaisir quil en tire. Sa large queue me procure un plaisir fou en distendant mon trou au maximum alors que ses couilles sont encore loin derrière.
Ta queue est faite pour mes fesses, enfonce-toi bien profond, fais-moi jouir. Je veux que tu jouisses en moi, que tu minondes de ton foutre, brûle-moi de ta semence.
Mon invitation le motive, et en quelques coups de reins, le voilà planté jusquà la garde. Quil est gros, long, chaud comme un fer rouge. Ses couilles dans ma main, je lattire en moi en lui disant de ne pas me ménager, de menculer sérieusement, de penser à son plaisir avant tout. Lui me dit quil se sent bien en moi, que je suis profond, quil ne pensait jamais pouvoir toute me la mettre, et quil ne tiendra pas aussi longtemps quil le voudrait tant il est serré entre mes fesses.
Je place un genou sur le capot et mallonge de tout mon long, offert au maximum. Ses bourses viennent lourdement sécraser contre mes fesses à chaque plongée, marrachant des râles de plaisir. Il me calibre avec régularité, me faisant grimper au rideau avec une incroyable rapidité, certainement parce que je le désire véritablement.
- Tu me baises bien, tu sais déjà comment faire pour me faire vibrer. Jaime les grosses queues, et la tienne est si bonne... vas-y, vide-la en moi, décharge entre mes fesses, donne-moi tout !
Est-ce parce quil a mon assentiment ? Toujours est-il que ses râles sintensifient, et il me dit quil ne va pas tarder à jouir, de me tenir prêt. Ma main passe sous moi pour venir agripper ses burnes en répétant de me la mettre plus fort, de me remplir le cul de sa queue et de son foutre.
Soudain, il saccélère la cadence et plante dun coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles sécrasent contre le bas de ma fesse; dintenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il me semble être juste derrière mon nombril tant il est en moi. Raide, il palpite et menvoie dénormes giclées de sperme, généreux comme lorsquil a joui dans ma bouche un peu plus tôt. Lintense chaleur qui caractérise les éjaculations inséminantes traverse agréablement mon ventre, minondant de foutre, certes, mais surtout de sérénité, de bonheur. Léjaculation de Jérome me comble de ce plaisir indicible que seuls celles et ceux qui aiment recevoir le sperme de leur amant peuvent comprendre. Cest comme une onde de choc, une décharge électrique, à laquelle se mêlent le plaisir doffrir à celui de recevoir, mix de goûts et de sensations extrêmes. Et faire jouir un homme, dans sa bouche comme entre ses fesses, cest recevoir un véritable cadeau.
Totalement immobile en moi, le temps semble sêtre arrêté pour Jérome, il savoure son orgasme, le premier entre mes reins, et jespère déjà quil voudra bien réitérer ce délicieux voyage avec moi. Usant dintenses petites contractions, je le cajole en moi tout en le sentant doucement débander. Lentement, il recule, entraînant son sabre glissant hors de moi. Sans un commentaire, je me glisse à ses pieds, porte une main à ses bourses, tandis que lautre saisit sa lourde hampe mollissante à la base et remonte vers le gland pour récupérer les dernières gouttes que contient son urètre. Ma langue cajoleuse vient les recueillir directement sur son méat, puis mes lèvres se referment autour de lui pour le nettoyer avec beaucoup dapplication. Son délicieux goût me parvient, sa belle queue débandant lentement sous mes tendres coups de langue. Comme presque à chaque fois, je narrive pas à rendre un sexe qui mapporte tant de plaisir.
Tout en me redressant, je pose ma main sur ses belles couilles en lui disant quil ma beaucoup réconforté ce soir, quil ma donné ce dont javais besoin, alors que je pensais navoir besoin de rien. Maintenant, sil le désire, nous pourrions nous revoir
Alors quil me redescend en ville pour me déposer vers ma voiture, je sens sa semence glisser en moi. Le remerciant pour la qualité et le volume de ses éjaculations, je lui demande sil réagit toujours ainsi. Il avoue avoir une certaine facilité, et cest ainsi quune fois arrivés à destination, Jérôme me redonne sa belle verge à sucer. Son siège en couchette, cest sous lil attentif dun mec en quête de sexe venu voir qui débarquait quil décharge encore une fois entre mes lèvres gourmandes en me traitant dinsatiable. Remis de ses émotions, les couilles enfin vides, nous échangeons nos coordonnées. Nous convenons de faire quelque chose dès vendredi soir. Cela nous laisse deux jours pour nous reposer.
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