La Mante Religieuse. (8/14)

J’ai réussi à trouver le magot issu principalement d’un braquage fait par son mac du temps où Camille ma belle-mère faisait la pute à Toulon.
Je les ai cachés chez mamy Denise en faisant attention à ce que personne ne me voit.
De retour dans sa chambre je me remets à lire le dernier cahier qu’elle a écrit ou elle a inscrit su la couverture « Les jumeaux ».
Elle commence à parler des billets qui lui posent problème au moment du passage à l’euro.

• Chaque semaine j’ai pris l’habitude de descendre à Annecy à notre banque avec une liasse de billets que je vais changer.
J’ai déjà changé un quart de mon argent quand Albert mon banquier avec qui j’ai bataillé ferme l’an passé quand nous voulions racheter les terres de Victor à Denise car après sa mort elle a arrêté leur exploitation.
J’aurais pu la payer en liquide mais en bonne fille de la terre que je suis devenue j’ai eu peur de le faire au risque de faire parler les autres exploitants qui étaient sur les rangs s’étonnant que je paye en liquide une somme aussi importante.
Je voulais dans cette opération blanchir en bonne terre bien riche une petite partie du braquage fait par Luigi sans entrer dans les détails à Albert bien sûr.
Il avait fini par me l’accorder sans contrepartie se contentant de regarder mes seins que je lui montrais généreusement ayant bien senti son regard trop connu pour moi des garçons qui espérait monter avec moi pour leur simple belle gueule dans ma rue de Toulon.
L’échange des billets se faisait sans encombre du moins je le pensais jusqu’au jour où la caissière me demande d’aller voir Albert alors que je suis avec mes deux fils.

• Bonjour Camille excuse-moi de te déranger mais depuis quelques semaines tu viens régulièrement changer des liasses de francs en euros, on me l’a signalé et je dois savoir la source de cet argent car je suis garant des fonds qui transitent ici.
En caches-tu sous ton matelas ?
• Non c’est un petit héritage que j’ai fait et principalement une somme en liquide.


• Que tu as oublié de déclarer.
• On voulait trop m’en prendre.
• Je te comprends mais c’est illégal il va falloir que je te demande de tout amener et de voir comment on peut arranger ton affaire.
• C’est facile, si tu fais quelque chose pour moi je serais généreuse.
• Ma banque me paye bien et il est inutile que je prenne des risques même pour une amie.
• Amie comme tu y vas, certes l’an passé quand nous avons bataillé sur l’emprunt que je t’ai demandé nous avons fini par nous tutoyer mais aujourd’hui il est hors de question que je perde un centime sur ces transactions, tu ignores par où je suis passé pour avoir le droit à cet héritage.
Et si notre arrangement était autre.

En disant cela je remontais légèrement ma robe montrant à Albert que s’il le désirait je saurais être peu farouche.
Une queue de plus venant en plus me donner le plaisir qui me manque depuis la perte de mon amant sera la bienvenue autant qu’utile.

• Approche, j’aime ta proposition nous allons nous entendre.
• Pas aujourd’hui une femme est une femme et de plus mes garçons attendent dans le couloir.
• Quand ?
• Mardi prochain je descends au marché comme toutes les semaines et personne ne trouvera suspect que je passe à la banque pour régler un différend qui va se prolonger.
• Bien, la semaine va être longue, mais si c’est ce que tu veux, je m’incline.
Fait moi voir tes seins pour me faire patienter.

J’ouvre mon chemisier et je lui montre mes seins ce qui semble le satisfaire car il décroche son téléphone et donne l’ordre de changer mon argent.
La semaine suivante j’ai amené dans un cabas un paquet de franc assez conséquent pour qu’il les change .

• Dis donc Camille je croyais que c’était un petit héritage, d’accord pour tout changer mais chaque fois j’espère que tu tiendras ta parole.
• Regarde, je suis prête, j’ai confié mes s à ma voisine Denise, mais avant appel ton personnel pour que mon argent soit échangé.


Je soulève ma jupe montrant que j’ai oublié de mettre ma petite culotte mais depuis ma journée comme majorette à Nice c’est monnaie courante.
Il passe un coup de téléphone et je la fais redescendre quand on frappe à sa porte.
La jolie blonde du guichet entre.

• Muriel, madame va venir vous voir en sortant après que nous avons regardé avec elle un dossier qui la concerne, préparer le change de cette somme.

Je la vois sortir avec un petit air narquois, vais-je faire partie d’une longue liste de transaction douteuse qu’Albert règle comme il s’apprête à le faire en détachant sa ceinture sans sortir de son fauteuil de ministre s’étant simplement reculé pour le faire pivoter et que je puisse venir m’agenouiller devant lui.
Ma longue pratique des fellations semble l’étonner car je pense qu’il avait comme plaisir de contraindre une honnête mère de famille à venir dans cette position pour l’humilier, montrant par la même toute la puissance que sa fonction lui profère.
Combien de ces femmes se sont-elles senties obligées de se prosti dans ce bureau car pour moi aucune différence entre une fille comme moi dans ma jeunesse et celle qui comme je le fais s’agenouille devant lui pour essayer d’obtenir la reconnaissance de son dossier.
Une pipe de plus quand il a sorti son sexe noueux qu’il masturbe pour le faire grossir et me l’enfoncer plus profondément dans ma gorge.
Dommage que j’aie encore quelques paquets de billets à changer car je l’aurai bien émasculé d’un grand coup de dent, mais en brave fille que j’ai appris à être auprès de Luigi je le pompe du mieux que je sais faire.
Il m’arrose les amygdales et veut que je me relève pour rebander en me suçant la chatte.

• Non, non, Albert minette ce sera la semaine prochaine, une pipe pour le paquet que je vais récupérer à la sortie est bien suffisant, tient regarde ma chatte une nouvelle fois et rêve de la pénétrer toute cette semaine.
• Salope.

• Je suis contente que tu t’en aperçoives, tu te crois tout-puissant mais sache que nous les femmes, nous serons toujours plus putes que vous.
À la semaine prochaine même heure, j’ai aimé le goût de ton sperme.

Et fièrement je quitte l’agence bancaire ayant récupéré mes euros au guichet la belle blonde me regardant d’un air ironique.
Arrivé à ma voiture je sens quelque chose couler aux commissures de mes lèvres, je comprends le sourire narquois de la caissière quand passant mon doigt je constate que quelques gouttes de sperme sont parties sur ma joue.

Je suis une fois de plus subjugé de la manière dont Camille écrit ses relations extra conjugales comme sait le faire une fille de joie ayant vécu des situations insolites tout au long de sa vie.
Épuisé de fatigue je m’endors sur ma lecture d’un sommeil plein de billets de banque chaudement caché dans la remise de mamy Denise.

Au matin le jour s’étant levé j’entends une voiture entrer dans la cour.
Ayant l’habitude de ces mouvements depuis que je suis arrivé c’est une nouvelle fois la voiture de gendarmerie conduite par William qui s’arrête devant notre porte accompagné d’une gendarmette.
Je passe dans la chambre des jumeaux enfilés les vêtements qui s’y trouvent et je descends lui ouvrir, il a sa mine des mauvais jours.

• Noami, ton mari est ici.
• Non, il est à la fac depuis quelques jours jusqu’à samedi matin.
• Non, des collègues s’y sont rendus et depuis la fin de l’année de fac dernière il l’a quitté ayant été recallé entre la deuxième et troisième années de médecine.
Plus personne ne l’a revu.
• Première nouvelle, j’ignorais ce fait et certainement ses frères aussi.
• Tout du moins ceux qui restent, car en plus de cette constatation nous avons une autre mauvaise nouvelle à leur annoncer et à toi aussi.
• Tu peux y aller William, depuis quelques jours nous sommes habitués.
Julien et Jules sont partis dans les terres du bas finir la moisson, l’orage a grondé toute la nuit sans éclater pour le moment tu les trouveras là-bas sans que je puisse te dire ou ils sont exactement.

Mais que se passe-t-il encore ?
• Camille ta belle-mère s’est suicidé cette nuit en sautant du toit de l’établissement où les services l’avaient placé.
Pour une fois sa mort est naturelle comme celle d’Hubert l’autopsie que j’ai diligentée après les décès en cascade dans cette famille est due à une cirrhose du foie qui était complétement dégénéré.
Mauricette, tu gardes la voiture, je vais faire un tour dans la maison avec Noami pour voir si Aurélien son mari est bien absent des lieux, je me demande à quel jeu il joue en ayant disparu dans la nature et pourquoi ?
Peux-tu me faire entrer ?

Ignorant les droits des gendarmes enquêtant sur une affaire si affaire il y a, je le laisse entrer afin d’éviter qu’il n’est des soupçons sur moi.

• Je peux monter à l’étage.

Grâce à mon calme j’arrive à lui cacher la grande frayeur qui s’empare de moi, des chambres, seule celles des jumeaux ou j’ai forniqué une partie de la nuit les lits sont ouverts et s’il va dans celle de Camille et Hubert il va trouver les cahiers que j’ai imprudemment laissé traîner dessus les saisissant à coup sûr.

• Après réflexion bien qu’Aurélien soit absent je me demande s’il est bien légal que je te laisse seul fouiller la ferme.

Tout en s’apprêtant à me répondre il entame un mouvement lui permettant de se rapprocher de moi.

• Tu es perspicace Noami, je voulais simplement être seul avec toi.

Disant ces mots il me prend par la taille et me plaque contre son bas-ventre.

• Depuis que je t’ai vu la première fois ou je t’ai croisé je bande pour toi et j’aimerais te donner le plaisir que ton mari semble te refuser en ayant disparu depuis plusieurs jours.

En prononçant ces paroles il passe sa main sous ma jupe et trouve ma chatte dénudée.

• Tu vois ma belle, j’avais raison de m’isoler avec toi je sens que tu m’attendais et que tu mouilles pour moi, c’est l’homme ou la tenue de gendarme qui te fait fantasmer comme la plupart des femmes que je baise dans la région depuis que j’ai réussi à me faire nommer ?
• William, je suis mariée et s’il est vrai que je suis sans culotte étant en train de me préparer quand tu es arrivé, si tu atts Aurélien et que tu me donnes un motif valable de sa disparition je suis prête à céder à ton envie, tu dois comprendre que la disparition de Camille m’empêche de te faire l’amour dans sa maison aujourd’hui.
• Un simple baiser et je te laisse.
• Un baiser et je crie pour que ta collègue m’entende et se pose des questions sur ce que nous faisons dans cette maison.
• Garce, je vais devoir attendre mais sois sûr qu’un jour je te baiserais à te faire jouir comme aucun homme même ton mari ne l’a fait, tu verras je suis un très bon amant.

Soulagé, devant digérer la mort de ma belle-mère une larme me venant aux yeux je le vois rebrousser chemin et partir du pas de la porte.
Prestement je monte à l’étage, je vais dans la chambre qui aurait dû être ma chambre nuptiale et j’ouvre le lit, je me vautre tout habillé dedans pour faire croire que j’y ai passé la nuit au cas où lui ou un de ses collègues demanderaient un mandat de perquisition pour fouiller la maison à la recherche de mon mari.
Dans la chambre de mes beaux-parents je retape le dessus de lit et je récupère tous les cahiers que Camille a écrits…

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