La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 652)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°651) - Une cage de chasteté improvisée -

Dans l’espace cuisine, Madame Marie arpentait de long en large devant soumis Endymion MDE agenouillé et quelque peu pressé de savoir quel sort lui réservait-on… Il comprit bien vite qu’il devrait être patient, parce que Madame Marie, en bonne cuisinière qu’elle était, le laissait mijoter dans cette parfaite humilité, là, devant elle, nu et offert. Il ne bougeait pas d’un iota, respirait calmement, attendait tranquillement en étant extrêmement vigilant. Il savait qu’un ordre pourrait être donné à tout moment et qu’il devrait l’exécuter dans l’instant. La cuisinière s’intéressa enfin à l’esclave MDE. Du bout de ses doigts, elle lui souleva le menton et le regarda longuement, mais étrangement sans sévérité, un regard vif, comme si Madame Marie s’apitoyait sur le sort de ce soumis MDE. Elle se décida enfin à lui adresser la parole.

- La première fois que je t’ai vu au Château, mon cher Endymion MDE, j’ai su immédiatement que Monsieur le Marquis d’Evans arriverait à ses fins et ferait de toi un bon chien soumis. Par ta façon d’être, de te comporter, d’accepter, j’avais tout de suite compris que tu portais en toi ces gènes indispensables qui te permettraient de te soumettre et d’obéir strictement et aveuglément, sans de réelles difficultés. Je savais que ton épanouissement personnel passerait par cette relation D/s. Je ne m’étais pas trompée. Mais à l’époque, au cours d'une conversation avec Monsieur le Marquis, qui lui aussi avait bien relevé toute ta potentialité, il m’avait dit qu’il voulait faire de toi, bien plus qu’un esclave assujetti et asservi, sans me donner plus de détails. A vrai dire, je n’avais pas très bien compris ce qu’il souhaitait vraiment…

Madame Marie relâchait le menton d’Endymion MDE, puis alla se servir un grand verre d’eau fraîche. Elle revint face à l’esclave MDE, toujours interrogatif, se demandant bien ce que voulait Madame Marie et qu’elles étaient ses intentions ?

- Regarde-moi le chien ! exigea-t-elle.



Elle but à petites gorgées sereinement le contenu de son verre tout en toisant longuement de la tête aux pieds l’esclave MDE puis elle reprit la parole devant Endymion MDE celui-ci toujours parfaitement humble et immobile.

- Te rends-tu compte, du cheminement parcouru en l’espace d’un an seulement, presque jour pour jour ? Tu es passé du stade de chien errant, au stade de chien au Chenil puis du chien soumis Endymion MDE enfermé dans les Nobles Cachots du Maître. Te rends-tu compte de tout ce bouleversement ? Et je ne te parle pas de ce marquage que tu portes à vie sur ton cul… Et puis, il y a eu cette école, cette Noble institution qu’est la Slave Académie BDSM-MDE, qui t’a encore transformé, sinon métamorphosé…

Madame Marie se tut encore un instant, elle caressa la joue d’Endymion MDE, un geste tendre et bien peu habituelle de sa part…

- Oui disais-je… qui t’a transformé et métamorphosé, pour faire de toi… une…. Une… (elle haussa le ton) une pute, une vraie grosse pute… et fier de l’être si j’en crois les dires du Maître, une vraie catin sans cesse obnubilée par ces désirs et pulsions sexuelles, les exhibant avec vérité, spontanéité et véracité. Tu imagines ce que tu es devenu en l’espace d’un an ! Une simple grosse pute esclave …

Madame Marie reprit son souffle, puis peu après, exigea :

- Redresse-toi maintenant et tiens-toi debout la pute, mains dans le dos, cuisses écartées, jambes légèrement fléchies et reins bien cambrés au maximum. Montre-moi comment une pute doit se tenir et se présenter !

Madame Marie sortit de sa poche une petite clé, celle de la cage de chasteté de soumis Endymion MDE. Elle déverrouilla le cadenas et dégagea son membre de cet étui en plexiglas. La bite prit immédiatement une belle ampleur. Madame Marie lui branla la queue et lui caressa les burnes. Endymion MDE, bras croisé dans le dos se laissait masturber sans broncher tout en contrôlant ses envies jouissives.
Il savait qu’il ne pouvait pas se laisser aller sans qu’une autorisation ou un ordre lui soit donné. Là, rien n’avait été dit ! Mais Madame Marie maintenant tenait cette bite à pleine main et s’acharnait sur elle par des vas et viens tantôt lents, tantôt rapide, jusqu’au moment où l’esclave MDE commençait à bien gémir et se tordre dans tous les sens.

- Ne bouge pas chienne, laisse-toi traire sans moufeter ni te trémousser, et surtout ne jouis pas !

Les choses étaient dites, la jouissance interdite ! Madame Marie employait une énergie folle, avec dextérité cette main allait et venait sur cette bite tendue, alors qu’Endymion MDE suppliait

- Madame s’il…. S’il vous plait, arrêtez, je vous,… Je vais !

La cuisinière lâcha la queue subitement, laissa un répit de trente secondes seulement et recommença à branler le chien soumis MDE

- Madame, je…. Je vous en supplie, je … je vais juter !

Elle s’arrêta et recommença encore et encore, stoppant toujours avant le point de non-retour, jouant avec cette bite prête à exploser à tout instant. Elle aimait entendre l’esclave MDE gémir et le voir se tordre et supplier, le sentir désarmé et tétanisé, implorant de ne pas le laisser jouir. Elle seule pouvait décider, elle seule avait le pouvoir, toute l’autorité et la suprématie sur ce malheureux chien soumis MDE tenue par la queue, seulement par la queue, rongé et dévoré par ces plus intimes désirs, sans pour autant les goûter, les savourer et s’en rassasier. Le sexe était devenu pour lui une véritable addiction, un aspect incontrôlable de sa vie elle-même. Il avait appris en l’espace d’un an seulement à consentir et accepter cette forme d’anéantissement qu’était son besoin sexuel. Tel un toxico du sexe, Il ne pensait qu’à ça ! Qu’il était bon pour lui d’avoir une bite dans la bouche ou dans le cul, une chatte ruisselante, sous sa langue, un cul à dévorer ! Monsieur le Marquis d’Evans l’avait conduit, en l’espace d’un an seulement, à n’être plus qu’un pantin d’une libido qu’il ne contrôlait plus, à son plus grand plaisir.


- C’est bien la pute, tu sais retenir tes souillures !

Madame Marie regarda le soumis penaud et frustré tout en lui tenant fermement les couilles, les triturant même…

- Elles ont pris un beau volume tes burnes, bien que pleines, elles sont devenues très souples et bien distendue. Le travail exercé sur elles, au cours de ton stage à la Slave Académie a produit un bel effet, elles sont désormais bien pendantes d’entre tes cuisses, ne trouves-tu pas le chien ?

Il était vrai que les exercices imposées sur ses burnes, pendant ces deux mois passées en cette Noble Académie, les lui avait étirées et bien allongées, soumis Endymion MDE ne pouvait qu’acquiescer. Alors Madame Marie pensait qu’il fallait absolument poursuivre ce traitement, lui vint alors une idée.

- Reste ainsi chien, je reviens !

Lorsqu’elle réapparue, elle tenait en mains quatre fines tiges de bambou, d’une soixantaine de centimètres de long. Elle demanda à Endymion de poser son torse sur la table en inox et d’écarter largement les jambes. A peine fut-il en position qu’il sentit une main lui saisir les couilles, les tirer vers l’arrière et les lui remonter sur sa raie anale. D’un geste rapide et précis, elle coinça les burnes du soumis MDE entre les deux tiges de bambou. Avec des morceaux de caoutchouc élastiques, elle fixa les tiges, tenues derrière les cuisses, les faisant tenir entre elles, tout en comprimant et en étirant par l’arrière, le scrotum du chien soumis.

- Redresse toi maintenant salope.

Endymion MDE eut bien du mal à respecter l’ordre donné, il lui était impossible de tenir parfaitement droit, tant son sac était maintenu étiré par derrière les jambes. Madame Marie, pourtant exigea vicieusement qu’Endymion MDE se redresse plus encore et qu’il lui présente sa nouille, maintenant semi-bandée. Elle tira sur le prépuce pour bien dégager le gland, et lorsque celui-ci vous fut entièrement découvert, elle posa les deux autres tiges de bambous juste à la base du dit gland et les fit tenir entre-elles de la même manière que celles enserrant ses couilles.
Les quatre tiges de bambous furent attachées par deux liens de part et d’autres des cuisses de l’esclave MDE. La contrainte était terrible, mais agréablement jouissive sur le plan mental, tant le soumis MDE se sentait tenu fermement et par les couilles et par la bite. Madame Marie semblait très perversement heureuse elle aussi, fière de cette belle réalisation :

- Une cage de chasteté différente de celles que tu portes habituellement le chien, peut-être un peu plus encore contraignante, mais certainement plus encombrante ! (elle se mit à rire). En en plus avec un avantage certain… celui de te faire tenir quelque peu incliné vers l’avant, dégageant bien ton cul salope, ainsi prêt à te faire enculer à tout moment, n’est-ce pas la pute ?

Madame Marie était d’une perversité sans nom, elle exigea qu’Endymion MDE travaille près d’elle ainsi affublé, pendant toute la préparation du repas, et lorsqu’il eut fini les peluches et la plonge, il dut montrer son accoutrement aux deux skippers. A peine fut-il dans le poste de pilotage, qu’il fut assailli par des remarques autant perfides qu’humiliantes. Etienne, jamais en reste, tira le premier :

- Ouah… superbe ton maillot de bain, un maillot de bain de pute !

Il s’esclaffait alors que Maximilien regardait de près l’appareillage… Mais Etienne reprenait de plus belle :

- Il doit être bien difficile de s’assoir avec ça, tiens la pute grimpe là-dessus et montre nous comment fais-tu !

Il donna au soumis MDE un tabouret un peu haut, et exigea de le voir confortablement assis. Et comme l’esclave MDE n’y parvenait pas, alors lui et Maximilien le saisir par-dessous les bras et l’installèrent sur ce siège, une belle en fait, les couilles d’Endymion étaient écrasées par le poids de son corps. La douleur exacerbait les pulsions masochistes de l’esclave MDE, sa queue cherchait à se rebeller et voulait se redresser. Impossible bien sûr pour elle de s’épanouir comme elle aurait voulu le faire. L’étau sur son gland se resserra un peu plus encore et l’envie de bander était forte, tant ce supplice lui était mentalement délicieux et physiquement douloureux.

- Regarde-moi cette pute, elle cherche désespérément à bander ! Ca m’excite tout ça, tiens regarde, moi aussi ma queue se tend, et si nous l’enculions chacun notre tour ?

Endymion MDE fut de nouveau soulevé par les bras et poussé contre l’un des deux petits lits se trouvant de part et d’autre de la cabine de pilotage. Etienne exigea qu’Endymion MDE se tienne en levrette et que son cul se prépare à l’assaut. Il commençait à s’astiquer la bite, mais au moment même où il posait son gland turgescent tout contre la rondelle de l’esclave MDE, le Maître entrait.

- Désolé Messieurs, j’ai besoin de Ma pute de chien !

Qui des deux protagonistes fut le plus frustré ? Le skipper ou Endymion MDE ? Le Maître ne laissa pas le temps de plus réfléchir. Il dégagea la nouille et les burnes de Son chien et l’emmena sur le pont arrière du Croix Rousse. Le bateau avait jeté l’ancre et mouillait au centre d’un lagon bleu azur, là, à une cinquante de mètres, un petit ilot seulement peuplé de cocotier, avec une plage au sable blanc pur, semblait être accroché entre ciel et mer. Sous leurs yeux, une multitude de petits poissons exotiques virevoltaient dans tous les sens.

- Un petit bain va nous faire du bien, ne crois-tu pas mon chien ?

Monsieur le Marquis d’Evans quitta son short et plongea nu le premier dans cette eau chaude, limpide et translucide. Endymion MDE peu après en fit de même et retrouva le Maitre, tous deux partirent en nageant en direction du rivage de cette petite ile déserte. Arrivés sur la plage, le Maître et Son chien soumis tels deux explorateurs s’éloignèrent ensemble pour reconnaitre les lieux sauvages et de toute beauté. L’ile était habitée seulement par quelques rares oiseaux. Des cocotiers avec leurs troncs courbés avaient poussé ici par un pur hasard. Endymion MDE avec des yeux d’ découvrait ce formidable Eden oubliant presque son statut de chien soumis aux Pieds du Maître. Mais celui-ci, le lui rappela soudainement.

- A genoux, Mon chien, et mains sur la tête.

Le Maître lui tendit sa queue salée et quelque peu rabougrie comme engourdie. Mais au contact de la bouche d’Endymion MDE, elle reprit très rapidement, un beau volume, et lorsqu’elle fut en totale érection, le Maître exigea de Son soumis qu’il se couche à plat dos sur le sable brulant, écarte et relève les cuisses et lui tende son cul. Endymion MDE se fit enfilé, un coït lent et profond, d’une sensualité extrême, en parfaite harmonie avec ces lieux paradisiaques. Au bout d’un bon quart d’heure, Monsieur le Marquis d’Evans succomba et se laissa aller, envoyant son jus abondant au fin fond des entrailles de sa pute MDE. Le Maître totalement apaisé, resta encore emboité en lui un long moment, profitant de ce cul chaud et accueillant lui appartenant. Lorsqu’il se releva, il exigea qu’Endymion MDE, toujours couché sur le dos, se masturbe et jouisse devant lui.

- Qu’attends-tu pour avaler ta semence ! Ordonnait-il encore.

L’annexe du bateau venait d’accoster, avec à son bord, tous ceux présents sur le Croix Rousse. Madame Marie venait de décider que tous pique-niqueraient ici, à l’ombre d’un cocotier ! ...

(A suivre…)

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