La Thésarde. Fin
LA THESE
Fin
Ce sont mes premières paroles dans cette pièces. Plutôt des balbutiements. Ils mordent mes seins. Les doigts dans mon cul et dans ma chatte me procurent des pulsions frénétiques. Ils me faut leurs sexes.
- Prenez-moi... Vite...
- A toi de choisir Eric ...
Eric se couche sur le lit. Je lenjambe. Je massoie sur lui. Son sexe se fiche dans mon vagin béant. Je pousse un feulement de plaisir. Son gland va loin. Très loin dans mon antre liquéfié. Je mempale avec bonheur sur sa bitte bien droite. Il me pince très fort les seins. Je vais devenir folle. Je commence à le chevaucher. Je sens son vît racler mes paroi et je serre les dents pour contenir le plaisir qui monte en moi.
Il tire mes seins vers lui mobligeant à me pencher. Il me serre contre lui. Mon torse frotte contre le sien. Je suis complètement ouverte, investie par ce pieux. Cest lui qui donne des coups de bassins et fait coulisser son mandrin dans ma chatte. Ma bouche se plaque contre la sienne. Sa langue investi mon palais.
- Restez comme ça... Gardes la comme ça.... Ecartes tes jambes Eric.... Ouvre la bien...
Il le fait mouvrant encore plus si cétait encore possible. Ses bras musclés entourent mon torse pour bien me coller contre lui. Une de ses mains plaque ma tête contre la sienne. Sa langue fouille ma bouche aussi loin que son sexe ma chatte. Je reste comme cela, pantelante de désir, à subir ses assauts virils.
Jai un peu peur quand je sens une pression sur mon anus dévoilé. je me tend. François le comprend.
- Naie pas peur chérie... Tu dois avoir lhabitude....
Dans sa bouche, le mot chérie avait un coté trivial ou vulgaire sans aucune tendresse, même si il y avait une certaine douceur. Je navais jamais offert ce passage à mes amants précédents. Bien sur certains avaient essayaient de me convaincre de les laisser entrer par là. Je my étais fermement opposée. Mais à cet instant précis, je navais ni la force ni lenvie dopposer la moindre résistance.
- Tiens la bien Eric.... Essaies de ne pas trop la faire bouger..... Cest dommage que tu ne puisses pas voir ce petit trou tout plissé...
- Y a du gel dans le tiroir de la table de nuit si tu veux.....
Je les écoute sans les entendre. Eric me serre fermement contre lui et bouge très lentement dans mon ventre ouvert. Son torse poilu frotte contre mes seins écrasés. Ses bras menlacent avec puissance et ses jambes écartent les miennes. Son gland caresse le fonds de mon utérus glissant.
Je frémis quand un liquide froid coule le long de ma raie bien ouverte par la position ou ils mont mise. La langue dEric se fait pressante dans ma bouche.
- Laisse toi faire, je suis sur que tu adores par la aussi....
La bitte de François est contre mon anus. Il magrippe par les hanches pour bien assurer sa position. Il pousse doucement et revient plusieurs fois à la charge sans résultat.
- Tes serrée dis donc!
Quest ce quil croit? Que joffre mon cul tous les jours. Pourtant cest ce que je fais en ce moment. Vu mon comportement, ils ne peuvent pas savoir. Pour eux, je suis une fille facile quils viennent de lever dans un ciné. Une fille qui accepte de faire une partouze avec des inconnus.
- Attends ma poule tu vas voir.
Il me serre par la taille. Son gland pousse très fort. De plus en plus fort. Je me cabre. Sous la douleur. Eric ne bouge plus et me maintien de toute sa force. Je tente de me débattre. Jai lâché la bouche dEric. Brusquement, sous une poussée plus forte encore, mon anus souvre dun coup. Le gland passe. Mon anus se dilate autour du gland. Je me trémousse. Ils me bloquent.
- Laisses toi faire.... Tattends que ça.... Tu vas voir comme cest bon deux queues ensembles....
Le gland passe marrachant un cri de douleur. Eric recommence à me pistonner très lentement la chatte. François continue à pousser contre mon cul.
Eric va plus vite. Dans ma chatte qui dégouline. Son sexe très épais frotte contre mes parois lubrifiées. Je suis ouverte de tous les cotés. Jai mal au cul. Comme du plomb fondu.
- Elle coule tellement que ça sort de sa chatte.... Ten ai ou?.... Jai envie de lui défoncer la moule à la chérie!
Un douleur terrible. Mes intestins explosent sous la pression. Impression de me remplir par en bas. Envie de vomir et de chier. Mon cri emplie la pièce. Jai le souffle coupé. La bitte est entrée dun coup dans mon fondement, écartelant mon conduit anal, frappant le fonds de mes intestins.
- Tu peux y aller mon pote! Elle la entièrement dans le cul la mignonne... Tu vois avec ce genre de fille aucun problème...
Eric recommence à me tringler. François commence et trouve le même rythme. Ils vont me casser, me déchirer, mempaler vivante sur leurs deux sexes. Je crie sans arrêt. Douleur. Douleur...
- Pourquoi tu cries?
Je ne sais pas qui ma posé la question. Je ne sais pas pourquoi je crie. Les vagues de plaisirs reviennent. Je me tais. La bitte dans mon cul maspire de lintérieur chaque fois quelle sort. Quand elle revient, mon intestin lavale. La peau frotte contre mon muscle anal. La bitte dans ma chatte tape durement contre le fonds de mon ventre. A certain moment quand les deux sexes sont enfoncés au maximum en même temps, ils tapent ensemble de chaque côté me faisant crier de bonheur. Cest moi qui jouis la première. Encore une fois.
Ils accélèrent à la recherche de leurs plaisirs. Je deviens poupée entre leurs corps. Je leur donne mes deux trous sans regret. Les glands tapent de plus en plus fort, de plus en plus vite pour me remplir ensemble de sperme chaud. Ils se vident dans mon corps.
Jai une conscience aiguë des jets qui sécrasent par saccade dans mon vagin et mon derrière.
Je les laisse faire haletante, encore sous la force de cette jouissance qui me parcoure. Je suis folle de sexe et de plaisir. Aucune douleur, aucun remords, aucune honte. Rien. Rien que du plaisir. Plaisir davoir reçu et plaisir davoir donné.
Nous sortons lentement de lextase. On se lève. On sébroue. On se regarde. Je suis assez sale. Cela ne me dérange pas. Ils me regardent. Je soutiens leurs regards.
- Tes une sacrée nana toi!
- Tu fais ça souvent?
- Souvent quoi?
- Lever des mecs comme ça?
- Non.... Cest la première fois.
Je vois bien quils ne me croient pas. Je ne tente pas de les convaincre. Pour le moment, jai surtout envie daller aux toilettes et faire un brin de toilette.
- Je peux utiliser les toilettes?
- Bien sûr.
Jy vais. Je me soulage. Lurine fait du bruit en tapant dans leau. La porte souvre. Ils sont sur le seuil. Je ne dis rien. Ils me regardent pisser puis me nettoyer le sexe.
Je comprends que pour eux je suis devenu une pute au fil de notre relation. Leurs sexes au repos battent contre leurs cuisses. Ils sont maculés de spermes et autre chose pour celui de François. Leurs poils sont collés. Les odeurs de sueurs, durine, de foutre assaillent mes narines. Jai encore le goût du sperme dans la bouche. Mon anus endolori laisse échapper du liquide.
- On a aussi envie de pisser
Je me lève du siège pour leur céder la place. François est devant la cuvette. Il tient son sexe en main. Un jet brillant jaillit pour sécraser sur lémail blanc. Je ne peux mempêcher de regarder le jet dor.
- A mon tour...
Même au repos, le sexe dEric est imposant. Court et très gros. Il pisse en me regardant. Il montre bien sa bitte. Quand ils ont finis. Ils me regardent et sourient.
Mais leurs sourires na rien à voir avec les précédents. Ce sont des sourires de macho, vulgaires, sûrs deux.
- Qui veut une bière?
Pas moi. Je me contente dun verre deau. Ils boivent à même le goulot. Ils ne se gênent pas pour roter. Moi je ne sais pas si je veux partir ou rester. Je ne peux même pas mettre de culotte, je nen ai plus. Il me reste uniquement mon soutien-gorge comme sous-vêtement. Je le prends et commence à le mettre.
- Quest ce tu fais.....
- Ben oui.... Tu fais quoi là? On ne ta pas dit de te rhabiller.....
Ils sont face à moi. Me dépassant dune tête. Sûr deux et de leur pouvoir. Echanges de regard entre eux. Leur connivence a encore grandi. Ils me testent et testent leur pouvoir sur moi. Un pointe de mépris dans les yeux.
- Donnes ten a pas besoin....
- On a encore du temps....
Ils restent nus aussi et vident leurs bouteilles de bière.
Le verre ne me suffit plus. Jai envie de quelque chose de plus gros. Je plante mes doigts dans ma chatte. Je les pousse très loin dans mon corps. Mon autre main tâte mon cul. Comment une bitte peut entrer dans un si petit trou. Jai encore un peu mal et toujours cette envie de chier. Je suis écartelée dans ma chambre, chatte et cul investis par mes doigts. Jai encore envie... Encore envie dune queue, dun mec, de plusieurs. Comme tout à lheure.
Ils ont bu deux bières chacun. Moi deux verres deau. Ils ont souri en me voyant aller plusieurs fois aux toilettes. Au milieu de la pièce, il y a une petite table recouverte de livres et de cours. Il me semble que se sont des cours de math ou de physique. Deux chaises de part et dautre de la table. Ils sassoient dessus. Bien sur , ils ne me proposent pas de faire comme eux et je devine que si je le fait, ils voudront que je reste debout.
Quelque chose en moi me pousse à jouer le jeux. En plus, lenvie revient lentement. Jespère que leurs sexes retrouveront de la vigueur. Combien de fois ça peut jouir un mec? Jen sais rien. Ceux que jai fréquenté, faisaient lamour une ou deux fois daffilé. Pas plus. Quant à moi, je navais jamais jouis autant de fois en une journée.
- Tourne toi pour montrer ton derrière à Eric...
- Ouais, moi jai pas bien pu voir.... Vas y montres nous ton derche.. Je parie quy a pas mal de mecs qui te lont ouvert...
- Pourtant il est serré tu peux me croire...
- Çà ne veut rien dire ça.... Il a beau être serré, tes entré sans trop de problème....
- Je lui ai mis la totale dans les boyaux.... Putain cétait bon, rien que dy penser, je recommence à bander....
- Regarde comme il est beau ce cul avec ses fesses toutes blanches et cette raie toute mignonne.... Baisse toi une peu chérie quon voit mieux..... Regarde François, on voit les poils de la chatte....
- On dirai quelle a le cul mouillé.... Elle mouille de partout.... Jai comme limpression quon a tiré le gros lot cet ap.....
- Regarde les mamelles comme elles pendouillent bien.... Eh chérie!... Bouge un peu ton cul quon voit si tu sais danser....
- Putain! Jy crois pas eh!... Elle le fait.... Regarde, regarde ce cul quand il bouge.... Ouais! Vas y bouge bien ton derche.... Oui chérie comme ça..... Oui cambre toi bien.... Cest ça vas-y.... vise un peu cette salope!... Çà lui coule entre les jambes....
- Eh chérie! Montre nous ton petit trou..... On aimerai le voir mieux que ça... Tu vas bien técarter tes grosses fesses pour quon voit bien.... Allez vas-y fait bien la pute...
- Ma parole! Elle le fait... Ouahouuuu... Regarde comme elle est profonde et son trou. Regarde-moi ce fion! ....
- Elle est toute serrée la petite chérie.... Elle mouille du cul... Continue comme ça et tu vas nous remettre le biberon à la verticale....
- Je suis sûr quelle demande que ça cette fille....
- Putain je ne peux même pas me branler jai la bitte dégueulasse....
- Attend je vais tarranger ça.... Bouge pas.... Tu vas voir.....
Eric est venu à côté de moi. Il ma saisi par les cheveux. Jai lâché mes fesses. Au creux de mon ventre une grosse boule me taraudait les nerfs. Jai oublié qui jétais et ou jétais pour vivre le moment présent. Après tout pourquoi ne pas être une pute pour une après-midi? Pourquoi ne pas offrir mon corps aux premiers venus? Je ne sais pas jusqu'où jirai. On verra bien.
Il tire mes cheveux mobligeant à me mettre à genoux. Il nhésite pas à me faire mal pour empêcher toute révolte. Puis il a avancé vers son pote toujours assis. Je suis obligée de le suivre à genoux.
- Allez chérie.... Viens.... Tu vas bien nettoyer mon nouveau pote..... Maintenant finis la rigolade. Tu vas être bien obéissante.... Je suis sûr que tu vas bien nous obéir...
- Amène la Eric.... Faut quelle nettoie bien ma queue.... Ouais.... Approche encore.... Tu vas être une bonne pute bien obéissante...
François a pris le relais de son nouvel ami pour me plaquer le visage contre son sexe tendu. Lodeur très forte ma soulevé le coeur. Je ne voulais pas sucer son sexe. Jai résisté. Impossible douvrir la bouche. La bitte sentait trop mauvais et je pouvais parfaitement voir les traces de sperme, de gel et des relents dexcréments.
- Allez au turbin! Tu vas la faire bien reluire....
Eric claque mes fesses plusieurs fois. Il ny allé pas de mains mortes et je criais à chaque coup reçu. Mon visage était collé contre le bas ventre de lautre mec. Sa bitte était contre de ma joue.
- Ouvre la bouche.... Allez ouvre et nettoie ta merde..... Obéis salope si non tu vas avoir vraiment mal....
Ma soumission les rend dominateurs. Ils jouent les maîtres. Le gland est collé contre mes lèvres serrées. Je respire les odeurs. Les claques pleuvent sur mon cul. Ils me font mal. Ils sont entrain de me forcer. Cest la première fois. Je mouille. Jusqu'où vais-je résister?
- Tant pis tu lauras voulu
Il prend mes tétons entre ses doigts et serre très fort. La douleur aiguë me fait ouvrir la bouche. Jai les fesses en feu et les tétons me font très mal.
- Tu vas mettre tous tes trous à notre disposition.....
François plante sa bitte dans ma bouche. Je manque de vomir. Un goût très fort envahi mes papilles. Jai le hoquet. Eric lâche mes seins. Je ne tente plus de me dérober au pieu qui remplit ma bouche. Je redeviens la fille docile et facile. Malgré le goût et lodeur, le bitte est douce dans ma bouche. Je ne résiste plus.
- Tu vois quand tu veux..... Maintenant tu vas bien tout nettoyer.... Bien à fonds.... Jusquaux couilles....
Je le fait. Je suce la bitte sale De la base au gland. Je me suis habituée à lodeur et au goût. Je lèche la hampe et les couilles. Je suce lentement en prenant mon temps. Le mec me laisse faire en me caressant les cheveux.
- Avales bien profonds.... Vas-y dans la gorge...
Il pousse au plus loin ou plutôt, il tire ma tête vers son ventre. Le gland pénètre dans ma gorge. Jai des hoquets. Javale comme si je mangeais un truc. Heureusement il ne force pas plus.
- Putain! Elle mexcite trop cette salope....
- Moi je peux plus attendre....
Eric se met à genoux derrière moi. Son bas-ventre contre mes fesses. Il a la queue très dure. Il la frotte contre moi. Ses mollets se collent contre les miens.
- Ecartes tes jambes.... Encore mieux que ça.... Je te veux complètement offerte....
François me bloque la tête pendant que lautre moblige à me cambrer pour lui offrir mon cul. Son gland parcoure ma raie, de ma chatte toute mouillée à mon trou plissé.
- Tu te rends compte! Elle mouille encore! Elle a la chatte trempée....
- Je men tape cest pas sa chatte que je veux.
Le gland sest posé sur mon anus. Il me tient les fesses bien écartées. ses pouces sont de chaque côté de mon petit trou et tirent pour louvrir. Je lâche un pet et je sens du liquide sortir.
- Elle jouit même du cul cette pouf
Il pousse pendant que François tient mon visage bien arrimé à sa verge Je ne peux plus sucer. Cest lui qui me pistonne la bouche.
Eric pousse dun coup bitte. Je crie avec le sexe dans la bouche. Le gland ouvre brutalement mon trou du cul. Un autre coup de reins sans me laisser le temps de récupérer. Jai limpression que mon cul se déchire sous la pression. Des râles sortent de ma bouche bâillonnée.
- Jai envie de texploser le cul....
Sourd à ma douleur, il donne encore un coup de piston en me tirant vers lui. Jai des étoiles dans les yeux. Jai envie de vomir. Je hurle avec ce sexe planté dans ma bouche.
- Jusqu'à la garde mon pote.... Elle la dans le cul jusquaux roupettes.... Tas raison, elle a un super cul bien serré...
- Tu crois quelle fait son cinoche ou elle a vraiment mal?
- Vu comme elle mouille ça métonnerais quelle ait mal....
Eric commence à menculer. Il ny met aucune douceur, aucun respect. Il me tringle à la recherche de son plaisir, faisant fi de mes douleurs. A chaque coup de boutoir, mon ventre se dilate. Son gland tape au fond de ma paroi anale. Cest comme des décharges électriques. Le plaisir revient doucement. Mon cul se dilate et souvre sous les assauts de mec. Dans ma bouche, lautre sexe gonfle est frémis. Les veines battent contre ma langue.
Eric me sodomise en prenant tout son temps. Il ne veut pas jouir tout de suite. Sa queue me fore les intestins avec souplesse et force. Il sort toute la longueur de sa bitte avant de la replanter dun coup sec en allant très loin. A chaque coup de queue, je me cabre, mais jai la tête bloquée par son pote qui lui aussi me pistonne la bouche.
Cest bon ma vieille, tes une enculée et tu aimes cela. Tu aimes les bittes bien dures qui te trouent de partout. Tu aimes sucer y compris ta merde. Tu mouilles quand on te traite comme une pute. Tu en redemande même. Tes une vraie salope. Pire quune pute puisquelles se font payer et que cest leur métier. Toi tu fait cela gratos avec nimporte qui. Quand tu as envie tu ne fais pas les choses à moitié. Vas toi aussi au bout de tes envies.... Branle-toi.
Je me branle en suçant cette queue. Mon cul est incroyablement ouvert. Eric en profite pour me défoncer littéralement. Chaque coup de pinne me pousse contre le bas-ventre de François et moblige a tout prendre dans la bouche.
- Son cul cest un vrai tunnel...
- Et en plus je te signale quelle est en train de se branler....
- Incroyable! Je vais bientôt exploser mec..... Tiens la bien, il faut que je lui éclate le cul...
Il la fait. Jai cru mourir. Jai jouit comme une folle en avalant encore du sperme. Cest bon. Cest chaud. Ça descend dans la gorge lentement. Jai le cul complètement défoncé. Il reste ouvert et suintant du sperme de lautre. Jai du mal à marcher.
Ça les fait rire de me voir marcher en canard. Ils me lancent mes vêtements. Ils ne veulent pas que je me lave.
- Casse toi...
Ils gardent mes sous-vêtements et restent nus. Eric me donne un papier avec un numéro de téléphone.
- Jai plein de potes prêts à te sauter si tu veux...
Je fourre le papier dans ma poche. Je remets mon manteau. Mon entrejambe et ma raie sont trempés de foutre. Je men fous. Jai jouit comme jamais. Je les quitte. Ils sont à nouveau tendres et déposent chacun un chaste baiser sur ma joue avant de me laisser partir.
Dans la rue, je lève les yeux. Ils sont adossés les deux à la balustrade dun des balcons. Torses nus, ils me font un geste de la main.
- Remonte tas oublié un truc....
Des passants me regardent. Je remonte en me demandant ce que jai pu oublier. Jarrive essoufflée sur le palier. Ils ouvrent et me font entrer. Jai pas le temps de demander ce que jai oublié.
Ils me plaquent contre la porte. Remontent ma jupe et le manteau autour de ma taille. Leurs mains fouillent mon entrejambe, palpent mes fesses, ma chatte et mon anus. Ils nhésitent pas à pousser leurs doigts dans mes orifices.
- On voulait juste vérifier que tu tétais pas nettoyer dans les escaliers.... Faut que ça coule pour bien te souvenir de nous....
- Allez casse toi....
Sur mon petit lit, je jouis une dernière fois avant de mendormir comme une masse sans même me nettoyer. Le petit papier avec le numéro de téléphone est à côté de moi.
Un autre jours peut être.
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