Ma Découverte De La Soumission

Tout avait commencé pour moi il y a 5 ou 6 ans. Après mon changement de fonction qui me laissait régulièrement du temps libre, je me suis hasardée un jour à aller sur un site de rencontres où j'ai créé mon profil et découvert son chat et toutes ses personnes connectées.

C là que j'ai connu mon premier Maitre virtuel, celui qui m'a fait prendre conscience de ma nature. Pas mal d'autres ont suivi après lui. Je profitais de chaque instant au bureau, mais aussi à la maison en l'absence de mon mari, pour me connecter. J'étais devenue accro et dépendante de tous ces hommes vicieux et dominateurs. Je pouvais rester des heures à discuter avec eux, le plus souvent avec une main dans ma culotte.

Régulièrement, certains que je ne connaissais pas me laissaient de longs messages et des photos suggestives sur ma messagerie pour m'inviter à faire connaissance ou me rencontrer. Je m'appliquais toujours à répondre à tous ces messages, le plus honnêtement possible.




Un jour, il y a environ 3 ans, parmi ces messages si excitants et délicieusement dérangeants pour la jeune femme sage que j'étais, celui d'une femme, Anne-Isabelle (j'ai oublié son pseudo depuis).

Elle me disait aimer mon profil et me demandait de lui en dire plus sur moi, surtout ce que je recherchais ici.

Je lui expliquai que c la curiosité qui m'avait amenée ici et que depuis, de nombreux hommes avaient profité de ma docilité et de mon obéissance pour m'obliger à faire toutes sortes de choses souvent excitantes, mais aussi parfois humiliantes, voire dégradantes. Je lui proposai d'agir de la sorte avec moi si elle le désirait ou de simplement lier une amitié ou une complicité ou l'on pourrait échanger librement sur toutes nos aventures sexuelles, tous nos fantasmes. Je lui laissai mon adresse mail.

Dès le lendemain, j'avais la surprise de découvrir un long message sur ma boite mail.

Dès les premiers mots, je suis restée interloquée et très surprise par ses propos.

J'étais à la fois subjuguée mais aussi terriblement attirée et excitée.

Ses mots étaient très directs, très crus et ne laissaient subsister aucune ambiguïté quant à ses intentions me concernant.

Elle m'avait écrit : "Estelle, nous ne serons jamais des copines ou des confidentes, cela ne m'intéresse pas. Désormais tu es ma soumise, je vais m'occuper de toi, tu vas m'obéir et faire tout ce que j'exige de toi. Oublie tous tes principes et ta morale, à présent tu m'appartiens.

Dis toi bien que tu n'es qu'une petite pute, une salope et je vais te dresser".

Après cela, elle se présentait, elle avait 40ans, était mariée à un homme plus âgé, la soixantaine passée qui avait été son Maitre avant de l'épouser.

Elle me disait avoir le physique d'une femme , ce que je pu constater qques temps après sur les photos qu'elle m'avait envoyées. Mais ce qui me frappait le plus, c'étaient ses propos, ils étaient ceux d'une femme très directive, autoritaire et sévère. Difficile d'imaginer qu'elle ait pu être une femme docile et soumise avant cela. Elle vivait à Metz.

J'étais littéralement en extase devant cette femme; ses écrits, ses photos me fascinaient. Je crois que j'étais tombée amoureuse d'elle.




Anne-Isabelle est une femme de petite taille, fine, avec de petits seins, un très joli cul, rebondi, mais ce qui m'émerveillait le plus, c sa chatte, très touffue et très noire. Une superbe et abondante pilosité pelvienne qui m'attirait beaucoup, moi qui adorait pourtant le sexes de femmes impeccablement lisses et soignés. Elle avait une coupe à la garçon, des cheveux très noirs, des yeux foncés, un visage qui trahissait sa sévérité.

Mais j'étais sous le charme de cette femme dominatrice.




Je ne me souviens plus de tout ce qu'elle a pu me dire ou exiger de moi, mais je me souviens très bien qu'elle m'avait dit dès ses premiers mails, qu'à présent, j'étais une femme publique et que je devais agir comme telle.
Que je devais me donner, m'offrir à quiconque le demandait. Si un homme voulait me toucher, me peloter les seins, je devais me laisser faire. S'il voulait m'entrainer dans un endroit tranquille pour me prendre ou exiger de moi une fellation, je devais le suivre et me plier à ses volontés. Elle insistait beaucoup là dessus.

Pour ce faire et parmi les choses qu'elles m'avaient imposées, elle m'avait demandé de ne plus du tout porter de culotte. Je devais rester nue sous mes jupes et sous mes robes. Mon sexe et mon anus devaient rester disponibles et accessibles pour une saillie improvisée à tout moment.




Je me souviens aussi de la fois où après m'avoir demandé si j'avais un chien, elle avait exigé de moi qu'une fois seule à la maison, je me mette nue, un collier de chien autour du cou, à 4 pattes, une courgette enfoncée dans l'anus et que je me promène ainsi dans la maison. Je devais surtout laisser mon chien me renifler et me lécher entre les cuisses.

Pendant 2 mois, j'ai vécu au rythme de cette femme, j'étais devenue sa chose, et j'adorais ça.

Je lui avais dès le début expliqué que nos emplois du temps trop parfaitement imbriqués avec mon mari ne me permettaient aucune liberté ou rencontre digne de ce nom. Elle m'avait assurée que cela n'avait pas d'importance, qu'elle se contenterait très bien de cette relation par correspondance. Mais un jour elle a changé ces règles et a fini par insister pour que je vienne passer un week-end chez elle à Metz.

Ce devait être pour mon "baptême " disait elle. Et elle avait pris soin de me livrer tous les détails du déroulement de ce fameux "baptême" qui m'aurait définitivement consacrée soumise. Plusieurs mâles auraient été conviés à cette soirée pour une saillie collective.

Je dois avouer que j'étais plus qu'excitée et désireuse de vivre cela, de rencontrer ma Maitresse, si fascinante et désirable




Prétextant une visite du Centre Beaubourg à Metz avec certaines de mes collègues de travail, je prends le train un samedi après midi du mois de mai, un petit sac contenant qques affaires à la main.
Les consignes sont simples, je dois arriver vêtue d'une petite robe sexy, courte et bien entendu sans culotte.

Je serai attendue à la gare. Durant tout le trajet, j'essaie de me détendre, j'imagine toutes sortes de situations. Je n'ai pas vraiment peur, enfin c ce dont j'essaie de me persuader, mais je suis très stressée. Je ne peux plus reculer, je ne le veux pas non plus. Je suis toute moite.

Arrivée en gare, mon cœur se met à battre plus fort. Je descend sur le quai. Je cherche du regard celle pour qui je suis là. Première surprise, un homme m'aborde: "Estelle ! bonjour, je suis Serge, le mari d'Anne-Isa". Je ne l'avais jamais vu, mais lui avait vu mes photos et a pu me trouver facilement. Bien que je n'aie pas grand chose, il prend mon sac, je le suis, silencieuse. Il est imposant, grand, fort, un peu bedonnant, un peu dégarni sur le haut du crane, des cheveux et une barbe rase poivre et sel. Il ne dit rien, je me sens un peu mal à l'aise.

Il m'entraine au parking souterrain de la gare, ce qui ne me rassure pas vraiment. On arrive à sa voiture, je me dirige coté passager et il me suit. Il me dit: "attends, je dois vérifier qque chose". Il est debout devant moi, et vient passer sa main sous ma robe, entre mes cuisses pour me toucher le sexe.

"C bon" dit-il, "tu as respecté les consignes". Il venait de s'assurer que je ne portais pas de culotte.

Assise dans la voiture, ma robe remonte très haut sur mes cuisses, mais je n'ose tirer dessus. Durant le court trajet jusqu'à leur appartement quartier du Sablon, pas un mot.

Non prenons l'ascenseur jusqu'au 4ème étage, là, il me dévisage, je n'ose lever les yeux.

Je le suis, nous entrons dans un appartement spacieux, baigné de soleil. Cette lumière vive et la chaleur de ce moi de mai me rassurent un peu.




C là que j'entends pour la première fois la voix d'Anne-Isabelle, elle est assez sèche, conforme à ce que j'imaginais.


"Bonjour Estelle, ainsi tu es venue petite pute ! crois moi, tu ne vas pas le regretter, nous t'avons préparé un beau baptême".

Elle se place face à moi, un petit sourire aux lèvres, elle est plus petite que moi, elle passe sa main derrière ma nuque et m'attire à elle pour m'embrasser à pleine bouche. Je réponds à son baiser, toutes mes craintes semblent disparaitre d'un seul coup. J'aime déjà sa bouche.

Pendant ce long baiser, elle passe son autre main sur ma taille et glisse sous ma robe, sur mes fesses nues. Je suis aux anges.




Nous passons une bonne heure à discuter assises sur le grand canapé en cuir blanc, elle est assez directive, me dit que 4 hommes ont été invités pour mon baptême, que je devrai me montrer très gentille avec eux et obéir à tout sans exception. Elle me montre la salle de bain, me dit que je devrai porter ce qu'elle m'a préparée pour la soirée, que je dois commencer à m'apprêter, qu'elle me maquillera ensuite.

Je ferme la porte derrière elle, mais elle l'ouvre aussitôt et me dit qu'elle doit rester ouverte. Je me dénude, et me glisse sous la douche aux parois entièrement vitrées. Occupée à me laver et avec le bruit de l'eau, je n'ai pas remarqué que je ne suis pas seule. Serge est là, debout, en train de m'observer. Je me sens un peu gênée, mais aussi troublée puis excitée par la situation. Je sors et me sèche toujours sous l'œil de Serge.

Il finit par quitter les lieux et là je découvre ma tenue pour la soirée. J'enfile en premier une paire de bas résille, puis je mets la mini jupe noire évasée qui m'est destinée. Elle est si courte qu'elle arrive à peine à couvrir mes fesses nues et les laisse voir à chaque mouvement. Il y a ensuite un petit chemisier blanc très fin. Je découvre après l'avoir enfilé que tous les boutons ont soigneusement étés retirés. Il ne se ferme pas et dévoile mes globes à chaque mouvement là aussi. Je finis en enfilant une paire d'escarpins noirs vernis à très hauts talons.

Anne-Isabelle semble ravie en me voyant sortir de la salle de bain. " Encore un maquillage de circonstance et tu ferras plus pute que toutes les putes de la ville réunies". Je prends cela pour un compliment.





Après une demi heure à me farder, Anne-Isabelle me tend un miroir. Je ne me reconnais plus, elle a sur le maquillage, je fais vraiment pute, mais cette image me plait. Elle disparait ensuite pour réapparaitre habillée de façon très sexy et provocante, une petite robe courte à paillettes qui laisse deviner ses seins nus en dessous, talons très hauts et une cravache à la main.




Qques instants après, un coup de sonnette, tous arrivent ensemble. Il y a là 4 hommes, tous grands et costauds, habillés décontractés, certains arborant de grands tatouages sur les bras et les épaules. 2 semblent avoir entre 40 et 50 ans, un autre un peu plus et le dernier, un homme de type maghrébin, l'âge de Serge. Ils ont l'air de très bien se connaitre, enlacent Serge et Anne-Isabelle, embrassent même celle-ci sur la bouche.

Ils me dévisagent, ne m'adressent pas la parole et se mettent à parler de moi comme si je n'étais pas là. Je suis très intimidée, je me sens toute petite, insignifiante au milieu de ces mâles aux allures d'athlètes.




Ils sont invités à s'approcher de la table où un buffet et des boissons ont été préparées. Les coupes se vident, les commentaires salaces à mon encontre fusent. Anne-Isabelle semble s'en amuser. Elle s'approche de moi et me tend une coupe. "Tiens, bois, ça va te détendre".

Je l'avale d'un trait et m'avance de la table pour en reprendre une autre. Après cette seconde coupe, dont je sens très vite les effets, la maitresse des lieux s'approche de moi avec son mari. "Bon, allons y" dit-elle, elle saisi mon chemisier et le fait glisser au sol, dévoilant à tous ma poitrine nue. Son mari lui tend alors un large collier de cuir clouté qu'elle me passe autour du cou. Elle y accroche une laisse et me dit:" dorénavant, tu vas rester à 4 pattes, comme la chienne que tu es" et elle se met à tirer sur la laisse pour me forcer à m'agenouiller au sol. Je sens de suite mes seins lourds pendre dans le vide et je prends conscience qu'à présent, ma mini jupe ne cache plus rien de ma croupe. Elle m'entraine avec elle, tirant sur la laisse, au milieu des hommes. Tous me matent sans aucune gêne, je dois être rouge de honte, je n'ose lever la tête. Tous sont regroupés autour de moi. Anne-Isabelle me demande de lui baiser les pieds et les chevilles, je m'exécute. Puis elle se baisse pour me débarrasser de ma jupe et se positionne derrière moi. "Alors, elle vous plait ma nouvelle petite chienne ?" lance-t-elle. Chacun y va de sa remarque sexiste et dévalorisante à souhaits.

Je sens alors quelque chose entre mes cuisses. Anne-Isabelle vient d'y glisser sa cravache et se met à la faire aller et venir dans ma fente en exerçant une forte pression. Je me laisse faire malgré le sentiment d'humiliation qui me gagne à cet instant. "Tu aimes ça salope ! c'est très bien".




Puis elle m'entraine en tirant sur la laisse pour aller s'installer sur le canapé. Elle écarte grand ses jambes, se laisse glisser tout au bord du canapé, relève sa robe, attire mon visage entre ses cuisses sans aucune douceur. "Il est temps d'honorer ta Maitresse à présent ! " Elle écarte son string et plaque mon visage sur son sexe orné de l'abondante touffe noire que j'avais pu admirer sur ses photos. Ses poils frisés rentrent dans me narines, je n'ai pas vraiment le temps de découvrir son sexe ou de le contempler, je me mets immédiatement à la lécher entre les lèvres, à passer ma langue sur son clitoris. Je constate que sa chatte est déjà toute moite d'excitation. J'aime déjà son odeur. Un grand coup de cravache vient me bruler la fesse, "mieux que ça petite pute, applique toi". Elle m'empoigne par les cheveux pour me presser sur son sexe. Je redouble d'application et d'intensité pour la satisfaire. C'est à ce moment là que je sens des mains se poser sur mes fesses, me toucher, s'insinuer entre mes cuisses. D'autres empoignent mes seins, les soupèsent, les pressent, tirent sur mes pointes. Paradoxalement, ces premiers contacts semblent m'aider à me détendre, à me libérer.

Des doigts me fouillent à présent entre les cuisses, cherchent à me pénétrer, y parviennent, d'autres me touchent l'anus, le forcent un peu.

Je me sens m'abandonner, je sens mon bas ventre se nouer, mes jambes s'ouvrir pour inviter tous ces hommes à me fouiller. Ils commencent à se dévêtir. Impatiente, ma Maitresse se met à se masturber pendant que je continue à la butiner avec gourmandise. Elle est vite secouée de spasmes, joui en retenant ses cris. Elle se redresse et m'invite à en faire autant, m'embrasse à pleine bouche, fougueusement, tout en me pétrissant les seins.




Notre étreinte me ravit, mais pas le temps de savourer. Elle me tire vers le centre de la pièce, les hommes y attendent déjà, entièrement nus. Mon regard ne peut se détacher de ces beaux mâles, ils sont grands, leurs bites déjà bien grosses. A croire qu'ils ont été choisi pour l'occasion.

"Maintenant petite bourge, on va faire de toi une vraie putain, tu vas honorer tous mes hommes, ils sont venus tout spécialement pour toi ce soir, tu vas leur donner tout ce qu'ils veulent, ils vont user de toi comme ils le désirent, l'acceptes tu, le veux tu ?"

Et je m'entends dire: "oui, je le veux".

Je suis toujours tenue en laisse, Anne me tire devant son mari, je comprends que je dois le prendre en bouche. Sans hésitation, je gobe sa queue tendue et je commence à le sucer. J'en avais envie. Anne-Isabelle est venue se positionner derrière son mari, à genoux elle aussi. Ainsi, elle ne manque rien du spectacle de cette bite bandée qui entre et sort de ma bouche. Elle se plaque contre lui, lui caresse les couilles et m'att derrière la tête pour me plaquer contre lui. Son énorme queue vient tout au fond de ma gorge, j'ai un mouvement de recul, mais elle me tient fermement puis me relâche un peu. Je savoure ce beau gland dilaté, couvert de salive et de liquide séminal, je me surprends à le sucer avec tant de détermination et d'envie. Je prends tout à coup conscience que je suis en train de tromper mon mari, mais impossible de faire marche arrière, je ne le peux plus et surtout, je ne le veux pas, Anne-Isabelle m'a fait perdre toute volonté ces dernières semaines. Elle a pris possession de moi, je veux lui obéir en toutes circonstances, je ne veux pas la perdre. J'ai fais le choix de lui être totalement soumise, de lui obéir.

Serge se met à me pistonner la bouche avec vigueur, ses coups de reins sont violents et il explose en moi, se vide dans ma bouche. Je fais au mieux pour avaler tout son sperme, je suis surprise par la quantité et en laisse échapper. Plusieurs coups de cravache viennent cingler mes fesses.

" Tu ne dois pas en perdre une goutte petite pute ! tu devrais avoir honte de gaspiller cette offrande" Je leur dit que je suis désolée, que cela n'arrivera plus, et déjà un autre a pris sa place et me tend son membre, tout aussi long et gros que celui de Serge. A son tour, il décharge tout son foutre au fond de ma gorge, je l'avale sans rechigner, je m'applique à ne rien laisser couler de ma bouche distendue. Puis le troisième se soulage à son tour dans ma bouche. Ils défilent à la chaine, m'encouragent, m'insultent et je prends plaisir à être traitée ainsi. Je me sens pute et cette idée me plait et m'excite. Quand le quatrième se présente, le vieux maghrébin à la bite énorme, Anne-Isabelle vient s'agenouiller à coté de moi et me dit: "celui là, laisse le moi" et elle se met à le pomper avec une gourmandise peu commune. Sa queue si grosse déforme ses joues et sa bouche.

A un moment, elle se retire et l'homme saisit sa queue pour se branler. Ma maitresse attend, la bouche grande ouverte et ce sont de longues giclées de sperme qui disparaissent dans sa bouche. Mais à ma grande surprise, elle n'a rien avalé. Elle se tourne vers moi et plaque sa bouche sur la mienne. Elle m'embrasse et libère tout ce foutre dans ma bouche. C'est un baiser merveilleux où nos salives et nos langues se mêlent à la semence de notre donneur. Je suis chargée de m'occuper du dernier. A son tour, celui-ci finit en se masturbant, mais il déverse toute sa semence sur mon visage et se frotte le gland sur mes joues. Je le reprends en bouche pour le nettoyer.




Pendant que je finis de nettoyer sa bite à coups de langue, un des hommes est venu se placer derrière moi, entre mes jambes. Je sens sa bite bien dure chercher l'entrée de ma chatte. Il s'enfonce d'un coup, presque brutalement et se met à me pistonner. Je ne peux m'empêcher de pousser de petits cris. Il me baise en levrette, à 4 pattes sur le tapis du salon, toujours tenue en laisse. Ma première jouissance est fulgurante et intense, je le sens gicler en moi. Il quitte ma chatte et me présente sa queue pour que je la nettoie. Un autre a déjà pris sa place et me remplit le sexe à son tour. Il me laboure, me tenant fermement les hanches, je repars presque aussitôt, il se vide à son tour. Pas le temps de souffler que le troisième me prend lui aussi. Je suis dans un état second, secouée par ces orgasmes répétés. Je suis traitée comme une pute dans un bordel à qui on impose un véritable abattage. Je comprends alors mieux tout le sens de la saillie collective que me promettait Anne.

Le troisième vient de quitter mon vagin pour se vider les couilles sur mon dos et entre mes fesses. Je comprends vite pourquoi. Ahmed a pris place derrière moi est presse son énorme gland sur mon anus couvert de sperme. J'ai envie de lui crier que je ne veux pas, mais je n'ose pas, je suis résignée à le laisser faire. Il insiste, je ressens la douleur, crie un peu, les larmes me viennent aux yeux. Son énorme pieu ne parvient pas à me transpercer. "Attends un peu" lui lance ma Maitresse. Il s'écarte et je sens un objet plonger dans mes entrailles. Anne-Isabelle vient de m'enfiler le manche de sa cravache et s'amuse à le faire glisser dans mon cul. Tous s'amusent de cette pseudo sodomie. Très vite Ahmed revient à la charge et est prié par Anne-Isabelle de me "défoncer le cul". Je me sens tout à coup déchirée et envahie par son sexe hors norme, j'ai le souffle coupé.

Il m'a enculée d'un coup, je pleure de douleur et de peur aussi. Il entame de lents va et vient et c'est là que je mesure l'énormité de son engin.

Je n'ai jamais rien ressenti de tel, je commence doucement à m'habi à ce puissant mandrin qui me remplit les boyaux. Un des hommes a pris place devant moi et me donne sa queue à sucer. Cette fellation a le don de me distraire et me détendre un peu, de me faire oublier cette autre queue qui me ravage les fesses. Je sens enfin de puissantes giclées de sperme au fond de mon ventre, Ahmed râle tout en se vidant en moi.

Quand il se retire, le suivant n'a aucun mal à m'enculer à son tour. Il est plus petit, celui là me fait du bien maintenant et je vais même au devant de ses coups de bites. Anne-isabelle me félicite pour ma motivation. Celui que je suçais, se lâche à son tour dans ma bouche. Ma Maitresse vient de suite pour m'embrasser et je partage avec elle ce nectar épais et gluant. A partir de cet instant, elle va elle aussi prendre part à cette débauche et gouter à toutes ces queues, suçant, se faisant baiser et sodomiser par tous et dans toutes les positions.

Pendant des heures, tous vont se succéder et me prendre de toutes les façons; tous vont user et r de mes orifices, les remplissant de sperme à foison, me souillant comme jamais je ne l'aurais imaginé. Rien ne me sera épargné, et il me sera impossible de compter toutes les fellations, les baises, sodomies ou doubles pénétrations qui me seront imposées. Je suis devenue leur vide couilles, leur sac à foutre disent-ils. Mes nichons me font mal tant ils ont été maltraités et sucés.




A un moment avancé de la nuit, toutes ces bêtes de sexe ont ressenti le besoin de souffler. Bien que je ne sois plus très lucide, je me suis mise à penser ou à espérer que cela se finisse enfin. J'étais éreintée, repue de sperme, fatiguée.

Et alors que tous les hommes se pressaient autour de la table pour se remettre à boire et manger, Anne-Isabelle est restée avec moi, et m'a allongée sur le dos. Elle s'est penchée sur moi, a déposé un baiser sur mes lèvres et a chuchoté: "c'était très bien Estelle, tu vas me nettoyer maintenant et me boire".

Je n'avais pas vraiment saisi le sens de ses paroles. Elle vint alors se positionner au dessus de moi, tête bêche, présentant à ma bouche son sexe et son anus dégoulinants eux aussi du sperme de tous ces mâles. J'entrepris de suite de la débarrasser de toute cette semence à grands coups de langue, léchant sa chatte et son anus, aspirant tout ce jus dont je m'étais déjà largement abreuvée. Je la fouillais au plus profond de ses orifices, passais inlassablement ma langue dans sa fente, j'aspirais son clitoris. Je la sentis alors plonger son visage entre mes cuisses et se mettre elle aussi à laper le jus qui coulait entre mes cuisses. Sa langue était délicieuse, exquise sensation de douceur après ces maintes étreintes et pénétrations es. Nous étions réunies dans un agréable 69 sous le regard attentif des hommes. Je me mis à jouir la première, elle me rejoint presque aussitôt.

Nous sommes restées de longues minutes ainsi dans cette position, apaisées.




Après ce moment de tendresse partagée, je pensais naïvement que la cérémonie était terminée, mais Anne-Isabelle me dit: " On n'en a pas encore fini, n'oublie pas que tu es ma salope soumise, tu vas me boire". Elle se redressa, toujours à califourchon au dessus de mon visage. Elle me demanda d'ouvrir la bouche en grand et plaqua sa vulve sur ma bouche. Je sentis presque aussitôt un liquide chaud envahir ma bouche en petits jets.

Je me retrouvais contrainte de boire la pluie dorée de ma Maitresse, impossible de me dégager de son poids sur moi. C'était pour moi le comble de l'humiliation, mais j'avalai. Elle finit de se soulager sur mon visage toujours sous le regard pervers des hommes. Elle m'ordonna de la nettoyer à nouveau et j'entrepris de lui lécher l'entre jambe. J'étais tombée bien bas, j'en étais réduite à boire l'urine de ma Maitresse pour lui montrer à quel point je lui étais soumise et comme je l'aimais.




Epuisée, je n'ai pas entendu partir les hommes invités, je me suis endormie, à même le sol, sur le tapis souillé du salon.




Ce sont les rayons du soleil qui perçaient au travers des volets qui m'ont tirés de mon sommeil. Je fus très surprise en constatant que j'avais dormi ici, toujours nue et sans même avoir pu me toiletter. Après être passée aux toilettes, ma première envie fut de me doucher. Ce n'était pas un luxe après cette nuit de débauche sexuelle. Mes orifices étaient endoloris. A la sortie de la douche, je ne retrouvai aucun de mes vêtements. C'est donc couverte d'un drap de bain que je rejoins Anne-Isabelle et Serge dans la cuisine pour y prendre un petit déjeuner bien mérité. Elle me débarrassa immédiatement de ma serviette, je dus rester nue. Nous avons ensuite longuement parlé de notre soirée, elle me félicita pour finir par me dire que je devais revenir dans un mois pour ma confirmation avant de passer à la suite.

La suite !!! Quelle suite ??? De quoi s'agit-il ? je pensais qu'après ce baptême, je n'aurais plus à faire mes preuves.

Un large sourire aux lèvres, Anne-Isabelle me dit qu'au centre de Metz, il y avait un très joli et très grand plan d'eau où se promenaient beaucoup de gens à la belle saison. " On va t'y emmener pour y faire la pute, sous notre surveillance bien sur et tu emmèneras tes clients au parking souterrain de la République juste à coté pour te faire baiser "

J'étais déjà terrorisée à cette idée, mais comment pourrais-je l'éviter sans risquer de perdre ma Maitresse dont j'étais devenue complétement dépendante.




Mon retour à la maison passa très vite, j'avais du m'endormir un peu dans le train.

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