La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 659)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°658) - Un centre de remise en forme très spécial - (1/2) -

Seuls Monsieur le Marquis d’Evans et son chien soumis MDE avaient débarqués sur l’île de Moustique à Lovell. Les autres passagers et membres d’équipage étaient restés à bord du Croix-Rousse préférant passer une journée dans le lagon pour profiter de ces eaux chaudes et limpides. Endymion MDE avait été préalablement et soigneusement lavé par Madame Marie, puis elle l’avait habillé…habillé d’une drôle de manière, on eut dit un de ces collégiens anglais, d’un pensionnat strict : Un bermuda blanc arrivant juste au-dessus des genoux, une chemise blanche avec une cravate bleu marine, des hautes chaussettes remontant à mi-mollets, des mocassins bleu marine aux pieds. Pourquoi une telle tenue s’interrogeait-il ?

Le Maître semblait bien connaitre les lieux, il arpentait les ruelles de Lovell en sachant très bien où il se rendait. L’esclave MDE, le suivait un pas derrière lui, très servilement, en écarquillant les yeux. Les demeures étaient toutes plus somptueuses les unes des autres. Certaines bâtisses d’inspiration coloniales semblaient immenses, d’autres étaient dissimulées dans une luxuriante et verdoyante végétation. A la croisée de deux petites routes, Monsieur le Marquis s’arrêta pour souffler un peu. Il faisait une chaleur écrasante et moite, pas un brin d’air, pas le moindre alizé. Un instant, Il dévisagea sévèrement son chien soumis de la tête aux pieds, puis soudainement, il lui ordonna.

- Baisse ton froc, Ma salope !

Le soumis MDE, sans même réfléchir une seule seconde s’exécuta dans l’instant, il laissa tomber son bermuda aux chevilles, baissa la tête et croisa les bras derrière le dos. Le Maître insista encore :

- Retourne-toi, montre-moi ton cul, exhibe bien ton trou ?

Là encore, l’esclave MDE sans vraiment comprendre, et bien qu’en pleine rue, certes sans personne, obéissait strictement.

Penché en avant, il s’écartait les fesses et dévoilait son intimité à Monsieur le Marquis d’Evans.

- C’est bien Mon chien, tu peux te revêtir !

Alors qu’Endymion MDE remontait son bermuda, le Maître lui attrapa le visage d’une main en exerçant une pression sur ses joues et en le regardant droit dans les yeux.

- Je suis fier de toi, Ma petite pute ! J’aime te voir m’obéir spontanément, en tout lieu, à tout moment, sans même te poser de question, ni même réfléchir. Je voulais simplement tester le degré de ta servilité et de ton obéissance. J’apprécie ton abandon total et la confiance sans faille que tu m’accordes. Entre mes mains, tu es devenu un véritable esclave. Je savais que je pouvais te conduire à ça, parce que tu es né et fait pour être asservi et assujetti, pour te donner et te laisser dominer, j’en étais sûr, dès l’instant où je t’ai vu !

Le Dominant posa un baiser sur le front de son esclave, celui-ci ému, remercia le Maître sobrement mais respectueusement. Il sentit frémir son bout de chair pendant d’entre ses cuisses, il était heureux, simplement heureux. Tous deux reprirent leur chemin, tout en marchant, Monsieur le Marquis informait Son chien soumis de ce qui allait suivre.

- Je vais t’offrir un moment de détente, un vrai temps de délassement et d’apaisement. Tu le mérites bien…

Les deux protagonistes arrivaient devant une fastueuse villa, Monsieur le Marquis signala sa présence à l’interphone. Le portail s’ouvrait. Une large allée conduisait au pavillon colonial. Un homme, grand, sortit d’une terrasse pour accueillir les hôtes. Quand il s’approcha du Marquis, il lui fit une chaleureuse poignée de mains :

- Bienvenue Monsieur le Marquis, ah ! cher Ami, très heureux de vous revoir et bonjour à vous Monsieur.

Il avait dit Monsieur à Endymion MDE en lui serrant la main énergiquement, voilà qui étonnait l’esclave MDE. Il y avait fort longtemps que plus personne ne l’avait appelé ainsi ! L’homme d’une bonne cinquantaine d’année, assez svelte, mais somme toute musclé, tout de blanc vêtu, portait des cheveux mi-longs grisonnants soigneusement coiffés avec une barbe finement ciselée.
Les manches de sa chemise blanche étaient retroussées à ses coudes, le col entrouvert laissait entrcevoir une poitrine velue, il était très élégant, élancé et d’une grande classe. Il fit entrer Monsieur le Marquis et Son chien soumis à l’intérieur de cette vaste et fastueuse bâtisse, et proposa de regagner le salon donnant sur une piscine à débordement, face à l’océan, afin de prendre un rafraichissement.

- Je vous en prie Messieurs, asseyez-vous ! Vous prendrez bien un verre de jus de fruits !

Monsieur le Marquis acceptait, Endymion MDE mal à l’aise, regardait le Maître sans trop savoir ce qu’il devait faire. D’un simple signe, le Dominant fit comprendre à son chien soumis qu’il devait s’assoir près de lui sur le sofa.

- A votre santé Messieurs, et bienvenue dans ce centre de remise en forme. Mes équipes et moi-même allons-nous occuper de ce Monsieur. Comment vous prénommez-vous ? Demanda l’homme …

Le Maître, sans attendre, apporta lui-même, la réponse.

- Il se nomme Endymion MDE ! Pensez-vous que trois heures pourront suffire pour lui apporter détente et une bonne remise en forme ?

L’homme répondit que trois heures étaient suffisantes pour une bonne relaxation et une bonne évasion du corps et de l’esprit. L’esclave MDE semblait inquiet… Comment devait-il se comporter, se tenir ? C’était la première fois que le Maître le conduisait dans un monde différent de celui dans lequel il vivait habituellement.

- Alors si vous le voulez bien Monsieur le Marquis, ne perdons pas trop de temps et conduisons Endymion MDE jusqu’au vestiaire.

L’homme tendit une clé au soumis MDE en lui montrant un casier.

- Voici votre vestiaire Endymion MDE, vous trouverez à l’intérieur une chasuble et un sous-vêtement que vous devrez porter, maintenant dévêtissez-vous et attendez là, que l’on vienne vous chercher.

L’homme s’éclipsa, laissant l’esclave MDE seul avec le Maître le regardant se déshabiller.
Une fois nu, l’esclave osa questionner Monsieur le Marquis :

- Maître, puis-je me permettre une question ?
- Je t’écoute …
- Merci Maître, comment dois-je, ici, me comporter ?
- Pourquoi une telle question Endymion MDE ?
- Nous sommes ici dans un monde « vanille » qui m’est devenu totalement étranger et je ne sais plus comment faire, comment me tenir, quelle posture dois-je prendre ?
- Tu es quoi, tu es qui, Endymion MDE ?
- Euh…. !
- Dois-je te rappeler que tu n’es qu’un esclave, simplement Mon esclave et Ma pute, ayant une chance inouïe de m’appartenir et d’avoir le privilège de porter Mes Nobles Initiales MDE ?
- Je le sais Maître !
- Alors pourquoi te questionnes-tu ainsi ?
- Euh… je… je ne…!
- Comporte toi tel que tu es, en tout temps, en tout lieu, sois toi-même, vis à plein temps ce que tu es, pour qui tu es, et ne te questionnes pas, ne te questionnes plus… plus jamais, tu entends !

Le ton était devenu plus sévère !

- Oui Maître, je vous présente mes plus humbles excuses Maître, merci Maître.

La chasuble était un simple vêtement à deux pans, sans manche, avec une ouverture pour la tête, s’arrêtant à mi-cuisses. L’étoffe légère et transparente était en lin. Pour ce qui était du sous-vêtement, ce n’était qu’un bout de tissu triangulaire, ample et mal ajusté, très échancré et tenu par trois fils élastiques, laissant le fessier totalement dégagé. Le soumis MDE eut bien du mal à contenir ses génitaux à l’intérieur.

- Cette tenue te va à ravir mon chien.

Le Maître avait sorti son téléphone portable et photographia sous plusieurs angles Endymion MDE

- J’adore… Tu ressembles à un de ces esclaves de la Rome ou Grèce antique, comme ceux peints sur un de ces grands tableaux qui trônent dans mon bureau en mon Noble Château. Bon, je te laisse maintenant. N’oublie pas mes dernières recommandations Mon chien, à toute à l’heure…

L’esclave MDE attendit seul, debout, quelques instants seulement.
Un créole, plus de la trentaine, cheveux courts et crépus, mal rasé, plutôt séduisant et athlétique, en blouse blanche, manifestement sans rien dessous, vint le chercher. Il s’exprimait sur un ton laconique :

- Suis-moi, Endymion MDE.

Le chien soumis MDE fut surpris par le tutoiement mais aussi par cette belle voix virile, agréablement zen, il était conduit dans une petite salle dans laquelle se trouvait au centre une table de massages. Un autre homme, plus jeune, svelte et lui aussi en blouse blanche était également présent. Il invita l’esclave MDE à se coucher à plat ventre sur cette table. Il releva le pan arrière de la chasuble et la lui posa sur la tête. Des doigts suivaient les stries laissées par la flagellation matinale !

- De bien belles marques, toutes fraiches encore ! Faisait remarquer le masseur le plus âgé.

Une paire de main fine lui massait les épaules, une autre plus massive glissait le long de sa colonne vertébrale, ces premières manipulations firent déjà un bien fou à Endymion MDE, il se détendait tranquillement, les yeux clos, oubliant le temps et l’espace. Des pouces descendaient inexorablement de plus en plus bas sur les reins de l’esclave, ce massage commençait à l’électriser sérieusement. Sans savoir comment, cette simple pression de ces deux doigts au creux de ses reins et sur le haut de son fessier le faisait se cambrer de plus en plus. La paume d’une main glissait encore sur ses reins, mettant en émoi l’esclave MDE quand une pression plus forte lui fit craquer le dos.

- Voilà un point de blocage à supprimer, mais pour te soulager plus encore, il me faut interagir au niveau de ton périnée ! Expliquait le masseur le plus âgé… Je vais m’occuper de toi sérieusement, concluait-il sur un ton beaucoup plus pervers tout en lui caressant les fesses vicieusement…

(A suivre…)

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