Croisière Dans Les Îles Grecques - Chapitre 1

Nous sommes parties avec deux amies grecques, Avgy et Eleftéria, ( respectivement en français l'aube et la liberté, les Grecs donnent des prénoms qui ont un sens ce qui est peu courant en français) et le mari de l'une d'elle, avec la vedette pour leur faire découvrir les îles du Dodécanèse en partant de Patmos où la légende veut que St. Jean a délivré "l'Apocalypse". Après une halte dans une petite crique sur l'île de Lipsi, accessible uniquement par bateau, idéale pour se bronzer nues nous avons pris la direction plein sud jusqu'à la Crète où je leur ferai découvrir l'île de Spinalonga, (La longue épine), où se trouvait la dernière léproserie d'Europe fermée en 1954 ou 57 si mon souvenir est bon.

Il faut préciser qu'à bord, nos vivions nus pour profiter au maximum de la sérénité du cadre.

Après Patmos, direction Kos pour aller voir l'arbre sous lequel Hippocrate enseignait. Juste le temps de faire le plein. Direction Simi une des îles les plus charmantes de la région. Rencontres bien sympathiques sur le trajet avec deux phoques qui venaient régulièrement respirer et un banc de dauphins qui nous ont suivi un bon moment.

J'étais sur la timonerie extérieure, tout en haut du bateau, une serviette de plage recouvrant le siège de skaï, les pieds négligemment posées sur le tableau de bord, surveillant simplement que le pilote automatique faisait correctement son travail. De ce point culminant j'eus droit à un spectacle tout à fait réjouissant; Avguy et son mari étaient installés sur le roof avant, le pare brise servant de dossier. En les regardant distraitement mon regard a été attiré par la main d'Avguy qui coulissait sur le membre de Dimitri au rythme de la houle.
Sa main à lui parcourait le blond gazon de la belle Avguy mais son majeur avait sûrement déjà atteint des profondeurs qui devaient plaire à la belle à en juger par les cris dont elle nous gratifiait. Toute mon attention absorbée à la contemplation du spectacle je n'avais pas entendu Eleftéria monter l'échelle et ne me suis aperçue de sa présence que lorsqu'elle a empaumé mes seins en me glissant à l'oreille :

- Petite vicieuse tu as trempé ta serviette ! Viens allons dans la cabine nous aussi on aura quelque chose à leur raconter ce soir !

- J'accepterais avec plaisir ta proposition mais ce n'est pas prudent, il faut toujours avoir un œil sur la mer, un conteneur perdu qui flotte entre deux eaux, une petite barque de pêche que sais-je encore.

Plus d'un sont partis par le fond pour un moment de distraction. Mais reste avec moi je pense que nous aurons droit à un joli spectacle avec un peu de patience et rien ne nous empêche de nous amuser ici.

Rien qu'à cette évocation la flaque de la serviette recouvrant mon siège augmentait considérablement pour le plus grand plaisir d'Eleftéria !

Je lui dis de s'asseoir sur le strapontin à coté de moi, tandis que de deux doigts j'écartais ma fente pour en faire jaillir le clitoris que je caressai doucement afin de ne pas crier pour attirer l'attention des deux autres dans leur besogne, Eleftéria fit de même mais n'ayant pas de serviette une jolie flaque se forma sur le pont. Elle serait bonne pour la "corvée de pont" !

Je regardais la houle qui avait toujours le même rythme en revanche celui de la main d'Avgy avait considérablement augmenté sur la hampe fièrement dressée sur laquelle j'aurais aimé faire flotter un fanion "baise à bord" s'il avait existé dans le code international des fanions.
Brusquement je me serais cru à Genève tellement le jet qui a été propulsé du membre raide m'a fait penser au fameux jet d'eau.
Les côtes de Simi se profilèrent à l'horizon et je demandai à Eleftéria d'aller se finir dans la cabine. Mon clitoris toujours en feu je me préparai aux manœuvres d'entrée dans le port, mais il ne perdait rien pour attendre…


On aurait pu croire que le puissant jaillissement du "jet d'eau genevois" était fait pour saluer l'arrivée dans le port de Simi. La capitainerie m'avait indiqué par radio un emplacement "cul à quai", le port n'est pas très large et comme la vedette fait environ 20 mètres les badauds regardaient la manœuvre, surtout les hommes d'un air rigolard en bons "machos" Grecs, pour savoir comment une faible femme allait y arriver. Si Avgy s'était délectée à nettoyer le sperme de Dimitri et qu'Eleftéria avait pu se terminer calmement dans sa cabine; moi j'étais restée sur ma faim et le clitoris douloureux, son soulagement viendrait plus tard.
Vite un slip, enfilé sur ma toison pleine de mouille, un soustif pour aller fixer les amarres et remonter à bord pour les tendres avec les winches et nous pouvions descendre à quai.

Le port de Simi est adorable, plein de petites tavernes et de cafés; les deux filles et moi-même sommes parties faire un tour dans le village, Dimitri préférant rester dans un troquet regarder une partie de tavli acharnée, (sorte de backgammon à la mode orientale, qui prouve que la Grèce a plus d'affinités avec le Moyen Orient qu'avec l'Europe). Elles sont d'autant plus animées que l'Ouzo et même le Tsipouro, (c'est comme l'Ouzo mais ce dernier en comparaison fait penser à du sirop pour s !!!). A notre retour le regard un peu brillant de Dimitri prouvait qu'il n'en était pas à son premier ! A nous quant même de nous abreuver de la boisson locale accompagnée de mezze et Dimitri s'est joint à nous, repassant à l'ouzo. Dans une taverne très sympa, sans touriste, en allant faire un tour dans les cuisines, à la mode Grecque, nous avons commandé une friture de tout petits rougets barbés suivis par des cigales de mer grillées le tout arrosé de deux pots d'un kilo de "rétsina", (le vin résiné se vend au kilo). Après le repas les filles et moi étions assez gaies et Dimitri quasiment cuit !
Nous sommes rentrés à bord en tenant fermement la main courante de la passerelle et en surveillant Dimitri pour lui éviter d'aller prendre un bain dans les eaux, toujours douteuses du port. Eleftéria a décidé de venir dans ma cabine et Avgy a dit nous rejoindre après avoir couché son cher et tendre. Les choses sérieuses allaient pouvoir commencer.

Avgui ayant fermé la porte pour que nous ne soyons pas dérangés par les ronflements de son homme, nous a rejoint dans ma cabine où elle a trouvé un spectacle tout à fait charmant !

Car armées d'un séchoir nous séchions nos pilosités après une douche pour les débarrasser de la mouille qui les avait laquées. Elle a décidé de se joindre à nous mais en se masturbant tout en nous regardant.
Nous riions comme des folles et avons laissé tomber le séchoir pour nous enlacer et nous masturber goulûment, rapprochant nos corps pour frotter nos seins et nos toisons. A quoi bon avoir passé du temps à les laver et à les sécher puisqu'elles commençaient de nouveau a être gluantes de nos sécrétions à l'odeur délicieuse !

Avgui est venue devant nous et a demandé à Eleftéria de replier une jambe afin de pouvoir mieux les écarter puis elle s'est avancée, la langue frétillante comme celle d'un serpent, pour écarter les lèvres, assez longues de notre compagne afin de débusquer un bouton qui ne demandait qu'a éclore.
Dans le même temps sa main a rampé le long de ma cuisse pour venir peigner ma toison tout en infiltrant un doigt dans mes lèvres et faire de la spéléologie dans ma grotte ruisselante d'humidité.

Le traitement subi par Elfteria devait lui être des plus plaisant à en juger par la fougue de son baiser et des mouvements de sa langue avec la mienne. Nous ne voulions pas qu'Avgy ne prenne pas aussi du plaisir et lui avons demandé de se masturber, d'autant plus que pour nous c'est toujours un régal de voir une autre fille se donner du plaisir.

Nos soupirs, cris et halètement ne risquaient pas de réveiller Dimitri qui n'avait pas encore évacué ses vapeurs d'alcool, en revanche les promeneurs nocturnes devaient se demander si sur ce bateau on était pas entrain d'égorger un cochon ?

Un regard nous a suffit pour voir qu'Avgy coulait d'abondance et que ses gémissements étaient l'annonce d'un orgasme qui allait déferler. Nous avons décidé, Eleftéria et moi de l'aider vers ces chemins de la félicité en nous jetant sur son gazon plein de sa rosée intime. Les nôtres n'étaient pas en reste et nous avons changé de position pour que l'une puisse sucer l'autre en formant de nos corps un triangle des plus esthétiques.
Les orgasmes se succédaient par vagues venant se briser, avec force, sur les rives du plaisir que nous cessions de nous donner.

Ces jeux innocents, durèrent une partie de la nuit jusqu'à ce que nous rendions les armes, épuisées de plaisirs. Nos seins, nos chattes, nos bouches étaient douloureuses des traitements subis et avaient besoin de repos. Nous nous sommes endormies enlacées sans même être gênées par les draps qui auraient eu besoin d'un bon essorage.

La rencontre avec la vedette de la police maritime reste un moment inoubliable.
Nous avions quitté Simi pour aller trouver une crique tranquille sur un îlot inhabité, vous devinez pourquoi un tel endroit nous plaisait.

Peu après la sortie du port une vedette m'a lancé un coup de sirène pour m'intimer de stopper. Venue bord à bord, les 3 donzelles étant nues comme il se doit, l'officier nous a demandé, dans un anglais approximatif, de passer une tenue plus décente car il voulait monter à bord pour vérifier les équipements de sécurité.
Ma réponse, en Grec, fut brève et catégorique,
1) J'étais à bord de mon bateau et avais la tenue qui me plaisait.
2) Que le bateau était immatriculé à Kingstone en Jamaîque comme le montrait le pavillon et qu'à ce titre il n'avait pour seul droit que de vérifier les documents prouvant l'immatriculation du bateau et cela sans monter à bord car il ne faisait pas partie du corps de douanes.
Devant son refus je lui ai dit que j'allais contacter par radio mon ambassade pour lui donner une leçon de droit maritime mais que dans ce cas son avancement serait sérieusement compromis..
La "queue entre les jambes" il la donné l'ordre de déborder.

Nous n'avions plus qu'à trouver une crique selon nos désirs......

Nous avons quitté Simi direction Rhodes, à une heure de navigation à petite vitesse, Car mes amis souhaitaient aller visiter la vallée des papillons que je connaissais déjà pour y être allé, bien des années au paravent, lors de mon premier voyage en Grèce.
J'avais donc décidé de rester à bord pour attendre la livraison de carburant et que de plus la ville de Rhodes avec son indigestion de touristes et de marchands de souvenirs "Grecs", made in China ne présentaient pas d'intérêt pour moi. J'avais eu raison car le téléphone a sonné; c'était Sula la sœur d'Avgy, Sula me demandait si sa fille Ariani, pouvait se joindre à nous. Elle m'a dit qu'elle prendrait le dernier vol pour Rhodes et lui ai dit que nous irions la chercher à l'aéroport. J'avais le souvenir d'une adolescente assez mignonne elle devait avoir 20/22 ans maintenant.
J'ai annoncé aux autres cette arrivée imminente et Avguy était ravie de revoir sa nièce et m'a remercié d'avoir accepté. Personnellement j'étais un peu contrariée en me disant que la donzelle allait nous déranger dans nos jeux érotiques.
Pendant que l'oncle et la tante allaient à l'aéroport, Elfetéria et moi avons été boire l'ouzo traditionnel et leurs avions donnés rendez-vous dans une taverne éloignée de celles où se regroupaient les touristes vomis par les bateaux de croisière. Je savais que l'on y dégustait d'excellentes cigales de mer dont je raffole.
Dimitri, Avguy et la jeune Ariane sont arrivés. C'était une très belle jeune fille brune au longs cheveux et au sourire éclatant mais je la voyais mal participer à nos jeux lubriques.
De retour à bord je lui ai attribué une petite cabine avant de rejoindre le pont où les autres attendaient devant un dernier verre. Je revois son air fort surpris lorsqu'elle nous a rejoint en constatant que nous étions nus, qu'Elftéria et moi nous embrassions à pleine bouche et que sa tante avait en main le sexe de son mari le cajolant doucement. Mais elle ne fît aucune réflexion malgré sa surprise.
Afin que les choses soient claires je lui ai dit :
- Ariane c'est avec plaisir que je t'ai invitée mais que les choses soient claires. A bord nous vivons nus, tu n'es pas obligée d'en faire autant car je comprends ta pudeur de jeune fille. D'autre part nous aimons le sexe entre homme et femmes et même entre femmes. Donc si cela te choque, mais à ton age je pense que tu n'es plus une oie blanche, ou tu fermes les yeux ou tu reprends le premier avion.
- Non Florence, je suis simplement surprise de voir ma tante sous un jour que je ne connaissais pas. Tu permettras simplement que je garde le bas de mon maillot.
- Aucun problème d'autant plus qu'à nos ages les "fruits trop verts" sont un peu indigestes.

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