La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 665)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°664) - Un test copulatoire dicté par le Maître -

Les deux journées qui suivirent ces vingt-quatre heures de séquestration et surtout de très nombreuses sodomies profondes de Camille dans le cul de l’esclave MDE, furent plus calmes et lascives. La vie à bord du Croix-Rousse naviguant d’îles en îles, dans ces eaux chaudes toujours d’un bleu turquoise, avait repris ses droits. Pour les Dominants, comme pour les deux esclaves, la détente était au rendez-vous, avec des bains de mer, des escales, des bains de soleil sur quelques petites plages isolées. Évidemment, les esclaves, autant le mâle que la femelle, avaient été sollicités, à plusieurs reprises, nuit et jour, leurs trous avaient été explorés, fouillés, pénétrés, usés et abusés abondement et exploités mais quoi de plus normal, de plus banal ! Tout ceci était une évidence naturelle et ordinaire…

Le pervers et vicieux Camille avait été récupéré par son jeune Maître, dès sa sortie de cette cale immonde. Il l’avait obligé à refixer lui-même sa ceinture de chasteté, de la cadenasser devant tous ceux présents, de lui remettre les clés tout en lui prédisant une chasteté plus longue encore que celle qu’il venait de lui imposer et qui durerait donc plus d’un an cette fois-ci. L’esclave Camille savait à quoi s’en tenir… Titillé par ses besoins sexuels pervers, et son indispensable soumission, il avait hésité un temps. La mort dans l’âme, il avait obéi, preuve de son appétence à la privation et à l’obéissance. Le Jeune Maître lui avait alors exprimé sa fierté, lui avait autorisé à sucer une dernière fois, le soumis MDE pour le remercier de lui avoir servi de vide-couilles. Une fellation qui faillit emporter Endymion MDE, lui qui n’avait que joui du cul et non de la bite pendant ces dernières vingt-quatre heures torrides…

Ce soir-là, à la nuit tombée, juste après le dîner, Madame Marie était venu chercher le chien soumis MDE, briquant et astiquant de fond en comble la cuisine.

Elle l’emmena, tenu debout fermement par son collier, jusque dans le salon ou étaient réunis les trois Dominants et les deux skippers. Tous étaient assis, confortablement affalés dans des canapés de cuir. Estelle, elle aussi était là. A quatre pattes sur l’immense table basse, elle offrait sa croupe arrondie, ses reins cambrés, comme pour bien offrir sa vulve exhibée à tous les regards, un bien bel abricot ! Les muscles fermes de ses cuisses tendues dessinaient des courbes superbes, dignes d’un galbe d’une déesse antique. Ses seins ronds terminés par des tétons turgescents étaient gonflés de plaisir et vibraient délicatement. Tout traduisait la grâce et la féminité chez cette jeune esclave, même si la situation la faisait passer pour ce qu’elle était et désirait devenir : une vraie putain ! Elle gardait malgré tout de la dignité, dans sa façon de se tenir, et semblait même avoir parfaitement la maîtrise de la situation, tant elle était bien dressée.

Endymion MDE fut placé derrière elle, lui aussi à quatre pattes, lombes bien cambrées, museau à proximité de cette vulve indécente, délicatement parfumée d’une douce fragrance vanille. Tous deux restèrent ainsi, immobiles écoutant parlés les Dominants. Monsieur Henri s’était levé, avait posé ses mains sur les fesses de sa soumise, il caressait délicatement ses lobes fessiers, les faisant frissonnés. Ses doigts parfois, glissaient dans ce sillon tenu écarté. Puis ses mains remontaient sur ses reins, sur ses épaules, passaient sous son ventre, caressait avidement ses seins, pinçait ses tétons congestionnés. Estelle se laissait palper, parfaitement immobile, n’émettant que des gémissements et une douce complainte jouissive…

- Crois-tu mon cher Edouard, que ton chien sera capable, le jour venu, de copuler avec ma chienne, de la saillir et l’engrosser ?

Les doigts de Monsieur Henri fouillait maintenant la chatte de la femelle, ils glissaient en elle à la recherche de son petit bouton tendu.
Une fois bien humide et détrempé, il les ressortit et les fit coulisser entre les lèvres toute proches d’Endymion MDE, comme pour simuler une fellation. Celui-ci lécha les doigts englués de cyprine comme un divin cadeau.

- Pourquoi une telle question, mon cher Henri ? répondit comme agacé Monsieur le Marquis
- Une telle question peut te surprendre mon cher ami, mais je ne voulais surtout pas t’offenser. Je connais les penchants de ton chien mon Cher Edouard, il est plus attiré par des culs de mâles et pour prendre des bites dans son trou, que part des vulves de chiennes, fussent-elles en chaleur !
- Mon chien, simplement obéit. Il respecte scrupuleusement Mes ordres, et se contente de les satisfaire.

Madame Gabriella avait perçu une certaine tension entre les deux Dominants, elle intervint à son tour en se levant et en se plaçant derrière le mâle MDE. Elle lui attrapait délicatement les couilles, lui les palpait, lui les soupesait, faisait rouler ces pouces sur les deux testicules du mâles, pour les lui séparer comme si elle voulait en mesurer la taille.

- Regarde Henri, ce mâle à de beaux attributs entre les cuisses. Son sac est bien proportionné et bien souple, ses couilles sont bien fermes ! Un véritable réservoir à sperme pour ensemencer notre chienne !

Elle exerça au même moment une pression sur l’un des testicules du chien, le faisant sursauter…

- Et tu vois Henri d’une grande sensibilité… rajouta-t-elle.

Le soumis MDE humilié se sentait telle une bête exposée sur un foirail ou pire un mâle reproducteur que l’on visiterait dans un haras pour saillir une jument à la reproduction, quelle humiliation ressentait-il ! Et paradoxalement, quelle excitation de se sentir comme tel ! Madame Gabriella s’intéressait désormais à la bite de l’esclave MDE. Celle-ci s’était redressée fièrement. Elle la tirait par derrière les cuisses du chien soumis et l’examinait de près…

- Une bite d’une bonne taille, d’un bon volume, suffisamment longue, suffisamment épaisse, bien veineuse, un bon gland, bien violacé, se décalottant bien, une bandaison ferme, soutenue et intense, une queue qui mouille bien, la preuve en est… Une bien belle virilité d’étalon, pour la saillie ! … tiens regarde Henri !

Madame Gabriella avait récolté sur ses doigts la bave intime du soumis MDE, elle la montrait à son mari, juste avant de glisser pouce et index dans la bouche d’Endymion MDE.
Elle en profita d’ailleurs pour lui retrousser les babines, écartant ses lèvres pour examiner sa parfaite dentition. Elle ne fit aucun commentaire particulier. Elle exigea à l’esclave de bien tirer la langue et lorsqu’elle fut suffisamment sortie de sa bouche, elle appuya sur sa tête pour plaquer cet appendice buccale sur le sexe de sa chienne, tout près. Ce contact intime fit tressaillir Estelle dans toute son échine.

- Lèche salope, lèche bien sa fente, glisse ta langue de pute dans les moindres replis de cette chatte ! Ordonna-t-elle !

Un tel spectacle raviva les esprits, mais pas que… Maximilien avait sorti son dard de son boxer et se branlait sans scrupule, Monsieur le Marquis avait glissé sa main sous la jupe de Madame Marie la cuisinière assise à Ses côtés. Elle avait écarté largement les cuisses et se laissait caresser en soupirant d’aise…

- Bien ! OK ! Je ne suis pas contre mais avant, il serait peut-être bon de faire un test ! lançait Monsieur le Marquis.

Un test, quel test ? Personne n’avait compris les propos du Maître, alors il s’expliqua mieux encore.

- Accouplons ici, sous nos yeux, nos deux putes d’esclaves, faisons les copuler ensemble, voyons comment se comportent-ils. Allez mon chien, grimpe sur ta femelle, tel un chien sur sa chienne et fornique là sans ménagement !

L’esclave MDE excité comme un diable, attrapait sa queue bien raide pour la glisser dans ce sexe béant et trempé que soumise Estelle exposait écartant, elle aussi, largement les cuisses tant son excitation sexuelle était forte. Mais le Maître le stoppait dans son endiablé élan. Il se leva subitement et lui claqua le cul à quatre reprises, avec ses mains trempées de cyprine de Madame Marie :

- T’ai-je autorisé à te toucher la queue salope ! Un chien n’utilise pas ses pattes pour s’introduire et enfourner une chienne. Tu n’es qu’un chien, comporte toi ainsi, tel un chien !

Endymion MDE grimpait sur le dos de la femelle docile et à tâtons, avec le bout de sa queue, tentait de trouver cette fente pour s’enfourner en elle.
Tellement excité, il ne parvenait pas à trouver ce trou pourtant béant, ce sexe trempé d’Estelle prêt à l’accouplement, tellement la femelle en pleines chaleurs avait besoin de se faire saillir. Les Dominants riaient, Étienne dégageant sa bouche de la queue de Maximilien lançait à la cantonade :

- Ne te trompe pas de trou, grosse salope !

La nouille hyper bandée du soumis MDE, avait enfin trouvé l’accès, elle s’engouffrait dans ce chemin chaud, étroit et musclé. Dans un soupir d’extase, Estelle se cambrait un peu plus, pour encore mieux se faire besogner. Poings fermés, bras tendus de part et d’autre d’Estelle, enserrant son thorax, le soumis MDE, yeux fermés, s’activait, s’agitait, la prenait bien à fond derrière elle. L’accouplement avait quelque chose de véritablement bestial, les Dominants étaient attentifs et observaient la situation sans bruit. Malgré sa position de femelle soumise et dominée, c’était maintenant Estelle qui contrôlait et dirigeait les opérations. Elle se faisait limer la chatte à bon compte, elle donnait le rythme en envoyant parfois ses fesses percuter le ventre du mâle, si bien qu’Endymion MDE, haletant comme un buffle se crut n’être qu’un godemichet humain. Estelle se faisait alors plus perverse et obscène encore. Par des ondulations de son corps, elle exerçait une douce et sensuelle caresse à ce membre bandé qui la pénétrait profondément mais sans grands coups de reins car l’esclave MDE se laissait aller à faire coulisser sa nouille tendue dans cette caverne où coulait une source intarissable. Ce corps était si chaud, cette peau si brulante, que l’esclave MDE aurait bien voulu la caresser. Mais pris dans un engrenage sans fin il sentit que sa queue était encore avalée, son gland absorbé et presque broyé contre ses parois musclées. Mais le soumis MDE ne voulait pas succomber. Il résista au piège de l’appel de ce temple mais il crut bien défaillir, quand la liqueur intime d’Estelle se répandit sur sa verge démesurément tendue. Il crut exploser encore lorsque les grandes lèvres intimes et trempées lui dévoraient la nouille de plaisirs. Toujours planté dans cette gaine soyeuse, Endymion MDE sentit qu’Estelle contractait ses muscles internes comme pour emprisonner ce gourdin qui la taraudait. Elle allait jouir… elle ne tenait plus… son plaisir était à son paroxysme… quand elle venait de jouir bruyamment, intensément par des cris de jouissance à ne plus finir !

- Vas-y mon chien, je t’autorise, laisse-toi partir, gicle ton foutre dans cette chatte de chienne ! Lançait le Maître.

Alors, sans attendre une seconde de plus, il décocha plusieurs salves de lave brulante dans cette chatte voluptueuse, en hurlant, lui aussi, sa jouissance par de longs râles, tout en continuant à la fourrager alors qu’Estelle cherchait à s’empaler de plus belle, lui provoquant un massage démoniaque avec son vagin contracté. Estelle jouissait encore des derniers soubresauts du pieu de chair brulante qui venait de la défoncer et de jouir en elle….

Monsieur le Marquis d’Evans s’était levé et se tenait près des deux soumis. Il glissa sa main droite près des deux sexes réunis, sa main gauche attrapait les couilles du mâle toujours encastrés, il tira sur ses burnes, contraignant son chien soumis MDE à se retirer de ses chaudes et ruisselantes entrailles. Il venait de décider de mettre un terme à ce test copulatoire imposé, à cette saillie démonstrative ...

(A suivre…)

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