De Cablage En Connection Il N'Y A Qu'un Pas

Mon métier ? câbleur informatique, je refais les connections des hôpitaux, grandes surface etc.etc. ça ouvre bien des horizons j’y croise de nombreuses et belles nanas a vingt trois ans en pleine effervescence hormonale c’est bienvenu
A mon précédent chantier j’étais seul pour faire le taf, pas facile pour faire certaines manœuvres, même en insistant pour avoir un collègue, restriction oblige donc j’ai décidé de prendre mon temps !
C’était un grande surface a une enseigne bien connue, comme les travaux devaient durer une bonne quinzaine ont ma alloué un cagibi inoccupé, sans éclairage, qui me sert de vestiaire, je dois faire le tour du bâtiment pour y accéder
Dés la première journée des éclats de rires féminins m’ont interpelés, ça vient de ce coté de cette ancienne cloison en carton-plâtre plutôt défraichie, en regardant de plus prés je distingue a hauteur de ma taille un filet de lumière sous l’aussi vielle tapisserie, par curiosité je soulève un morceau décollé et là … bingo ! c’est le vestiaire des femmes ! elles sont cinq plus ou moins dévêtues, une seule sort du lot en sou vêtement plutôt sexy, trois en combinaison de grand mère, normal elles ont des heures de vol ! la dernière a déjà revêtu sa blouse de travail, je gratte la fente pour mieux voir la jeune femme qui a certains moments se baisse m’offrant des vues imprenables, les bonnets débordent et le bas plutôt étroit cache tout juste la vulve mais pas la toison frisée couleur ébène qui déborde sur les cuisses
Soudain cette brunette regarde intensément dans ma direction, aurait-elle décelé quelque chose d’anormal lorsque j’ai repoussé le papier peint avec mon canif ?

- Alors Cécile ? tu rêve au prince charmant ? dépêche-toi de te préparer sinon la chef va encore râler
- Partez devant j’arrive

Cette fois je suis quasiment certain qu’elle a remarqué quelque chose, je ne bouge plus …une fois les copines sorties elle approche de la cloison toujours en sous-vêtements, j’ai la magnifique paire de seins en stéréo sous les yeux

- Houhou, y’a quelqu'un ? Qu’est-ce que c’est que ce trou ? …bizarre-bizarre …bon faut que j’y aille

Une fois redressée c’est le triangle bien renflé bleu électrique du string qui est a cinquante centimètres de mes yeux, je pourrais presque sentit son odeur intime, elle se tourne lentement comme si elle se sentait observée et qu’elle voulait me faire profiter du mini spectacle qu’elle donne, en se courbant carrément en deux , la vulve serrée dans le tissu ne demande qu’a s’exprimer ! son postérieur ondule encore un moment puis elle revêt cette immonde blouse bleu pâle, je la reconnaitrais entre mille celle-ci ! avant de partir je profite d’être seul pour agrandir cette fissure en un trou rond de cinq centimètres toujours recouvert par la tapisserie
Dans la matinée j’ai revu cette fille à une caisse clients, impossible de se tromper, son prénom est marqué sur sa blouse: Cécile …un instant nos regards s’accrochent, elle sait que je bosse dans ce magasin et me gratifie d’un large sourire énigmatique, je multiplie les allées et venues afin qu’elle me remarque, a dix heures trente lord d’un ultime passage, elle parle a sa chef tout en me fixant comme si elle s’adressait a moi

- Aurélie je vais en pose dans nos vestiaires
- Déjà ? tu n’attends pas tes collègues ?
- J’ai une envie pressante
- Ok Cécile ne fait pas pipi dans ta culotte !

Je me précipite dans mon ‘refuge’, trente secondes plus tard elle fait son entrée et se concentre directement sur la faille remarquée plus tôt, une idée de folie me prend, je me débraguette et pose mon engin à demi-bandé sur le trou juste a bonne hauteur, celui-ci en grossissant se fraie un passage en repoussant la tapisserie, un ‘OH’ de surprise accueille l’entrée de mon membre dans le vestiaire, puis c’est le silence …quelle va être sa réaction …au secours ? a l’aide ? y’a un voyeur ? rien de tout ça, ma queue est subitement enveloppée entre deux mains chaudes et progressivement décalottée

- Bonjours toi ! tu viens faire connaissance ? tu es belle et très raide dit donc, j’adore ta grosse veine bleue, tu veux un bisou ? attends je me mets a genoux … voilà, huuuuuummmmmmmmmmmm t’es bonne !

Mon ventre collé à cette cloison miteuse Cécile pompe merveilleusement ma bite entrecoupé de branlettes rapide afin de me faire juter très vite, les muscles raidis pour accen la venue de mon orgasme, soudain je ressens une détestable impression de fraicheur, la fille viens de lâcher ma queue …

- Attend ! ne part pas, tu vas faire connaissance avec une copine, excuse-là elle est toute mouillée

Pour mon plus grand plaisir Cécile frotte mon gland sur sa motte garnie de poils soyeux, je perçois les lèvres poisseuses qui s’ouvrent grâce au passage appuyé sur ma verge, il suffirait d’un rien pour que je la pénètre, ma jouissance surgit soudainement forte et abondante, j’arrose copieusement sa fente de mon jus onctueux

- Qui que tu sois, MERCI ! je reviendrais juste avant quatorze heures …cet orifice est un peu juste …
- Je vais faire le nécessaire …

Cette fois la glace est rompue inutile de chercher à jouer au plus fin, Cécile a envie de baiser et moi aussi, je fait un seconde fente a hauteur des yeux afin de voir ma victime au moment opportun et j’ovalise le trou afin de pouvoir orienter plus facilement l’angle de tir, j’ai ramé toute la matinée ne pouvant oublier cette mémorable pipe et surtout le contact de sa chatte accueillante avec mon nœud , trop timide j’ai évité de repasser devant sa caisse
Treize heures cinquante neuf, nu jusqu’à la taille, l’œil collé a la fente, je suis a mon poste, la porte du vestiaire s’ouvre et se referme avec un verrou, Cécile ouvre nerveusement sa blouse et se débarrasse de sa petite culotte, de ses doigts fins elle repousse ses poils afin de dégager l’entrée de sa cramouille, j’engage mon membre dans l’orifice aussitôt pris en main, cette fois je vois le regard troublé de Cécile, quel dommage de ne pouvoir l’embrasser ou lui toucher le con, le manque contact de sa peau me frustre terriblement, déjà que je perds cinq centimètre de pine a cause de cette maudite cloison

- Zut ! je n’y arrive pas … quelle poisse, ça manque de longueur
- Retourne toi et penche toi bien, tu va coller ta moule au trou
- Bonne idée ! comme ça ? ah ouuuiiiii !
- Enfonce-toi….

Ooooooohhhhhhoooooooouuuuuuuuiiiiiiiii c’est booooooooonnnnnnnnnn !
- Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhh tu m’ouvre biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnn !
- Va-y baise comme tu aime, ce soir tu feras le tour pour venir ici, je défoncerais tes trous
- OUI-OUI-OUI-OUI ….ooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii oh que c’est bon d’être baisée ainsi ! je jooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiis !
- Prend ma purée dans les miches !ooooooooooooooooohhhhhhhhnnnnnoooooooooooonnnnnnnnnn !
- Waouh ça décoiffe !
- Tu viendras me rejoindre dans cette pièce ce soir ?
- Non, mais je reviendrais ici, je ne veux pas connaitre ton visage, c’est mieux ainsi, j’adore ce mystère et puis j’aurais trop honte d’ouvrir les cuisses devant toi avec ma chatte trop poilue
- Comme tu veux, du moment que tu m’offre tes trous
- J’ai envie de me faire sodomiser de manière anonyme…
- Prépare ton anus avant de venir, fourre lui de la vaseline ou autre
- Oui …

Décidément je ne peu me concentrer sur mon travail, j’attends l’heure avec impatience, de loin je vois Cécile qui attend le départ de ses collègues avant de se précipiter dans ses vestiaires, nous arrivons en même temps, la jeune femme se débarrasse rapidement des vêtements inutiles et encombrants pour ce genre de sport

- Je suis prête !
- Moi aussi, j’ai une de ces trique
- Montre ? wouuuuuuuh elle me fait vachement envie

Devant mon zob qui dépasse du trou, elle pousse un cri d’émerveillement et ne résiste pas a m’avaler a grands bruits de succions
- Excuse moi j’ai pris un petit en-cas ! au tour de mon cul à présent, ça ne va pas être facile …
- Je ne peux pas faire grand-chose, colle ton anus au plus prés du trou et prends bien appuis sur tes pieds pour ne pas glisser
- J’en ai tellement envie que je vais y arriver ! j’ai mis un demi-tube de vaseline dans mon boyau
- Att mon nœud d’une main et pose-le sur ton œillet ….. pousse… plus fort !
- Ça m’élargit le fion !

Une fois bien introduite la femme se démène sur ma queue jusqu'à ce que j’éjacule, dépité par ce genre de relation je me lave vite-fait et repars rejoindre mon fourgon atelier et rentrer à l’hôtel, sur le parking une femme d’une bonne quarantaine d’années fait les cent pas devant mon véhicule

- Ah, vous voilà enfin
- A qui ais-je l’honneur ?
- Martine, la chef de Cécile
- Que me voulez vous ?
- Montons dans votre fourgon, ce que j’ai à vous dire est confidentiel, il s’agit de Cécile, je sais tout …
- Montez … vous savez quoi ? il ne s’est rien passé entre votre employée et moi
- Permettez-moi d’en douter au vu des dégoulinages suspects et odorants sur la cloison.
..
- Tout est ma faute, ce n’est qu’une relation illusoire, tout c’est passé par ce trou, je n’ai jamais posées mes mains sur elle
- Elle m’a dit que ça vous manque de sentir sa peau contre la votre ?
- C’est vachement frustrant
- Ça vous dirait de palper des seins bien réels ?

Joignant le geste à la parole elle soulève son pull sous lequel sa poitrine libre se balance lourdement, par souci de discrétion par rapport aux passants je pousse la porte latérale du fourgon, prenant ceci pour acceptation de ma part elle cherche le zip de sa jupe

- Tu va être comblé mon petit, je n’ai pas de petite culotte non plus ! vient …montre moi ce qui ravit autant Cécile
- Mais madame il n’est pas question que je vous touche
- Tu préfère que je me débarrasse de Cécile pour faute grave ? et je peux aussi alerter ton patron sur tes agissements ‘olé-olé’ pendant les heures de travail
- Suce-moi et j’te baise….
- Non, toi, lèche moi avant, je vais m’assoir sur cette caisse

Je ne peux que me plier à ses exigences, et puis je suis tellement avide de palper ses rondeurs que je me mets à genoux devant cet entrecuisse offert impudiquement, la femme renversée sur le dos m’accueille avec un rugissement de plaisir lorsque ma langue force le passage de ses lèvres qui une fois décollées laissent sa sève suinter
Mes mains ne restent pas inactives, je malaxe fiévreusement ses cuisses en imaginant celles plus fines de Cécile, une fois reposées sur mes épaules je peux me consacrer a son clitoris et son anus, je la rends folle, elle glousse et trémousse son gros cul lorsque mon pouce pénètre son sphincter

- Tu sais parler aux femmes mon cochon, bouffe moi si tu me fais jouir je te laisse me sodomiser
- Très bien … et ça ? ont te l’as déjà fait ?
- Ta main dans la chatte ? oooooooohhhhhnnnnnoooooooonnnn ! enfonce plus loin, c’est trop bon !

Des sons de plus en plus humides et sonores sortent de son con et de la bouche de Martine, elle pisse carrément sur mon avant bras, elle reprend difficilement son souffle, je retire mon poignet de cet antre visqueux dont les lèvres ont du mal à se joindre sans lui laisser le moindre répit

- Fout-toi à quatre pattes morue et lève le cul
- J’aime qu’ont m’humilie, met le moi sans douceur

Son anus ressemble à un bourrelet d’hémorroïde, c’est bien pour échapper a ses menaces que je m’exécute, pour tenir raide je repense a la chatte, poilue certes, mais ‘oh’ combien serrée, affalée sur la caisse elle s’écarte elle-même les lobes fessiers, Martine couine comme une truie lorsque je franchis l’excroissance anale, les deux mains agrippées a ses hanches larges je la bourre comme un damné jusqu'à ce que ma jouissance me ratt

- Remet tes fringues et barre-toi
- Oui mon chéri, pour te récompenser je te promets une surprise demain
- J’ai du boulot en retard, je n’aurais pas le temps de baiser
- Si j’étais toi je serais moins affirmatif …
- Salut ….


Ouf ! quelle corvée, vite a l’hôtel pour me laver, le lendemain j’évite de passer par le magasin pour éviter une mauvaise rencontre, en slip, prêt a revêtir mon bleu de travail lorsque des coups discrets sont frappés a la porte, merde, la Martine ? je vais la virer vite fait …

- CECILE ? que fais-tu là ?
- C’est ma chef qui m’envoie, elle m’a dit que tu avais besoin d’aide ? ….
- Je ne comprends pas ….
- Que tu es beau en slip ! je n’ai pas eu l’occasion de te voir et pourtant tu m’as faite merveilleusement jouir !
- Cécile ?
- Oui ?
- Déshabille-toi …je veux toucher ta peau, tes seins, ton minou ! je veux te serrer sur moi
- J’ai un copain et par ce trou dans la cloison je n’avais pas l’impression de le tromper …
- Je ne force pas à la pénétration …
- Dans ce cas je garde ma petite culotte et mon soutien-gorge
- D’accord …

Mes mains tremblent et mes yeux sortent de leurs orbites lorsque la fille retire sa blouse défraichie et son soustif toujours aussi bien rempli, elle fait les deux pas qui nous séparent en baissant la tête, ainsi elle peut se rendre compte du changement que subit mon slip, je l’entoure de mes bras sans oser écraser sa poitrine sur mon torse et mettre nos ventres en contact, Cécile les bras le long du corps repose sa tête sur mon épaule, elle respire bruyamment , son visage se tourne lentement vers le mien, ses lèvres sont entrouvertes , c’est un appel au baiser, je me penche sur elle …

- Chérie, je t’aime
- Moi aussi …embrasse moi

Tandis que nos langues se livrent bataille ses mains tire mon slip vers le bas, je cherche le clip du soutien-gorge d’une main pendant que l’autre passe entre le string et les fesses pour les presser contre mon sexe, son corps souple épouse le mien comme si elle voulait se fondre en moi, ses doigts triturent ma queue raide sortie de son carcan
Lentement je la pousse contre la même cloison qui nous a réunis par le trou, une fois adossée elle sépare ses jambes, fébrilement j’écarte sa petite culotte détrempée pour qu’elle frotte ma bite sur sa chatte, son ventre arqué n’attend plus que la pénétration que je j’effectue a tâtons puisque c’est elle qui positionne ma verge sur sa fente, mes genoux pliés se tendent, elle gémit sourdement lorsque je l’enfile jusqu’aux couilles peau contre peau, cette fois nous savourons notre accouplement longtemps, sans bouger, a part les contractions spontanées de nos sexes

- Je te sens mieux en moi qu’à travers la cloison
- Normal, je t’en rentre cinq centimètres de plus
- Cette fois c’est toi qui va bouger
- Je vais te ramoner le con jusqu’à le faire rougir

Par dessous le genou je lui relève une jambe au plus haut pour mieux l’écarteler, agrippée à mon cou je commence à limer sa chatte par à-coups, ponctués de violente pénétration, à chaque fois Cécile souffle fort dans mon cou, par syllabes entrecoupées elle me fait une proposition surprenante

- Je tiens - seule ma jambe - en l’air enfonce- moi - un doigt dans le cul
- Aimerais-tu te faire prendre par deux bites ?
- C’est le fantasme - de mon copain
- J’aimerais être celui là …
- Je – lui – en parlerais … JE JOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIISS !! c’est trop booooooooonnnnnnnnnn !!
- Arrose-moi la queue je vais te farcir l’utérus de foutre
- OOOUUUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!!
- Ensuite je te retourne et je t’encule !!
- OOOOOOOOUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!!
- Ooooooohhhhhhhhhhhhh je joooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiis !!

Mon chantier a duré deux fois plus de temps que prévu …

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