Leslie Nr01

Leslie NR01 – Nouveaux récits
Vieux fantasme. Ah, si j’étais une femme…

Parfois dans mes rêves, je m’imagine être une femme, je ne suis plus Leslie la transexuelle, mais Leslie, la femme…
Ce rêve je l’ai souvent fait et je dois avouer m’être réveillée à chaque fois en sueur, remplie de désirs…

« Ah, si j’étais une femme…
Je me rêve en jeune femme mince, aux hanches étroites et un petit cul cambré, à faire se damner un saint, selon les hommes qui me regarderaient avec envie, je sentirais le sexe.
Malgré mon côté androgyne, une poitrine menue mais ferme, dotée de mamelons très érectiles aux larges aréoles brunes, des cheveux courts coupés à la garçonne, habillée en garçon on pourrait s’y méprendre.
Des yeux verts en amande et les attaches fines, avec un visage d’ange, qui contrasterait avec mes envies impudiques et libertines, je ferais fantasmer les hommes que je croiserais.
J’aurais un pubis taillé de différentes formes, suivant mes envies, parfois même imberbe pour faire la jeune fille, tout cela pour mettre en valeur mes jolies lèvres brunes.
Mais surtout, je serais une femme très sexe…

J’aurais des aventures, d’une nuit, d’un jour, dès que je pourrais je me ferais baiser, me laissant aller aux désirs de mes amants de passage.
J’aurais, certainement, en plus de mes aventures passagères, un amant, plus âgé que moi, un bon baiseur, qui sait merveilleusement alterner tendresse et fougue. Nous vivrions chacun notre vie, lui de son côté, avec sa famille peut-être, et moi mes aventures quand il n’est pas avec moi.
Je dois dire qu’il me comblerait sexuellement et amoureusement et il me laisserait souvent inconsciente après des orgasmes répétés, avec lui j’oserais dire les choses qui l’excitent, je serais coquine, un peu cochonne même, voir parfois salope.
Je lui aurais avoué mes fantasmes d’exhibition et il me guiderait dans ce sens et je prendrais beaucoup de plaisir à m’exhiber pour lui et avec lui, dans ces moments où se mêlent la peur de se faire surprendre par quelqu’un de notre connaissance et la jouissance de s’exhiber, de faire l’amour dehors, et lorsque je jouirais je serais une femme-fontaine.



Ce soir, j’ai décidé d’assumer mes envies, alors je me suis habillée et maquillée pour l’exciter, car ce soir il me rend visite.
J’ai enfilé une petite jupe noire qui me couvre à peine les fesses, des bas noirs attachés à un porte-jarretelles en dentelle vaporeuse, des chaussures aux talons vertigineux, un chemisier en dentelle noire. Bien sûr, je n’ai pas mis d’autres sous-vêtements, et je sais qu’il va aimer et même adorer quand il me verra, des lueurs de désir naîtront dans ses yeux, comme dans les yeux des hommes qui me croiseront, et ces regards feront jaillir mes tétons à travers les trous de la dentelle du chemisier.
Je vais à sa rencontre pour le surprendre, j’aime être habillée comme ça, je sais mettre dans mon regard cette petite lueur qu’il qualifie de pervers, un défi aux limites de la bienséance. J’aime cette sensation de nudité, d’être exposée, mise en danger, ça m’excite.

Il m’a fait découvrir au fil de notre relation, le désir de m’exhiber et la sensation de provocation que cela engendre, mêlée parfois de peur quand je dépasse certaines limites.
Je peux lire dans son regard sa fierté et ses désirs à cet instant, je trouve cela excitant et je sens des ondes dans mon corps, mes lèvre se gonfler d’envie et je me mets à mouiller comme une vraie salope.
Je suis dans un coin au fond du parking d’un centre commercial où il m’a donné rendez-vous, je l’attends au volant de ma voiture, alors que peu de voitures viennent se garer, dans cet endroit mal éclairé.
Je l’attends et lorsque je vois sa voiture et au moment où ses phares éclairent la portière de ma voiture, je l’ouvre en prenant soin de sortir lentement une jambe dévoilant mes bas et leurs attaches. Sa voiture s’est arrêtés à quelques mètres de la mienne et ses phares éclairent mon entrejambe et dévoilent mon sexe lisse que ma position lui dévoile. Mes tétons se durcissent et pointent insolemment à travers mon corsage.
Il me fait des appels de phares, me faisant comprendre qu’il apprécie.


Je descends de ma voiture et m’approche de sa portière, je me penche pour effleurer ses lèvres et ainsi cambrée, je laisse mon cul se dévoilé par ma petite jupe trop courte, qui est soudainement éclairé par le faisceau lumineux des phares d’un véhicule passant près de nous.
Je le regarde, comme une chatte, je m’exhibe et le provoque en attendant qu’il m’entraîne dans un recoin sombre pour assouvir mon envie de me branler devant lui et en faire profiter qui voudra regarder.
Puis m’éloignant de sa voiture, mais en restant dans le faisceau des phares de sa voiture, sur la pelouse, parmi les arbres et les ombres de la nuit, je deviens une ombre, révélée parfois par les phares d’une voiture et je lui apparais dans toute la splendeur de mon indécence…. Je sais qu’il est là, derrière son volant, profitant des instants où les phares me révèlent à lui, peut-être se caressant au-travers de son pantalon ou se masturbant le sexe sortit, attendant le moment où je m’offrirais à lui, après avoir assouvie mon exhibition nocturne.

J’aime l’idée que l’on me regarde, mais surtout qu’il me regarde, comme l’objet de son désir, envisageant avec moi des positions et des situations qui vont me surprendre, être le fantasme de tous ses désirs, je veux le satisfaire à chaque instant.
Il me dit souvent que la sage Leslie deviens une autre, dans ces instants, devenant une salope, et parfois même une pute au regard pervers, je l’assume totalement car j’adore être comme ça et en plus ça me fait mouiller…
Je le lui ai déjà dit :
- Tu sais, j’aime que tu me regardes quand je me branle, c’est très excitant, et souvent, quand je suis seul et que je me masturbe, j’augmente mon plaisir en imaginant que tu es là à me regarder.
Ce soir je me branle devant lui, dehors, exposée aux regards des autres, mais c’est le sien qui compte, le regard des autres m’apporte un surplus d’excitation.
Adossée à un arbre, j’ai relevée ma jupe, écartée les jambes en remuant ma croupe, doucement, d’une main, j’ai caressé mon ventre puis mon pubis glabre et je suis descendue vers mon intimité devant ses yeux qui suivent et appuient mes caresses.
Mon autre main à glissé sur la dentelle de mon corsage et à malaxé mon sein droit, un doigt à glissé sur ma fente et j’ai gémis.
Puis j’ai ouvert mon chemisier et ma main à glissé d’un globe à l’autre, titillant, pinçant, tirant mes mamelons durcis, à cet instant, je ne suis plus que sexe pour lui et plus rien ne m’arrêteras…

Je me libère de ma jupe qui tombe à terre à mes pieds et reprends mes caresses, sentant le plaisir monter en moi et lancer ses premières décharges dans mon ventre.
Mes jambes sont largement écartées pour mieux m’offrir à sa vue, je malaxe, pince, tire de plus en plus fort sur mes mamelons et j’enfonce d’un coup un doigt dans ma chatte trempée.
Mes yeux dans les siens je savoure ce moment de bonheur, mon sexe dégouline de plaisir.
Je m’approche de sa voiture et constate qu’il a sorti sa queue de son jean et qu’il se caresse sans jamais m’avoir quitté des yeux.
J’ai maintenant deux doigts dans mon vagin et j’entame un va-et-vient rapide, deux doigts qui glissent au milieu dans l’humidité de mon plaisir, c’est bon !
J’y suis presque… Mes hanches ondulent au rythme de mes doigts, pendant qu’inconsciemment je pince mes tétons de l’autre main et de plus en plus fort.
J’accélère le mouvement, mon clitoris est gonflé et je frotte mon doigt dessus, le plaisir est là et monte encore, envahissant tout mon corps, je sens que je vais jouir devant lui, je suis trempée et j’aime ça !
L’orgasme irradie mon ventre, je fixe mes yeux dans les siens pour mieux savourer cet instant dans son regard. Un flot de mouille s’écoule dans ma main. Je geins, je me tords, je jouis fort, fort en geignant de plaisir !

Puis je m’approche de la voiture, après avoir retiré mes doigts de mon intimité trempée, je lui fais sentir et bien voir comment ils sont mouillés et lui fait lécher, car il aime le goût et l’odeur de mon plaisir.
Puis je me penche et pose mes lèvres sur les siennes, j’adore ces baisers que nous nous échangeons après avoir jouis et je l’embrasse passionnément, sa langue rencontre la mienne.

Mes seins sont durs et je sais que ma chatte continue de plus belle à couler mes cuisses, je suis une femme-fontaine, parfois dans la jouissance extrême, ma mouille jaillit de mon intimité pendant de longues secondes…

Mais l’exhibition n’est pas terminée….

A suivre…

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