La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°667)

Vanessa au Château – (suite de l'épisode N°575) -

Le lendemain matin en rentrant de sa garde Vanessa passe chez elle récupérer son chien et quelques affaires, puis elle part rejoindre son amant en sa demeure. Il n’est pas là mais un homme l’accueille.

- Bonjour Madame. Monsieur Le Commandant est parti régler quelques affaires, il m’a demandé de vous accueillir. Il a laissé un mot pour vous sur la table du salon.
- Merci Monsieur, répond la jeune femme souriante, intriguée par la véritable identité de cet homme.
- Oh ! Vous pouvez m’appeler Georges.
- Très bien Georges. Et que faites-vous pour le commandant ?
- Je suis jardinier, je travaille en général au Château que vous connaissez, mais de temps en temps je viens effec des travaux ici. Disons que Monsieur Le Marquis me "prête" au Commandant.
- Vous êtes un de ses...? hésite la jeune femme.
- Non, seulement un de ses employés, j’ai une solide formation en horticulture et entretien des jardins, répond l'homme souriant, comprenant de quoi la jeune femme veut parler.
- Je...je vous prie de bien vouloir m'excuser, j'avais pensé que...
- Il n'y a aucun souci, Monsieur Le Marquis confit parfois également les services de ses employés-serviteurs, seulement à ses plus proches amis.
- Je comprends, merci Georges pour votre accueil.
- Le plaisir est pour moi Madame.
- Appelez-moi Vanessa.
- Ah non je n’en ai pas le droit, pas en ces lieux, vous êtes la femme du commandant.
- Oui, mais je suis surtout...
- Une des chiennes de Monsieur Le Marquis ? coupe l’homme sans équivoque. Je le sais inutile, de me le rappeler, tout le monde au Château est au courant que la compagne du Commandant appartient au Maître, et tout le monde sait qu’il faut donc avoir une attitude adaptée en votre présence.
- Vous voulez dire que des consignes ont été passées pour que je sois privilégiée ? s’inquiète Vanessa ne souhaitant pas obtenir de faveurs à cause de sa situation vanille.


- Non, bien évidemment, et soyez assurée que lorsque vous me croiserez en tant que soumise, j’aurais une toute autre attitude à votre égard, mais il est évident que parfois vous serez présente en tant que compagne du Commandant, et les consignes ont été passées pour que les attitudes à votre égard soit adaptées au statut sous lequel vous passerez la porte du château. Et encore plus en dehors du château, donc pour le moment vous êtes la compagne du Commandant et donc je vous dois le respect dû à votre rang.

La jeune femme ne répond pas, elle lui sourit un peu gênée de tant de protocole pour elle simple soumise. Elle se dirige vers le salon et découvre un mot :

« Chérie … (Elle relit ce mot plusieurs fois, il ne l’a encore jamais appelé ainsi, elle sent son cœur battre à mille à l’heure, elle poursuit sa lecture) … Chérie, je ne vais pas tarder, des affaires à régler, tu peux installer tes affaires, prends tous l’espace nécessaire, ce qui est à moi est à toi. Je t’aime ».

Vanessa relit ce mot encore une fois, ravie de ces quelques lignes et file dans la chambre avec sa valise pour y ranger ses vêtements. Elle découvre avec surprise qu’il a fait de la place dans l’armoire pour en libérer la moitié. Elle range donc son linge, vidant sa valise, puis se dirige vers la salle de bain pour y déposer ses affaires de toilettes, découvrant là encore la moitié de l'espace libéré pour elle. Une fois toutes ses affaires rangées, n’osant pas trop prendre encore toutes les libertés dans la demeure de son amant, elle s’ennuie un peu, aussi elle décide d’aller rejoindre Georges dans le jardin. Elle découvre le jardinier auprès des rosiers, un sécateur à la main afin de les tailler branche par branche avec une dextérité professionnelle.

- Georges, puis-je vous aider ?
- Ce n’est pas la peine Madame, je vais y arriver, j’ai l’habitude ! Prenez un peu de temps pour vous.
- A vrai dire, je m’ennuie un peu, et cela me ferait plaisir.

- Entendu, répond-t-il lui tendant un second sécateur, mais faites attention de ne pas vous piquer.

Vanessa se saisit de l’objet et commence à attaquer le pied suivant, écartant délicatement chaque branche et décidant avec précision chaque endroit à tailler. Au bout de quelques minutes, le téléphone du jardinier sonne :

- Allo ?... Bonjour Monsieur…Oui… Non, elle n’est pas loin… Juste à côté de moi… Oui bien sûr, entendu !
- Madame, c’est pour vous, dit-il à Vanessa en lui tendant l’appareil.

La jeune femme pense à son amant le Commandant et se demande pourquoi il n’a pas directement appelé sur son téléphone, elle prend l’appareil et le colle à son oreille.

- Allo ?
- Bonjour Vanessa, ton installation s’est-elle bien déroulée, questionne une voix qu’elle reconnait immédiatement comme celle de son Maître.
- Vous ? …Maî…Maître…Heu … bonjour, oui…oui, merci de Vous en soucier, répond Vanessa un peu décontenancée.

Le jardinier sourit de voir la jeune femme passer de la femme très assurée à la soumise déstabilisée par un appel de son Maître.

- Tu m’en vois ravi, je t’appelle pour t’informer que pour te souhaiter la bienvenue au sein de la demeure de mon ami le Commandant, je t’offre l’autorisation de jouir autant que tu veux, de la manière dont tu voudras, et ce pendant les prochaines 24 heures.
- Oh…je…merci…merci Maître Vénéré
- Profite-en, c’est tout ce que j’avais à t’annoncer, tu peux retourner vaquer à tes occupations.
- Merci…au revoir Maître.

Vanessa rend l’appareil au jardinier, elle a un sourire d’épanouissement qui ne quitte pas son visage, ce qui fait sourire le serviteur. Elle a soudain très envie de profiter au maximum de cette autorisation et se dit qu’elle doit se changer pour donner envie à son amant.

- Georges, veuillez m’excuser, je…
- Vous avez trouvé de quoi vous occuper sourit l’homme sur un ton espiègle, je vous en prie.


La jeune femme quitte au plus vite le jardinier et file dans la chambre quérir une tenue plus aguichante, elle choisit une robe noire, qui s’ouvre facilement sur le devant, avec des talons hauts. Elle la passe, puis va se maquiller et se coiffer dans la salle de bain. Elle patiente devant la télévision le retour de Laurent, son amant et Commandant. Après quelques minutes celui-ci fait son apparition dans le salon.

- Ouah, tu es…éblouissante, se réjouit-il en découvrant Vanessa, que de sensualité dans ta tenue !
- Merci, dit-elle en se levant pour venir l’embrasser.
- Et que me vaut l’honneur d’une telle tenue si sexy ?
- Tu me vois en rangers toute la journée, je veux faire attention à rester une femme attirante à tes yeux.
- Même en rangers, tu es attirante à mes yeux.
- Je veux être plus, dit-elle en l’embrassant, je veux que ma féminité t’apporte aussi du plaisir.

Puis sans lui laisser le temps de réagir, elle le pousse sur le canapé et s’assoit à califourchon sur lui. Il se laisse faire, ravi de cette prise d’initiative. Vanessa déboutonne doucement sa chemise, léchant son oreille délicatement, puis elle se recul et fait descendre sa langue sur son torse jusqu’à la boucle de la ceinture. Là Vanessa ouvre délicatement son pantalon et délivre de son écrin de tissu la verge déjà tendue de son amant. Elle la prend en bouche délicatement, allant et venant le long de la hampe, faisant le tour du gland avec sa langue, avant de la reprendre en bouche, mettant en œuvre tout le savoir-faire qu’il lui a enseigné. Après plusieurs minutes, jugeant le sexe de son amant suffisamment tendu, Vanessa remonte sur lui jusqu’à venir s’empaler, son sexe fiché en elle. La jeune femme l’embrasse langoureusement tout en montant et descendant sur lui, son sexe est de plus en plus humide et le commandant reconnait à sa respiration les prémices d’un orgasme, aussi il la stoppe immédiatement, la prenant fortement par les hanches.


- Chérie, j’apprécie ton initiative, mais je t’ai déjà dit que je ne voulais pas que tu te serves de moi pour désobéir à ton Maître, dit-il tendrement.
- Et ? Il ne m’a pas interdit d’avoir des relations avec toi.
- Non, mais de jouir sans son consentement, oui, accuse le commandant.
- Ne t’inquiètes pas, son consentement je l’ai, répond-t-elle en l’embrassant tout en reprenant ses mouvements.
- C’est vrai, tu ne dis pas ça pour obtenir ce dont tu as envie ? questionne-t-il septique.
- Tu peux l’appeler si tu ne me crois pas, répond-t-elle un peu vexée qu’il puisse douter de sa sincérité.
- Non, je te crois, s’excuse-t-il réalisant qu’elle ne lui a jamais menti.

Sans dire un mot de plus il se relève, la retourne, la positionnant à quatre pattes sur le canapé, et prenant ses hanches, le Commandant s’enfonce dans son sexe trempé d’envie. Avec douceur, il démarre un long et profond va et vient tout en caressant sa poitrine, sa nuque, le creux de ses reins. La jeune femme est noyée dans un flot de sensations érotiques, Vanessa se laisse aller, son corps ressentant mille frissons, se crispant peu à peu jusqu’à un orgasme puissant qu’elle laisse venir dans un puissant cri de jouissance. Laurent ne s’arrête pas pour autant, accentuant l’orgasme de sa compagne jusqu’à ce que lui aussi jouisse en elle, avec de longs râles et de vigoureux coups de reins, éjaculant d’épais flots de sperme... Puis, il reste un instant sans bouger, caressant doucement, sa nuque et le creux de ses reins, puis le Commandant la redresse et l’embrasse tendrement dans le cou, avant de se retirer.

- Une douche à deux ça te dit ? lui propose-t-il toujours espiègle.
- Avec plaisir, répond-t-elle un sourire radieux illuminant son visage.

Ils se dirigent vers la salle de bain, en se tenant par la main, y ôtent rapidement le reste de leurs vêtements et se glissent sous l’eau chaude de la douche. Laurent se place derrière Vanessa et la prend contre lui, caressant avec tendresse sa poitrine tout en prenant l’éponge qu’elle tient dans la main pour la savonner. Puis il cherche de ses doigts le clitoris de sa compagne qui ne tarde pas à réagir. Vanessa se laisse aller contre son torse en sentant venir un second orgasme. Il la laisse récupérer, puis se savonne à son tour, se rince, sort et lui tend une serviette tout en l’embrassant…

(A suivre …)

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