Soirée Entre Couples D'Amis

Chapitre 1 :
Je m’appelle Sonia ; j’ai 48 ans, et je suis mariée avec Rémi depuis maintenant 24 ans. Dès le départ, notre relation était fusionnelle, et c’est tout naturellement que nous avons décidé d’enchaîner et mariage après seulement quelques mois de vie commune. Il y a 22 ans, j’ai eu la joie de mettre au monde notre fille unique, Léa.

Au travers de ces quelques lignes, je tiens à retranscrire un passage de notre vie de couple car la lecture régulière de récits érotiques ou pornographiques nous a aidés à franchir le pas ; alors, pourquoi ne pas aider à mon tour certains lecteurs et lectrices qui restent dans la tentation en se privant de l’action ?

Dès le début de notre relation, le sexe a eu une place importante dans notre couple : les tabous tombaient rapidement les uns après les autres, le dialogue a toujours été très ouvert, et les envies ont toujours été satisfaites. Nous avons consacré les premières années (environ 4 ans) à l’exploration de nos corps, à la découverte des moindres plaisirs possibles. Puis nous avons eu besoin de plus de piment, et nous avons commencé à nous avouer tous nos fantasmes ; nos désirs se rejoignaient, et l’idée de faire participer une ou deux autres personnes à nos ébats revenait régulièrement au creux de nos oreilles lors de nos parties de jambes en l’air.

Régulièrement, en guise de préliminaires, nous sélectionnons un récit érotique bien choisi, où nous retrouvons en général un couple tel que le nôtre qui est accompagné d’un autre homme ou bien d’une autre femme, ou encore d’un autre couple. La lecture de ces récits, surtout lorsqu’ils sont bien écrits, nous mettent dans un état d’excitation très fort et très agréable, d’autant plus que lors de ces lectures nous échangeons des caresses légères sur notre environnement intime. Ces caresses sont aussi un excellent moyen de percevoir dans quel état d’excitation nous sommes avec le texte en cours de lecture.



Il y a quelques années, nous avons décidé de passer à la vitesse supérieure. Après une inscription rapide sur un site de rencontres coquines avec comme critère le souhait de rencontrer un couple échangiste ou une femme seule pour un trio, nous avons fait la connaissance virtuelle de plusieurs couples.

Au départ, nous avons souhaité limiter les dialogues sans contact visuel, mais rapidement – l’excitation de la situation aidant – nous avons accepté, lorsque nos interlocuteurs le demandaient, d’allumer notre caméra afin de leur diffuser notre image. C’est donc par ce biais de la nouvelle technologie que nous avons fait la connaissance de Denis et Corine, un couple assez identique au nôtre, dans notre tranche d’âge, mais qui avait, contrairement à nous, une certaine expérience du monde échangiste.

Durant deux soirées d’affilée, nous avons dialogué ensemble avec des discussions essentiellement dirigée vers le sexe. Pour notre rendez-vous virtuel du troisième soir, nous avions convenu, Rémi et moi de nous lâcher un peu en acceptant de faire une caméra chaude, ainsi que nous le demandaient Denis et Corine.

Ce soir-là, nous avions le sentiment de franchir un cap ; la situation était extrêmement excitante, bien au-delà que si nous avions fait l’amour après une lecture érotique ou devant un film X. En même temps que nous donnions notre spectacle, nous pouvions regarder sur la vidéo de notre ordinateur portable dans quel état d’excitation nous mettions nos partenaires virtuels, qui en faisaient d’ailleurs autant que nous. Tout en étant virtuelle, cette situation nous avait fait faire un petit pas vers ce monde inconnu et souvent fantasmé.

N’ayant pas le courage de franchir totalement le pas, nous avons stoppé nos rencontres virtuelles avec ce couple qui souhaitait aller bien au-delà que de simples jeux par caméras interposées. Nous avons ensuite enchaîné ce type de dialogues virtuels avec d’autres couples, et parfois même avec des femmes seules qui n’hésitaient pas à se masturber devant leur caméra pour faire monter la tension.


Avant notre inscription sur ce site de rencontres, nous n’avions pas imaginé pouvoir rencontrer autant de couples à la recherche de partenaires virtuels pour pimenter leurs ébats. Ceci dit, une majorité d’entre eux avait tout de même pour objectif d’obtenir une rencontre réelle. Pour notre part, malgré l’état d’excitation dans lequel nous mettaient ces rencontres virtuelles, il était difficilement concevable de franchir le pas avec de parfaits inconnus rencontrés sur Internet.

Quelques années ont suivi où nous avons complètement abandonné ce type de jeu pour revenir aux basiques que sont les récits ou les films pornographiques pour nous accompagner dans nos fantasmes les plus fous. Ce n’était sans imaginer qu’un couple d’amis, Sylvie et Christophe, avec qui nous partageons souvent de bons moment le samedi soir ou le week-end, ont décidé, lors d’une soirée bien arrosée, de lancer une discussion autour de l’échangisme.

Sylvie nous expliquait qu’une de ses collègues de travail était adepte, avec son conjoint, de ce type de rencontre. Elle disait être outrée de voir que sa collègue pouvait parler librement de ce genre de chose sur son lieu de travail avec des personnes plus au moins intimes. Pendant ses explications, je constatai que Christophe me regardait de façon inhabituelle : ses yeux brillaient, et j’avais la nette impression qu’il attendait nos commentaires vis-à-vis de la discussion lancée, avec l’espoir de nous entendre dire que nous n’étions pas choqués par les pratiques de ce couple.

Nous étions assez surpris par cette discussion mais nous sommes restés sans réponses ni commentaires. Christophe a bien tenté quelques allusions coquines vis-à-vis de moi, et pour en avoir discuté ensuite avec Rémi lorsqu’ils nous ont quittés, si l’on se remémore également certains faits et gestes passés, il était flagrant que Christophe me désirait.

Ce soir-là, nous avons fait l’amour avec beaucoup d’excitation en nous imaginant réaliser notre fantasme avec nos amis.
Rémi prenait plaisir à me décrire ce qu’il souhaitait me voir faire avec Christophe du temps qu’il pourrait s’occuper de Sylvie.

Comme nous nous voyons régulièrement – environ toutes les trois semaines – lorsque notre prochaine soirée a été programmée, Rémi m’a demandé de m’habiller sexy, voire un peu provocatrice, et c’est en talons hauts, bas résille noirs, minijupe en jean et décolleté que nous avons reçu nos hôtes.

À leur arrivée, une nouvelle fois j’ai vu les yeux de Christophe s’illuminer ; ils parcouraient mon corps avec envie. L’alcool aidant, au cours de la soirée les allusions coquines se multipliaient, Christophe montait d’un cran à chaque fois qu’il le pouvait. Lorsque Sylvie s’adressait à Rémi, elle lui tenait le bras – je pourrais plutôt dire qu’elle lui caressait le bras – ce qui me surprenait vu qu’elle n’avait jamais été tactile jusqu’ici. L’ambiance était de plus en plus chaude, chacun y allant de sa blague coquine ou allusion provocatrice, jusqu’à ce que Christophe demande à Rémi :

— Tu n’aurais pas un petit film coquin bien sympa à nous proposer ?
— Oui, j’ai un film érotique, "Happy Few Years", ou alors j’ai des films X ; c’est comme vous voulez
— Ah non, pas du X, c’est trop vulgaire ! s’exclama Sylvie. Plutôt ton film érotique.
— Il parle de quoi, ton film érotique ? s’enquit Christophe.
— De deux couples échangistes qui prennent leur pied en s’échangeant, répondit mon mari.


Il y eut un court moment de silence avant que Christophe plaisante :

— Cool, comme ça on sera bien dans l’ambiance pour passer aux choses sérieuses.
— Oui, c’est ça… Mais tu rêves, mon pauvre Christophe ! protesta son épouse.
— Faut pas prendre tes rêves pour la réalité, lui conseillai-je.


Nous avons déposé nos verres et la bouteille de liqueur sur la table basse et nous nous sommes installés tous les quatre sur le canapé, prêts à visionner notre film, que Rémi et moi avions déjà vu deux fois.


Un petit quart d’heure après le début du film, nous voyons les premiers ébats entre les partenaires qui se sont échangés. Christophe, qui commentait le film depuis le début, s’est exclamé :

— Ouah ! Il vient juste de lui poser sa langue et elle a l’air d’être déjà en extase. Ça doit être vraiment excitant de prendre du plaisir dans une telle situation.
— Je suis d’accord : ça doit être un plaisir bien différent. Et vous, les filles, vous en pensez quoi ?
— Je crois que je suis toute mouillée… nous avoua Sylvie.
— Cochonne ! Tu t’y vois, c’est ça ? Tu t’imagines quand même pas que je vais laisser mon Rémi passer sa langue sur tes lèvres intimes ! me récriai-je.
— Ma petite Sonia, je suis sûr que toi aussi tu es tout humide entre les cuisses, tout comme la dernière fois où l’on a regardé ce film.
— Non, pas du tout.
— Je serais curieux de vérifier ça… proposa Christophe.
— Tu rêves ! Calme-toi ! rétorqua son épouse.
— Pas chiche de venir voir ! le provoquai-je.
— Si ça ce n’est pas de la provocation ! réagit Christophe. Rémi, peux-tu faire diversion avec Sylvie juste le temps que je vérifie l’entrejambe de ta femme ?
— Sylvie, laisse ta place à Sonia et viens t’asseoir près de moi, nous enjoignit Rémi.


C’est avec un sourire coquin que Sylvie et moi avons échangé nos places sur le canapé.

Sur l’instant, mon attention se portait beaucoup plus sur ce que Rémi faisait à Sylvie, mais rapidement, lorsque les doigts de Christophe sont venus écarter mes lèvres trempées, je me suis abandonnée totalement à mon unique plaisir. Il me caressait timidement. Je n’osais pas le regarder ; j’étais très excitée par la situation, mais également gênée de prendre un tel plaisir avec un autre homme que mon mari.

Après quelques minutes, je me suis retournée et j’ai eu la surprise de voir que Sylvie avait le sexe de Rémi dans une de ses mains. Lorsque mon regard s’est rabattu vers Christophe, il m’a souri et m’a chuchoté :

— Ils ont pris un peu d’avance ; tu veux bien me libérer moi aussi pour me caresser ?


Sans trop d’hésitation, j’ai déboutonné son jean pour pouvoir dégager son sexe et le mettre au grand air. La situation me mettait dans un état d’excitation que je n’aurais jamais pu imaginer.

À cet instant, tous les freins étaient lâchés : j’étais prête à franchir le pas ! Les massages de Christophe se faisaient de plus en plus insistants autour de mon petit bouton, je sentais ma jouissance proche. Son sexe était d’une extrême raideur, et une petite larme d’un liquide chaud et transparent s’échappait de son gland pour venir s’étaler sur mes doigts. Malgré le son de notre film, j’entendais de petits gémissements timides dans mon dos. Ma curiosité m’a de nouveau imposé de tourner la tête vers Rémi et Sylvie, et j’ai une nouvelle fois constaté leur avance lorsque j’ai vu la langue de Sylvie se balader sur le sexe droit de Rémi. Je n’avais aucune raison de ne pas en faire autant : il était évident que Christophe n’attendait que ça lui aussi.

Il a dû libérer ses doigts de mon entrejambe lorsque je me suis repositionnée sur le canapé, et c’est accompagnée d’une sensation de désir très agréable au niveau de mon bas-ventre que j’ai approché mes lèvres du gland de Christophe pour y déposer de petits baisers humides.

Dès le premier contact, il a basculé sa tête en arrière et a posé ses deux mains sur la mienne. J’ai passé le bout de ma langue humide de bas en haut sur cette tige au garde-à-vous, puis d’une main j’ai dégagé ses boules pour pouvoir les sucer elles aussi. Christophe gémissait à chaque remontée de ma langue vers son gland, et je pouvais goûter ses petites larmes qu’il laissait échapper malgré lui. Je devinais sa jouissance proche : il était temps que je le prenne entièrement en bouche. Et c’est tout en maintenant fermement la peau de son sexe à sa base pour bien dégager son gland que je l’ai fait glisser au plus profond de ma gorge.

Après quelques va-et-vient de la sorte, il a maintenu fermement ma tête pour stopper mes allers-retours et bloquer son gland au plus profond, et il n’a relâché la pression de ses mains sur ma tête qu’après que plusieurs jets de sperme se soient accumulés dans ma bouche. J’étais dans tous mes états… L’avoir fait jouir comme ça en moi me rendait encore plus impatiente d’être à mon tour goûtée de la sorte ; j’avais moi aussi besoin d’être soulagée.

De son côté, Sylvie masturbait sensuellement le sexe raide qu’elle avait en main tout en emprisonnant le gland dans sa bouche. S’en sont suivis des gémissements d’extase que Rémi ne pouvait plus contenir. Je ne savais pas ce qu’il en était pour Sylvie, mais pour ma part je ne pouvais plus attendre ; il devenait indispensable que l’on s’occupe de mon minou, mais j’étais trop mal à l’aise pour oser pour le demander ouvertement.

— Les garçons, on vous a bien soulagés ; il serait peut-être temps que vous nous rendiez la pareille ? proposa Sylvie.
— Avec plaisir ! s’exclama mon mari.
— Et si l’on continuait dans des chambres séparées ? Ça permettrait à chacun de nous de vivre pleinement ce moment d’échange ; qu’en pensez-vous ? s’enquit Christophe.
— OK pour moi, acquiesça Rémi.
— Sacré Christophe… Ça te gêne de savoir que je vais voir ce que tu vas lui faire ? lui demanda son épouse.
— OK pour moi aussi, m’entendis-je dire.
— Tant pis pour toi : tu ne sauras rien de ce que nous, nous allons faire ! déclara Sylvie.


C’est en riant et en nous taquinant les uns les autres sur ce qui allait se passer que nous nous sommes retrouvés, Christophe et moi, dans la chambre d’amis pour laisser Sylvie et Rémi dans notre chambre.

Une fois seule avec Christophe, isolés dans la chambre, mon cœur battait la chamade ; mon bas-ventre devenait incontrôlable et mon sexe dégoulinait dans ma culotte. Christophe se déshabilla tout en me regardant en faire autant. Nous nous sommes allongés sur le lit, côte à côte. Il s’est approché et m’a embrassée tout en caressant les moindres recoins de mon corps avec une de ses mains sans jamais passer sur mon sexe, puis il m’a basculée sur le dos pour se blottir contre moi, son sexe dur posé sur mon ventre. Sa main caressait mon cou, et sa respiration au creux de mon oreille devint rapide lorsque sa main est descendue sur l’un de mes seins pour r mon téton ; j’ai eu l’impression que des aiguilles traversaient mon sexe. Je n’en pouvais plus ; j’avais peur d’être sur le point de jouir sans n’avoir subi aucun contact sur mon intimité. C’est alors qu’il m’a chuchoté :

— Ça fait des années que je rêve de cet instant !
— Chris, je suis très excitée ; je crois que je suis sur le point de jouir…


Pour réponse, il a sucé un de mes tétons avant de laisser glisser sa langue humide jusque sur mon sexe trempé. Cette caresse tant désirée me mit dans un état semi comateux. Je n’avais pas l’habitude d’exprimer mon plaisir par des cris, mais cette fois je ne me contrôlais plus, le son de ma voix résonnait dans la chambre. Les quelques rotations de ce bout de chair autour de mon clitoris ont eu raison de moi, et c’est avec un cri d’extase que j’ai écarté sa tête de mon entrejambe.

Après m’avoir laissé un court instant pour retrouver mes esprits, il s‘est installé sur moi, et sa verge n’a eu aucun mal à trouver son chemin pour glisser jusqu’en butée tout au fond de mon ventre. Il resta ainsi emboîté, sans aucun mouvement de son corps ; sa main gauche maintenait ma nuque pour mieux attirer mes lèvres sur les siennes, et nos salives se sont mélangées un instant pendant que je percevais nettement la rigidité de ce bâton immobile qui me transperçait.

Puis il a appuyé sa tête contre la mienne et a commencé par de petits va-et-vient ; je sentis à nouveau sa respiration s’accélérer dans le creux de mon oreille. Lorsqu’il a accéléré la cadence, je ressentis un plaisir jusqu’ici inconnu : chaque pénétration profonde me provoquait un frissonnement que je pouvais ressentir jusque dans ma gorge. C’était la première fois que mon plaisir montait en puissance autrement que par une de mon clitoris. Le rythme frénétique de ses mouvements bousculait le lit, qui à son tour cognait contre le mur de la chambre à chaque butée de son sexe au fond de mon conduit.

Je découvrais un plaisir intense ; j’étais à nouveau sur le point de jouir. De son côté, Christophe mélangeait gémissements et respirations rapides contre mon oreille, ses muscles étaient tout tendus, au bord de la crampe. Une dernière accélération a eu raison de notre résistance, et son liquide chaud s’est répandu au plus profond de mon fourreau lorsque j’ai resserré mon vagin qui ne pouvait plus contenir sa jouissance.

Nous sommes restés un instant emboîtés, immobiles l’un sur l’autre, à tenter de retrouver nos esprits, puis nous sommes partis dans un fou-rire tout aussi incontrôlable que notre dernier plaisir lorsque nous avons entendu que le lit utilisé par Rémi et Sylvie cognait le mur de la chambre d’à côté sur un rythme régulier.

Nous avons passé la nuit à répéter toutes sortes de plaisirs dans l’intimité de nos chambres respectives. Depuis, notre amitié s’est rene et nous programmons régulièrement des soirées coquines avec ce couple d’amis.



Chapitre 2 :

Dans le premier volet de mes récits, mon amie Sonia vous a raconté notre première nuit à quatre ou après un repas bien arrosé, je l'ai laissé faire l'amour à Christophe, mon conjoint, du temps que je prenais plaisir à en faire autant avec son mari. Dans ce second épisode, je vais vous décrire cette soirée telle que moi j’ai pu la vivre.

Tout d’abord, commençons par les présentations :

Je m’appelle Sylvie, j’ai 44 ans, je suis brune cheveux longs, je mesure 1m66, je suis assez sportive et j'ai la chance d'avoir une poitrine généreuse que je prends plaisir à mettre en évidence à chaque fois que j'en ai l'occasion. Je suis mariée à Christophe, mais ça vous le savez déjà si vous avez lu le premier récit. Nous nous sommes connus très jeune, au collège, et notre relation amicale s’est rapidement transformée en relation amoureuse. De cet amour sont nés nos deux s que nous adorons. Pour ce qui est de la partie intime, il faut savoir que toutes ces années nous sommes restés fidèle et cela malgré le fait que nous n’ayons jamais connus d’autres partenaires avant le début de notre relation. Les occasions qui se sont présentés, aussi bien pour Christophe que pour moi, n’ont jamais pu rompre cette fidélité mais il est vrai que souvent, le désir de faire l’amour avec un autre partenaire nous a traversé l’esprit. C’est d’ailleurs pour cette raison que régulièrement nous pimentons nos rapports en fantasmant sur une présence qui nous accompagne dans notre lit. Je prends beaucoup de plaisir pendant nos ébats lorsque Christophe me raconte la façon dont il aimerait me voir faire l’amour avec tel ou tel voisin ou ami. Très souvent, lors de nos jeux intimes, ceux sont Rémi et Sonia qui rejoignent nos fantasmes. Rémi et Sonia sont des amis de longue date, nous avons fait leur connaissance lorsque nous avons choisi Sonia pour être la nounou de notre premier. De fil en aiguille, nos relations sont devenues amicales et régulièrement nous nous rencontrons pour passer d’agréables soirées festives ou des journées détentes.

Au fil du temps Christophe marquait une certaine obsession vis-à-vis de Sonia, d’ailleurs je l’ai souvent soupçonné de se donner du plaisir solitaire en toute discrétion en pensant à elle. Lors de soirées arrosées, juste avant cette fameuse nuit ou tout a basculé, j’avais remarqué que ses allusions étaient de plus en plus insistantes et ne laissaient aucun doute à nos amis sur son désir. J’avais également remarqué que cela ne gênait pas Rémi qui en profitait toujours pour surenchérir. De son coté, Sonia n’avait pas besoin de commenter, ses tenues vestimentaires et attitudes traduisaient largement son approbation. Et en ce qui me concerne, je dois bien l’avouer, si j’avais cette chance de pouvoir découvrir une seconde anatomie masculine dans ma vie, Rémi aurait très bien fait l’affaire.

Ce soir-là, je ne saurai expliquer en détail de quelle façon nous nous sommes retrouvés tous les quatre sur le fauteuil du salon à regarder un film érotique. Je ne saurai encore moins vous dire comment j’ai pu oser prendre si naturellement le sexe de Rémi dans bouche alors que Sonia et Christophe étaient là justes à côté de nous. Ce dont je suis sure, c’est que lorsque nous nous sommes dirigés vers la chambre Rémi et moi, mes jambes tremblaient, mon cœur battait la chamade et mes joues étaient brulantes, tout comme mon intimité. A cet instant je prenais conscience que j’allais pouvoir basculer vers l’interdit en toute impunité, j’allais enfin pouvoir m’offrir à un autre que celui qui m’a dépucelé.

J’ai entendu claquer la porte de la chambre vers laquelle Christophe et Sonia se sont retranchés avant que Rémi ferme à son tour la nôtre. Ce claquement m’a également fait réagir sur le fait que Christophe s’apprêtait lui aussi à découvrir une autre partenaire que celle qui l’avait fait devenir un homme, ce même homme qui est le père de nos s. Ses évènements bousculaient mon esprit, j’étais partagée entre jalousie et désir profond de réaliser un fantasme tant répété jusqu’ici. C’est lorsque Rémi s’est collé contre moi, dans mon dos, que j’ai pu faire totalement abstraction de ce que nos conjoints respectifs s’apprêtaient à vivre ensemble.
Ses Bras sont venus entourer mon ventre pour mieux me serrer contre lui. Son Jean ne suffisait pas pour m’empêcher de deviner sa vigueur persistante qui s’écrasait contre mes fesses. Son souffle chaud qui s’éparpillait sur mon oreille me faisait frissonner, ses baisers dans mon coup avaient pour effet de raidir mes tétons encore emprisonnés dans mon soutien-gorge.

- Je peux te déshabiller ?
- Oui

Il m’a libéré pour s’écarter suffisamment de mon dos de façon à faire coulisser la fermeture éclair de ma robe jusqu’en haut de mes reins. Après me l’avoir retiré entièrement, il a baissé ma culotte avant de défaire mon soutien-gorge. J’étais là, debout, immobile, entièrement nu, je l’entendais dans mon dos, il se déshabillait à son tour. Lorsque ses bras sont venus à nouveau entourer mon ventre, j’ai senti son sexe dur s’écraser contre le haut de mes fesses. J’ai basculé ma tête contre son épaule pour le laisser enchainer de petits baisers humides dans mon coup. Ses mains sont venues attr mes seins, il a pu découvrir la fermeté de mes pointes et deviner l’état dans lequel je me trouvais avant de me chuchoter à l’oreille :

- ça fait très longtemps que j’espérais ce moment.
- Moi aussi.
- J'ai souvent rèvé de pouvoir tenir tes seins dans mes mains, surtout à chaque fois que j'ai eu l'occasion plonger mon regard dans ton décolleté.

Pendant quelques minutes, il a alterné massage de mes ballons et de mes pointes dressées, puis sans mots, sa main droite est descendue pour caresser ma toison épaisse avant que ses doigts se noient totalement entre mes lèvres humides. Avec son majeur, il a dessiné quelques petits cercles autour de mon clitoris avant de se perdre à l’entrée de ma grotte. C'est accompagné d'un soupir de soulagement que son doigt m'a pénétré timidement. Son bâton écrasé dans mon dos ne cessait de gigoter sur mes reins, je devinais un filet de sécrétion que son excitation laissait s'échapper.

- Viens ma belle, allonges toi au bord du lit, j'ai très envie de te goûter !

C’est sans réfléchir que j’ai exécuté sa demande. Je me suis allongée, mes fesses au bord du lit, mes pieds toujours au sol, de son coté, il s’est mis à genoux entre mes jambes qu’ils maintenaient largement écartées. Une nouvelle vague de frissons m’a traversé le corps lorsque sa langue a glissé de mon genou jusque sur mon bouton impatient comme jamais. Son bout de chair humide explorait le moindre recoin de mon intimité, la caresse était lente, il devinait ma jouissance proche, de ce fait, il prenait soin de ne pas s’aventurer trop longtemps autour de mon clitoris. Il a joué ainsi de longues minutes, à faire monter mon plaisir pour ensuite le faire redescendre à chaque fois que ma respiration s’intensifiait ou que mes gémissements devenaient incontrôlables. Sans m’avoir permis d’atteindre le point de non-retour, il m’a abandonné pour se mettre debout devant moi.

- Tu prends un moyen de contraception ?

A cette question, j’ai compris que son souhait était de me pénétrer sans préservatif.

- Oui, je prends la pilule,…. tu peux venir.

Je me suis allongée plus confortablement sur le lit, il s’est allongé sur moi tout en dirigeant son sexe vers mon entrée. La première pénétration m’a électrisé, j’ai posé mes mains sur ses fesses pour pouvoir accen le contact de mon clitoris sur sa base à chaque butée. Ses premiers mouvements étaient lents, je comprenais qu’il cherchait à se contrôler pour pouvoir durer le plus longtemps possible. Chaque pénétration profonde augmentait le bouillonnement de mon bas ventre, j’étais de plus en plus impatiente d’atteindre l’orgasme, je n’acceptais plus d’attendre. J’ai maintenu fermement ses fesses pour bloquer sa tige en butée au fond de mon vagin. Trois frottements de mon petit bouton sur sa base ont suffi pour me faire exploser. Une fois ses fesses libérées de mon emprise, ses allers-retours dans mon fourreau se sont fait plus énergiques, son souffle s’intensifiait et s’est accompagné d’un gémissement que son liquide chaud s’est rependu dans mon ventre. Nous sommes restés un instant emboités ainsi l’un sur l’autre, en échangeant de longs baisers langoureux. Lorsqu’il s’est retiré, trois mouchoirs en papiers ont été nécessaires pour me nettoyer de tous ces plaisirs liquides.

Nous sommes restés allongés l’un contre l’autre de longues minutes en laissant nos mains balader sur nos corps respectifs, je me sentais légère, j’appréciais l’instant. Rapidement, ses caresses mutuelles sur nos parties intimes ne sont pas restées sans effets. Le sexe de Rémi se tendait et se redressait par secousses à chaque passage de mes doigts autour de son gland.

- Sylvie, tu veux bien t’allonger sur le ventre ?, j’ai très envie de te faire des baisers sur les fesses.

Malgré la surprise de cette demande, je me suis une nouvelle fois exécutée.
Après quelques bises humides sur mes globes, il a écarté mes fesses avec ses mains pour pouvoir glisser sa langue au milieu de façon à parcourir ma fente de haut en bas avant d’atteindre le point le plus intime de mon corps. Cette nouvelle caresse inattendue a eu un effet très agréable auquel je ne m’attendais pas. Deux doigts inquisiteurs sont venus visiter mon vagin du temps que la pointe de sa langue tentait de pénétrer légèrement mon petit anneau. Cette double caresse a eu pour effet de détendre mon petit trou qui s’élargissait à chaque poussée de sa langue. J’étais à nouveau inondée à la fois par cette salive déposée entre mes fesses et mon vagin qui libérait tous son désir. Soudain, Rémi s’est redressé, il s’est assis entre mes cuisses et tout en gardant mes fesses écartées à l’aide de ses mains, il a rapproché son sexe et l’a positionné à l’entrée de mon anus.

- Rémi, je ne l’ai jamais fait comme ça
- Tu ne veux pas essayer ?
- Je ne sais pas, je l’ai toujours refusé à Christophe par crainte d’avoir mal.
- Oui, je comprends, je n’insiste pas
- Non, attends !, essayons, si ça ne va pas je te préviens.
- Alors, aide moi, tiens tes fesses écartées.

J’ai senti son gland me pénétrer lentement, contrairement à ce que j’avais pu penser, la douleur qui était malgré tout présente ne prenait pas le dessus sur le plaisir. Une fois le gland entièrement englouti, il est resté immobile un instant avant de poursuivre la pénétration. Sans doute la forte pression de mon anneau sur sa tige l’empêchait d’aller plus loin, mais rapidement, lorsque mon orifice s’est relâché, j’ai pu apprécier le glissement de chaque centimètre de sa verge dans ma caverne. Il n’a fallu que très peu de vas et viens pour que Rémi libère une nouvelle fois sa semence en moi. Malgré la rapidité de l’acte, j’avais pu découvrir la possibilité que cette partie de mon corps puisse m’entrainer vers de nouveaux plaisirs jusqu’ici inconnus.

Cette nuit-là nous n’avons pas renouvelé la sodomie, en revanche, nous avons multiplié les rapports en prenant un maximum de plaisir. Dans la chambre voisine, les bruits répétés de gémissements ou de lit qui cognait contre le mur à un rythme effréné n'avaient également laissé planer aucun doute, nos conjoints avaient eux aussi passés une nuit très agitée.
Le lendemain, lorsque nous nous sommes retrouvés en toute intimité, Christophe souhaitait que je l'on se raconte en détail ce que nous avions fait chacun de notre coté. Sur le moment, je n'ai pas trouvé le courage de lui avouer mon dépucelage anal, mais, toujours excités par les évènements vécus la veille nous avons enchainé les actes sexuels sans aucune retenu, et à sa grande surprise, je l'ai laissé accéder à mon petit trou en toute sérénité. Pour la première fois, je découvrais le plaisir que l'on peut prendre par la pénétration de cet orifice.
Depuis, notre amitié avec Rémi et Sonia s’est rene et nous programmons régulièrement des soirées coquines ou les tabous tombent les uns après les autres.

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