Eva Et La Mascotte De L'Équipe De Rugby.2

EVA fait la connaissance de la mascotte de l’équipe de rugby. 2

- Hmmm ouai ! T’en as lâché encore plus que d’habitude. Y’en a partout ! S’extasie Vivien en regardant le plastique maculé de sperme, après s’être frotté les yeux encore fermés pour les nettoyer de cette crème épaisse. -Encore heureux que j’avais prévu le coup. Tu m’étonneras toujours. Ah Eva GP, tu es là ! Tu as vu ce que je t’ai réservé ?
-Mais Vivien ! Je le coupe, tu es à voile et à vapeur ?
-Oui et non, je me limite à le sucer et me faire sucer, tu vois qui c’est, j’espère ?
-Ben oui Vivien, c’est celui qu’on surnomme « la mascotte ». Comment le connais-tu ?
-Depuis qu’il s’est retrouvé seul au sauna, me répond Vivien, C’est là que tous le joueurs de l’équipe première en ont pris un coup sur leur orgueil quand ils se sont rendu compte qu’un jeune junior leurs foutait la honte. Et nous avons pris l’habitude de le sucer. Pas banal Hein ? Avec lui, si tu as de la moquette, il vaut mieux prendre ses précautions. Allez entre, je suis sûr que tu meures d’envie de te rendre compte par toi-même…

Suite :
Moi, quand on me lance un défi… Et ma foi si ce jeune godelureau tient ses promesses…
Sur le coup il a débandé en partie mais ce qui pend entre ses jambes est encore impressionnant, le gland arrive à mi-cuisses. Je m’approche et me saisis de la chose, la soupèse, il y a le bon poids.
Je commence à branler ce tuyau qui prend vite la consistance d’un manche de pioche. Bon point pour lui, il ne lui a pas fallu longtemps pour remettre le couvert… Ma main parait minuscule sur cette magnifique hampe que les doigts de l’énorme paluche de Vivien arrivaient à peine à cercler, alors les miens, je ne vous dis pas… Pour vous donnez une idée, la circonférence de ce nœud est aussi grande sinon plus que celle du poignet de ma fille de quinze ans, c’est vous dire… Si vous avez une fille, faites le test, ça vous donnera une idée de la bête.



Mais j’ai une réputation à tenir, moi, et quand Vivien me met au défi de faire une « gorge profonde » sur une telle trique, je me dois de relever le défi. Je suis quand même en train de m’émerveiller de la taille du sexe de ce jeune garçon monté comme un poney, ce n’est pas possible qu’un gamin si petit ait un tel attribut ! Je caresse ce sexe énorme qui a pris une taille démesurée dans ma main.
-Déchaine-toi Eva GP, un sacré challenge, hein ? !
A l'idée de prendre ce monstre en bouche, je mouille à nouveau comme une folle et dans un sursaut d’orgueil, je lance à Vivien en relâchant le monstre:
- Tu veux que je suce ce gars ? Pourquoi pas ! Et après ça, tu voudras peut-être qu’il me lime aussi pendant que tu y es !
Mais Vivien insiste : -Suce-le déjà! Pour ce qui est de la lime, je suis presque sûr que c’est toi qui va me supplier à genoux de te faire défoncer par la grosse teub de Patrice !
Je reconnais que l'idée d'accueillir ce braquemart en moi me fait saliver, je le prends au mot et tente de mettre le plus profond possible dans ma gorge cette poutre hors-norme. Je m’imagine comment il pourrait écarter mon haut de mes épaules parfaites, saisir mes seins entre ses mains, puis les laisser glisser sur mes hanches, écarter mes cuisses avant de plonger son visage dans mon fruit pulpeux comme une mangue qu’il dégusterait à longs coups de sa langue dévorante tel un papillon aspirant le nectar d’une fleur.
Je me vois dans le miroir de l’armoire avec mes bracelets qui s’entrechoquent sur mon poignet avec cette énorme bite dans les mains, maintenant complètement érigé. La taille de celle-ci en comparaison avec mon avant-bras est incroyable, irréelle, fantastique. J’approche ma bouche et commence à le sucer. J'entends le rire de Vivien quand ma langue attaque ce pénis, je m'en fiche.
Ça fait du bien de sucer, lécher, embrasser et même mordiller un tel gourdin. Mais je suis frustrée car malgré mon expérience et mes capacités buccales, une partie encore respectable du bélier n'entre pas dans ma bouche.
Le spectacle que ça donne est stupéfiant.
La voix basse de Vivien déblatère des mots crus, obscènes.
-Alors GP. Tu as trouvé ton maître ! Ce petit merdeux vient de mettre à mal ta renommé, tu abdiques comme la salope que tu es !
Je suis très sensible à cette injure, il n’est pas acceptable pour moi de ne pas y arriver. Je le repousse, vais m’étendre sur le lit, la tête basculée en arrière dans le vide et ordonne à Patrice :
-Viens remettre ta teub dans ma bouche et prend-moi comme si tu baisais une chatte !
Il s’approche de moi, je reprends sa queue entre mes mains, puis dans ma bouche, son gros gland déforme mes joues.
- Suce-le… oui …comme ça…. Et toi Patrice, qu’est-ce que tu attends ? Lance Vivien.

Aussitôt, je sens le gland s’enfoncer plus loin, j’étouffe, je bave mais Patrice ne lâche pas son emprise, ses mains soutiennent ma tête et ma gorge se gonfle sous la poussée de cette verge peu commune. J’ai déjà gobé des bites si longues de cette façon, mais jamais si grosses… J’espère qu’il a gardé son sang froid, car s’il ne se retire pas à temps, je vais manquer d’air.
Je tiens le plus longtemps possible, son large gourdin dans la bouche écrasant mes amygdales. Je commence à manquer d’air et Vivien, inquiet, gueule à Patrice en m’entendant geindre :
- MMMMPPPPFFFFF !
-Eh, retire ton chibre qu’elle puisse respirer, et toi Eva, t’es vraiment une sacrée cochonne, comme suceuse de bite tu te poses là, difficile de te battre et je dois reconnaître que ta réputation n’est pas usurpée, Putain ! Je n’avais jamais vu ça, je voyais ton cou se gonfler à chaque centimètre qu’il enfonçait son pieu dedans ! Quel spectacle !
Mais Patrice a pris goût et avec d’amples mouvements du bassin, il recommence encore et encore à faire disparaitre la totalité de sa verge dans ma bouche, ses couilles venant frapper mon nez. Il a pris le rythme et surveille de près pour que je puisse reprendre ma respiration entre chaque poussée.

Je sens qu’il approche du point de rupture, j’essaie de le repousser mais je ne sais pas s’il s’en rend compte.
Un liquide chaud coule directement en direction de mon estomac suivit de près par ses copains. Je m’étouffe et il retire prestement sa lance où mes dents laissent quelques traces sanguinolentes. J’essaie de reprendre ma respiration mais la quantité de sperme qui continue à sortir de son méat est si importante que ma bouche et mon nez en sont envahis. Je me retourne prestement pour échapper à ce déluge et essaie de retrouver ma respiration, toussant et crachant comme une poitrinaire. J’aurais dû retirer mes habits avant de m’occuper de Patrice car maintenant, il est en train de les couvrir de son foutre.
Patrice vient de tarir la source mais si je veux sauver mes frustes, il faut que je les lave immédiatement sinon tout sera à jeter. Je reprends enfin mes esprits et l’engueule :
-Mais t’es pas un peu malade ! Tu voulais m’r ou quoi ? Et mes habits, putain de merde !
T’es encore pire qu’une femme fontaine, je commence à comprendre pourquoi tu te fais traire par tant de personne. Un cas comme toi, on en rencontre pas à chaque coin de rue.

Je me déshabille et vais mettre à tremper mes habits dans la salle de bain puis reviens en soutif et string vers les garçons. Vivien se moque de moi mais j’aurais bien voulu l’y voir…
On est les trois en petit tenue et il propose, au point où on en est, de finir à poil, aussitôt-dit, aussitôt-fait.

A suivre…

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