Leslie Nr16

Leslie NR16 – Nouveaux récits
Rêve de première fois. J’aurais bien aimé, suite et fin

- Allez, me dit Paolo, installe-toi sur le bureau comme la salope que tu es et relève ta mini-jupe…
Je portais un top transparent en voile noir, mes petits seins nus dessous, une mini-jupe noire très courte mettant en valeur mes jambes galbées et fines, un petit string et des bas auto-fixant, et enfin des escarpins à talons.
- Mets-toi debout et penche-toi en avant en t’appuyant sur le bureau, je vais t’enculer debout comme une pute qui tapine au bois.
Je retroussais ma mini jupe sur mes reins et m’installais sur le bureau, dans cette position, les pieds au sol et le cul cambré, je me tenais offerte aux velléités de Paolo.
- Cambre-toi bien, voilà, encore, fais ressortir ton petit cul de petite salope en chaleur.
Ces paroles m’excitèrent un peu plus, et je me cambrais au maximum, pendant que ses mains me pelotaient les fesses, puis il me les écarta et je sentis sa langue passer le long de ma raie, puis ses doigts écarter le string et il écarta mes globes.
- Ton petit anneau frémit et appelle le sexe, petite salope.
Il me mit un doigt dans le cul.
- Tu mouilles carrément.
Puis il s’occupa de nouveau ma rondelle avec sa langue, il la promena autour de mon sphincter, l’insérant de temps à autre dans mon anneau. Je me mis à gémir de plus en plus, à chaque passage de sa langue ou de ses doigts dans mon fondement.
- Tu aimes ça petite salope, hein ?
- Oui, j’aime ça !
- Tu aimeras avec s’autres hommes je suppose ?
- Tu es mon premier homme et je ne sais pas si j’aimerais avec d’autres.
- Salope ! Je vais t’enculer et tu vas bientôt miauler de plaisir.

Je mouillais comme une folle, je sentis sa langue m’exciter, ses doigts qui m’ouvrirent le cul, ses mains sur mes jambes gainées de bas et pelotant mes fesses. Je me sentis femelle en chaleur soumise au mâle viril.

Puis, il se positionna derrière moi, m’enduisit le trou de gel et enfila rapidement un préservatif.
Puis j’ai senti son gland glisser dans ma raie plusieurs fois, pour se positionner sur mon anneau. Ses doigts m’avaient rendue folle, maintenant je voulais sa queue dans mes entrailles.
Comme chaque fois je l’accueillis en soupirant de bonheur, sa queue, la première qui me forçait le cul depuis maintenant plusieurs semaines, me rendait heureuse et me faisait jouir à chaque fois.
Je l’ai senti au fond de moi et j’ai entendu Paolo dire :
- Voilà ! T’ai enculé à fond comme une salope.
- Ohhh, oui, je te sens bien, dis-je.
- C’est ta destinée de te faire enculer et de satisfaire les mâles, en prenant leur bite dans ton cul ?
- Oui, une salope qui va offrir son cul .
Il m’a enculé pendant de longues minutes, me faisant couiner de bonheur, puis se retira et me dit :
- Ne bouge pas, me dit Paolo, j’ai une surprise pour toi !

Je suis restée sans cette position, à moitié allongée sur le bureau le cul ouvert et offert, j’ai ensuite entendu un bruit de porte et peu après une présence derrière moi.
- Ne bouges pas me dit Paolo en se mettant devant moi et en présentant sa queue à sucer, alors que je sentais une présence toujours là derrière moi.
Soudain, j’ai senti une présence sur mon œillet, un gland certainement, Paolo m’offrait en se faisant sucer, je me sentais vraiment salope.
- Tu vois, me dit Paolo, mon meilleur ami va t’enculer et ainsi tu seras une vraie pute !

L’ami me tenant par les hanches, commença à forcer pour m’ouvrir lentement le cul, le gland se frayant un chemin en moi, il passa mon anneau en me vrillant le trou et la queue me pénétra, en fait le reste fut presque aspiré à moitié. Je sentis quand même une douleur à cette intrusion, la queue de Paolo devait être plus épaisse, il attendit quelques instants en me caressant le dos, les épaules, les fesses, puis se retirant un peu, il reprit sa progression jusqu’au bout.

Puis un fois au fond, il attendit un peu puis se mit en mouvement.
Mon anus irradiait des ondes de douleur, complètement distendu par la queue qui faisait de courts mouvements dans mon fondement, l’ami était le plus au fond de moi, puis lentement, il prit plus d’ampleur, ressortant sa queue à moitié et revenant.
Mon cul chauffait, et pourtant à chaque coup de boutoir, je poussais un gémissement. Il me tenait aux hanches et me baisait comme un métronome, mais coulissant à chaque fois plus facilement dans ma rondelle que je sentais de moins en moins douloureuse. Bientôt, ce ne fut plus que du bonheur, sa queue ne suscitait plus qu’une forte jouissance anale et je couinais continuellement.
- Une salope qui jouit, c’est le top ! Elle sera la meilleure ! Dit l’ami de Paolo.

Il ressortit entièrement de mon cul, et replongea d’un coup au fond, ce qui me fit éjaculer, souillant le string et le sol. Cette jouissance extrême était toute nouvelle pour moi. Il recommença plusieurs fois, ce qui me fit lâcher un nouveau jet et me fit couiner plus fort. Il se remit profondément dans mon cul pour m’emmancher plus fort, me tenant les fesses et les écartant. Je n’étais plus qu’une femelle esclave de ses sens. Il continua à me limer le cul puis se retira en me claquant une fesse, en disant :
- Trop top ton petit cul, je vais te faire de la pub auprès de mes amis échangistes!
Paolo jouit au fond de ma gorge et lorsqu’il s’est retiré, l’inconnu avant de disparaitre me lança cent-cinquante euros devant le nez…
- Tu vois c’est facile me dit Paolo.
L’inconnu, ami de Paolo avait disparu, Paolo me laissa en me disant :
- Prends une douche et fais-toi belle, bientôt tu démarres une nouvelle vie !
J’ai pris une douche avant de prendre mon service, une fois rhabillée, j’ai retrouvé Paolo qui me dit :
- Ne sois pas surprise, le vestiaire va être modifié pour être plus pratique pour tes prestations…

Effectivement, une semaine après les transformations étaient terminées, une porte au fond du vestiaire ouvrait sur une pièce débarras qui avait été insonorisée et aménagée en un petit coin discret et feutré, à peine éclairé pour laisser une ambiance d’intimité.
La porte cachée derrière les manteaux était invisible du public.
L’aménagement consistait d’un lit, un petit fauteuil, une barre horizontale fixée au mur et un poteau rond, style poteau de danse pour entraîneuse, trônaient au milieu de l’endroit exigu.
Je compris tout de suite que cet endroit servirait pour assouvir, avec moi, les désirs de certains clients qui en éprouveraient l’envie…
Ce jour là, la soirée commença comme les précédentes, puis vers minuit un homme en string vint au vestiaire et me demanda :
- T’as un peu de temps libre ?
- La soirée ne fait que de commencer, j’ai effectivement un peu de temps. Pourquoi ?
- Parait que t’as un petit cul accueillant ?
- Heu… Pourquoi ?
- J’aimerais bien le vérifier.
- Alors, suivez-moi.
Je le conduisis dans la petite pièce aménagée et lui demandais :
- Que vouez-vous de moi ?
- Tu me suces bien et je t’encule !
Alors qu’il s’était assis dans le fauteuil, je lui ai dégagé le sexe de son string, et je l’ai sucé afin qu’il soit bien dur, puis se sentant capable de m’enculer, il me dit :
- Embroche-toi sur ma queue, viens t’enculer toi-même comme une petite salope.
Je me positionnais au-dessus de lui, face à lui. Je descendis sur son dard tendu vers le plafond, je le tenais d’une main et le positionnais sur mon œillet ouvert.
Je sentis son gland en phase avec mon cul ouvert, alors je m’empalais d’un coup, poussant un long gémissement.
Une fois bien enculée, il mit ses mains sur mes flancs et m’attira à lui, j’avais la tête dans son cou. Il m’embrassa les épaules et me chuchota dans l’oreille :
- Tu me sens au fond de toi ?
- Ohhh oui ! Vous me remplissez complètement !
Pendant tout l’enculage je criais de plaisir, cette chevauchée provoqua une jouissance anale puissante, une boule de plaisir envahit mes reins et mon ventre, il jouit en grognant de plaisir et lorsqu’il se retira, je sentis un grand vide dans mon cul.

Il me quitta alors que j’avais encore envie d’une queue en moi…
Ce soir là, je fus sodomisée trois fois, et j’ai pris mon pied à chaque fois, en partant récupérant leur vestiaire, mes amants d’un instant me glissèrent discrètement une enveloppe contenant la récompense de mon cul accueillant.

Les jours suivants, la pièce aménagée servit souvent, même des femmes sont venues pour me sucer et se faire mettre.
Mais le plus souvent, les hommes me prenaient debout alors que je me tenais à la barre horizontale. Certains soirs je suis rentrée avec le cul complètement cassé
Mais je n’ai jamais suivi un client pour terminer la soirée avec lui, mais peut-être que cela se fera un jour…
Dans une autre histoire… »

Cet autre rêve, je l’ai fait plusieurs fois, à l’époque j’étais encore très jeune, je rêvais de pouvoir un jour sortir en femme, mais je n’avais pas de poitrine et seuls mes rêves me faisaient voyager dans ce que j’espérais être ma vie plus tard…

A suivre…

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