Ma Fiancée Me Trompe Avec...

24 décembre 2014,

Mon père et ma mère patientent dans le grand hall de l'aéroport, trépignent à l'idée de me serrer dans leurs bras. Je ne les ai pas revus depuis mon départ… Cela va bientôt faire de longues années que je suis parti de la maison, ayant accepté un poste de consultant à l’étranger. Mais je ne reviens pas seul…

J’ai rencontré Lucile à mon travail. Brune, les yeux bleus, des formes sensuelles. Elle n’était alors que stagiaire… Nous avons tout de suite sympathisé. Puis elle devint animatrice dans un centre de fitness. Elle attirait à coup sûr le regard de la clientèle masculine mais c'est sur moi qu'elle jeta son dévolu. Je n’en revenais pas de ma chance…

Et me voilà de retour au bercail, accepte volontiers l'étreinte des parents.

— Notre fils n'a pas menti à votre sujet, annonce mon père à Lucile. Vous êtes...
— Vous êtes ravissante, termine ma mère.

Lucile ne peut s'empêcher de rougir, émue par tant de gentillesse. Elle ajoute :

— Guillaume m'a dit le plus grand bien de vous. Je suis heureuse de faire votre connaissance.
— Plaisir partagé, ajoute mon père. Tu peux nous tutoyer.

La fatigue a eu raison de nous... Je m’assoupis au côté de Lucile pendant le trajet en voiture, la serre dans mes bras. Nous sommes presque arrivés lorsque je reprends conscience, reconnais le quartier où j'ai grandi. Mon père ralentit, puis arrête la voiture face à la maison qui n'a pas changé depuis mon départ à l'étranger. J'organise une visite rapide de la propriété à Lucile avant de ranger nos valises dans ma chambre, recouvre très vite mes repères.

Nous nous posons un instant sur le divan pour récupérer de notre voyage, en prévision d'une promenade à l'extérieur. La journée passe à une vitesse folle.

Mon père nous sert l'apéritif à moi et Lucile, ne lésine pas sur les doses. Je jette un coup d'œil par la fenêtre, constate qu'il fait nuit noire.

Ma mère est aux fourneaux, garde un œil sur la cuisson, se permet quelques allées et venues dans le salon pour déguster un alcool avec nous. J'ai la tête qui tourne... Ce n'est pas uniquement à cause de la boisson, si vous voulez tout savoir. Ma chérie qui se trouve à mes côtés a revêtu sa plus belle robe de soirée, noire, retenue par une cordelette, et qui descend jusqu'à mi-cuisses. Je me penche vers Lucile, lui adresse un baiser à la base du cou. Elle est resplendissante.

Ce ne sont pas les sujets de discussion qui manquent. Mon histoire avec Lucile, bien sûr. Ainsi que mes débuts professionnels. Mon père nous réapprovisionne en alcool, partage une plaisanterie avec ma chérie, déclenchant son hilarité.

— Tu es mignonne à croquer. Si j'avais quelques années de moins...
— Je vous aurai peut-être donné votre chance, répond Lucile avec une pointe d'ironie.

Je m'interpose entre les deux, amusé.

— Désolé papa, j'étais là en premier !

Nous rions tous aux éclats tandis qu'il affiche un air triste. Il s’écoule environ trente minutes (et deux autres services) avant de passer à table et goûter les mets succulents préparés par ma mère. Mon père aide Lucile à s'installer, chuchote je ne sais quoi à son oreille, et la fait rire. Je profite de cet instant en famille pour porter un toast, lève mon verre, très vite imité. Maman s'est surpassée... Je reprends même du dessert.

Il est presque une heure du matin quand nous regagnons le séjour, et en particulier le confort des fauteuils rembourrés. Ma mère nous a quittés il y a déjà un moment, trop épuisée pour continuer la soirée... J'ai moi-même des difficultés à rester éveillé. Lucile tapote mon épaule pour me faire réagir, ne cache pas son amusement. Mon père revient avec un album photo sous chaque bras et une bouteille de vin dans sa main droite.

— De sa naissance à aujourd'hui, raconte mon père, les yeux brillants.
— J'ai hâte de voir cela, continue Lucile.


Je m'assoupis une poignée de secondes... Mon père vient de déboucher la bouteille de vin, remplit les deux verres posés sur la table de salon, en propose un à Lucile. Mes paupières sont lourdes, très lourdes... Pas la moindre idée du temps qu'il s'est écoulé lorsque je sors de ma léthargie.

Lucile se tient au côté de mon père, à distance raisonnable. Je la vois tourner les pages de l'album, éplucher à la loupe chaque photo, tout sourire. Je m'absente une fois de plus... Ils sont maintenant bien plus proches.

— Vous me faîtes marcher, s'esclaffe Lucile.
— Je ne me le permettrais pas. Et j’insiste pour que tu me tutoies.
— D’accord. Je suis peut-être dans l’erreur mais... J'ai la sensation très étrange que tu essaies de me séduire.

Mon père ne répond pas tout de suite, soutient le regard de Lucile, et se risque à poser une main sur son genou. Ma chérie a bien du mal à ne pas dissimuler son émoi, ignorant sûrement la conduite à suivre.

— Et ça fonctionne ? demande mon père, affermissant sa prise.

Lucile n’a toujours pas dégagé la main de mon paternel, esquisse un sourire timide. Elle trouve son réconfort dans le contenu de son verre, ce qui fait rire son voisin. Je me sens à nouveau défaillir. Ma vision se trouble…

Les images se bousculent dans ma tête. Je découvre Lucile dans les bras de mon père, les regarde s’échanger des baisers passionnés. Elle ne résiste pas lorsque mon vieux dénoue la cordelette qui retient sa robe, tire dessus pour faire jaillir sa poitrine ronde et ferme, et du bout des doigts lui pince les tétons qui durcissent en un rien de temps.

— Ce n’est pas bien, lâche Lucile entre deux gémissements. Mais je ne peux m’empêcher de penser à lui quand je te vois… Et si on allait ailleurs ?
— Je ne m’inquièterais pas à ta place. Mon fils dort comme un loir…

Je perds encore une fois le fil du temps.

— Je ne pense pas me tromper en affirmant que bien des garçons se sont régalés de toi.
Mais tu n’as probablement encore jamais couché avec le père de l’un d’entre eux.
— Mmmmmh… Tu as raison. Et ce n’est pas pour me déplaire !

Lucile est à présent allongée sur le dos, écarte un peu plus les jambes. Elle repousse le triangle de son string, fait signe à mon père de s’approcher et profiter de la vue. Je l’imagine déjà toute mouillée… Elle lâche un soupir de bien-être quand la langue agile de mon paternel entre en contact avec son clitoris.

Je perçois ensuite les bruits de vêtements qu’on enlève, et la surprise de ma fiancée.

— Qu’est-ce que… Elle est énorme !
— Je savais qu’elle te plairait.

Je la regarde engloutir la verge de mon père. Sa langue vient s’enrouler autour du mât, le lèche sous toutes les coutures, très consciencieuse.

Il ne faut pas longtemps à mon père pour mettre Lucile à quatre pattes et frotter sa chatte trempée du bout de son gland, la pénètre en profondeur. Lucile pousse des petits cris surexcités tandis que la verge s'enfonce toujours plus loin dans son vagin.

— Aaaah… Oui ! Comme ça !
— Attends ma jolie ce n’est que le début, lui promet mon père.

Malgré mes efforts je n’arrive pas à garder les yeux ouverts plus de quelques secondes, retrouve Lucile et mon père engagés dans une multitude de positions sexuelles, inépuisables.

Je surprends Lucile accepter un doigt dans son anus, puis s’en va chevaucher mon père en prenant appui sur ses quatre membres, approche son bassin de la verge et exerce des pressions contre le gland, qu'elle frotte ensuite contre son petit trou plissé. Elle comprime le pénis et exerce des rotations qui enflamment le coït. Elle pose ensuite ses pieds sur les genoux de mon père, qui enchaîne les va-et-vient. Il la tient par la taille et exerce des mouvements de bas en haut, des petites rotations et pressions.

— Ooohhh… Oui ! Oui !

Lucile observe dans ma direction, plus souriante que jamais.
Mes yeux sont mi-clos. Sait-elle que j’assiste à toute la scène ?

— Aaaah ! s’écrie-t-elle, prise de tremblements. Je sens que ça vient… Oui ! Oui ! Ouiiiiiiii !

Lucile jouit comme rarement, très vite rejoint par mon père qui sort son pénis et arrose copieusement son ventre et ses gros seins. Je le regarde étaler le trop-plein de sperme sur le clitoris et la vulve de ma chérie avec son gland, tout fier.

— Charles… Tu as été fabuleux, dit Lucile après s’être remise de ses émotions.
— Toi aussi. On remet ça ?

C’est ce qu’ils ont fait. Et même plus. Quant à savoir combien de fois exactement… Je ne saurais le dire car je me suis m’endormi pour de bon.

Je me réveille dans mon lit après quelques heures de sommeil, au côté de Lucile. Je ne me souviens pas avoir monté les marches… Tout est embrouillé dans ma tête. Je dévisage ma copine qui dort paisiblement, en proie à la confusion. Le dérapage de cette soirée était-il le fruit de mon imagination ?

J’obtiens ma réponse à l’heure du petit-déjeuner, à l’instant même où mon père passe dans le dos de Lucile et lui glisse une main discrète aux fesses…




P-S : n’hésitez pas à laisser un petit commentaire si vous avez apprécié cette histoire, merci.

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