Une Vieille Docteur Outragée (2)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Marie, docteur gironde de 56 ans, venait de se faire baiser par des patients dans son cabinet. Ils l’avaient mise complètement nue, un frère aîné, trente ans, lui avait fait sucer son sexe puis l’avait pénétrée et avait joui en elle ; L’autre, le cadet, la vingtaine aussi bien membrée, l’avait fessée, e à dire des choses honteuses…
…et maintenant il lui avait mis sa bite dans la bouche.
Ce n’était pas fini ?... Jamais Marie n’avait imaginé qu’ils continuent encore d’r d’elle après déjà tout ça !
La bite du jeune était énorme, chaude et mouillée, elle lui emplissait toute la bouche, tandis qu’il lui tenait les cheveux pour guider un va-et-vient rythmé.

-Ouais, c’est bon, tu vas aimer ça, sucer des queues. Ça faisait longtemps pour toi non ? disait le jeune. T’as pas sucé mon frère jusqu’au bout tout à l’heure, mais moi tu vas me sucer plus longtemps tu vas voir. Ça va te plaire.

Non. Non. Ça ne plairait jamais à Marie ! Mais, à genou, jambes serrées sur le sperme collant encore chaud du grand frère, elle sentait toujours son intimité se mouiller, presque goutter, ouverte, tandis que cette bite s’enfonçait en rythme dans sa bouche…

-Ça l’excite en fait. Elle mouille grave, la grosse docteur.

C’était la voix du grand frère qui venait de derrière elle. En même temps, Marie avait senti sa main qui s’était enfoncée sous elle pour vérifier en lui titillant la chatte. Son œil s’était tourné vers le grand frère et elle vit que, toujours nu, il téléphonait avec son portable.
A qui parlait-il ? Marie entendit qu’il disait l’adresse du cabinet de Médecine générale Michel. De SON cabinet à elle?...
Le jeune retira sa bite de sa bouche et la releva de force.

-On va changer de place. Regarde un peu comme t’es bonne. Tu le sais pas que t’es bonne comme ça !
Il la traîna face au grand miroir du cabinet de docteur et il lui claqua les fesses.

Marie poussa un petit cri.

-Non, arrêtez, dit-elle, perdue, sans forces. Elle avait très chaud.
Le jeune l’avait mise face au miroir. Elle se vit. Toute nue. Ses jambes larges mais galbées, ses hanches rondes avec le triangle noir de son pubis poilu, son ventre un tout petit peu rebondi, ses seins généreux un peu pendant, et son visage hagard, ses cheveux bruns décoiffés. Pourquoi s’en prendre à elle ? Mais elle se trouvait presque désirable en vérité, sa peau brillait, couverte d’un début de transpiration.
-je pourrais être votre mère. Arrêtez.

-Alors tu vas mieux me sucer, « Maman ». Viens là.
Il se coucha au sol sur le dos, mince et nu, sa peau était bronzé, et sa bite dressée, pilier de chair turgescent, si grosse et longue. En désir.
Ce faisant, il la remit à genou, de côté à lui, et la força à le sucer encore. Il était brutal, mais en même temps doux. Ses mains vinrent palper les fesses de Marie et elle eut un frisson. Elle était si sensible d’un coup.
Clac ! Il l’avait fessée ! quelle honte !
- Suce mieux, salope, tu aimes ça. Utilise ta langue, lèche-moi bien.
Choquée, Marie essaya d’obéir. Sa langue s’activa sur son gland, sur les côtés gonflés de sa grosse bite, tout en le suçant. Il la guidait, c’était chaud dans sa bouche, contre sa langue, odorant.
-Voilàà ! C’est bien là, oui…
Elle salivait. Son entrejambe la brûlait, elle était trempée, et du coup encore plus honteuse ! Ces jeunes étaient des fous ! Mais elle salivait, suçait.
-Ha ouais, tu salives, t’aimes ça, t’es une pute de docteur toi, hein ?
Toujours sur le dos, et elle de côté, il arrêta de lui toucher les fesses et força entre ses cuisses agenouillée. Sa main parvint sous elle, et il commença à caresser la chatte trempée de Marie.
-han?.
Elle eut un court gémissement, sa nuque toujours tenue sur la bite du jeune, la bouche pleine, et elle léchait. Les doigts du jeune s’activaient, ils la pénétraient, jouait avec son clitoris.
Marie mouillait.
Elle se faisait doigter par un jeune inconnu tandis qu’elle le suçait. Elle, la docteur bien rangée, prude. C’était horrible. Parce qu’elle aimait ça.
-Mhmm, oui, voilà pour toi, ahanait le jeune. Et il sperma dans sa bouche. C’était chaud et épais, odorant. Elle recracha ce qu’elle put, mais le jeune la força à le sucer encore.

Elle vit que le grand frère toujours nu, les filmait. C’était filmé en plus ! Elle avait du sperme plein la bouche, mais ne pouvait empêcher des respirations gênées. Les doigts du jeunes la pénétraient, la fouillaient :
-Hooo, haaa, non… hoooo…

La filmant, le grand frère se branlait lentement ; Sa bite était si grosse.

-Elle est chaude, là. Toutes des salopes. On garde un souvenir de tout ça, dit-il en se mettant à genoux derrière Marie. Il donna le portable à son frère:
-Non, vous n’avez pas le droit. Vous avez eu ce que vous voulez, arrêtez !
Le grand frère n’allait pas encore la pénétrer. Tout ça devait cesser !
Et pourtant, le grand frère derrière elle appuya sur le haut du dos de Marie, tandis que le jeune couché l’attira à lui et tapota sa bite bandante sur sa joue. Elle ne pouvait rien faire, il la forçait à se pencher à genou sur la bite de l’un, et à cambrer son gros derrière bouillant vers l’autre. Le grand frère devait tout voir de là où il était ! la chatte de Marie devait dégouliner, chaude.

-On va tester ton cul maintenant. Tu t’es déjà faite enculer ?
Son doigt mouillé lui titilla l’anus, faisant pression, s’enfonça légèrement dedans.
-Ho non, pas ça ! Non, tout mais pas ça ! Non non.
Marie se tortilla, mais le jeune la retint et l’immobilisa.
-même mon ex mari ne m’a jamais fait ça ! Elle les implora.
-Tu vas aimer, tu vas voir. T’es bien avec nous en vrai. Hein ? tu dis non, mais tout à l’heure tu diras oui.
Il enfonça lentement sa grosse bite dans le cul de Marie.
-Aïe ! arrêtez, ça fait mal.

Elle en était toute remplie de cette bite, par le cul. Il commença à faire quelques va et viens en elle.
-Hoooo… non, haaaa…
Ils la tenaient, fesses vers le haut, le grand frère la sodomisait en ahanant. Il lui baisait le cul comme une chienne :
-Ho oui, ça va bien là, t’es bien cambrée, t’en veux !
-Non… ha han hoo,… non… ha ha hoooo... , Opposait-elle, avec cette grosse barre chaude qui lui pénétrait les entrailles. Sa chatte dégoulinait au sol, bouillante. Marie n’était plus maîtresse d’elle-même.
-Là ça te plait bien, oui. T’aimes, par le cul toi ! Hein ?
CLAC ! une claque sur ses fesses ; Il répéta :
-T’aimes ça hein ?
CLAC ! Une autre.
-Haaa han hoo … non… hoo…
Marie n’en pouvait plus de se faire enculer comme ça. Oh oui elle aimait ça ! Mais jamais elle ne le dirait.
-Alors je m’arrête, je me retire? dit le grand frère en ralentissant son mouvement, reculant.
-Non noon, non, dit sans y penser Marie. Elle était perdue… Il reprit son mouvement, l’enculant. Le jeune lui entrait les doigts dans la chatte. Elle avait sa bite devant les yeux.
-Tu veux pas que je m’arrête alors ? T’aimes ça dis le.
CLAC ! Sur les fesses. Marie se faisait défoncer le cul, et le jeune, tout près d’elle, lui mettait sa main dans la chatte. Elle transpirait.
-Oui… oui… j’aime ça… han…ha… hoo…!
Elle l’avait dit ? Quelle honte ! Mais c'était si bon ! Elle ne se contrôlait plus.
-T’aimes te faire enculer. Dis le.
Sa bite dans son cul était merveilleuse. Marie ahanait, en feu.
-oui.. haa… j’aime me faire enculer… haaaa… ho hhaa
Il sperma dans son cul, tandis que Marie dégoulina sur les doigts du jeune en gémissant…
Marie avait joui comme jamais. Elle se sentait épuisée, avachie sur le corps lisse du jeune. Elle transpirait, le souffle court.

Un bref moment se passa ainsi, silencieux… Marie n’osait pas le troubler. Elle ne bougeait pas. Elle voulait qu’ils partent.
C’était assez.

Mais un « toc toc » à la porte du cabinet interrompit ça. Qui cela pouvait-il être ? Marie n’attendait plus aucun patient. Ho non ! personne ne devait entrer et la voir comme ça !

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