La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 688)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°687) - La réfection de la Grange -

La nuit avait été courte pour Endymion MDE… Mademoiselle Lucie et Monsieur Julien l’avaient attaché aux pieds de leur lit pour qu’il puisse dormir un peu. Malgré ses couilles douloureuses, l’esclave MDE avait trouvé le sommeil très rapidement, si rapidement qu’il n’avait même pas entendu, tout près de lui pourtant, les gémissements de plaisirs de ce jeune couple faisant l’amour à multiple reprises ! Et lorsque Maximilien discrètement le détacha le lendemain matin vers huit heures, il était encore exténué. Heureusement une bonne douche fraiche et un copieux petit déjeuner lui permirent de retrouver ses esprits. Il le fallait d’ailleurs, car son prescripteur enseignant, Sir William l’attendait de pied ferme…

Les deux premières heures de cours furent terribles, tant Endymion MDE reçut de coups de badine sur son cul nu. Sir William était intransigeant, strict, sévère comme les instituteurs d’un autre siècle mais avec la perversité en plus et il n’acceptait aucune erreur, chaque manquement était sanctionné par un à cinq coups cinglants sur ses fesses déjà bien striées. Il n’avait que faire des étourderies de ce chien soumis, il ne voulait rien savoir de sa fatigue de la veille, Il était là pour lui apprendre, de gré ou de force la langue de Shakespeare, un point s’était tout ! Les deux heures suivantes furent moins pénibles, Endymion MDE avait enfin compris quelques règles grammaticales élémentaires, avait appris un peu plus de vocabulaire et récitait à genoux mains sur la tête, une trentaine de verbes irréguliers sans plus se tromper… Sir William alors le récompensa. Il souleva son kilt, et lui présenta sa bite molle :

- Suck-me, bitch ! (suce-moi, salope) Lui ordonnait-il.

La légende était bien vraie, les écossais ne portaient vraiment rien sous leur jupe kilt ! La badine ne fut pas nécessaire, l’esclave MDE avait parfaitement compris ! Il avalait ce membre encore flasque et de sa langue agile, le fit se tendre soudainement ! Sir William ne put se contenir très longtemps, il en fut surpris d’ailleurs, en moins de trois minutes, l’affaire était jouée, il éjaculait et envoyait son jus en éclaboussant le palais d’Endymion MDE sans aucune retenue et en maintenant d’une main ferme la tête de l’esclave contre son bas-ventre… Le chien soumis MDE failli s’ mais il réussit tout de même à avaler ce sperme écossais.



- Swallow my cum, little whore (avale mon foutre, petite putain)

Là encore Endymion MDE avait parfaitement compris les quelques mots prononcés par sir William, il faut dire que le vocabulaire qu’il lui enseignait était comment dire… très orienté, très axé sur la soumission, le sexe, la trivialité et mots crus ! Sir William essuya sa verge dans les cheveux de l’esclave et dans une attitude So british rangea son sexe sous son kilt et quitta, sans un regard, l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans.

Ce fut d’ailleurs lui, Le Maître, qui vint récupérer son chien soumis. Il était accompagné de David qui s’approcha et s’agenouilla devant l’esclave MDE, toujours immobile, à genoux et mains sur la tête. Il lui prit le visage entre ses deux mains et le regarda longuement, puis lui caressa les joues avec une incroyable douceur, glissa ses doigts sur ses lèvres humides et entrouvertes.

- Comme tu es beau ainsi petit chien…

Ses doigts délicatement soulevèrent les lèvres de l’esclave, comme s’il voulait voir sa dentition, puis lui écartèrent la bouche, mais toujours sans aucune brusquerie.

- Comme dirait mon ami Lacan « il y a identité entre le façonnement du signifiant et l’introduction dans le réel d’une béance, d’un trou »

Endymion MDE cherchait à comprendre ce que voulait lui dire ou lui faire admettre David le philosophe. Voyant son incompréhension, l’intellectuel David reprenait la parole :

- Tu es dans la sublimation, petit chien ! Tu es dans ce mécanisme où tu puises dans la force de tes pulsions sexuelles tout ce qu’il te faut pour te réaliser, pour t’accepter. Tes pulsions sexuelles sont sublimées car elles sont déviées vers cette recherche de la grandeur de ton conditionnement. Et tu y parviens tellement bien, ça se voit, je le vois dans tes yeux brûlants, tu sais exprimer ta fierté, on voit que tu es digne et honoré d’appartenir à ce Grand Maître… Que tu es beau ainsi petit chien…

Monsieur le Marquis était émerveillé par ces mots et ces gestes, il écoutait et admirait attentivement, non sans une certaine émotion, son amant caressant et réconfortant.
Il voyait Son chien soumis épanoui et là était l’important, il le sentait vivre et était témoin de son bonheur… David avait fait relever l’esclave MDE, puis une fois debout s’était placé derrière lui et continuait à le caresser. Sa main parcourait sa poitrine, glissait sur son abdomen, puis descendait sur l’intérieur de ses cuisses, effleurant du bout des doigts son sexe tendu. Il lui posait même quelques petits baisers dans le cou. Puis, il attrapa la bite d’Endymion, la branla délicatement, très doucement, tirant sur ce prépuce pour bien décalotter son gland. De temps à autre, son pouce essuyait cette turgescence humide.

- Là est ta force petit chien, tout au long de ton membre, de la racine de ce sexe jusqu’à son extrémité… Bande petit chien, transcende ton énergie sexuelle, plonge ta conscience dans ce que tu perçois, apprends à maitriser ton éjaculation et concentre-toi, sur ton extase spirituelle. Ainsi tu seras plus fort, plus éblouissant, plus aguerri, plus asservi, plus obéissant. C’est bien ta volonté de te soumettre, n’est-ce pas petit chien !

Endymion MDE hochait de la tête de bas en haut, tout en contrôlant son désir. La main douce de David, allait et venait, tendrement et lentement sur sa bite et exacerbait ses sens, ses envies, son plaisir. Ses soupirs et petits gémissements d’extase firent comprendre à David qu’il était au bord de l’éjaculation, alors sa main abandonna cette bite gonflée de désir et caressa délicatement ses couilles.

- Garde ta force, petit chien ! Tu vas en avoir besoin…

Monsieur le Marquis cette fois-ci s’était approché de Son esclave MDE, lui aussi, lui caressa le visage, puis exigea qu’il le regarde droit dans les yeux.

- Je vais avoir besoin de toi Mon chien… Depuis ce matin, des ouvriers travaillent sur la charpente effondrée de la vieille grange. Ils ne sont que trois et n’avancent pas très vite. Toi et un autre de mes soumis, vous allez les aider pour que ce chantier se termine au plus tôt.
Le chef d’équipe manque de main-d’oeuvre et je lui ai promis de trouver une solution pour finir dans les délais… Je compte donc sur vous deux pour assurer efficacement les tâches les plus pénibles. Allez viens, suis-moi Mon chien.

L’esclave MDE avait endossé une combinaison de travail avec un zip partant devant du cou, passant entre ses jambes, jusqu’à derrière, sur le haut de son fessier. Elle était un peu étriquée et rétrécie, le boudinant légèrement, et surtout mettait en exergue son anatomie intime. Il enfila également des chaussures de sécurité et une paire de gants rens. Ce fut Maximilien qui accompagna Endymion MDE et un autre de ses congénères qui n’était autre que Chien docile, vêtu de la même manière, jusqu’au bâtiment à rénover. Deux des trois ouvriers étaient en train d’aménager un rail sur lequel, ils plaçaient un palan, le troisième était sur le toit du bâtiment et avait commencé à remplacer quelques tuiles.

- Bonjour Messieurs, voilà les salo…. (Maximilien se reprit juste à temps) voilà la main d’œuvre que vous attendiez, je vous les confie, faites-les travailler ardemment, ils sont là pour ça…. Et si l’un deux se montrait récalcitrant ou pire encore, fainéant, vous n’hésiterez pas à m’en faire-part.

Celui qui semblait le plus âgé, sans doute le chef d’équipe s’approcha d’Endymion MDE en lui montrant un empilement de poutres.

- Je vous remercie… Bien toi, tu vois ces poutres là-bas, et bien tu vas les ramener ici et les ranger en long !

L’esclave MDE se pressa, et alors qu’il se dirigeait vers ce monticule de bois posé n’importe comment, étrangement, il eut l’impression qu’un regard, celui du Chef d’équipe, se posait sur son petit cul moulé dans ce bleu de travail. Les poutres étaient longues et lourdes, Endymion MDE devait les entreposer à l’intérieur et les empiler correctement, les unes sur les autres, afin que celles-ci tiennent le moins de place possible. L’autre soumis, chien docile, devait par l’intermédiaire d’une haute et longue échelle, monter les tuiles neuves à l’ouvrier qui les remplaçait.
Un travail éreintant pour l’esclave MDE comme pour son congénère, mais tous deux faisaient fi de leur fatigue et travaillaient durement et soigneusement. Alors qu’Endymion MDE se préparait à charger une nouvelle poutre, le chef d’équipe, placé derrière le camion l’interpella.

- Toi là-bas, viens jusqu’à moi…

A grand pas, Endymion MDE se précipita

- Oui Monsieur ! Fit-il naïvement

Mais là, point de réponse, tout se précipita ! Le chef d’équipe attrapa l’esclave MDE par l’encolure arrière de sa combinaison de travail et d’un coup lui plaqua le visage contre la portière du camion. Endymion MDE eut juste le temps de poser ses mains contre le véhicule pour amortir le choc et pour éviter de se fracasser le crâne. La main gauche du chef d’équipe tenait fermement appuyé, l’esclave MDE contre la carrosserie alors que sa main droite faisait descendre le zip de la combinaison…

- Ecarte les cuisses petite pute, si tu crois que je ne t’ai pas vu m’aguicher à chaque fois que tu partais récupérer une de ces poutres ! Hein que tu dandinais ton cul salope ? Mais ? … Que vois-je ? … C’est que tu es complètement nu sous cette combinaison ! Ah, je comprends, tu es une belle petite lope pour te promener ainsi ! Attend un peu, tu vas voir, moi, ce que je fais aux putains de ton espèce…

L’esclave MDE comprit qu’il lui était inutile de répondre. Le chef d’équipe d’ailleurs n’attendait rien de lui hormis qu’il tende son cul et qu’il lui laisse son trou à disposition de son gros chibre tendu. D’un coup d’un seul, il le pénétra, sans le moindre préliminaire et il l’encula ainsi, à sec profondément ! Endymion MDE sous la ruade ne put retenir un cri plaintif, ni même une violente et spontanée érection lui vint subitement. Il se faisait déchirer le cul et paradoxalement, il bandait fortement… Etait-ce ce sentiment de se faire posséder ainsi qui exacerbait ses sens ? Les coups de butoir étaient violents, saccadés, discontinus, parfois la pine du Chef d’équipe ressortait totalement et s’enfouissait bestialement… L’esclave MDE haletait, geignait se lamentait même, tant par cette enculade sauvage que par le frottement de sa propre bite tendue et coincée entre le tissu étroit de sa combinaison et son abdomen. Il crut qu’il ne parviendrait jamais à retenir sa jouissance, surtout que son enculeur semblait avoir grand mal à se soulager et se vider ses couilles…. Il le ramonait encore et toujours de plus en plus frénétiquement, jusqu’au moment où Endymion MDE entendit son souffle s’accen et s’accélérer, puis virent le temps des mots :

- Tu vois sal… salope ce qu’on… ce qu’on fait à des putains de ton es… de ton espèce… oh… Ah… On les…. On les encule à froid… on les… on les prend à fond par derrière et on les sodo… on les sodomise, comme des truies !

Et là, à cet instant, le chef d’équipe glissa ses bras sous les aisselles d’Endymion MDE, lui posa ses mains sur les épaules et brutalement le tira à lui pour l’empaler plus profondément encore afin d’éjaculer sauvagement, copieusement et bruyamment… Il resta ainsi en coït un moment sans bouger bien planté profondément dans le fondement de l’esclave. Puis il se retira aussi vite qu’il le pénétra, sans préambule :

- Dégage maintenant, va finir ton boulot, la pute ! Ordonnait le chef d’équipe.

Le cul cassé et brisé, tant bien que mal, l’esclave MDE remontait le zip de sa combinaison et regagnait sa tâche. Ce fut à cet instant qu’il entrçut Monsieur le Marquis accompagné de Walter, arrivant d’un bon pas. Ce dernier attrapa Endymion MDE par les cheveux, l’obligea à se mettre à quatre pattes devant Monsieur le Marquis d’Evans.

- Alors ma pute, tu as bien servi de vide-couilles à mon ami Jacques le Charpentier ?
- Je l’espère Maître Vénéré.
- Il faut en être sûr et non l’espérer, Mon chien…

Le fameux Jacques, finissant d’ajuster les boutons de sa braguette, arrivait à grand pas vers le Maître.

- Alors Jacques, ma putain t’a-t-elle bien honoré ?
- Oh ce cul ! lui répondit-il…
- Si je te comprends, tu as pu te soulager ?
- Et comment ! Il a vraiment un cul d’enfer ce chien ! Tu as le don de me donner des salopes au cul attrayant…. Oh que ça fait du bien ! Merci Edouard, vraiment ! On s’est connu sur les bancs de l’école communale et jamais tu m’as fait un si beau cadeau ! A part la fois, où tu m’avais offert deux belles soumise pour une nuit entière ! Merci encore !

L’esclave MDE comprit qu’il avait été floué par le Maître, lui qui l’avait envoyé pour aider au chantier et bien en réalité, c’était pour se faire saillir par son ami d’enfance…

- Je voulais voir comment tu réagirais, Mon chien… je voulais savoir si tu avais bien compris que ton cul ne t’appartenait plus, et qu’il devait toujours se tenir à disposition de ceux à qui je le donnais. C’est bien ma pute, tu es une bonne pute… Je t’autorise à me lécher les pieds !

Endymion MDE se prosterna devant le Maître et ceux présents et donna de grands coups de langue sur les chaussures de Monsieur le Marquis d’Evans…

(A suivre…)

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