Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (22)

Un plaisir partagé est un plaisir double (22)

Annie est venue à l’improviste nous rendre une visite. Mon homme est allé lui ouvrir. Je les entendais parler :

« - Quelle bonne surprise de te voir, ma chérie, tu es venue seule ? »

« - Oui André bêche son jardin et n’a pas voulu m’accompagner, mais je vois que tu portes une blouse, je te dérange en plein travail ? »

« - Pas du tout, ma belle, c’est toujours un grand plaisir de te recevoir. »

Bob m’interpella du bas :

« - Chérie, tu peux descendre c’est Annie. »

Je l’avais entendu, j’ai dévalé les escaliers quatre à quatre en tenue d’Eve, trop contente de revoir ma copine. Je l’ai serré dans mes bras pour l’embrasser.

« - Tu allais prendre ton bain ? Pourquoi es-tu toute nue ? »

« - Pas du tout, depuis le temps que mon mari veuille me peindre toute nue, j’ai décidé le lui faire plaisir. »

« - Je savais que ton mari peignait et j’aimerais bien qu’il me fasse mon portrait. André aimerait aussi avoir un joli nu au-dessus de notre lit. Mais je ne veux pas une peinture comme celle de Gustave Courbet avec le nu de Constance Quéniaux son modèle dans son «l’origine du monde. » Qui montre sa chatte poilue et ses seins !

« - Oui mais on ne voit pas son visage cela aurait pu être n’importe qui. Par contre ce n’aurait pas pu être toi, puisque ton mont de vénus est lisse comme la peau de mes roupettes. Pourquoi ne poserais-tu pas toi-même ? Ce ne doit pas être un problème pour toi de poser nue pour moi. »

« - Gros bêta, bien sur que non, tu me connais aussi bien que ta femme, depuis le temps que tu aies exploré toutes les parties de mon corps. Je pense même que tu pourrais me dire le nombre de tâches de rousseur sur les fesses, si j’en avais. »

« - Je ne sais pas une femme a toujours une petite part de mystère. Par contre moi sais que tu as deux adorables petites fossettes sur tes fesses.

On les appelle aussi les « salières de Vénus » et Vénus est la déesse de l’amour et de la séduction. »

« - Ta va finir par rendre ta femme jalouse de m’aduler comme cela. »

« - Nous pourrions faire d’une pierre deux coups. C’est à dire un nu ou tu serais allongée nue sur une couche face à moi pour que je te fasse le portrait et dévoiler ta nudité. »

« - Tu plaisantes, je ne vais pas montrer mes seins et mon sexe à tous ceux qui viennent chez moi, encore mes fesses cela passeraient, si je suis de dos en que l’on ne me reconnaisse pas. »

« - C’est dommage tu as une si jolie poitrine qu’il ne faut pas avoir honte de la montrer et sur ton sexe nous pourrions y déposer un voile transparent pour le cacher en partie. Parles-en à André et vous me direz ce que vous avez décidé. »

« - Je peux monter pour aller voir le tableau que tu fais de Chantal ? »

« - Bien sur, tu sais bien que tu es chez toi ici et en même temps tu me diras ce que tu en penses. »

« - Tu es superbe ma chérie, cela ne te fais rien de te montrer nue dans cette position ? Pour le moment c’est très réussit et l’on te reconnaît bien. Lorsqu’il sera fini, tu pourras le montrer à André pour qu’il se fasse une idée. »

« - Tous les artistes ont un jour peint leur femme ou leur maîtresse dans le plus simple appareil et peut être qu’un jour je serais exposé au Louvre devant des milliers de visiteurs, si mon chéri devient célèbre. Alors ton tableau aura une valeur inestimable. »

Annie me tapa sur les fesses et nous nous sommes marrés ensemble.

« - Que voulez-vous faire mesdames cet après midi ? »

« - Ce que vous voulez, mes chers amis. » Nous confia Annie.

« - Passes une robe ma chérie pendant que je vous prépare un thé. J’ai pensé que nous pourrions aller nous oxygéner en forêt. Est-ce que cela vous dit ? »

« - C’est plutôt une bonne idée qu’est-ce que tu en penses Chantal ? »

C’est d'un commun accord que nous décidons de nous rendre au petit bois de la sablonnière.
C'est un endroit que nous connaissons bien pour avoir été exhibées toutes les deux sur le parking devant des voyeurs qui attendent parfois des heures qu'un couple joue avec eux en dévoilant doucement les charmes de leur épouse. Parfois cela peut aller beaucoup plus loin suivant le désir de leur dame qui est la seule maître du jeu. Mais cette fois, en nous garant sur le parking il y avait bien quelques voitures mais aucune ombre d’un homme à l’horizon.

« - Descendons et allons nous promener dans le bois, (voir si nous allons rencontrer le loup mesdames) il y a toujours un quidam en quête d’érotisme et d’exhibition qui traîne pour mater. »

Bob s’est mit au milieu de nous deux en nous tenant par le cou. De temps en temps il s’arrêtait pour déposer à l’une comme à l’autre un petit baiser. Notre petite ballade à trois, en amoureux faisait beaucoup de bien de prendre l’air des bois, nous étions accompagnés par le chant des oiseaux.

C'est bras dessus, bras dessous que nous empruntons les petites allées de la forêt, je dirais plutôt dessous que dessus car mon chéri avait déjà passé sa main sous la jupe d’Annie et sous ma robe en nous caressant les fesses. Nous portions toutes les deux un string ficelle blanc en dentelle pour ma copine et rouge pour moi qui était plus soft.

Bob avait déjà remarqué que nous étions suivis et il nous en fait part. Dans ce bois à voyeurs qu'il y a toujours des regards qui traînent à la recherchent d'une aventure. Le frôlement des feuilles et le craquement des branches trahissaient une présence et nous essayons de percevoir d’où venait ces bruissement de feuilles. Les oiseaux s’étaient tus et notre sens auditif était en effervescence. Aussi bizarre que cela puisse paraître ce suspense me faisais mouiller. C’est alors que mon chéri, a soulevé nos vêtements jusqu’à la taille en nous imposant de marcher les fesses à l’air. Nous avons aperçu un type qui nous suivait et nous épiait au travers le feuillage des arbres.


Dès cet instant sachant que nous étions surveillés, mon chéri s’arrêta un moment pour embrasser Annie à pleine bouche, releva ma robe pour me peloter les fesses en affichant mon cul nu en direction du voyeur. En me caressant, et en embrassant ma copine nous devenons un stimulant pour notre homme en l'encourageant de continuer à nous suivre dans les petits sentiers tranquilles de la forêt. Comme c'était le but de notre petit jeu, Bob nous dit doucement :

« - Ne vous retournez pas mes chéries, nous avons un pigeon qui nous observe depuis un moment et qui mord à l'hameçon, il a l'air bien intéressé par vos petites fesses. »

Mon chéri, s’est mis à genoux devant Annie, glissant ses mains le long de ses cuisses, il attrapa de chaque côté l’élastique de son string et lui glissa le long de ses jambes pour lui retirer. J’ai pris Annie dans mes bras pour l’embrasser pendant que mon homme avait la tête enfouie sous sa jupe. Elle retira son pied de sa petite culotte qui tenait encore en bas de ses jambes pour pouvoir les écarter et ouvrir l’accès de sa minette à mon mari. Les mains de mon homme la tenaient par son fessier pour l’attirer à lui. Je m’imaginais ce que se passait sous cette jupe.

Faisant mine de ne toujours pas l'avoir vu, nous continuons notre petite ballade avec la main de mon chéri sur mon popotin. Quand soudain Annie nous dit :

« - Attendez, il faut que l’on retourne, j’ai oublié mon slip sur le sentier. »

« - Je pense qu’il est déjà trop tard Annie pour pouvoir le récupérer. Il doit déjà être ramassé. Les voyeurs sont souvent fétichistes et l’un d’eux doit déjà humer le fond de ta culotte pour sentir l’odeur de ton intimité. J’espère que ton string trop cher ? Je sais par expérience que moins il y a de tissu et plus c’est cher. »

« - Si je n’ai plus rien à me mettre sur le cul se sera l’occasion de ne plus en porter. D’ailleurs c’est vous qui m’aviez apprise à sortir sans culotte ! »

Nous continuons à marcher en s'arrêtant parfois pour s'embrasser tout en me faisant tripoter de façon à émoustiller notre mouton qui nous épiait de loin.


Soudain nous sommes surpris de voir notre homme planté devant nous alors que nous pensions qu’il était derrière, le pantalon en bas des jambes, la bite à la main en train de se masturber. Il nous montrait son sexe en érection. En passant devant lui, Bob l'interpella en lui demandant s'il avait l’occasion de rencontrer souvent des couples exhibitionnistes ?

« - C’est assez rare dans la journée c’est surtout lorsque la nuit commence à tomber que les hommes exhibent leur femme à l'intérieur des voitures. »

Cela nous le savons pour être déjà passés à la sablonnière de nuit.

« - Je vous ai suivi discrètement lorsque je vous ai vu entrer dans le bois pour voir si vous étiez des simples promeneurs où si vous recherchiez autre chose en venant ici. Souvent les couples qui s'y engagent sont exhibitionnistes. Lorsque j'ai vu les jolies fesses de ces dames lors du remontage de leurs vêtements, j'ai compris que j'avais de la chance aujourd’hui. »

Il tripotait toujours sa queue qui ne débandait pas, tout en nous parlant, mon chéri lui dit :

« - Nous aimons l'exhibition et ma femme aime se montrer, d'ailleurs nous sommes déjà venus plusieurs fois ici mais je l'ai toujours exhibée qu’en voiture. Tu aimerais certainement en voir un peu plus ? Sans attendre la réponse Bob souleva ma robe lui montrant ma petite culotte rouge.

C'était un string transparent, mon chéri m'ayant habitué à porter des dessous sexy et coquins. C'est souvent lors de mes exhibitions que je rentre sans ma culotte. Bien souvent les voyeurs essayent de s’en accaparer. Certainement pour posséder un trophée en souvenir.

Bob sans me prévenir écarta mon slip pour libérer ma chatte de son petit morceau de tissu qui la cachait et demandant à notre homme si mon sexe lui plaisait.

Je trouvais cette question stupide, je n'ai jamais vu un homme qui n’aimait pas voir la foune d’une femme surtout que les voyeurs recherchent ce genre de situation. En voyant comment il s’asticotait sa queue devant moi, c’était sur que mon échancrure l’intéressait.

Puis en s’adressant à moi il me demanda si je voulais lui faire une petite gâterie, l'homme n'attendait que cela, je me suis accroupie pour être à la hauteur de son sucre d'orge, j'ai pris son joujou à pleines mains et à pleines dents en le suçant sous l'oeil bienveillant de mon homme.

Trop occupée et en pleine action de pompage, je n'avais pas vu qu'un nouvel individu venait de se joindre à nous. Une bretelle de ma robe venait de tomber, dévoilant mon sein, je n'ai pas cherché à la remettre. Le nouvel arrivant avait baissé son pantalon sortant son oiseau de sa cage, il s'est mis à se masturber attendant son tour. Annie est venue à mon secours pour lui faire la fellation qu’il attendait.

Bob demanda à nos deux participants s’ils n’avaient pas trouvé un string blanc en dentelle en nous suivant.

« - Non pourquoi ? Madame à perdu sa culotte ? »

« - Oui, l’élastique de son slip a cassé. » Dit-il en plaisantant. De toutes façons je savais très bien qu’aucun deux ait avoué l’avoir trouvé.

Mon chéri qui assistait à la scène, passif en nous regardant me retira ma robe. Pour ne pas que mon intervenant me la salisse en giclant dessus, il était temps, lorsque j'ai senti que la verge de l'homme se durcissait et qu'il allait éjaculer, je l'ai vite sorti de ma bouche et un jet de son sperme m’aspergea les seins.

Bob avec un mouchoir en papier est venu m'essuyer le sperme avant que je remette ma robe. Annie aussi venait de faire éjaculer son partenaire. Les deux hommes nous ont remerciés et se sont éloignés sachant que s'en était fini pour eux. Depuis le temps que nous faisons des exhibitions tout s’est toujours bien passé. Les hommes devant lesquels je me suis exhibée ont toujours été corrects et m'ont toujours considérés avec respect. C'est une règle, ils savent que si cela ne se passait pas bien les couples exhibitionnistes qui reviendraient plus, ils ont tout intérêt à être respectueux envers la femme qui leur montre ses atouts.

Nous avons continué notre petite ballade oxygénante dans ce petit bois. Nous nous sommes enfoncés dans un tout petit chemin, nous croisons un jeune homme qui faisait son jogging. Il nous salua en passant, mais avait du trouver un peu bizarre que deux femmes se promènent au bras d’un homme dans cet endroit retiré du bois surtout qu’il était connu pour être un lieu d’exhibition et de dépravation.

Nous nous sommes arrêtés pour écouter les oiseaux et le calme qu’il y régnait. C’était à la fois intrigant et relaxant. Soudain le chant des oiseaux s’est interrompu. Ils avaient détecté une présence. Un bruit de branches cassées nous le confirma. J’ai tout de suite pensée que beau jeune homme que nous avons croisé avait fait demi-tour.

Nous nous éloignons un peu du sentier en s’enfonçant dans le bois pour que je puisse faire coulette derrière un arbre. Pendant ce temps mon chéri qui était resté avec Annie la serrait dans ses bras et l’embrassait tendrement. Accroupie, je voyais qu’il passait sa main sous sa jupette. Comme j’étais en train de les regarder j’ai faillit me retrouver sur le cul, surprise par la présence du jeune sportif qui était planté à quelques mètres de moi et qui me regardait arroser les jacinthes des bois. Un petit cri de stupeur a alerté mon chéri.

« - Tu as un problème, ma chérie ? » En venant me rejoindre.

Je m’étais relevée rapidement, n’ayant même pas eu le temps de m’essuyer. Lorsque mon mari a vu le type il me dit :

« - C’est ce jeune homme qui t’a fait peur ? Il a l’air plutôt sympathique. »

« - J’ai plutôt été saisi par sa présence alors que je ne m’y attendais pas. »

« - Ce n’est pas mortel même s’il a vu ta grotte humide. »

« - Ce n’est pas le problème c’est qu’un me relevant rapidement, je me suis pissée dessus, Tu as un mouchoir en papier ? »

« - Je n’en ai plus, je t’ai donné celui que j’avais pour t’essuyer le sperme sur tes seins tout à l’heure. Tu n’as qu’à t’essuyer avec ton string.

Je n’avais pas d’autres choix que de tomber ma culotte pour m’éponger sous l’œil intéressé par le beau jeune homme.

« - On dirait que la boite d’amour de ma femme te séduit, alors va l’aider à réparer ta maladresse, c’est bien de ta faute si elle s’est pissée dessus. » Lui dit Bob.

Si cela n’était pas une invitation de me mettre ce jeune homme dans mes bras de la part de mon mari, alors je n’y comprends rien.

Sur les dires de mon chéri, mon beau voyeur n’avait pas l’intention de rester sur la touche, il se rapprocha de moi pour me prendre ma culotte et m’essuya le trésor. Au travers du fin tissu de mon string, je sentais ses doigts glisser progressivement dans ma boite à gants. Il m’excitait ce coquin et ma chapelle de la facilité se mettait de nouveau à mouiller mais cette fois ce n’était plus de la pisse. Il laissa tomber mon string sur le sol et c’était maintenant ses doigts qui me fouillaient ma boite détrempée. De mes deux mains je lui ai baissé son pantalon de survêtement, il ne portait rien dessous. Son sexe en érection s’insinua entre mes jambes et glissa le long de ma tranchée.

Bob voyant la tournure des choses est intervenu en disant au jeune homme :

« - Je veux bien que tu te fasses ma femme à condition que tu te protèges. »

« - Mais je n’ai pas de préservatif sur moi. »

« - Alors je suis désolé mais ce ne sera pas possible d’enfoncer. »

Le jeune homme avait l’air dépité de manquer une si belle occasion et commençait à remonter son pantalon de survêtement. Lorsque mon mari lui dit :

« - Je plaisante, tiens j’en ai toujours une sur moi et tu ne ferais pas mal d’en faire autant. »

Il n'a pas fallu lui dire deux fois, il vint se serrer contre ma poitrine, fit tomber les bretelles de ma robe qui tomba à mes pieds, il me serra dans ses bras en me mettant la main au panier. J'ai écarté mes cuisses en lui donnant le droit de fourrer son pénis à l'intérieur de mon garage à bite. Bob était prêt à intervenir en observant la scène, pensant que mon jeune serait un peu brutal avec moi et qu'il allait un peu trop vite en besogne, mais lorsqu'il a vu que tout se passait bien, il s'éloigna pour retrouver ma copine. D'ordinaire j'ai besoin de longs préliminaires pour être en condition, mais me retrouver totalement nue en pleine nature dans les bras d’un jeune homme m’avais excité.

Annie était appuyée contre un arbre, écartant ses cuisses, elle laisse libre cours à la main de mon mari pour qu’il lui caresse son petit bouton de rose. Mon chéri retira son pantalon, lui souleva sa jupe et la pénétra. Elle s’accrocha à son cou et le ceintura en plaçant ses deux jambes autour de sa taille. Lui, la maintenait en la tenant sous les fesses.

Je ne sais pas si c'était la peur d'être surprise toute nue en forêt ( bien que les promeneurs ici sont des voyeurs et n'attendent que ce genre de spectacle) ou d’être dans les bras d’un inconnu mais ma chatte était trempée de mouille et j’avais l’impression de n’entendre que le bruit de succion que faisait nos sexes durant nos vas et vient dans le calme de la forêt.

Mon jeune loup me demanda de me tourner face à l’arbre, désirant me prendre par derrière. J’ai posé mes mains sur le tronc en me cambrant. Je pensais en me mettant dans cette position de l’interstice en gardant mes jambes écartées et lui debout derrière moi pour qu’il glisse sa verge en érection dans l'interstice de ma fente, mais il écarta de ses mains mes fesses
Il m’empala par-derrière. Je ne comprends pas les hommes alors que le grand portail était ouvert qu’ils veuillent toujours passer par le portillon. La surprise et la douleur laissent peu à peu place à une excitation et un plaisir intense. Mon jeune loup entame un va-et-vient puissant dans mon cul tout en malaxant mes tétons durcis par le plaisir. ( Comme vous pouvez les imaginer en les voyant sur mon avatar ? ? Je m'étonne de ressentir aussi rapidement du plaisir. Déjà très excité par ma nudité, il me fesse à plusieurs reprises en me répétant que pour avoir un cul pareil il devait avoir vu passer un nombre de bites incalculables. Toutes ces paroles me font rapidement passer un cap, je sens la chaleur m’envahir lorsque je jouis en criant sous ses coups de boutoirs. Mon complice me rejoint rapidement. Son liquide chaud se déverse dans le préservatif qui s'est dégorgé en moi dans un râle bruyant qui devait faire écho dans ce bois silencieux.

Annie aussi en avait fini avec mon mari qui lui avait largué sa dose de sirop dans le fond de son vagin. Elle avait ramassé ma petite culotte pour toiletter sa jolie chatte. Il y a bien longtemps que nos hommes ne mettent plus de capote lorsque nous forniquons ensemble. Nous avons tout remis en place nos vêtements avant que je prenne congé de mon jeunot en le remerciant et en l’embrassant sur les joues. Il en fit de même avec moi en me disant qu’il avait passé un chouette moment et qu’il ne s’attendait pas à baiser une femme en faisant son sport.

Ma copine avec sa position de kamasutra dite « de chaise à porteur » De s’être frottée sur l’écorce de l’arbre sa jupette blanche était couverte de tâches vertes.

« - J’ai une jupe blanche comme la tienne à la maison, tu la changeras pour que je te la lave. Je suis sur qu’André ne s ‘en rendra même pas compte. »

Nous sommes rentrés toutes les deux sans nos strings, Annie ayant perdu le sien et le mien était souillé de pisse et de sperme.










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