Ma Belle Mere Nous Aide A Demenager

Voici une histoire qui est resté jusque maintenant entre ma belle-mère et moi. Elle est réelle et s’est passer il y a 20 ans. A l’époque ma femme Magali 24 ans et moi Julien 28 ans, habitions en région parisienne, à 300 kms de chez ses parents. Nous devions changer d’appartement, ma femme très prise par son travail ne pouvait pas apporter son aide à ce déménagement. Il fut donc convenu que mon beau père, pris lui aussi par ses occupations, viendrait déposer ma belle-mère pour qu’elle passe la semaine chez nous.
Ma belle-mere Monique, une femme brune à cheveux courts, les yeux bleus, 1m70m pour 72 kgs avait à cette époque 48 ans. De belles rondeurs où il faut et surtout une belle paire de seins 95c. C’est une femme qui a eu une éducation assez stricte et bourgeoise. Comme beaucoup de femmes de son âge, elle est très pudique. Son mari au contraire a multiplié bon nombre de conquêtes, tres egoiste, il delaissait sa femme. Elle ne l’avait jamais trompé, pourtant les tentations etaient là, mais son éducation et sa pudeur l’en avaient interdit.
Toujours gentil et flatteur envers elle, je ne manquais jamais de la complimenté sur ses tenues, ses coupes de cheveux etc… Quand elle me faisait la bise chaque fois j’essayais d’embrasser le coin de ses lèvres, elle l’avait remarqué et s’en amusait. Je ne me gênais pas non plus pour mater ses fesses, ses décolletés ou de la frôler, ce qui la gênait et la faisait rougir. Je la draguais souvent, ce qui la flattait, mais elle me repoussait sans cesse, disant que c’était mal.
Ils sont donc arrivés tout deux le samedi soir pour diner et le dimanche en fin d’apres midi mon beau père est reparti. La soiree du dimanche se passa, mon épouse ne manquant pas de nous donner à ma belle-mère et moi les directives du lendemain. Nous devions nettoyer le nouvel appartement vide.
Cette nuit-là, après avoir fait l’amour à ma femme, je me relevais pour aller aux toilettes. En passant devant le salon où Monique dormais sur le canapé lit, j’ai entendu de petits gémissements.

Curieux, je glissais un œil et vit ma belle-mère recouverte de son drap, les jambes écartées et sa main entre ses cuisses semblait s’agiter. Sans aucun doute, les rales de ma femme et moi avaient dû l’exciter. Je décidais de ne pas faire de bruit et de retourner me coucher près de ma femme.
Le lendemain matin à mon reveil, mon épouse était déjà partie à son travail et ma belle-mère avait preparé le petit dejeuner que nous avons pris ensemble. Je lui demandais :
- Avez-vous bien dormi ?
- Oui tres bien merci, le canapé est confortable.
- On n’a pas fait trop de bruit hier soir au moins ?
- Non je n’ai rien entendu pourquoi ?
- Non comme ça, moi hier soir en me relevant je vous ai entendu, je vous pensais souffrante, mais je n’ai pas osé entré.
Elle a répondu rouge comme une tomate que tout allait bien et changea vite de discussion.
Une heure après nous arrivions dans le nouvel appartement, Monique s’isola dans une piéce pour se changer, se mettre en tenue de travail. Elle en ressorti vêtue d’une blouse rose pale, où à travers on devinait très bien une culotte de conton blanc et un soutient gorge de la même couleur. Les pressions de sa blouse assez ouvertes laissant montrer un joli decolleté.
Son seau rempli, des gants de cahoutchouc aux mains elle entreprit de laver les plaintes des murs du corridor. Elle était à genoux penché en avant. Placé derriere elle je ne pus m’empecher de regarder ses fesses moulées dans sa blouse et sa culottes, remuées au rytme de ses mouvements. Je me mis immédiatement à bander et il me fallut beaucoup de volonté pour me retenir de ne pas toucher ses fesses.
Tout se passait bien, nous discutions et rions de choses et d’autres quand Monique voulut reprendre son seau qui était un peu plus loin. Dans son effort, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, un sein est sorti de sa blouse et de son soutient gorge. Elle était à genoux ses mains gantés et mouillés de lessive, rouge comme une pivoine, un sein à l’air.
Je me suis mis à rire et me proposa de lui remettre dans son soutient gorge, ce qu elle accepta ne pouvant faire autrement. Pas besoin de vous dire que je me suis remis à bander et qu’une bosse apparut dans mon short. Elle se leva face à moi, mais au lieu de remettre son sein en place, je sortis le deuxieme et me mis à les malaxer. Ses seins tant convoités etaient dans mes mains, je penchai la tete et commenca a lui sucer les tetons. Elle eut quelques gemissements, mais se reprit, me repoussa et parti dans une chambre vide en pleurant.
Je décidais de la laisser et de reprendre mes travaux. Quelques minutes plus tard, je l entendis m’appeler d’une voix douce. En entrant dans la chambre vide elle était là, complétement nue et couchée sur la moquette, me tendant les bras.
- Viens, j’ai envie de faire l’amour, j’ai envie tu me baise, viens embrasse-moi, ça fait trois ans que ton beau-père me touche plus, viens j’ai envie de ta queue.
- Mais….
- Viens vite, c’est ce que tu voulais non, j’ai trop envie, baise moi.
Monique s’était mise à genoux, elle me débarrassait de mon short et de mon boxer, pendant que je retirais mon maillot. Ma queue était droite comme un I, à quelques cm de sa bouche. Elle prit ma bitte dans sa main pour me branler en léchant le bout de mon gland. Elle m afffligat une pipe magistrale, des bruits de sucions emplissait la piéce vide, elle aspirait fortement faisant tourner sa langue autour de mon gland. Mes mains malaxaient ses gros seins et torturaient ses tetons dressés. Je dû me retenir pour ne pas jouir dans sa bouche, elle remarqua et se leva contre moi et me fourra sa langue dans ma bouche la faisant tournoyer autour de la mienne sa main droite me branlant en serrant très fort ma queue.
Elle était maintenant allongée sur la moquette les jambes écartées et repliées. Ma bouche passait d’un sein à l’autre, les léchant et aspirant ses tetons gonflés. Monique gemiisait et je descendis en embrassant son ventre et l’intérieur de ses cuisses dodues.
Je goutais enfin sa chatte dont le parfum m enivra. Je lechait l interieur de son sexe, goutant à la saveur de sa mouille abondante. J’aspirais son clito, le mordillant, Monique plaquait ma tête contre sa chatte, ses gemissements devenant des rales, son basin ondulait et je profitais de glisser un doigt dans son vagin tout en aspirant son clito. Les jambes de belle maman se crispérent, elle poussa de petits cris et sa liqueur innonda mon visage. Monique venait de jouir.
- Ah que c’est bon Julien, jamais je n’avais joui en me faisant lecher comme ça. C n’est pas finit hein, tu vas me prendre à quatre pattes, viens.
Joingnant je geste à la parole, voilà ma belle-mère à quatre pattes sur la moquette me tendant sa large croupe et son sexe poilu, trop poilu à mon gout tout ouvert et luisant de mouille. J’ai présenté mon sexe à l’entrée de cette grotte tant convoitée et la penetra d’un coup. Je cognais contre ses fesses, ses seins balottaient sous elle, on les entendait s’entrechoqués au rytme de mon pilonage. Je devenais fou, je baisais ma belle-mère avec rage et elle aimait ça, grognant et demandant d’accélérer. Je malaxais ses fesses rondes et apercevant son petit trou, je risquais un doigt qu’elle refusa en me priant. Je jouis, envoyant de puissants jets de sperme au fond de sa chatte et Monique jouis aussi à son tour pour la deuxieme fois.
Nous sommes écroulés tous deux côte à côte, Monique me souriait et m embrassa à pleine bouche me remerciant de ce moment.
- Merci mon gendre, j’ai eu du plaisir et j’espere que tu m’en redonneras. Je suis etonné moi-même des mots qui sont sortis de ma bouche, mais l’excitation était trop forte, je n’ai jamais été aussi vulgaire, tu m’as baisé comme une chienne, veux-tu je sois ta salope ? Je ferais ce que tu veux.
Je suis resté sans voix devant ces mots, que je ne pensais jamais entendre d’elle, cette femme bourgeoise, que je n’avais jamais entendu parler de la sorte et je profitais de la situation.
- Bien sûr, je le veux, mais faudra déjà me retirer tous ses poils, je te veux la chatte toute lisse ainsi que la raie de tes fesses.
Puis il faudra aussi que tu me donne ton cul, un jour proche je t’enculerais.
- Oui, tout ce que tu voudras, mais il est vierge, il faudra être patient et doux. Maintenant il faut avancer, retournons au travail.
- Ok, allons y. A encore une chose, il faut changer aussi tes dessous, pas sexy tes culottes de conton.
Elle sourit en se rhabillant et la journée de labeur se termina vers 17h00. Nous retournions à l’ancien appartement après qu elle est retirée sa blouse et remis sa robe. Sur place ma femme avait laissé un message sur le repondeur nous disant ne pas rentrer avant 19h00 et que nous irions en ville, diner au restaurant.
Monique me souriait passait sa langue sur ses lèvres. Elle était assise sur le bord de la table de la cuisine la robe relevée, les jambes écartées et sans culotte.
- On n’a pas beaucoup de temps, mais baise moi, comme ça, là sur la table.
Je me suis mis nu, je bandais fortement à sa vue et à ses propos, je me suis approché, allongea ma belle mere sur la table, remontant ses jambes sur mes épaules et la penetra sans difficulté, tant elle mouillait. Je la limais à un rytme assez soutenu, elle hurlait des mots crus, me disant qu elle était une salope, me demandant de bien ramoner sa chatte et elle jouit assez vite. Me repoussant et me demandant de venir jouir dans sa bouche. Je me suis alors retiré de se fourreau brulant et mouillé, j’ai fait le tour de la table et mis ma queue dans sa bouche. Elle aspira tellement fort que je jouis très vite dans sa bouche et me retirant sur son visage et ses cheveux. Elle avala mon sperme comme si elle degustait un bon dessert et s’est relevée pour partir à la salle de bain.
- Monique
- Oui ?
- Ce soir, pour aller au retaurant, je veux que tu portes une robe décolletée, et surtout ne porte pas de culotte dessous.
- Humm coquin, je file à la douche.
Quand mon épouse rentra, Monique occupait toujours la salle de bain. Elle me damanda si tous c’étaient bien passé, j’ai répondu que oui, que nous avoins bien avancé.
Nous sommes allés tous trois au restau, nous avons ris et moi je bandais à savoir que Monique ne portait pas de culotte sous sa robe.
Voilà ma première journée de baise avec ma belle-mère. Elle n’a pas fini de m’étonner les jours suivants.

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