Voyage D'Affaire, Ma Nuit À L'Hôtel.

Je vais parfois en voyage d’affaire et cette fois je devais rencontrer le PDG d’une grande firme. Pour m’accueillir comme il fallait cette firme m’avait pris une chambre dans un hôtel somptueux, c’était plutôt une suite en fait. Voyant à quel point ils se mettaient en quatre pour moi. Je décidais de revoir le dossier pour le rendez-vous du lendemain pour ne pas les décevoir. Il y avait un bureau dans un coin de la suite, je posai la veste de mon costume sur la chaise et défit mes chaussures pour être plus à l’aise. Je fis monter mon repas du soir et continuais à travailler. Vers 20h on frappa à la porte. J’allais ouvrir, et oh surprise une magnifique jeune femme environ 25 ans se tenait devant moi. Elle était brune, cheveux tombant sur les épaules, légèrement ondulées. Les yeux d’un bleu très clair et un magnifique sourire. Elle portait un débardeur rouge, avec décolleté en V, ne portant pas de soutien-gorge, on pouvait voir ses tétons pointant à travers du tissu fin. Le débardeur descendait jusqu’à la moitié de son minishort en jean et en suivant ces longues jambes nues, on apercevait des sandales blanches surmonter de petit diamant brillant à ses pieds. Elle portait également un grand sac à main noir sur une épaule. Elle me regarda en souriant.
- Bonsoir vous êtes Mr *****
- Bonsoir, oui, que puis-je pour vous?
- Je suis Céleste l'entreprise m’envoie.
- Oh vraiment, entrez je vous en prie, il y a un problème avec le rendez-vous de demain ?
- Merci, non pas de problème avec le rendez-vous, moi je suis là pour le rendez-vous de ce soir. Tout en entrant dans le petit salon.
- Le rendez-vous de ce soir, je ne comprends pas, je n’avais aucun rendez-vous sur mon agenda. Elle se mit à rire.
- C’est un autre genre de rendez-vous professionnel, un cadeau de la part de l’entreprise.
- Oh… Euh… Je vois. Confus venant de comprendre que c’était une call-girl. Eh bien, ils font vraiment les choses en grand.

Voulez-vous un peu de nourriture, quelque chose à boire ?
- Un peu d'eau merci.
- D'accord, mais asseyez-vous je vous en prie. En désignant le canapé de la main.
- C’est une belle suite, dit-elle en s’asseyant.
- Oui, quand je vous disais qu’ils faisaient les choses en grand. Votre eau. Tout en lui tendant le verre je m’asseyais sur un grand pouf carré et dur juste devant elle.
- Je vous remercie, vous êtes un gentleman. Alors heureux, que pensez-vous de moi ?
- Vous êtes incroyable et si belle.
- Je vous remercie.
- Et très sexy aussi. J’essayais de me mettre à l’aise en bavardant tellement j’étais excité et anxieux devant une telle beauté. Dites-moi, ça fait combien de temps que vous êtes… disons… dans les affaires.
- Environ trois ans.
- Ah oui un moment déjà, et vous trouvez ça comment ?
- C’est plutôt amusant comme travail.
- Vous profitez d’avoir des relations sexuelles avec des hommes en fait ?
- Les hommes oui, les femmes aussi.
- Ça ne vous fait pas peur de vous retrouver seule avec un homme, il pourrait avoir envie de choses spéciales que vous ne voudriez pas faire ?
- Non, je suis très ouverte d'esprit et puis c’est mon travail, vous demandez je fais.
- Vous vous êtes jamais dit en voyant un gars « oh mon dieu il bande si dur » ? La faisant sourire et rire un peu.
- En faites la plupart des hommes en me voyant bande très dur, donc j’ai l’habitude, mais c’est flatteur bien sûr, ça prouve que je plais beaucoup.
- Oh mon dieu je vous regarde et vous êtes si magnifique, je peux vous toucher.
- Oui bien sûr, d’ordinaire il faut payer avant mais là c’est déjà fait.
- Vos jambes sont si douces. Tout en caressant ses cuisses.
- Vous êtes là pour la nuit ou quelques heures ?
- Pour la nuit.
- Je sais que je ne devrais pas demander mais c’est quoi le tarif pour la nuit, vous savez si jamais je voulais vous revoir.
- Hum, c’est un cadeau de l’entreprise je sais pas si… après tout il y a les tarifs sur le site internet donc vous le saurez vite, c’est 1500€ la nuit.

- Ah oui quand même, je vais tacher de bien en profiter alors. On peut se tutoyer, après tout on a déjà un contact intime. Tout en continuant le massage de ses cuisses.
- Oui évidement, quel est ton prénom ?
- Antoine.
- J’ai une surprise pour toi Antoine, ou est la salle de bain ?
- Oh, elle est adjacente à la chambre suis moi.
Je partis devant et elle emboita mon pas. J’ouvris la porte de la chambre ou un grand lit trônait au milieu. Sur la gauche une porte coulissante donnait accès à la salle de bain.
- Voilà c’est ici, je t’en prie. Dis-je en ouvrant la porte.
- Merci, je reviens dans 5 minutes, ne t’éloigne pas.
- Aucun risque, prends ton temps.
Elle referma la porte et je restais là à un mètre, toujours excité et anxieux. Dans tous les déplacements que j’ai pu faire c’est la première fois qu’on me faisait un tel cadeau. Etant divorcé depuis un moment je n’allais pas me privé.
Elle ouvrit la porte et resta dans l’encadrement, me regardant d’un air très lubrique.
- Alors qu’en penses-tu ?
- Juste wow.
- Merci.
Elle était encore plus magnifique qu’à son arrivée. Elle portait des bas noirs finement décorés, avec un porte jarretelle en dentelle noir. Ses seins, d’une taille honnête, était enfermés dans un soutien-gorge en tissu noir surmonté de petites dentelles, son string bien évidemment assortis. Perchée sur des haut-talons rouge, pour le contraste.
- Je te plais alors ?
Je m’approchais et luis donna un baiser pour toute réponse. Elle caressa mes bras à travers ma chemise. Moi les siens, glissant sur sa peau douce jusqu’à ses mains. Je la fis déplacer de 2 mètres sur la droite et la plaqua au mur l’embrassant fougueusement. Pendant ce temps elle caressait mon torse toujours à travers la chemise. Nos langues se mêlèrent, j’étais de plus en plus excité. Je la tournai légèrement, stoppant mes baisers et la regardant dans les yeux je caressais sa chatte fermement à travers le string.
Elle couinait déjà comme une petite pucelle et ça me rendait encore plus chaud. Elle trouva la bosse sur mon pantalon et pétrit un moment ma queue déjà dure. Je la retournai, seins et visage contre le mur, son cul cambrer, à genoux derrière elle je pétrissais ses magnifiques fesses, les embrassais. Je fis glisser son string et engouffra ma tête entre ses deux lobes fessiers, goutant son intimité déjà humide de ma caresse précédente. Je la fouillais généreusement avec ma langue, caressant ses cuisses et ses fesses, écoutant ses gémissements de plaisir. Ne tenant plus je me mis debout, ouvrit ma braguette sortant ma queue tendue à mort, une bonne dose de salive sur ma main dont j’enduis sa chatte et je la pénétrais d’un coup sec dans son cri de surprise. Accrocher à ses hanches, je la baisais violemment à grands coup de rein, j’adorais ses petits cris aigus à chaque fois que ma queue entrait en elle et je redoublais d’ardeur.
Je la jetai sur le lit derrière nous, elle était toujours souriante et amuser et je compris que son travail lui plaisait vraiment. Elle se retourna vers moi.
- Humm dis donc Antoine, tu m’as fourré si fort si vite, t’as pas baisé depuis longtemps toi.
- En effet, j’ai divorcé il y a quelques mois.
- Déshabille-toi pendant que je te suce.
Moi au bord du lit, me déshabillant tranquillement et elle allongée me prenant la bite avec sa main pour gober le gland avec ardeur. Une fois nu, je la laissais continuer cette pipe magistrale. Pompant avec force, me branlant par moments, léchant du haut de mon gland à mes couilles quelle suçait avant de reprendre mon gland en bouche. Le tout en me regardant avec ses grands yeux bleus magnifiques. Il ne fallut pas longtemps, après avoir besogné sa chatte et m’avoir offert cette pipe, pour que je me répande en longs jets dans sa bouche. Ce que je fis, elle, pompant mon gland et ses yeux me demandant encore plus de foutre, me regardant jouir dans un long râle.
- Tu en as encore pour moi j’espère.

- Oh que oui ma belle.
Elle se mit à quatre pattes sur le lit, offrant sa fente et son cul à mon regard. Je me mis derrière elle, retira l’agrafe du soutien-gorge, le jeta au sol. Je me penchais en avant pour atteindre ses seins que je commençais à malaxer fermement, pinçant ses tétons, ma queue allant et venant dans sa raie pour lui redonner vigueur. Ses petits cris, ses regards lubriques et son cul qu’elle bougeait en rythme ne mirent pas longtemps à me refaire bander. Main sur les hanches, le gland à l’entrée de sa grotte, je la tirai en arrière pour entrer de toute ma longueur. Je la prenais avec fougue, elle en voulait aussi et tentais de m’imposer son rythme en se déhanchant d’avant en arrière. Toujours en me regardant ce qui m’excitait encore plus.
- Baise-moi ouiiii, Antoine c’est bon aaaaaahhh.
- Oooh Céleste, t’es une vraie chienne, c’est trop bon.
Je la fourrais encore un moment.
- Allonge toi sur le dos me dit-elle.
Je m’exécutais, elle m’enjamba pris ma queue dans sa main, la positionna devant sa petite chatte trempée à souhait et s’empala jusqu’aux couilles dans un cri de bonheur. Me regardant toujours, elle commença à monter et descendre le long de ma queue tendue à l’extrême. De plus en plus vite, de plus en plus fort, sautant presque sur mon membre, ses cris s’amplifiaient, jetant son buste et sa tête en arrière elle stoppa nette dans un grand cri de jouissance, amplifier par le foutre inondant sa chatte quand sa jouissance enserra mon membre et me fis jouir aussi.
Elle se redressa pour m’embrasser, suçant ma langue avec gourmandise. Elle sortit ma queue et mon foutre coula le long de ses cuisses. Moi encore allongé, la queue à demi molle, elle entreprit de me nettoyer, happant le sperme sur mon sexe avec le bout de sa langue. Avalant avec gourmandise ma semence et le fruit de sa jouissance qui faisait briller mon membre. Quand ses coups de langue eurent fini de me nettoyer, elle serrât fort la queue molle dans sa main. Pris le gland complètement en bouche et suça. Elle n’en avait pas fini avec moi et moi non plus d’ailleurs. Une fois dur, je pris sa tête entre mes mains et baisa sa bouche en soulevant mon bassin lui imposant une gorge profonde, la maintenant par moment mon sexe au faut de la gorge. Lubrifier par sa salive abondante, je lui demandai de se lever et de se mettre en position de levrette sur le petit fauteuil près du lit. Moi debout derrière nous repartîmes pour une chevaucher infernale, je cognais si fort sur son cul que sa tête tapait le dossier du fauteuil, j’y allais vraiment franchement et elle en redemandait à grands cris.
- Ahhh oui défonce moi, c’est trop bon, encore, encore.
Elle se caressait le clito pour plus de plaisir et je réussis à la faire jouir 2 fois encore, avant de me retirer et de lui demander d’avaler mon foutre. Elle ne se fit pas prier, à genoux en une fraction de seconde, la main sur ma queue le gland dans la bouche, elle extirpât les dernières giclées de semence que mes couilles conservaient.
Tombant sur le lit épuisés par cette séance de sexe intense, elle me regarda toujours souriante.
- T’es un bon baiseur tu sais.
- Merci, mais comparer à toi ce n’est rien.
- Moi c’est mon métier normal dit-elle en riant.
Elle se leva pour aller dans la salle de bain.
- Je vais me nettoyer un peu et me refaire désirable.
- Je t’en prie vas-y.
Laissant la porte ouverte je la vis nettoyer sa chatte, réajuster ses bas et se remaquiller légèrement. Elle remit son string et son soutien-gorge. Puis me regardant d’un air malicieux fouilla dans son sac. Elle en sortit un plug anal et un gode de bonne dimension. Elle vint s’installer dans le petit fauteuil, bien calée dans le fond, les jambes écartées reposant sur les accoudoirs. Elle posa le gode sur la petite table près du fauteuil. Moi je me mettais à l’aise sur le lit, bien caler avec deux gros oreillers pour profiter du spectacle.
Elle me sourit puis porta le plug à sa bouche commença à lui donner de petit coup de langue, dans la ferme intention de m’exciter. Délicatement elle fit glisser ses lèvres dessus et le suça avec envie. De l’autre main elle écarta son string laissant apparaitre sa chatte, puis glissa un peu dans le fauteuil pour mettre au jour sa rosette. Elle laissa couler un bon paquet de salive sur le plug, le positionna à l’entrée de son petit trou, étalant la salive tout en caressant l’entrée avec le bout du plug. Elle prit quelques minutes pour dilater doucement son anus, forçant l’entrée petit à petit, renduisant le plug de salive, m’aguichant en passant sa langue sur ses lèvres et poussant de petits gémissements pour me montrer qu’elle aimait. Et le plug fini par entrer complètement dans son cul bien dilaté. Elle le laissa en place et pris le gode, commença par le lécher, le sucer, simulant une pipe gourmande. Puis le string toujours écarté, elle fit glisser le gode entre ses lèvres doucement, frottant son clito à chaque passage, s’attardant dessus par moment. Elle frotta de plus en plus fort, la mouille remplaça la salive pour lubrifier son bâton qui la faisait gémir de plaisir. Je le voyais glisser entre ses petites lèvres scintillantes de mouille et ma queue se dressait au rythme de son plaisir. Elle jouit sur son gode dans un long râle. Ce n’était pas finie, elle plaça le gland de son braquemart artificiel à l’entrée de sa grotte et l’enfonça d’un coup sec dans un cri.
- Hummm, il n’est pas si gros que le tiens mais il fait son effet dit-elle pour me chauffer encore plus.
Et elle entamât un va vient de folie dans sa petite chatte, le plug dans le cul qui augmentait son plaisir. Elle se fit jouir deux fois en jutant comme il faut sur le manche en plastique. Moi j’avais la queue de nouveau tendue à l’extrême devant ce show de cris et de jouissances. Elle lécha son gode pour gouter son plaisir et le reposa sur la petite table. Elle se leva du fauteuil, rampant à quatre pattes jusqu’au lit, montant dessus pour me rejoindre. Sa bouche s’empara de mon gland, ses lèvres descendirent lentement jusqu’aux couilles puis remontèrent doucement. Elle ne cherchait pas à me faire bander, pas besoin, elle voulait juste l’avoir en bouche ça l’excitait. Après quelques allers-retours gourmands elle se leva et enleva son string. Les mains sur les accoudoirs du fauteuil, pencher en avant elle agitait son petit cul.
- Viens par ici, je t’ai chauffé la place dit-elle lubriquement.
Je n’ai pas demandé mon reste, j’ai sauté du lit et je l’ai enfourché direct. C’était repartit pour une bonne baise. Je ramonais sa petite chatte, tout en jouant avec le plug que je sentais à travers la paroi de chair fine entre les deux orifices. Je la faisais couiner doucement pendant quelques minutes, puis je la saisissais par les hanches et donnait de grands coup de queue, sa chatte se contractât et elle jouit sur ma queue. Je me retirais, en profitait pour lui ôter le plug et me présenter devant son cul.
- Vas-y un coup sec, fait moi mal.
- Aaaaah tiens chienne, dis-je en enfonçant mon gourdin dur comme de la pierre au fond de son anus très accueillant.
Je lui prenais le cul avec force, elle voulait avoir mal, je lui donnais ce qu’elle voulait. Tirant sur les hanches, poussant ma queue au fond, je défonçais son trou du cul avec le plus grand plaisir du monde. Plus j’y allais fort, plus elle en voulait. Elle se caressait le clito en même temps et elle explosa dans un orgasme fulgurant, qui fut s’en doute le plus intense qu’elle ait eu de la nuit. Ne tenant plus.
- Aaaah agenouille toi ma chienne, je vais jouir.
A genoux devant moi, le regard dans le mien, je me branlai et jouit en longs jets sur son visage magnifique et souriant.
Ce fut une soirée magnifique alternant entre bonnes baises et récupérations jusque tard dans la nuit. Puis nous nous endormîmes épuisés. Je me réveillai entendant la douche coulée. Céleste en sortie, s’essuya, s’habilla. Elle vint me donner un dernier baiser avant de partir.
- N’oublie pas ton rendez-vous me dit-elle en posant ses lèvres sur les miennes.
Et elle s’évanouit dans le couloir qui mène à la porte. Sous la douche j’essayais de reprendre mes esprits, je me demandais si j’avais rêvé ou pas et je me le demande encore.

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