Camping Cocu

Caroline et moi nous sommes mariés il y a 3 ans, à l’âge de 20 ans. Nous nous somme connus à la fac, très vite tombés amoureux l’un de l’autre et mariés. La vie de couple se déroulait parfaitement et rien ne laissait présager ce qui s’est passé lors de nos dernières vacances d’été.

Nous sommes partis en vacances dans un camping en Provence. Nous participions au maximum d’activités sportives et sociales. Ce faisant, nous rencontrions beaucoup de monde, dont une personne en particulier, Gérard.

Gérard avait 52 ans et lui et moi nous sommes très rapidement entendus car nous avions le même humour. Au fil des jours, nous nous sommes rapprochés et avons appris à nous connaître : il était venu seul car célibataire, facteur… Physiquement, il était bedonnant, dégarni, mais l’air jovial et sympathique. On déjeunait régulièrement ensemble dans la caravane qu’il louait. Il devait être content d’avoir trouvé des amis pour passer l’été avec lui.

Les premières semaines sont passées très agréablement.

Puis est venu le soir du 14 juillet à l’occasion duquel était organisé un bal dansant avec un feu d’artifice visible depuis le camping. M’étant beaucoup dépensé physiquement durant l’après midi dans le cadre des activités, j’ai rapidement dû arrêter de danser avec ma femme et Gérard m’a remplacé pour accompagner Caroline qui adore, elle, danser.

Ils riaient beaucoup, dansaient et semblaient très proches. Même trop proches par instants. Il y avait du monde donc je ne les voyais pas toujours distinctement. Mais je distinguais des gestes équivoques de Gérard : des petits baisers, des mains sur ses fesses… Il arrivait à Caroline de se mettre dos à lui et de faire des mouvements de bassin suggestifs. Rien de bien affolant à notre époque, si l’homme en question avait été son mari.

Je sentais une boule dans mon ventre au fur et à mesure de leur complicité grandissante.

Après une dizaine de chansons, j’ai cru voir Gérard glisser un mot à l’oreille de ma femme, la voir sourire, et partir main dans la main de la piste de danse.

Me situant à l’opposé de la piste, il m’a fallu deux minutes pour en faire le tour en marchant dans la foule. Une fois de l’autre côté, je suis resté en retrait pour les regarder. Ils discutaient gentiment

Puis soudain j’ai vu Caroline se coller à lui, passer ses bras autour de son cou et l’embrasser fougueusement. J’en suis presque tombé à terre tant le choc a été grand. Gérard n’est pas resté sans rien faire car il répondait à ce baiser et la saisissait par les fesses pour la coller à lui. Etant plus petite, elle était sur la pointe des pieds. De là où j’étais, je pouvais voir qu’ils mettaient la langue dans la bouche de l’autre.

Ils se sont plotés pendant 5 minutes avant de s’éloigner encore plus de la piste de danse. Je les suivais discrètement. Je ne comprenais pas comment cela avait pu arriver ; ma femme me trompant, et avec un homme âgé de plus du double de notre âge.

Ils s’éloignaient toujours, s’arrêtant pour s’embrasser encore plus et se frotter l’un à l’autre. Je suivais comme un zombie sans parvenir à réaliser ce que je voyais. Ils continuaient leur chemin en amoureux passionnés l’un de l’autre.

Aucun doute ne fut plus permis quand j’ai vu Gérard s'adosser à une caravane, baisser son pantalon et sortir un sexe imposant. Caroline a regardé autour d’elle et, d’elle-même, s’est agenouillée et a entamé une fellation. Même s’il n’y avait que peu de lumière, je pouvais constater qu’elle prenait du plaisir à le lécher et qu’il aimait ça. Il avait posé sa main sur sa tête et elle pompait son dard avec énergie. Elle ne ménageait pas ses efforts pour enfoncer cette queue dans sa gorge et la lécher à loisir.

Je voyais ainsi ma femme, celle avec qui nous parlions s, à genoux face à un ami en train de me tromper, sans aucun remord apparent. Ma boule au ventre s’est amplifiée et j’en avais physiquement mal.

Elle s’est relevée, a embrassé amoureusement Gérard puis ils sont repartis. Ils sont finalement arrivés à la caravane de Gérard.
Une fois entrés, je me suis précipité à la fenêtre de la chambre. Les stores étaient tirés mais pas complètement et j’ai pu voir ce qu’il s’y passait.

Caroline s’est lascivement déshabillée tandis que Gérard se masturbait en l’admirant. Elle s’est allongée, en culotte, sur le lit et a commencé à frotter le tissu sur sa vulve. Elle semblait haleter de plaisir. Gérard n’en manquait pas un bout. Elle a retiré sa culotte et l’a lancée à son amant qui l’a pressée contre son nez pour sentir l’odeur intime de ma femme.

Ma femme avait les cuisses largement écartées et faisait un signe à Gérard pour qu’il vienne lui lécher la chatte. Il s’est exécuté et je voyais sa langue recouvrir entièrement son sexe et laper son jus. Le corps de Caroline était tendu ce qui trahissait un plaisir certain. Je sais que quand ses gestes se font erratiques elle est proche de l’orgasme.

Et elle a joui superbement. Malgré moi, je ne pouvais m’empêcher d’admirer cette scène magnifique. Je trouvais beau et excitant de voir ma femme me tromper ainsi. J’avais du mal à réaliser mon trouble face à la situation mais sans y réfléchir, j’ai saisi mon pénis et me suis masturbé en regardant ma femme. J’ai éjaculé rapidement contre la caravane.

Mais l’action continuait à l’intérieur et Caroline s’est mise à 4 pattes sur le lit. Gérard s’est placé derrière elle. Je ne croyais pas à ce que je voyais : ma femme avait porté sa main à son sexe puis à son anus comme pour le lubrifier. Alors que je ne l’ai jamais sodomisée, lui allait le faire. Et il l’a fait, sans plus de préparation. Il l’a embroché d’un coup. Et elle n’a même pas bronché. Au contraire, elle semblait avoir pris du plaisir à se faire sodomiser avec force.

Ses mouvements de bassin enfonçaient cette queue immense dans son cul et je la voyais ouvrir la bouche de plaisir à chaque pénétration. J’étais affligé et dévasté de la voir jouir avec un autre homme que moi, mais dans le même temps j’avais moi-même éjaculé très rapidement en la voyant se donner à un autre.


A quatre pattes sur le lit, ses seins lourds ballottaient dans tous les sens tant le rythme de la pénétration était intense. Chaque partie crispée de son corps montrait le plaisir ressenti.

Un instant je me suis éloigné de l’autre côté du chemin car des campeurs passaient. Ils ont vu la caravane remuer et ont ri de bon cœur en émettant des commentaires salaces. Ca m’a excité encore plus malgré moi.

Le visage de Gérard s’est tendu au maximum et les va-et-vient se sont interrompus. J’ai compris qu’il venait de jouir en elle. Et sans préservatif qui plus est… La tromperie était totale.

Gérard s’est écroulé sur son lit à côté de ma femme encore pantelante. Elle s’est allongée sur lui mettant ses cuisses de chaque côté de son corps. Elle embrassait son torse velu puis sa bouche. Il se dégageait une telle intimité entre eux que j’avais presque l’impression de ne pas être à ma place à les regarder. C’est comme si je brisais leur intimité.

Caroline s’est finalement replantée sur sa verge encore en érection. Elle en voulait encore. Ses mouvements de bassin sur celui de Gérard étaient langoureux et sa poitrine se tenait fièrement devant elle.

Le feu d’artifice fini, j’ai pu discerner des mots prononcés par ma femme à son amant : « chéri », « c’est bon »,…

« Mon amour »

Sa bouche et son visage radieux marqué par la plénitude sexuelle avaient mis le point final à la tromperie. Et pourtant, je suis resté là à les observer avec émerveillement. Je me suis maudit de ma passivité. Je lui en voulais de m’avoir trahi et je m’en voulais d’en tirer du plaisir. J’avais mal au ventre et au cœur et pourtant je bandais encore.

Le coït a finalement pris fin quand elle s’est effondrée sur son ventre et qu’ils se sont endormis dans cette position. Le visage de Caroline arborait un large sourire de satisfaction et de bien être.

Je suis retourné à notre caravane sans pouvoir dormir avant plusieurs heures.
A mon réveil, Caroline était allongée à côté de moi, nue. Je me suis demandé si j’avais rêvé mais en me penchant sur sa chatte, j’ai clairement senti une odeur de sexe et de sperme (dont il restait des traces séchées). J’ai eu envie de la lécher et de fourrer ma tête entre ses cuisses comme pour couvrir ma honte.

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