A La Découverte De Mon Amie Martine 2/2

Malgré que ce ne soit pas ma tasse de thé je poursuis ma relation intime avec mon amie Martine qui se révèle être bisexuelle et maso.
J'ai vite compris que Martine a aussi un caractère de soumise et avec son accord je commence à la conditionner.

je lui dis que j'ai beaucoup d'affection pour elle et que notre amitié ne doit pas souffrir de nos débordements. On se met d'accord pour pas aborder le sujet lorsque nous nous voyons en dehors des rendez-vous sexuels.

C'est le jour ou je dois faire l'amour avec Martine. Avant de la quitter la semaine dernière je lui ai laissé des instructions qui je l'espère ont été suivies à la lettre.

Je sonne à sa porte et entre sans attendre comme c'est prévu.
Elle m'attend à genoux un gros collier clouté pour chien autour du cou avec une laisse qui pend sur le sol, un achat que je lui avais demandé de faire.
Elle est vêtue dans une tenue sexy.
<<cette tenue est bien mais pas assez voyante, cela ne convient pas à une tapineuse>>.
<<pourquoi, tu veux me prosti>>.
<<non,tu n'a pas besoin de moi, salope comme tu es tu le feras bien seule un jour telle que je te connais et tu m'as déjà parlé de ton fantasme à ce sujet rappelles toi>>.
<<c'est vrai que j'y pense sérieusement>>.

<<Lèves toi que je te voies mieux>>.
Une fois debout je fais une inspection visuelle: jupe courte et caraco rouges, chaussures à talons assorties.
<<soulèves ta jupe et écarte ton string>>.
Je glisse une main dans sa culotte et je fouille sa chatte, je retire ma main qui pleine de mouillure.
<<salope regarde ce que tu as fait, c'est dégoûtant, lèches moi ça et bien>>.
Martine s'exécute sans répondre.

<<tu es une bonne petite salope, à partir de maintenant tu es à mes ordres alors pas de tutoiement, tu baisses la tête car je ne veux pas te voir tes yeux me fixer et c'est Madame ou Maîtresse, compris>>.


<<oui, tu sais bien que je suis prête à t'obéir>>.
Je frappe ses fesses et ses cuisses avec mes mains.
<<tu n'as pas l'air de comprendre quand je t'ordonne quelque chose>>
<<excusez moi>>.
Nouvelles claques.
<<qui, mon chien espèce de petite pute>>.
<<excusez moi Maîtresse>>.
<<déshabilles toi lentement que je profite du spectacle>>.
Elle me fait un déshabillage en imitant les effeuilleuses qui me convient même s'il n'est pas très élaboré.
Je la tire par la laisse.
<<on va dans ta chambre>>.
<<tu ne te déshabilles pas>>.
<<je ne t'ai rien demandé, de quel droit me poses tu cette question et en plus tu as le culot de me tutoyer petite salope, viens suis moi je vais te punir pour t'apprendre l'obéissance>>.
<<j'ai parlé sans réfléchir Madame>>.
Arrivées à côté de l'escalier qui monte au premier j'attache ses mains ensemble et lui demande de lever les bras pour l'attacher les bras tendus à la rampe de l'escalier puis je la fouette avec le martinet que j'ai amené dans mon sac.
Elle gigote beaucoup et pousse des cris à chaque fois que les lanières frappent sa peau mais elle ne me demande pas d'arrêter. Sa passivité me donne envie de continuer à la frapper et me fait mouiller mais je modère mon envie car je ne veux pas l'abîmer.
Je la détache et lui demande de me précéder dans l'escalier pour que je puisse la regarder remuer son cul ce qui est un spectacle agréable.

Nous arrivons dans sa chambre.
<<ton mari sais t'il que je te baise dans son lit>>.
<<non Madame, je ne vais pas lui dire ça>>.
Nous nous enlaçons et partageons des longs baisers amoureux.
<<déshabilles moi et occupes toi de mon corps>>.
Elle s'exécute lentement tout en embrassant et lèchant la partie du corps qu'elle dénude et quand je me retrouve nue elle s'agenouille et embrasse mon ventre puis mes cuisses et arrive enfin sur mon sexe quelle lèche comme une bonne petite chienne.

Sa langue pénètre dans mon intimité et l'explore pendant qu'une de ses mains caresse mes fesses puis un doigt s'introduit dans mon anus et le doigte. Je me laisse faire.
Après l'avoir léché et caressé elle masturbe sans ménagement mon clitoris et insiste. Son travail de sape finit par porter ses fruits, le plaisir monte vite dans mon ventre, mon corps se tend et prise de spasmes mon vagin envoie des jets de cyprine sur son visage pendant que je jouis.

Allongés sur le lit nous nous embrassons, chacun caresse la poitrine et les tétons de l'autre puis tête-bêche ma langue explore son vagin et je doigte ses orifices avant de passer à la masturbation de son clitoris. Elle en fait de même sur moi et comme je ne la trouve pas assez ardente je lui assène des claques sur les fesses et les cuisses.
<<tu es molle, j'ai l'impression que tu t'endors>>.
Elle accélère ses mouvements.
Elle est toujours aussi bruyante et ses gémissements accompagnent nos ébats.
Comme c'était à prévoir elle jouit deux fois avant que je n'atteigne l'orgasme.

La séance se poursuit avec les godes, elle en a acheté d'autres en plus de ceux que j'ai amenés. Pendant qu'avec ces instruments je défonce en même temps sa chatte et son cul, elle en fait de même dans mes orifices.
La masturbation du clitoris occupe les moments de pose du pilonnage des orifices.
Martine arrive à me faire jouir plusieurs fois avant de sombrer dans un état second car pour elle les orgasmes que je ne compte plus s'enchaînent et excitée par ses râles et cris je n'arrête pas de martyriser son clitoris et de défoncer son cul et sa chatte.
Même des claques sur son sexe qui la font sursauter et crier ne la sortent pas de sa torpeur.

Je la laisse récupérer avec le gode planté dans son cul, celui que j'ai mis dans sa chatte en sort progressivement et je vais me laver et me rhabille.

Beaucoup plus tard, elle se lave et reste nue nous buvons un verre et parlons pendant que heureuse elle se colle à moi.
Puis je retourne chez moi.


Quand nous nous voyons en dehors des moments ou nous faisons l'amour ensemble et que je l'éduque nous n'évoquons pas ces faits, nous sommes uniquement des amies proches et nous nous comportons comme telles.

J'arrive chez Martine pour notre quatrième rendez-vous entre bisexuelles bien que je n'en sois pas une.
J'appuie sur la sonnette et j'ouvre directement la porte et entre dans le salon.
Martine est là comme d'habitude à genoux sur la moquette les mains dans le dos, le collier clouté pour chien autour du cou accroché à une laisse dont l'extrémité est attachée à un pied de la table du salon.
Elle baisse la tête comme une bonne soumise.
Je m'approche d'elle et caresse ses cheveux.
<<elle est gentille et obéissante la chienne, elle va se lever pour que sa maîtresse inspecte sa tenue>>.

Elle se met debout: quelle tenue indécente avec sa jupe rose fluo ras de la moule, son maillot blanc fluo bien moulant et très échancré, ses chaussures à talons hauts assortis et ses bas résille. Son maquillage est outrancier, elle a beaucoup abusé du rouge à lèvres, du fard à joues et à paupières ainsi que du fond de teint.
On croirait voir une vieille putain qui a besoin de cacher les ravages du temps sur son visage pour pouvoir continuer son métier.
<<Je ne vais pas embrasser une pute maquillée comme ça, quelle honte. habillée de la sorte tu es parée pour tapiner petite salope, les hommes vont te repérer de loin. Tu as bien respecté les consignes>>.
Effectivement elle a appliqué à la lettre sans rechigner les ordres que je lui ai donnés.
Elle garde la tête baissée.
<<attends que je vérifie quelque chose>>.
Je soulève sa jupe, je glisse une main dans son string et caresse son sexe. Je retire ma main qui est bien mouillée, ses fesses sont dans un état pas possible, sa culotte est trempée.
<<ce n'est pas possible, tu es dans un état lamentable, tes culottes ne doivent pas faire de vieux os si tu pisses tout le temps dedans, lèches tes cochonneries salope>>.

<<l'envie de vous et la façon dont je me suis préparée m'a fait beaucoup mouiller>>.
Elle lèche consciencieusement ma main.
<<je vois que ton dressage commence à donner de bons résultats, j'ai envie d'aller me promener dans les bois avec toi>>.
<<Madame il faut que je me change, je ne vais pas sortir vêtue comme-ça>>.
<<tu reste habillée comme tu es, tu as l'air de ce que tu es>>.
<<Madame je tiens à notre partie de jambes en l'air et on va la rater>>.
<<ce soir, je reste avec toi et on couchera dans le même lit, tu pourras encore laver les draps après>>.
<<bien Madame, je suis contente que vous passiez la nuit avec moi>>.

Je consens à ce quelle enfile une gabardine pour cacher sa tenue puis elle va sortir son auto du garage.
Nous gagnons un chemin que je connais et qui est très retiré.
Arrivés sur place nous sortons de la voiture et je lui demande de quitter sa gabardine, elle le fait mais n'est pas rassurée.
Nous nous promenons un bon moment, elle a du mal à marcher avec ses hauts talons. Je la tiens en laisse comme une chienne, elle a peur de rencontrer quelqu'un. Cela m'amuse beaucoup.

De retour à l'auto je lui demande de me lécher le sexe et de me faire jouir avec ses doigts.
<<pas ici, quand on sera rentrées>>.
<<sale putain! on n'obéit plus à sa maîtresse>>.
Je prends la laisse et lui en donne plusieurs coups sur les fesses, elle sursaute et pousse un cri à chaque coup qu'elle reçoit.
Résignée elle enlève mon string, j'écarte les jambes et à genoux sur le sol elle embrasse mes cuisses puis mon sexe assez longtemps puis sa langue s'introduit dans ma chatte et la fouille avec application.
Des doigts pénètrent et doigtent ma chatte et mon anus, je mouille de plus en plus car le plaisir monte rapidement dans mon ventre surtout quand elle se met à masturber mon clitoris.
Au bout d'un moment je n'en peux plus et mon corps est agité par des spasmes pendant que des jets de cyprine sortent de mon vagin et arrosent son visage.
Nous montons dans la voiture et prenons le chemin du retour.

Arrivés chez elle je lui dis:
<<vas te laver et enlèves ce maquillage ridicule qui te donne l'air d'une vieille putain. Ce n'est pas utile de te rhabiller>>.
Elle revient de la salle de bain nue, lavée et démaquillée mais toujours avec le collier de chien et la laisse.
<<maîtresse je vous ai préparé des serviettes>>.
<<tu ne crois pas que je vais me laver alors que cette nuit tu vas encore me souiller avec ta mouillure car tu ne vas pas encore arrêter de jouir comme la salope que tu es>>.

On sonne à la porte d'entrée.
<<je ne peux pas aller voir qui c'est en étant nue>>.
<<tu mériterais que je t'obliges à aller ouvrir la porte comme tu es. Mets la table c'est le livreur de pizzas, j'y vais>>.
Nous dînons sans beaucoup parler.

Je la tire par sa laisse et l'entraîne dans sa chambre.
Je retire sa laisse mais lui laisse le collier.
Nous commençons par des baisers ou nos langues se mêlent et ont du mal à se quitter.
<<déshabilles moi et occupes toi de mon corps petite putain>>.
<<oui Madame>>.
Lentement elle me déleste des vêtements tout en embrassant et léchant mon corps en partant des joues pour arriver sur mon sexe. Au passage elle s'acharne sur mes seins et surtout les tétons quelle tord et mordille.
Elle me demande de me coucher sur le lit et se met à genoux entre mes jambes.
Elle lèche et sa langue fouille longtemps mon intimité puis viennent le doigter ma chatte et mon anus avant qu'elle ne s'en prenne à mon clitoris en insistant jusqu'à ce qu'elle me fasse jouir deux fois.
<<Madame je vous fait jouir maintenant car après je ne serais plus en état de le faire>>.

Elle s'allonge sur moi et frotte son corps sur le mien tout en m'embrassant amoureusement.
Chacun s'occupe de la poitrine et des tétons de l'autre avant d'entreprendre un 69.
Rapidement très excitée Martine jouit, je l'amène encore à l'orgasme deux fois et moi je jouis une fois avant que les queues de substitution ne soient utilisées.
Elle m'amène plusieurs fois à l'orgasme et je la laisse inerte après l'avoir fais jouir de nombreuses fois comme d'habitude.
J'éteins la lumière et m'endors allongée à côté d'elle.
Dans la nuit une main qui caresse ma chatte me réveille et nous faisons l'amour jusqu'à ce que je jouisse une fois et elle deux fois.
Nous remettons ça au petit matin en utilisant beaucoup les godes et atteignons plusieurs fois l'orgasme, enfin elle plus souvent que moi.

Quand le lendemain matin assises sur le canapé nous discutons après avoir déjeuné je l'informe que je vais essayer de lui trouver une partenaire du même bord qui lui convienne et que je ne peux pas continuer indéfiniment une relation qui n'est pas mon truc.
Elle est déçue mais me comprend car elle s'y attendait et ne veut pas perdre mon amitié qui est très forte.
Je la rassure sur ce point car les choses que nous avons vécues ensemble ont ren les liens qui nous unissent.

Bien que continuant encore notre relation cela ne m'amuse plus et je préfère être prise par un homme et puis je suis un électron libre, je passe une annonce pour trouver à Martine une femme bisexuelle ou lesbienne et dominatrice qui puisse lui convenir.
Je rencontre une première fois seule des femmes à qui j'expose la situation puis j'amène Martine aux rendez-vous suivants avec les candidates que j'ai sélectionnées.
Finalement mon amie fait un essai avec trois d'entre elles et commence une liaison avec Myriam, celle avec qui elle a le plus d'atomes crochus.
Elle l'appelle "mon dragon" car elle est sévère et la punit à la moindre occasion avec ou sans raison.
Leurs rendez-vous ont une durée de vingt quatre heures une fois par semaine (quand sa maîtresse a son jour de repos).
Elle se retrouve régulièrement attachée dans des positions inconfortables quand Myriam doit sortir.
Cette femme est très bien équipée en objets sexuels et en engins pour punir et faire souffrir.
Martine est heureuse de sa relation sexuelle avec cette femme et des sévices qu'elle subit. Elle est devenue l'objet sexuel de "son dragon".





















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