Gégé &Amp; Yves

Gégé,
Il me rentre dedans en sortant d’un magasin. La rue de la Gare est assez grande, il aurait pu m’éviter. Mais je le reconnais : nous avons dansé hier au soir. Il ne me déplait pas du tout. Je crois que je lui ai tapé dans l’œil. Lui tendre la main n’est rien. Je le promène vers le jardin de plantes, un espace bien connu des amoureux de Carcassonne. Lui est nouveau, il ne connait pas. Je le fais assoir sur un banc, camouflé totalement des autres. Il en profite pour m’embrasser sur la bouche. Eum ! Il embrasse bien. Il me tient par la taille, je lui entoure les épaules. Nous continuons longtemps à nous bécoter. C’est agréable. Attention de ne pas succomber trop tôt.

Yves :
Elle me bouscule quand je sorts du bureau de tabac. Je la reconnais : nous avons dansé ensemble cette nuit. J’étais attirée par ses cheveux bruns et surtout par ses yeux d’un bleu…. Elle danse fort bien, collée contre moi au point de me faire presque bander. Elle a une bonne idée de me conduire vers ce banc. Ses lèvres douces embrassent fort bien. Je ne vais rien tenter vers elle, même si j’en ai envie, besoin même.
Gégé :
Il me ramène la maison. J’espère que mes parents non rien vue, surtout ma mère si à cheval sur la morale. Elle s’imagine que je n’ai jamais embrassé de garçon. A bientôt 22 ans, je suis libre de faire des choses sans son autorisation. Elle pense même que quand mon amie de lycée, Lilou, vient coucher à la maison pour ne pas rentrer à Limoux, nous faisons de la couture après le cinéma. Nous nous reverrons demain après midi. Je lui ai donné le numéro du bureau. S’il est un peu mordu, je suis sure qu’il appellera demain. Ce n’est pas que je cherche un amant, mais avec seulement une amante une fois par semaine, je suis un peu brimée.
Yves.
Elle est bien cette fille ! Je crois que je pourrais la baiser dans pas longtemps. En plus j’ai son téléphone, je pourrais prendre contact facilement. Il n’empêche que je pense trop à elle.

Je suis obligé de m’astiquer la queue avant de dormir. J’espère qu’elle aussi se sera masturbée en pensant à moi.
Gégé :
Je vais me découvrir un peu ce soir. Nous allons au cinéma. Il choisit les places tout à l’arrière de la salle. Il a bien raison. Je ne vais pas le violer, je veux que lui me caresse comme j’aime. S’il faut en passer par là, je lui toucherais la pine. Ce n’est pas difficile à contenter un garçon. Ca y est il essaie de passer sa main dans mes cuisses. Pourquoi pas. Il monte sa main bien haute, à la lisière des bas. Sa main est aussi douce que celle de Lilou. Je le laisse faire en me retenant de manifester mon plaisir. Qu’il se contente de mes seins pour le moment.
Yves.
J’étais sur le point d’atteindre son sexe. J’ai juste senti sa peau après le bas. Elle m’a fait enlever la main. J’ai pu toucher ses seins. Fabuleux comme poitrine. Des seins à la fois doux, délicats et durs. Elle me laisse faire, alors que je n’ai pas pu lui toucher même de loin sa figue.
Gégé :
Il m’a téléphoné pour me dire qu’il voulait. Quand j’ai demandé ce qu’il voulait, il a raccroché. Je sais qu’il voudrait me faire l’amour. Je n’ai rien contre mais si vite, ce n’est pas possible. Je passe la nuit avec Lilou. Je lui en parlerais puisqu’elle m’a dit qu’elle avait un type dans sa vie. Et puis, je suis vierge encore, même si je me suis laissé masturber une fois par un garçon qui me plaisait. Je ne vais quand même pas lui avouer cette faiblesse.
Yves :
Gégé est bien gentille, elle ne comprend pas que j’ai besoins de baiser. Si elle refuse, j’en chercherais un autre. Demain je vais encore essayer de la branler. Pourtant c’est une chose que je fais bien, dixit mon ex restée au pays. En plus quand je lui ai passé un coup de fil, il n’a pas compris ce que je voulais d’elle. Que veux un type comme moi sinon son cul.
Gégé.
Lilou m’a tout avoué. Elle ne voulait pas que je sache qu’elle couchait avec un homme chez elle. Elle me dit que c’était aussi bon qu’avec moi.
Mais elle n’est plus vierge alors que moi. Quand je me donnerais à lui il ne va pas me croire. Lilou m’a enseigné deux ou trois trucs pour bien le faire jouir. Je me vois mal avec une queue dans la bouche. Je vais accepter qu’il me caresse le minou. Il le fera moins bien que Lilou. Ca lui fera plaisir.
Yves.
Au téléphone elle m’a dit qu’elle avait quelque chose de nouveau. Vas-t’en savoir ce qu’est ce nouveau. Une robe, des chaussures, une nouvelle coiffure ? Rien à faire pour qu’elle me dise de quoi il s’agit. Ce n’est qu’en mettant ma main sur ses jambes qu’elle les écarte bien. Je passe sous la jupe, elle est grande ouverte. Ma main glisse entre ses cuisses. Elle arrive à la limite des bas. C’est là où j’avais pu déjà aller. Je vais plus haut sans problème. Voilà sa nouveauté. Elle accepte enfin que j’arrive sur sa moule. Je sens sa culotte très mouillée. Je me doute de l’état de sa chatte. Je me retiens pour ne pas aller comme un mort de faim sur elle. Je passe sous la culotte, elle ne proteste pas. Je trouve très vite son bouton. Je le caresse comme je sais. Elle se tend bien vite, elle ouvre ses jambes en poussant un long soupir. Elle referme ses cuisses sur ma main. Je suis prisonnier un instant de son orgasme. Elle m’embrasse longuement. Notre moment d’intimité est fini. Et moi ?
Gégé.
Il m’a masturbé, il m’a fait jouir. C’était aussi bon qu’avec Lilou. Quand je masturbe Lilou, elle me le rend toujours. Et hier, comme une idiote je ne lui ai rien fait. J’aurais du lui sortir la queue, la prendre dans ma main. Et quoi après, je ne sais pas moi.
Yves :
Enfin je l’ai branlé encore une fois, je l’ai envoyé au paradis. Après son baiser elle a enfin touché la pine à travers le pantalon en me demande de la sortir. Elle m’a touchée, empotée comme pas une. Je dois être son premier. Il a bien fallu que je lui montre comment je fonctionnais. Après un moment d’apprentissage elle faisait bien coulisser le prépuce sur la bite. J’ai du la faire arrêter un moment avant de cracher ma semence.
Je voulais sentir sa main autour du membre, regarder ses phalanges autour de mon engin. Quand j’ai joui elle ne s’attendais pas à voir autant d « crème » blanche. Je lui ai demandé de la gouter. Sans être dégoutée, elle m’en a prit une petite dose sur un doigt. Elle la mit dans la bouche. Je m’attendais à ce qu’elle crache tout, dégoutée. Elle a tout léché et avalé.
Gégé :
J’ai été loin avec Yves. Je lui ai caressé la queue : elle est drôlement grosse. Je ne sais pas comment elle pourrait entrer dans mon ventre. Lilou me dit que c’est bon. Je l’ai fait jouir. Je vu son jus sortir en masse du bout de la queue. Il y en avait tellement que j’ai cru qu’il n’arrêterai pas de jouir. Mais, curieuse j’ai goûté le liquide de sa queue. C’était bizarre, poisseux, gluant, salé. J’ai trouvé que finalement c’était un gout acceptable, alors j’ai tout avalé. A dire vrai j’en aurais encore repris s’il m’y avait invité.
Yves :
Enfin je la caresse, elle sort toute seule la bite. Je bande, elle me branle comme une grande. Entre deux baisers elle avoue qu’elle a aimé le sperme. Je lui ai proposé de la boire directement à la source. Etonnée de mon offre elle faisait la timide avant de dire oui. D’elle-même elle s’est penchée sur moi, a pris la queue dans la bouche tout en me branlant. Elle ne sait pas encore sucer une queue, demain elle saura. J’ai retenu mon jet le plus possible, j’attendais qu’elle jouisse avant. C’et ce qu’elle a fait. Je lui ai donné le sperme. Elle n’en a rejeté qu’un peu, à peine, manière. Le reste est resté dans sa bouche. Elle ne l’a avalé qu’en se relevant. Elle tirait la langue pour que je vois bien la semence dans sa bouche. Elle n’aurait pas fait mieux d’un délicieux mets. Elle dégustait carrément. Quand elle finissait elle m’a embrassé pour partager les restes du liquide.
Gégé :
Ouf j’ai réussi à le boire. C’est bon le jus d’homme. Meilleur que celui de Lilou. Elle va être jalouse quand je le lui dirais. N’empêche que j’ai eu la bouche pleine, j’ai tout dégusté, je l’ai embrassé pour partage son gout.
Je sens que je vais le laisser me lécher la chatte. Ce soir je me caresserais au lit, nue. Tans pis pour Lilou, elle n’a qu’à être là pour me masturber quand j’en ai besoin.
Yves :
Elle ne m’en a rien dit, elle enlève sa cullotte , une première depuis que nous nous caressons. Elle me la donne en souvenir. Souvenir de quoi de touche pipi ? Elle pose sa cuisse sur la mienne, je suis plus vite sur sa moule. Je la branle comme elle aime. Elle jouit. Normalement elle me demande d’arrêter après, c’est elle qui me branle ensuite. Mais là, elle se lève vient juste devant moi, relève la jupe et se tend vers moi. Je l’ai juste sous le nez ? Je connaissais son gout pour m’être léché les doigts après l’avoir branlée. Je découvre son odeur, corporelle, la vraie celle d’un con en chaleur. Ma bouche n’hésite pas quant elle est en entier sur la chatte. Ma langue cherche la nouveauté, son pistil. Je lèche un petit moment : je ne pensais jamais la faire partir si vite. Elle retient ma tête pour que je continue. Je m’infiltre dans le vagin. Elle se laisse aller, mieux que quand je la masturbe. Elle jouit je ne sais combien de fois. Elle refuse que je passe un doigt derrière, vers son anus. Elle y viendra seule sans que j’insiste.
Gégé :
C’est aussi bon qu’avec Lilou, sinon meilleur. Elle me l’avait dit une fois. Mais cette langue qui fouille mon entre jambes, c’est sensationnel. J’aimerais recommencer souvent. Par contre il a voulu me caresser derrière, Lilou me le fait des fois. J’ai refusé qu’il touche mon cul. J’ai eu peut-être tord. Je sens que dans peu de temps il va me baiser. Je ne sais si je le veux réellement. Après il voudra me sodomiser et ensuite le lécher le con ? Ou avant ?
Yves :
Je sens qu’elle va craquer. Elle jouit trop avec ma langue. Elle a juste refusé mon doigt qui allait vers son cul. Je vais lui donner la queue dans sa bouche pour qu’elle me lèche, pas qu’elle me branle. Elle a aimé le sperme, elle aimera le gout de la bite. Je la ferais mettre pour que je la suce en même temps : un bon 69 ne fait pas de mal.
Gégé,
Je me demande ce qu’il lui arrive quand il s’est couché sur le dos, nu ou presque ; je voyais sa queue bien droite comme si elle me narguait. Il m’a demandé de venir à l’envers sur lui. Je savais ce qu’il voulait : faire comme je fais souvent avec Lilou. Mais je n’ai pas tout fait, Je lui donne ma chatte sur les lèvres, juste pour qu’il me goute. Je prends sa bite dans la main pour le branler. Ca devrait suffire.
Yves :
Elle me prend pour quoi, pour un demeuré. Je veux bien la sucer, la lécher, mais elle doit m’en faire autant.
Gégé :
Il tient absolument à ce que je le suce. J’ai peur de son bâton, Je lui donne ma chatte entière qu’il lèche bien. Tant pis, j’ouvre ma bouche, je lui prends la queue. Elle sent l’urine, beurk. Tant pis, j’y suis-je, continue. Je lèche un peu le début, j’entoure ensuite avec mes lèvres. J’ai la bouche pleine. Je vais le caresser comme avec la main : je vais et viens avec la tête, ma langue sert de coussinet. Je sens une décharge dans mes reins : je suis en train de jouir d’abord de sa langue sur le con et de la mienne qui le lèche.
Yves.
Elle apprend vite au moins pour le 69. Elle lèche divinement, même s’il lui faut apprendre encore des détails. En tout cas sa bouche est bonne. En plus elle jouit. Je me laisse aller, je peux lui donner mon sperme, elle l’avale facilement. Ca y est je jouis dans sa bouche.
Gégé :
Il jouit dans la bouche. Il me la rempli totalement. C’est bon, je l’avale doucement comme un sirop de luxe. Quand je dirais ça à Lilou elle ne me croira pas. Je sens un doigt qui en traitre passe sur l’anus. C’est bon quand il caresse comme ça. S’il le rentre je me laisserais faire. Ca y est il a mis tout son doigt dans le cul. Si j’osais j’en ferais autant. Peut-être que ça lui plairait.
Yves :
Au moins j’ai joui dans sa bouche j’ai réussi mon examen de passage en lui mettant un doigt ans le cul. Elle a aimé, surtout quand je le faisais aller et venir. Si je pouvais me retourner le ventre contre le sien, je bande assez pour la baiser.
Gégé :
Il se retourne encore, cette fois je sens sa queue contre mon ventre. Il descend vers ma fourche. Il ne veut quand même pas la mettre comme ça, facilement. Mais je mouille trop, j’ai brusquement envie qu’il me dépucèle. Lilou m’a dit qu’à elle ça lui avait fait du bien. Allez ! Je vais y passer. Je verrais bien.
Yves :
Pour le moment elle se laisse faire. Je prends la queue dans la main. Je me branle un peu pour être bien dur. Je le suis. Je peux passer entre ses cuisses. Elle se laisse aller. Je passe dans sa fente : elle est drôlement mouillée.
Gégé :
Il commence à me baiser, je le sens passer entre mes lèvres gonflées. Il touche le clitoris, il me fait du bien, encore. Non il vient en moi. Je me donne comme une garce. Ca y est je suis une femme totalement une femme. Mais j’ai eu mal quand il est passé. Maintenant qu’il est tout en moi, je ne sens plus rien, dommage je pensais jouir.
Yves :
Elle s’est laissé totalement aller. Je sus en elle, c’est doux, c’est excitant : je sens ses poils contre le miens. J’ai senti passé le cap de sa viginité. Mais je suis bien au fond, elle ne se plaint même pas. Elle accepte ma pine.
Gégé :
Je commence à le sentir aller et venir, je ressens un drôle de plaisir qui monte doucement, qui monte bien haut dans mes reins. Tout s’arrête, dommage. Il est sorti de moi, il me retourne. Non, il ne va pas venir dans mes fesses la première fois.
Yves :
Depuis le temps que j’attends, je vais l’enculer. Elle n’en mourra pas, moi je jouirais plus fort.
Gégé :
Je sens sa bite venir entre mes fesses. Il ouvre la raie. Sa queue se promène vers mon cul. Je la sens approcher. Il s’arrête juste dessus. Il me fait de drôle de sensations. J’ai plus peur que devant. Je force pour ouvrir mon anus ; C’est à ce moment qu’il force lui pour entrer. J’ai mal, il me la mise en entier. Il va et vient dans mes reins. Je sens quelque chose de différent que devant. C’est bon, il me donne du plaisir, je gémis quand il m’encule. Je lui donne mes fesses. Je le sens grossir en moi. Il va jouir.
Yves :
J’ai pu l’enculer facilement. Elle s’est laissé faire. Je me sens à l’aise dans cet anus tout neuf. Je vais jouir, trop vite. Je jouis, elle aussi, pile en même temps.
Gégé : Il sort de mon cul, je sens gouter son sperme. Je ne pourrais pas en récupérer. C’est bon de se faire sodomiser, mais dommage pour le sperme perdu. A moins que j’en récupère en le laissant couler un peu.
Yves & Gégé
C’était bon, on recommencera souvent dans le con et le cul, avec ou sans la pine.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!