Une Merveilleuse Charmeuse - La Suite, Dans L'Appartement De Lydia

Une fois arrivé dans l’appartement de Lydia, Maxime ressentit à nouveau un certain trac. Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas vécu une telle situation, et surtout il ne l’avait jamais vécu avec une telle femme si délicieuse. Pourtant, il brûlait de désir pour Lydia.

Ce désir si intense se caractérisant par la raideur de son sexe dans son pantalon lui faisait un peu peur. Une fois encore, il se posait beaucoup trop de questions. Lydia est tellement excitante qu’il craignait d’éjaculer trop vite au moment des préliminaires. Il eut un instant l’idée d’aller se masturber dans les toilettes afin de remédier à cela, mais se ravisa en pensant aux désastres que cela pouvait engendrer sur la suite de la soirée.

Sa belle partenaire dut sentir son stress et trouva le moyen de le rassurer. Elle le prit par la main et l’emmena dans son salon.

Lydia lui indiqua où s’asseoir, joignant le geste à la parole :
- Mets-toi à l’aise mon chéri. Je te sens tout tendu.
- Non ça va. Il fait un peu chaud. Tu ne trouves pas ?
- Tu as raison. Je vais ouvrir un peu la fenêtre. Mais tu veux peut-être boire quelque chose ?

Maxime avait en effet la gorge très sèche. Cela lui aurait fait du bien de se désaltérer un peu. Mais il craignait aussi qu’elle ne lui propose encore de l’alcool et en cas d’ivresse il avait peur de ne plus parvenir à gérer la situation. Il déclina gentiment la proposition de Lydia :
- Non, je te remercie. Je n’ai pas soif pour le moment. Tu sais c’est toi qui me donnes chaud. Tu es tellement sexy.
- Oh tu sais, moi aussi j’ai chaud. Et puis, j’en ai marre de ce tailleur. Je crois que je vais aller enfiler une tenue plus confortable.
- Tu sais moi je te trouve vraiment magnifique dans ce tailleur. Quand je t’ai vu arrivé ce matin, mes yeux se sont immédiatement braqués sur toi et je ne pouvais plus cesser de te contempler. A dire vrai, tu me faisais déjà fantasmer.



A ces mots, Lydia réagit par un petit rire. Amusée par cette révélation, elle répondit :
- C’est vrai que j’aime séduire les hommes. J’adore me sentir sexy. D’ailleurs je t’avais parlé de ma tenue de mes dessous… Tu veux que je te fasse un petit strip-tease ?
- Humm… oui, bien-sûr…
- D’accord mon chéri. Ferme les yeux. Tu les ouvriras quand tu entendras la musique retentir.

Maxime s’exécuta. Il ferma les yeux et s’installa bien confortablement sur le canapé. Lydia se leva, tamisa la lumière et appuya sur le bouton de sa stéréo. La musique commença. La voix de Marvin Gaye chantant Let’s get it on le fit basculer dans un univers absolument charnel, d’une merveilleuse volupté.

Lydia était de dos. Elle se mit à danser. Sensuelle, envoutante, passant les mains dans ses cheveux, puis les descendant doucement le long de son corps, elle vint les poser sur ses hanches tout en remuant délicatement le bassin. Elle tourna ensuite la tête vers Maxime, lui fit un petit clin d’œil. La température continuait de monter. Tout en dansant au rythme érotique de la musique, elle enleva sa veste, la laissa tomber sur le sol et enleva lentement son chemisier blanc qui était rentrée sous sa jupe. Elle se tourna ensuite, se plaçant face à Maxime et déboutonna un à un les boutons de son chemisier, dévoilant ainsi un sublime soutien-gorge brassière blanc au décolleté échancré.

Ce strip-tease pouvait être interminable tant Lydia s’appliquait à bien le réaliser. Une fois déboutonnée, elle laissa son chemisier entrouvert et continua sa danse langoureuse. Maxime la regardait fixement. Il était captivé, totalement subjugué par ce merveilleux spectacle. Elle s’approcha alors de lui, posa un doux baiser sur sa bouche. Il avait déjà très envie de la caresser, mais elle lui fit comprendre par un signe que ce n’était pas le moment. Elle seule en avait le droit. Elle se pencha sut sa braguette qu’elle ouvrit lentement, ouvrit son jean et posa furtivement sa main sur son pénis afin d’en vérifier la raideur.


Elle lui susurra à l’oreille :
- Pour le moment tu me touches qu’avec les yeux. Par contre si tu veux te caresser en me regardant me déshabiller ne te gêne surtout pas…

Maxime n’en croyait pas ses oreilles. Lydia semble être une femme prête à pouvoir assouvir bon nombre de ses fantasmes. Il en profita pour déboutonner sa chemise car il avait terriblement chaud. Elle vint lui prêter main forte, lui caressa le torse et le prit par la main l’incitant à se mettre debout. Alors qu’un peu empoté, il tenait son jean d’une main pour éviter qu’il ne tombe, Lydia lui releva les bras. De ce fait, son pantalon lui tomba inévitablement au niveau des genoux.

Dans un grand éclat de rire, elle poussa Maxime qui tomba assis sur le canapé. Elle lui saisit les jambes, lui enleva précipitamment ses chaussures, ses chaussettes et son jean. Puis, elle reprit sa danse de plus belle, promenant ses mains tout le long de son corps. Lydia retira ensuite son chemiser et fit descendre sur ses bras les bretelles de son soutien-gorge. Telle une provocatrice, elle vint placer sa sublime poitrine sous le nez de Maxime, qui tenta d’embrasser ses seins. Mais elle ne laissa pas faire et d’un ton un peu plus sévère, elle lui dit :
- Mon chéri, tu ne veux pas me faire plaisir ? Tu ne fais ce que je t’ai suggéré. Je t’ai dis que tu pouvais te caresser. Moi j’ai même envie que tu te branles en me matant danser.

Soudainement choqué par le vocabulaire osé employé par Lydia, Maxime s’exécuta à nouveau. Il en fut très gêné. C’est la première fois qu’il se masturbait de la sorte de manière ostentatoire. Cela amusait beaucoup Lydia qui semblait prendre un malin plaisir à le dévergonder. Elle s’approcha à nouveau de lui et se pencha sur son sexe :
- Oh mais dis-donc, elle est pas mal cette bite. J’ai bien envie d’y gouter.

Lydia ne se contenta pas de parler, elle s’agenouilla et vint mettre un coup de langue sur le gland de Maxime. Il se mit à gigoter dans tous les sens ne la laissant pas faire.
Elle n’en fut pas vexée :
- Qu’est qu’il y a mon chaton ? Tu as peur de décharger trop vite, c’est ça ?
- Oui, c’est ça. Ca fait longtemps pour moi tu sais. Je suis désolé. Et puis tu es tellement excitante.
- C’est pas grave mon chéri. Détends-toi. Je vais te sucer un peu. Tu peux cracher quand tu veux. Pas de pression. Je vais t’enfiler une capote goût fraise. J’adore ça tu sais. Après on prendra une bonne douche et on baisera plus tard. La nuit est encore longue.

Ravi par ce doux programme, Maxime commença à se détendre. Nouvelle surprise, Lydia sortit le préservatif d’un tiroir juste à côté du canapé. Elle en avait un sacré stock. Maxime se laissa aller à cette extraordinaire fellation. Tout en le suçant, Lydia lui caressait les parties génitales. Elle faisait des mouvements avec sa bouche rendant ce moment parfaitement merveilleux. Puis, elle sortit sa langue et la fit tourner autour de son gland. A sa manière de le regarder, Maxime sentait qu’elle aimait ça. Elle était experte dans l’art de la fellation. Ce n’est pas si fréquent chez les femmes. Il se laissa aller à lui parler de manière un peu salace :
- Oh putain… c’est vrai que tu suces comme une reine… j’adore… c’est trop bon…

A ces mots, Lydia voulut lui faire encore plus plaisir. Elle lui lécha savoureusement le long de la verge, puis arriva aux testicules qu’elle goba pendant de longues secondes. Pendant ce temps, Maxime commençait à pousser des soupirs et des gémissements. Lydia avait pris son sexe à la main et se mit à le masturber. Afin de pouvoir manœuvrer plus aisément, elle retira le préservatif. Elle finit par remonter le long du manche et le reprit en bouche. Quel régal !

Lydia le suçait maintenant avec force. Elle fit des va-et-vient de plus en plus rapide avec sa bouche, le pompait frénétiquement. Maxime n’avait jamais connu si divine fellation. Il respirait de plus en plus en plus fort et poussait des râles :
- Ca vient Lydia, putain ça vient !

Il pensait qu’elle allait alors s’arrêter, mais ce fut tout le contraire.
A cette annonce, Lydia accéléra encore. Elle ne tarda pas à sentir du sperme chaud couler sur sa langue puis dans sa gorge. Ensuite, elle se retira du sexe de Maxime et finit d’avaler sa semence.

Elle se releva et prit Maxime par la main pour l’emmener à la salle de bain. En chemin, elle passa par sa chambre où se dressait un grand lit à baldaquin. Elle ouvrit son dressing. Maxime vit apparaître une grande collection de tenues féminines des plus diverses. Il y avait de belles longues robes de soirée, des vestes pour le travail, des jupes courtes, et bien d’autres accoutrements possibles et imaginables. Il vit aussi qu’elle avait une très belle collection de lingerie érotique et de ravissantes nuisettes. C’est d’ailleurs pour en choisir une que Lydia enleva la jupe saillante qu’elle a portée toute la journée, laissant apparaître son très joli fessier.

Cette vision étonna grandement Maxime. Il avait bien deviné qu’elle ne portait pas de culotte. Son collant était en fait fendu au niveau des deux fesses. Une fine bande de nylon lui rentrait dans la raie du cul faisant office de string. Maxime n’avait jamais vu de telle lingerie, si originale et sexy. L’idée de savoir que Lydia portait ces dessous chic et sexy pour aller travailler l’a rendait particulièrement excitante.

Avant d’aller prendre sa douche, Maxime sentait dans son boxer qu’il commençait à nouveau à durcir.

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