Buvette De Plage... 2/2

Quelques jours ont passés sans anicroches, ce lundi, des orages sont prévus nous craignons un peu pour la fréquentation, mais cela ne fait pas peur aux touristes venus de loin profiter de l’océan, en milieu d’après midi une jeune femme mignonnette, aux cheveux courts arrive en sueur, une serviette sous le bras, il fait lourd mais toujours pas d’orage en vue

- Vite à boire ! Je meurs de soif, pas moyen de trouver une place pour se garer, je suis à plus de cinq cent mètres d’ici !
- Buvez ce verre d’eau fraiche pour commencer ! Il faut aimer la mer pour venir aussi tard
- Je n’ai pas le choix, je bosse en restauration et je ne suis libre qu’à cette heure ci … Aaah ça fait du bien, mais j’ai encore soif !
- Asseyez vous, je vous offre une bière, une ‘1664’ ça vous va ?
- Merci madame, c’est justement ma préférée

Élodie me regarde avec un sourire énigmatique aurait-elle une idée derrière la tête ? C’est vrai que je me ferais bien ce p’tit bout de femme, la trentaine, dans nos âges, en pleine maturité sexuelle, elle ne porte pas de soutien-gorge sous son débardeur, et le mini short moule parfaitement son mont de vénus bien galbé

Subitement des gens commencent à revenir a grands pas, des grondements lointains se font entendre

- C’est tout noir a l’horizon, l’orage arrive, le vent et la pluie aussi, vous deviez fermer !

C’est un habitué qui vient de nous prévenir, à peine a-t-il finit sa phrase qu’un éclair zèbre le ciel qui s’obscurcit a vue d’œil, une goutte énorme s’écrase sur le toit, suivie rapidement de nombreuse très rapprochées, sur le chemin les parasols font office de parapluies que les gens ont du mal à maitriser

- Mon dieu je vais me tremper les os pour revenir à la voiture ! en plus j’ai la trouille
- C’est dangereux de courir sous l’orage, je vous propose de monter avec nous le temps que ça passe, de toute façon je vais fermer le panneau, sinon je vais tout inonder
- Je ne dis pas non, c’est très gentil a vous
- Arrête aussi le générateur chéri, c’est plus prudent

Ont dirait que le ciel travaille pour nous ??? Une fois tout fermé il fait quasiment noir dans l’habitacle
Les grondements et les éclairs n’en finissent pas, l’intérieur est éclairé par les éclairs comme par une lampe stroboscopique, ça me rappelle les boites de nuit, les deux femmes sont serrées l’une contre l’autre, dire que je n’ai pas peur serait mentir mais je ne dois pas le montrer

- Nous allons mourir écrasés par des pins !
- Ne dites pas ça, ça va aller, venez prés de moi …serrons nous

Le contact des corps féminins quasiment nus contre moi me font de l’effet, j’en oublie les intempéries qui pourtant ne faiblissent pas
Ma main qui enserre la taille de la femme glisse sur ses reins, mon pouce est accroché à la ceinture du short, Élodie s’efforce, en douce, de plaquer l’inconnue sur moi, elle va sentir mon érection …

- Je vais vérifier quelque chose, restez bien ensemble
- Excusez moi mais je ne vais pas lâcher votre mari, j’ai trop peur !

Cette fois je la prends carrément dans mes bras, elle ceinture ma taille avec les siens, ma verge tendue pointe sur son ventre, ça n’a pas l’air de la déranger, par geste de protection, j’embrasse ses cheveux, je la sens tressaillir, elle se blottie encore plus, a présent ma verge est écrasée sur elle
Ma main caresse son dos pour s’introduire sous son débardeur, elle creuse les reins, mon pouce passe sur le coté, juste sous son sein, elle ne proteste pas, alors j’empaume carrément la demi-sphère, elle lève la tête, nous bouches s’unissent, nos lèvres laissent passer les langues, son bassin ondule sur ma queue
Élodie choisi ce moment pour se joindre a nouveau a nous, par derrière notre ‘invitée’ elle défait la ceinture du mini short, qui descend rapidement a ses chevilles, moi, je délaisse le sein pour faire passer le débardeur par-dessus sa tête, la voilà nue entre nous deux

- Il n’y a pas de raison que je sois seule a poil ….


- Tu as raison …

Jamais nous n’avons fait aussi vite pour nous dessaper, la bite en avant je me retourne vers notre inconnue, ma main va directement entre les cuisses pour trouver un abricot absent de tous poils, elle empoigne ma queue pour la décalotter

- Elle est belle …
- Tu va voir comme elle ramone bien une petite chatte
- Voyons Élodie ? madame n’as peut être pas envie de rapports sexuels ?
- Je ne suis pas là pour jouer à la marelle ! je venais justement a la plage pour trouver un bon mâle dans les dunes, maintenant je veux oublier l’orage, bouffe-moi l’entrecuisse !
- Assied toi sur le bord du comptoir, prés de la friteuse

Sa chatte a un doux parfum de mouille, ma femme entreprend de l’embrasser, elles se malaxent mutuellement la poitrine, j’enfonce ma langue profondément dans son vagin pour me gaver de son suc, ensuite je m’occupe du clito gros comme un pois chiche, ses jambes s’agitent lorsque je l’aspire et le mordille, j’ai envie de lui faire ‘ la totale’ et de tester l’élasticité de son anus avec mon index
Sous mon insistance il se fait plus souple, en vrillant je l’enfonce totalement

- Ton mari s’y connait en cuni ! j’ai les deux trous ouverts
- Tu aime tout ?
- Quand je suis déchainée, je deviens hystérique, j’adore quand mon amant alterne les pénétrations
- Et c’est le cas ?
- Demande lui si je suis assez mouillée et dilatée
- Je confirme, c’est une fontaine, sa moule est béante et son anus accueillant !
- Reste à trouver la position idéale car ici c’est plutôt rudimentaire !
- Je vais la prendre comme le petit Nicolas t’a baisée, courbée en deux les deux trous sont accessibles
- J’aime être prise a la dure, ça me va, n’ai pas peur de me secouer
- Je t’aiderais à changer de trou chéri, je te sucerais entre deux pénétrations
- Ouais ! une femme énergique, j’aime ça ! allons-y … met le moi dans la chatte

En soupirant d’aise je m’enfonce dans un magma incandescent, agrippé aux poignées d’amour je ramone le con dilaté jusqu'à la demande de ma femme

- Laisse sortir ta pine mon chéri je vais la pointer sur son anus, ne bouge plus je te suce …voilà ! c’est super bon prêt pour le petit ?
- Encule-moi …

Ma verge se courbe un peu sous la pression et se redresse lorsque l’anneau serré est franchi, sans forcer je laisse mon gland ouvrir sa voie dans le conduit visiblement préparé en vue d’une rencontre ‘corsée’, la fille râle entre ses dents mais ne manifeste pas de douleur, pour s’occuper Élodie lui fourre des doigts dans le connin afin de me masser la queue, en faisant cela elle sait que je vais jouir plus rapidement .
.. la futée manifeste sans doute une pointe de jalousie !

- Ça va ? tu n’as pas mal ?
- Non …j’ai l’habitude… et… il me ramone ….. avec précaution
- Remet lui dans la chatte !
- Tu me suce ?
- Non, pas cette fois …baise-là, fait là jouir qu’on en finisse, surtout que l’orage se termine, les clients vont revenir

Sentant qu’il ne faut pas r des bonnes choses je me concentre pour décharger au plus vite avant qu’Élodie ne pique sa crise, une ultime pénétration et je me bloque au fond de la moule pour y décharger a grands jets, la fille part elle aussi dans un orgasme bruyant, a peine est-elle redressée que ma femme l’apostrophe

- Aller, c’est terminé, il faut partir mademoiselle
- Je vais me laver à la mer, merci pour l’hébergement !
- Repassez quand vous voulez
- Mademoiselle n’a pas que ça à faire …
- Nicolas non plus …

Ah ces femmes ….

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!