Eva Et La Mascotte De L'Équipe De Rugby.3
EVA fait la connaissance de la mascotte de léquipe de rugby. 3
Patrice vient de tarir la source mais si je veux sauver mes frustes, il faut que je les lave immédiatement sinon tout sera à jeter. Je reprends enfin mes esprits et lengueule :
-Mais tes pas un peu malade ! Tu voulais mr ou quoi ? Et mes habits, putain de merde !
Tes encore pire quune femme fontaine, je commence à comprendre pourquoi tu te fais traire par tant de personne. Un cas comme toi, on en rencontre-pas à chaque coin de rue.
Je me déshabille et vais mettre à tremper mes habits dans la salle de bain puis reviens en soutif et string vers les garçons. Vivien se moque de moi mais jaurais bien voulu lui voir
On est les trois en petit tenue et il propose, au point où on en est, de finir à poil, aussitôt-dit, aussitôt-fait.
Suite :
Patrice est étendu sur le coté, son sexe flasque touche presque le sol. Je ne peux mempêcher de regarder le corps de ce jeune garçon pas encore adulte affublé dun engin pareil que ne renieraient pas certains blacks. Je m'arrache avec un peu de volonté à cette vision érotique mais jai le front brûlant et une envie énorme de me faire culbuter par ce « cas », fantasmant avec un peu dimagination sur la teub monstrueuse et disproportionnée par rapport à son physique de mon voisin. Je l'imagine en train de me contraindre à le sucer avant de me prendre, convaincu que j'aimerais me sentir toute distendue par un tel diamètre. Je my soumettrais volontiers, éprouvant des envies folles de le sentir boucher mes trous un à un.
Comme sil avait entendu mes demandes muettes, Patrice recommence à se masturber lentement et quand son sexe reprend enfin du gourdin, il me caresse les mollets, les chevilles et les pieds avec son braquemart retrouvé. Sa tumescence rigide de dresse tel un étendard. Il sallonge sur le dos, le sexe dressé comme une invitation à venir mempaler dessus, mmmhhh
Je ne peux résister à son appel et je chevauche son corps, mes jambes repliées et mes chevilles à cheval sur ses cuisses, mes mains à plat sur sa poitrine.
Je lui fais découvrir le supplice du foulard, vous connaissez ? Vous nouez un foulard de soie plusieurs fois que vous introduisez dans le rectum de votre amant, (préalablement lubrifié par une la langue experte), et vous le retirez ensuite en passant une main derrière pour le saisir tandis que vous chevauchez votre partenaire comme un jockey monté sur un piston. Chaque nud que vous retirez lamenant à lapothéose.
Les coups de queue que je me donne me font prendre un pied incroyable, je me lime comme jamais,
accélérant et ralentissant le rythme à ma convenance. Je ne peux plus me retenir et geins de plus en plus. Ses mains accrochées à mes fesses me forcent à accélérer lallure sur cette formidable pine qui me pénètre complètement. Je naurais jamais imaginé quune queue si grosse puisse donner tant de plaisir. Je viens davoir un orgasme. Je ne me souviens plus den avoir eu un dune telle puissance.
Je redescends sur terre doucement, les muscles de mon vagin se contractent encore, indépendamment de ma volonté sur ce rostre fiché en moi, les yeux fermés. Je les ouvre et observe ce godelureau qui me sourit, comme si ça ne le concernait pas. Je retire son sexe de mon vagin doù sécoule ma mouille, je saisis sa queue que je viens frotter à mon minou trempé du dernier assaut.
Je le balade sur mon petit trou. Il comprend au quart de tour et je sens ses doigts glisser entre mes fesses et titiller mon petit trou, je suis toujours à quatre pattes, mes fesses dressées. Sa main passe de mon sexe gonflé et trempé à ma rondelle et ses doigts sy frottent sous mes gémissements.
Il continue ses va et vient, crachant de temps en temps sur ses doigts ou me les faisant lécher.
Il me donne un de ses doigts à sucer que je prends en bouche comme si cétait sa queue, laspirant, le mouillant de ma salive
Puis il revient titiller mon petit orifice avec ce doigt, y enfonce une phalange, puis deux
Un soupir de plaisir séchappe de ma bouche, humm quel plaisir ! Des frissons de peur ou de plaisir parcourent mon corps à lidée de ce qui va suivre.
Il me ramone avec son doigt, puis un deuxième vient lui prêter « main forte », si je puis dire. Je ny tiens plus, je veux quil me prenne!
- Viens, encule-moi, prends mon cul avec ta bite de poney!
- Puisque tu le demandes si gentiment, je vais te prendre ton cul de salope, mais cette fois, cest moi qui mène la danse ! Me rétorque-t-il.
Il me repousse et sinstalle derrière moi, mon cerveau est comme engourdi, ayant repoussé dans un coin la vue impressionnante de la taille de lengin de ce jeune coq, mais Patrice me rappelle à la réalité en frappant violemment mes fesses avec son gourdin.
-Toutes les femmes nacceptent pas davoir ça dans leur cul, Eva, jespère que tu nes pas comme elles!
Dun formidable coup de reins, il force lentrée, propulsant dix bons centimètres entre mes fesses.
-OOOOOOHHHH !!! Putain de merde ! Outch ! Tu me casses le cul !
Jespère que les voisins de Vivien sont absents sinon ils risquent dappeler police-secours.
Patrice a plaqué ses mains sur le haut de mes cuisses, jai la tête enfouie entre mes bras, mes ongles plantés dans mes paumes. Mais il a cure de mes jérémiades et sa queue senfonce toujours plus loin dans mon petit cul, son gourdin me remplit comme jamais, mon petit trou complètement distendu, mon cul entièrement offert à cet énorme défonce-cul. Encore une chance que je soie une habituée de telles pratiques !
Ses va et vient deviennent plus puissants, je râle de plaisir, de douleur aussi sous une fessées et des mots crus qui accompagnent son action et me font perdre la notion du temps.
Vivien se fout de moi, me traitant de sainte-nitouche qui ne sait pas ce qui est bon. Furieuse, je lui rétorque :
-Je voudrais bien ty voir, toi ! Et dailleurs, pourquoi-pas ? Je te mets au défi de faire comme moi, de te faire casser le cul par cette espèce de morpion monté comme un âne.
Je lai pris de court, il est piégé et sil ne veut pas passer pour une poule mouillée, il va devoir y passer
Mais il lui faut quand même un long moment avant de répondre.
-Cest à ton tour de me mettre au défi ? Je ne suis pas un PD mais il ne sera pas dit que je refuse ce que toi tu acceptes, et on dirait même que ça te plait, salope !
Vivien se met à coté de moi, Patrice décule, me permettant de préparer le trou identique chez les hommes et les femmes avec une bonne couche de lubrifiant et mes doigts inquisiteurs. Patrice me regarde faire, se branlant lentement pour entretenir son érection. Quand je considère que Vivien est près, jatt la queue de Patrice comme je tiendrais un chien en laisse et le guide vers lanneau fripé de Vivien. Je passe lengin entre ses fesses pour en graisser le gland puis je me recule pour profiter du spectacle.
Limage est saisissante. On dirait un basset qui essaie de sauter un doberman ! Le contraste entre le corps assez fluet de Patrice et celui, massif de Vivien est bizarre, anormal. Je vois Vivien serrer les dents quand Patrice, les mains sur les hanches de Vivien, donne un coup de reins, faisant disparaître son gland massif et quelques centimètres de son gourdin dans le fondement de son comparse.
On dirait un père qui porte son jeune fils sur son dos, mais le fils en question a planté son chibre au plus profond du paternel. Maintenant Patrice sactive sans plus aucune précaution entre les fesses de Vivien qui grogne comme un Chartier :
-Putain de salaud, tu pourrais y aller plus doucement ! Comment peux-tu aimer ça Eva ? Cest atroce !
On voit que Vivien na pas ma longue expérience
Mais comme pour moi, Patrice ne tient pas compte des récriminations de sa « victime » et continue de le troncher avec vigueur, saccrochant comme un morpion aux couilles et résistant aux ruades de Vivien pour ne pas choir de ce mustang fougueux et musclé presque deux fois plus lourd que lui, tel un cow-boy dans un rodéo.
A suivre
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