A Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 699)
Histoire d'une soumission au Château - (suite de l'épisode N°695)
Pour Olivier cette attente parue interminable et son sexe encagé lui faisait mal rien quà lidée de se retrouver face à Monsieur le Marquis, ça lui provoquait des débuts dérections stoppés par les solides parois de la cage. Limage du Maître revenait dans sa tête, sans cesse à chaque instant. En effet, cette image devenait véritablement obsessionnelle, car hier en un instant, le Maître lavait rabroué, rabaissé, amené au rang de chien soumis et Olivier avait pris un incroyable plaisir à cela... Au bout dun long moment, Walter vint le chercher :
- Allez, espèce de chien, suis-moi, Monsieur le Marquis va te recevoir
Rappelle-toi Ses consignes dobéissance totale : tu ne parles pas sil ne tautorise pas à parler et tu gardes la tête baissée .
Walter poussa Olivier vers une haute porte en bois vernis et sculptée de moulures et à double battant. Cette belle porte amenait directement dans le luxueux bureau de Monsieur le Marquis dEvans. Celui-ci lattendait, assis confortablement dans un fauteuil tout en cuir épais, derrière son bureau et dégustant un verre de cristal, un cognac de grande marque. Walter frappa avant dentrer et la voix du Maître retentit :
- Entrez ! (La porte souvrit et Walter savança)
- Monsieur le Marquis, je vous amène cette lopette laquelle vous mavez envoyé chercher. Ce chien a passé avec succès les examens de ce matin. Si vous laviez vu se goder, il en redemandait, il a un vrai potentiel à la soumission, mais comme en toute chose, Vous êtes le Seul et Unique Juge !
- Bien, nous allons voir tout cela, tu peux le faire entrer et nous laisser, merci mon cher Walter !
Walter salua respectueusement son patron et poussa Olivier et lui dit sur un ton sec :
- Avance ! Et à genoux, devant Monsieur le Marquis
Olivier sexécuta, il se mit à genoux. Walter lui donna une tape sur la tête :
- Tête baissée, le chien ! (Olivier baissa la tête)
Voilà Monsieur le Marquis, il est à Votre disposition, je vous le laisse
La porte se referma derrière lui.
- Bonjour le chien. Te voilà dans une attitude que tu devras adopter en Ma Noble Présence. Jexige une obéissance totale, la plus absolue. De cette obéissance, tu trouveras satisfaction, plénitude et équilibre
(Il se leva)
Aujourd'hui, tu vas mappartenir physiquement. Je vais te prendre et tu vas recevoir Ma semence, si je daigne te laccorder. Et si tel est le cas, il te faudra mesurer le privilège que tu auras de la recueillir. Au plus profond de tes entrailles, tu vas aussi maccueillir
Approche, le chien !
Il savait que le soumis était prêt et se leva. Il sapprocha dOlivier et sa puissante voix retentit de nouveau :
- Dabord, je vais te montrer ce que jattends de toi. Tu voix cette baguette, elle me sert à corriger les soumis rétifs. Ce que jexige c'est une totale obéissance, comme je te lai déjà dit. Et si je corrige, cest toujours à bon escient, si jordonne le silence lors de la correction, jattends le respect de cette consigne. As-tu compris ? Tu peux parler, je ty autorise
Olivier obéissant, en retenant un souffle dappréhension mélangé à un formidable bonheur de se trouver aux pieds du Maître, dit simplement.
- Oui
- Oui qui ?
- Oui Maître
Mais ces deux mots avaient un sens puissant, ils le mettaient à sa vraie place, celle dun soumis attendant les ordres.
- Bien, dis-le Marquis dEvans, je vois que tu commences à intégrer ce que sera ta condition
Mais je vais te corriger, car tu dois dire Oui Maître sans que je te dise Oui qui ? Tu dois le dire naturellement sans réfléchir. Tu vas donc recevoir dix coups de cette baguette, tu dois un, ne pas crier, deux, rester stoïquement immobile et trois, si ton fessier sabaisse, tu dois relever les fesses dans la position initiale. Maintenant en position, fesses relevées, tête baissée, face au sol, montre-moi que tu es une bonne petite lope bien obéissante
Le Maître porta le premier coup
Le Marquis avait visé les fesses du soumis dun coup sans concession. Olivier sentit la brûlure, surpris il ne put sempêcher démettre un cri. Et en même temps sa nouille gonflait à son maximum quelle pouvait grossir dans sa cage de chasteté
- Pour chaque coup où je tentends, tu recevras un coup de plus. Tu as compris espèce de chien gueulard ?
- Ou
oui Maître
- Très bien, nous allons voir. En position
Olivier cambra les fesses et serra les poings pour mieux se préparer. Le deuxième coup partit et Olivier stoïque ne dit rien cette fois, mais son sexe lui faisait mal car il était emprisonné et ne demandait quà se déployer à la verticale
- Très bien, tu comprends vite. Maintenant je vais continuer, tu ne bouges pas aussi et desserres les poings mains au sol, bien à plat. Tu dois subir car le Maître sait ce qui est bien
Allez reprenons, le chien
Le Maître reprit chaque coup laissait une fine zébrure
Et à chaque zébrure, il était satisfait. Il ponctuait chaque coup par un intervalle régulier de quelques secondes. Olivier serra les dents mais respecta à la lettre les directives de Monsieur le Marquis. Et il en prit plaisir malgré la douleur, un plaisir à la fois mental et physique
Le Maître regarda le soumis et il savait par expérience que malgré la douleur, il avait dû matérialiser son plaisir.
- Chien, lève-toi, maintenant
Olivier sexécuta et en se levant remarqua quun fil de liquide séminale séchappait de son sexe, au travers de la cage. A la vue de ce filet Monsieur le Marquis sourit
- Chien, regarde comme tu mouilles, tu es une vraie traînée et comme toute bonne traînée, tu vas toccuper de Moi
Viens montre-moi un peu, comment tu suces
Viens aux pieds du Maître
Olivier se mit à genoux et il sapprocha délicatement du sexe de Monsieur le Marquis. Celui-ci prit les devants
- Ouvre la bouche, la traînée, la putain, je vais te la besogner
Monsieur le Marquis sortit son sexe déjà fort bien excité et Olivier bouche grande ouverte attendait. Quand le gland sempara de la bouche, Monsieur le Marquis attrapa la tête du soumis et imposa son rythme. Le Maître appréciait de voir son sexe disparaître complètement, lentement dans la cavité buccale du soumis
Olivier sappliqua à prendre la totalité du membre du Noble et il sentait le gland taper au fond de sa gorge. Monsieur le Marquis prenait plaisir à investir cette bouche offerte par un va et vient lent mais méthodique. Il imposait que son sexe disparaisse entièrement et quOlivier avale en profondeur. Au bout dun long moment à baiser cette bouche de putain, le Maître sortit son sexe
- Ouvre la bouche, salope, je vais gicler sur ta langue de putain et tu vas profiter de Ma semence, cest un grand honneur que je te fais
Olivier obéit et cest ainsi quil sentit le jus épais et chaud du Maître se répandre par saccades
- Avale et nettoie-moi bien le gland, espèce de salope
Olivier avala le plus gros du flot de sperme puis avec sa langue, il lécha le gland à la recherche de la dernière goutte afin de satisfaire Monsieur le Marquis d Evans
- Tu as fait ce que je tai ordonné et je vois que tu aimes faire la pute. Ton séjour permettra de faire bien plus.
Olivier répondit par laffirmative terminant sa phrase par le mot Maître, la punition avait donc porté ses fruits et le soumis nomettait plus désormais ce merveilleux mot. Monsieur le Marquis en était satisfait et il annonça la suite du programme
- As-tu le courrier qui mait destiné ?
- Oui Maître
- Bien je veux que ce soir tu lemmènes tu men feras la lecture à haute voix. Pendant cette lecture, tu devras subir Mes assauts car jai investi ta bouche et ce soir cest ton deuxième trou qui sera à moi. As-tu compris ?
- Oui Maître
- Tu peux maintenant ten aller. Je vais appeler Marie, elle va soccuper de toi
Marie arriva de la cuisine rapidement et elle imposa au soumis de se mettre à quatre pattes.
- Allez vient, jai du travail pour toi en cuisine, tu vas aller préparer le repas de Monsieur le Marquis d Evans et ce soir tu le serviras aussi
Olivier suivit donc la Cuisinière docilement en quadrupédie, Marie tenant devant lui la laisse
Après avoir traversé quelques couloirs, il se trouva en cuisine. Mais à aucun moment, il ne toucha au met destiné au Maître. Nu comme un vers, il resta à quatre pattes, immobile, la tête baissée. Autour de lui, saffairaient quelques domestiques et ceux-ci se moquaient de lui
- Tiens regarde, ce chien ! Monsieur le Marquis est en train de le dresser, je crois quil nous sera donné dans quelques jours et je me réjouis à lavance de lui défoncer la rondelle
Olivier écoutait sans broncher et comprit que son séjour au Château allait lui réserver pas mal de surprises
En fin de journée, il allait lire au Maître le courrier, il nen connaissait pas le contenu. Monsieur le Marquis avait lhabitude de dîner vers 20 heures dans lAncestrale Grande Salle à manger. Marie lui avait expliqué que cette salle à manger avait accueilli Le fameux Marquis de Sade en 1784-1785 (lire les Origines de la Saga) et également le Roi Louis XVI lors de son passage-étape sur une journée en 1788. Cest dire si cette Salle à manger était importante et Olivier avait conscience quil serait très ému de sy trouver.
Ce soir, le Noble aurait donc un nouveau chien soumis. Le Maître voulait, à la fin du repas, le besogné avec vigueur par une profonde sodomie et donc Olivier serait à Sa disposition. Il était prévu que celui-ci lui fasse lecture du courrier qui lui était destiné. Olivier ému par le lieu historique, assista au repas de Monsieur le Marquis à quatre pattes, jambes écartées, tête baissée, cul bien exposé. Le courrier était posé sur la table devant Le Maître qui prenait son temps. Quand le moment arriva, le Noble ordonna au soumis de se lever et de prendre la lettre
- Tu prends ce courrier et tu vas le lire à haute voix, en levrette, coudes en appuis sur le sol afin que tu puisses lire. Pendant cette lecture, tu vas moffrir ton deuxième trou. Pendant que je vais forcer le passage de ton cul de pute, je veux que tu continues à lire comme si de rien nétait
Allez, en levrette et commence la lecture
Monsieur le Marquis sapprocha derrière le soumis et sortit son sexe. Olivier commença la lecture :
Mon cher Marquis, Je vous adresse ce jeune soumis. Connaissant votre savoir-faire je sais que vous allez en faire un bon chien docile ouvert et soumis à nos besoins de Dominants parmi notre Cercle Lyonnais, oui cest vraiment, jen suis certain, une bonne chienne ouverte
A ce mot le Maitre inséra son sexe entre les fesses dOlivier et il ordonna :
- Écarte mieux les genoux et ouvre-toi, la lope, je vais tenculer dun coup et ninterrompe pas la lecture
Olivier écarta au mieux les genoux afin de faciliter la pénétration du Noble et continua aussi la lecture :
Je connais votre méthode et je sais que la personne que je vous envoie deviendra à votre contact une bonne lope bonne à enculer pour nos tous
A ces mots, le Maître pénétra dune longue poussée Olivier qui sentit le Maître investir ses entrailles, mais il devait continuer la lecture :
car cest une lope innée et disponible et surtout vous en ferez une bonne chienne en chaleur en permanence grâce à votre savoir-faire
Monsieur le Marquis commença le va et vient sortant son long membre avant de lenfoncer de nouveau dans le fourreau anal. Olivier sentait toute la longueur le posséder, mais il resta concentré sur le courrier malgré les coups de reins qui commençaient à lui limer le cul profondément
(À suivre
)
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