Maux Hards : L'Enlèvement Au Travail

Je travaille de nuit, aux annonces classées du quotidien local. Un matin, comme tous les matins, je rentrais chez moi, quand on m'attrapa par derrière. On me mit une cagoule sur la tête et on m'attacha les mains dans le dos. On me poussa dans une voiture, et après, je ne me souviens pas.
Je me suis réveillé, allongé par terre, dans une pièce dont les murs étaient couverts de peintures érotiques parraissant médiévales. Une voix de femme lança un ordre :
- Relevez-le et ôtez-lui la cagoule !
J'étais au milieu d'une troupe de femmes, toutes plus jolies, les unes que les autres, et totalement nues. La femme qui semblait commander cette troupe, s'approcha de moi. Elle releva mon visage, et grommela :
- Eh ! Vous vous êtes surpassées, les filles. Celui-ci est craquant. Il ressemble à un éphèbe.
Je relevai la tête et je vis mes nappeuses.
- Mesdames, foutez-moi ça à poil !
Ces furies se sont jetées sur moi et m'ont arraché, le moindre centimètre carré de tissu pouvant me couvrir. La matronne s'est approchée, et a pris ma queue dans sa main. Puis, elle a soupesé mes couilles. L'air satisfaite, elle s'est retournée vers les femelles, et dit :
- On peut commencer ! Françoise ? Couchée sur le dos, par terre.
La dénommée Françoise s'est allongée à mes pieds. La matronne m'a pris par la queue et m'a conduit jusqu'à elle. Elle m'a fait m'agenouiller devant Françoise et a dirigé ma bite vers sa chatte.
- Prends-la ! Ordonna-t-elle.
Se retournant à nouveau vers les filles, elle jeta un bref coup d'oeil et s'adressa à une autre :
- Sally, la minette !
La dénommée Sally, enjamba le corps de Françoise, et s'assied devant son visage. Les mains de Françoise écartèrent les fesses de Sally et sa langue fouilla le petit trou de sa complice.

D'un coup de pied dans les miennes, la matronne m'intima l'ordre de lécher la moule de Sally.
- Ornella, le cul ! Lâcha-t-elle.
Par dessus les cuisses de Sally, je vis Ornella s'affubler d'un imposant godemiché. Une autre fille se mit à genoux et se mit à lècher le gode. Puis, juste avant de l'emboucher, elle se pencha vers moi et me glissa à l'oreille :
- T'inquiète pas, je vais le mouiller un max ! T'auras pas mal !
Quelques minutes plus tard, le sexe en plastique était au fond de mon cul.
- Mesdemoiselles ? demanda la matronne, l'une d'entre vous, connait-elle cet individu ?
Une salve de nons ! explosa.
- Je sais que nous avons juré de faire payer tous ces matchos ! Mais, vous venez de le déclarer, vous ne connaissez pas celui-ci. Il n'y a, il me semble, aucun indice confirmant qu'il ressemble aux autres, non ?
Une nouvelle salve nons, retentit.
- Alors, je propose que nous ne nous comportions pas comme ceux que nous honnissons. Pensons à lui ! Qui veut commencer ?
Toutes m'ont embrassé et sucé. A la fin, je me suis endormi, émerveillé et heureux. Au révéil, j'étais dans mon lit. Avais-je rêvé ? Si oui, qu'est-ce que ce mélange de parfums qui flottait dans ma chambre ? Et puis, le godemiché sur ma table de chevet...
Je ne savais plus discerner rêve ou réalité.
Je regardai le radio-réveil, et finalement je me décidai à me rendormir, des fois que mon rêve revienne. En attendant, mes cuisses et mon trou du cul me faisaient mal.

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