J'Ai Pervertie Ma Collegue -8-

Durant les 15 premiers jours de la reprise, je n’ai pas eu trop le temps de m’occuper de Fannie et encore moins de R. Quand vous revenez de vacances une tonne de dossier vous attendent au bureau. Fannie n’a pas arrêter de me dire de m’occuper de R, à un moment ça m’a pris la tête et je lui ai dit d’arrêter. Dès le samedi suivant, je dis à Fannie de passer chez moi pour 12h30. A son arrivée, elle est comme souvent en retard.
-tu sais que chaque retard est punit ?
-oui je sais, mais là ce n’est pas ma faute, il y….
-arrête, depuis une semaine tu me gaves un peu, alors je vais revoir les choses. 1-ton mec je vais m’en occuper, j’ai passé une annonce et j’ai sélectionné un mec que je vois aujourd’hui. 2- chaque retard de ta part devait apporter une correction, donc j’ai décidé que chaque retard sera un millimètre de cheveux de moins sur ta tête. Donc si tu es toujours en retard tu risques de finir sans un poil sur la tête, à toi de voir. Donc là nous allons allez chez Amina.
-quoi maintenant ?
-oui de suite, la punition prend effet immédiatement.
Je prends Fannie par la main et direction le salon d’Amina.
A notre arrivée, Amina nous reçois les bras ouvert.
-mais je n’avais pas de rendez-vous pour vous ?
-non Amina, mais là elle se fou de moi, alors tu peux me la prendre là ?
-mais oui, Anaïs va s’occuper d’elle.
Nous quittons le salon et arrivons dans une pièce attenante. Amina prend Fannie par le bras.
-toi tu restes là, je vais t’attacher de sorte à ce que tu ne partes pas. Nous nous occuperons de toi à la fermeture, tu n’as que 4 heures à attendre.
-mais vous n’allez pas me laisser là ?
-ta bourgeoise reste là ou pas ?
-oui, je vais avancer mon rendez-vous et je serais là pour la séance.
Amina ferme la porte et retourne à ses clientes. De mon côté je rencontre l’homme de l’annonce, c’est un magrébin d’une quarantaine d’année qui tient une épicerie.

Sa demande est clairement définit. Sa femme est au bled la plupart du temps, il cherche une bonne bouche et un bon cul pour se soulager. Il souhaite que cela puisse être régulier et sur le long terme. Je lui montre des photos de R dans différentes situation. Il semble très intéressé pour le tester rapidement. Nous finalisons la rencontre et prévoyons la première rencontre dès le lundi soir. De retour au salon d’Amina, je constate qu’il reste une dernière cliente, je m’assoie et attends son départ. Le rideau tombe, le salon ferme. Anaïs va chercher Fannie, Amina la réceptionne, moi je suis là juste comme spectateur.
-alors la petite bourgeoise on va enfin pouvoir jouer avec toi. Tu vois Anaïs c’est ma soumise, ma femme, ma chienne, c’est ce que tu vas devenir pour mon ami. Retire tes vêtements.
Fannie se met nue sans discuter, elle a compris qu’Amina ne plaisantait pas.
-regardez-moi ça, plutôt pas mal ta bourgeoise. Anaïs, prépare le matériel.
Fannie semble comme tétanisé par l’autorité d’Amina. Anaïs fait assoir Fannie sur un fauteuil, en s’asseyant elle ouvre son intimité à l’introduction d’un gode de bonne taille. Elle est attachée aux poignets et aux chevilles. Amina s’attaque aux cheveux de Fannie comme toutes les 2 semaines environ, puisque j’exige un rafraichissement régulier, elle lisse délicatement ces cheveux long lui tirant parfois la tignace suffisamment fort pour lui faire comprendre qui dirige. Anaïs se dénude entièrement, Fannie découvre une femme au sexe imberbe, les seins percé avec de gros anneaux et quatre petits anneaux aux lèvres du sexe. Anaïs att les deux seins de Fannie et les malaxe entre ses mains, venant de sa langue lécher les tétons, les pinçant avec les dents. Fannie est crispée, elle a peur de la douleur, puis d’un coup elle sursaute sur le fauteuil, Anaïs à déclencher le gode vibreur placé dans l’intimité. Anaïs tente de prendre la bouche de Fannie, mais elle refuse, Amina lui tire fermement la tête en arrière.

-non tu ne refuses rien beauté, aujourd’hui tu es le cadeau d’Anaïs et demain tu seras le mien et crois-moi ce n’est rien par rapport à ce qui t’attend. Rire… si tu ne veux pas que ma tondeuse dé de trop, évite le refus.
Fannie ne dit rien, voyant dans le miroir le reflet du visage d’Amina qui est le visage d’une femme sérieuse et déterminé. Anaïs revient à l’attaque de la bouche de Fannie qui cette fois ce laisse faire, même si la réserve est présente. Les langues s’entremêle, le corps de Fannie est caresser, les seins soupesés, malaxés, tiraillés, une des mains descend dans l’entre-jambe et vient caresser le clitos. L’effet ne se fait pas attendre, Fannie est vite réactive, un gode vibrant accompagné d’un massage de bouton, l’excitation est bien présente. Pendant ce temps Amina, placide coupe les cheveux de Fannie. Anaïs vient maintenant placer sa langue entre les cuisses de Fannie et branle vigoureusement le bouton déjà bien bandé. Fannie est dans le plaisir car Anaïs joue avec la vitesse de sa langue mais également avec les vibrations du gode, Fannie se tortille sur le fauteuil.
-bon j’ai terminé la coupe Anaïs, alors tu arrêtes avec elle.
-oui !
Fannie est détaché, le gode est retiré.
-maintenant tu vas faire la toilette de ma soumise et lui donner le plaisir.
Anaïs s’assoie sur le fauteuil encore chaud ou Fannie était, elle écarte les cuisses et appel du regard Fannie. Amina fait mettre, en la forçant Fannie à genoux entre les jambes de sa soumise. Fannie est e de lécher cette intimité, sa langue apprend à donner du plaisir à une femme. Amina à sortie d’un tiroir une cravache ce qui lui permet de diriger, orienter, de frapper les fesses et de tirailler le clito de Fannie. Anaïs, quant à elle prend son plaisir, elle couine sous les coups de langue de Fannie.
-oui appuis plus fort, oui comme ça c’est bon….
Anaïs écarte les lèvres de son sexe ouvrant son clitoris à la langue de sa butineuse.
-encore, appuis plus, plus vite, plus fort, plus vite, fais-moi jouir, oui, oui, ouuuiiiiiiiii
Anaïs vient de prendre son plaisir.
Amina retire immédiatement Fannie de l’entrecuisse de sa soumise, la positionne contre un autre fauteuil les fesses face à elle, penché en avant et lui fais écarter les jambes. Amina introduit un doigt dans le sexe de Fannie.
-oh mais dit dont tu mouilles comme une fontaine petite salope, tu as aimé bouffer la chatte de ma chose je vois.
Un deuxième doigt pénètre Fannie, une troisième et un quatrième tente d’entrer. Amina force l’intimité réalisant des vas et vient sans ménagement.
-regarder moi cette salope, j’y ai presque mis la main et elle aime en plus et sa coule et sa coule.
-alors ne lâche pas Amina, termine moi cette bourgeoise.
Amina baise de la main Fannie, son pouce venant de temps en temps taper le cul. Elle crache sur le petit trou histoire de le lubrifier et à chaque pénétration vaginale, le pouce entre dans la rondelle de Fannie. Le plaisir de Fannie sort, elle jouis mais Amina ne s’arrête pas pour autant, elle s’active toujours aussi rapidement dans l’intimité de Fannie qui n’arrête pas, malgré son plaisir déjà pris de couiner, de se trémousser.
-tu voulais jouir salope, et bien tu vas jouir.
-oui oui oui, j’en peu pluuusss.
A un moment, de la deuxième main, Amina la sodomise de deux doigts tout en continuant la labourage de l’intimité et là Fannie explose en criant violement.
-aaahhhhhh !rrrhhhhhhhh…..
Fannie reprend ses esprits, déboussolé par le plaisir qu’elle vient de prendre.
-bon voilà ta bourgeoise mon cher. Comme tu as pu voir elle vient d’écrire une nouvelle page dans sa vie.
-je crois que tu as raison Amina et je t’en remercie, nous allons y aller.
-oui et maintenant ma chienne d’Anaïs va s’occuper de sa maitresse, n’es-ce pas ?
-oh oui bien sûr.
Fannie habillé nous partons chacun de notre côté.
Le lundi matin au bureau, je contacte Fannie pour savoir si R est prêt pour ce soir.
-oui il est fin prêt pour ce soir et je veux être là pour la présentation.

-tu veux être là pour quoi faire ?
-je ne veux pas le laisser dans les mains d’un inconnu.
-tu m’as gaver pour que je m’occupe de lui, j’ai trouvé un mec sérieux et maintenant tu veux être là, pour une raison à la con… je dis non ! non et non. Toi tu m’attendras chez toi, c’est pas négociable.
-mais écoute …
Je raccroche le téléphone et reprends mon travail. Le soir je retrouve R dans le café convenu.
-tu es seul ? Fannie n’est pas là ? elle m’a gonfler pour être là.
-non t’inquiète pas, elle est chiante, je lui ai dit qu’elle devait te faire confiance et qu’une prochaine fois peut-être….
-c’est bien men, alors viens je te présente Khaled.
Kaled prend rapidement R en main lui expliquant ce qu’il attend de lui. R sera à disposition de Kaled, il ne fera aucune autre rencontre que ceux éventuellement présenté par Kaled avec mon accord. R devra être toujours rasé et tondu des cheveux, Kaled va tester R durant une semaine, si il assure durant la semaine, Kaled passera un contrat avec moi concernant le lopette. Je les laisse et retourne voir Fannie. A mon arrivée m’accueille avec un sourire.
-alors raconte-moi, comment ça s’est passé ?
-bien, bien , t’inquiète pas pour ta lopette de mec, de plus il n’est même plus à toi mais à moi.
-quoi ?
-bah oui ! c’est moi qui le gère donc il est à moi et je ferai ce que je veux de lui et sans te rendre compte de quoique ce soit, comme je fais ce que je veux de toi sans rendre compte de rien à personne.
Je l’att par le bras.
-allez à poil que je te foute une bonne fessée.
-mais pourquoi ?
-il faut un début et en plus tu me gaves avec tes questions.
Je la prends lui fait retirer le peu de vêtements qu’elle portait et la place face contre la table et je fais tomber le premier coup, et un autre et encore un autre et de plus en plus fort.
-aie aie, arrête ça fait mal.
-arrête de gueuler comme ça, pour ta première vraie fessée, tu auras 20 coups, oui sans pitié je suis et serais, maintenant que tu m’appartiens.
-ça brûle, je ferais ce que tu veux mais arrête…
-justement je veux la fessée, plus que 5 coups et c’est terminé.
Je fais tomber le dernier coup sur la fesse gauche de Fannie, les deux sont bien rouges. Je passe un doigt dans l’entrejambe et découvre son intimité mouillé.
-en plus tu mouilles et tu dis que ça fait mal, que tu n’aimes pas, mais ça t’excite petite garce.
J’enduis deux doigts de sa mouille et pénètre son cul.
-non, pas ce soir.
-pourquoi pas ce soir ? mais dit dont il est déjà bien ouvert ton cul, qu’est-ce c’est que ça ?
-tu ne me puniras pas ?
-non
-je me suis dilater toute seule, devant R, il me l’a demandé.
-ah oui !
Je plante ma queue direct à l’entrée du cul de Fannie et la prend sans grande précaution, je sais que le lubrifiant est déjà présent. Je laboure son fondement profondément et sans retenue, il est largement ouvert et lubrifié, je viens claquer mon pubis sur ses fesses mollassonnes et je la sodomise encore et encore.
-alors petite salope de bourgeoise, c’est bon de se faire prendre par le cul ?
-oui, oui , ouiii c’est super bon, tu me prends profond.
-tu aimes bien te faire posséder comme une chienne.
-je suis ta chienne, je veux être ta chienne.
-tu es ma chienne qui va devenir ma soumise.
Je continu à labourer le cul de Fannie, je sors et entre tout entier obtenant des râlements de Fannie. Je me retire, retourne Fannie, l’allongeant sur la table et la reprends par le cul de nouveau, insérant des doigts dans son intimité de femme soumise, jouant avec son clito, tirant sur ses lèvres. D’un coup Fannie explose son plaisir ce qui a pour effet de contracter son cul et de me faire me vider dans son trou bien ouvert pourtant.
-je vais te laisser maintenant, R va rentrer.
-non reste pour voir si tout c’est bien passé.
-t’inquiète pas pour lui, je suis sûr qu’il a assuré et qu’il s’est bien fais ramoner la rondelle telle une petite pute, ah ah ah ah…. !!!! bon je rentre.
-ne me laisse pas comme ça, attends qu’il soit là.
-j’ai le droit à quoi si je reste ?
-je ferais ce que tu désireras sans retenue.
-tu le fais déjà, tu es ma bourge que j’utilise, que veux-tu faire de plus ?
- je ne sais pas… tout ce que tu jugeras être bon pour moi, pour te servir, te satisfaire.
-c’est pas déjà le cas ?
-si mais tu veux que je sois ta soumise à toi seul, parce que de toute façon R est devenue ta lope, c’est même plus un mec, il ne me touche plus.
-bon ma soumise totale très bien je vais rester.
Fannie m’offre un café et nous discutons, puis R rentre. Il nous fait un récit de sa soirée chez Kader qui met Fannie en ébullition, je la voie réagir au récit de son mec.
-dit dont Fannie, puisque ce que ton mec vient de te raconter t’a donné envie et a dû mouiller tes cuisses, il va pouvoir s’occuper de toi, surtout qu’il n’a pas eu le droit de jouir avec Kader, il doit être plein.
Fannie me regarde, le regard à la fois hagard et pétillant.
-allez occupes toi de ta nana, tu la prends par ou tu veux, son cul est déjà graissé, je t’autorise, non je t’ordonne de sauter Fannie maintenant.
Fannie prend en bouche son mec, ne le laissant même pas se mettre nu, elle extirpe la queue du lope par la braguette et suce avec ferveur.
-ça t’excite de sucer ton batard de mec ?
-oui c’est un batard et j’aime le savoir soumis comme moi je suis soumise.
-a quatre patte Fannie, il va laper mon jus qui sort de ton cul, aller lèche moi ça petite batard, nettoie moi tout, après tu pourras la sauter.
R lèche toute trace de mon jus sur Fannie, sa langue nettoie centimètre par centimètre la raie du cul et les fesses.
-bon ça va, ça va tu peux te soulager dans ma soumise.
R ne perd pas de temps, la queue bien droite il empale Fannie par l’intimité et la besogne. Tel un puceau, il éjacule en peu de temps laissant Fannie sur sa faim.
-bon tu t’es bien vidanger j’espère, tu n’es pas prêt de pénétrer ta Fannie, dès samedi je te colle une cage de chasteté. Kader viens de ma valider par sms qu’il te garde pour lui. Tu passeras samedi après-midi avec Fannie que je te pose ta cage. Je dois y aller, demain faut aller au bureau.
Je laisse mon batard et ma soumise.
Dois-je continuer à m’occuper de ces deux-là ? Je me pose la question. Dois-je abandonner, alors que maintenant Fannie m’est quasiment totalement soumise ?



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