Max Repousse Mes Limites

Résumé de l’épisode précédent :

Pour la première fois de ma vie, je trompe mon conjoint avec Max, dernier arrivé dans notre société. Max m’a fait découvrir des plaisirs intenses, mais je ne tiens pas à entretenir une relation extraconjugale.


Depuis ce fameux après-midi où nous avons batifolé ensemble, rien n’a changé, rien ne laisse paraître à nos collègues de travail que Max et moi avons eu une aventure. Il faut dire que nous sommes très attentifs à nos attitudes l’un envers l’autre de façon à n’éveiller aucun soupçon. Cela fait déjà trois semaines que j’ai commis l’irréparable, et je peux vous dire qu’après autant d’années de fidélité, il n’est pas facile de vivre avec cette culpabilité sur la conscience.

Avant ce jour-là, il aurait été inconcevable pour moi de vivre une relation sexuelle de soumission irrespectueuse comme celle que Max m’a fait vivre. Si j’avais dû savoir ce qui allait se passer avant que cela ne m’arrive, je n’aurais jamais accepté. Ce qui me trouble le plus, c’est que depuis cette relation, je ne suis pas outrée, je ne lui en veux pas de m’avoir traitée de la sorte et, bien au contraire, je n’ai aucun regret car il m’a été très agréable de profiter de ce moment charnel.

Cela fait deux fois que Max me relance, mais sans succès car je ne tiens pas à entretenir une relation extraconjugale ; je ne fais pas partie des femmes qui peuvent avoir un amant régulier et qui rentrent chez elles le soir pour vivre leur vie de famille au côté de leur conjoint comme si de rien n’était. Je préfère considérer cet écart comme une prise de plaisir sans lendemain, comme la réalisation d’un fantasme tant imaginé jusqu’ici.

Nous parlons toujours beaucoup, mon mari et moi ; aucun sujet n’est tabou, mais il m’est impossible de lui avouer mon écart. Bizarrement, malgré tout l’amour que j’ai pour lui, depuis cet adultère je prends beaucoup moins de plaisir lors de nos ébats ; mon esprit reste constamment figé sur ce que m’a fait vivre Max, et cela malgré le fait que ce jour-là je n’ai pas atteint l’orgasme que j’avais imaginé dans mes fantasmes les plus fous.

J’étais consciente que face aux nouvelles avances de mon amant d’un jour, ma résistance était fragile ; je craignais que le désir de renouveler cette expérience au moins une fois dans ma vie soit plus fort que ma raison.

Dans les jours qui ont suivi, un matin, devant notre machine à café qui est le point de rendez-vous quotidien de notre équipe à l’embauche, Max a trouvé l’occasion de me relancer discrètement une nouvelle fois lorsque nous étions seuls.

— Alors, ma belle, tu ne te laisserais pas tenter une seconde fois par un petit moment tendre et câlin ?


Maintenant que je savais de quoi il était capable dans l’intimité d’une relation, je savais que son discours charmeur n’était qu’un moyen de m’attendrir et que le moment câlin proposé serait plutôt de l’ordre de la vulgarité et la domination. Mais, pour être honnête, je m’interrogeais : me retrouver dans une telle situation, finalement, n’était-ce pas ce que j’avais le plus apprécié ?

— Je ne sais pas, je ne suis pas sûre.
— Qu’est-ce qui te retient ?
— Je ne souhaite pas entretenir une relation extraconjugale ; j’ai apprécié notre moment, mais je considère qu’il ne serait pas raisonnable de le renouveler.
— Rassure-toi, je ne souhaite pas une relation suivie, tu le sais bien. Je te propose uniquement de prendre du plaisir.
— Je ne sais pas ; je ne préfère pas.
— À moins que tu n’aies pas apprécié la dernière fois et que tu n’oses pas me le dire ?
— Non, ce n’est pas ça du tout ; j’ai un petit peu honte de l’avouer, mais c’était bien.
— Moi aussi, j’ai beaucoup aimé. C’est pour cela que je te relance : je voudrais revivre ce moment.
— Bien, mais cette fois-ci, si quelque chose ne me convient pas et que je te dis non, il faudra m’écouter !
— Bien sûr, si c’est ce que tu souhaites. Tu pourrais te rendre disponible une nuit entière ?
— Ça me paraît difficile : en plus de mentir par omission à mon mari comme je le fais actuellement, il faudrait que je lui invente une excuse.
Tu sais, je n’ai jamais découché.
— Pour ton mari, tu pourrais par exemple devoir suivre une formation de deux jours sur Nice, ou…
— Tu penses vraiment à tout pour arriver à tes fins… Tu vas même jusqu’à imaginer le mensonge que je peux balancer à mon conjoint !
— Je cherche à t’aider.
— Admettons. Et que proposes-tu pour cette nuit ?
— Je te propose de te servir le petit déjeuner au lit le lendemain matin après une nuit érotique et sensuelle.
— Je vais y réfléchir.


Sur ces mots, nous avons rejoint chacun notre poste de travail. Je savais que j’étais sur le point de ne plus pouvoir lui résister. Le soir, à la débauche, Max s’est arrangé pour me suivre jusqu’à mon véhicule.

— Alors, tu as réfléchi ?
— OK, mais j’ai besoin d’un peu de temps pour m’organiser. On programme ça pour la nuit de lundi prochain, ça te va ?
— Bien sûr que ça me va.


J’ai passé les jours suivants et le week-end à ne penser qu’à cette future nouvelle rencontre. Seul mon corps était présent lorsque je faisais l’amour à mon cher et tendre, mon esprit était hanté par la nuit à venir.

Ce lundi soir, ayant prétexté un déplacement imprévu le mardi nécessitant mon départ la veille, mon conjoint m’a accompagnée à la gare vers 18 heures ; j’étais censée prendre le train une demi-heure plus tard. Après m’être assurée qu’il était bien reparti, comme convenu j’ai envoyé un texto à Max qui s’est empressé de venir me récupérer.

Son accueil chez lui a été cette fois plus agréable ; il a pris le temps de me mettre à l’aise, sans aucun contact corporel. Il m’a proposé un apéritif avant de me suggérer un petit plat que j’ai accepté volontiers. Nous nous sommes ensuite installés confortablement sur son canapé, l’un contre l’autre pour nous embrasser langoureusement ; ses mains se baladaient sur mes seins encore vêtus.

— On va dans ma chambre ? On sera plus à l’aise.

— OK.


Arrivés dans sa chambre, nous nous sommes déshabillés en nous observant. Mon cœur commençait à battre rapidement, mes sens s’éveillaient ; à cet instant, mon sexe laissait déjà s’écouler mon désir entre mes lèvres intimes. Sans oser en faire la remarque, mon attention s’est portée sur les petites cordelettes qui entouraient chaque pied de son lit. Sans avoir eu le temps d’analyser précisément l’intérêt de ce que je venais d’apercevoir, Max m’a attrapée par la main pour me guider vers son lit où il m’a fait m’asseoir sur un coin du matelas. Il s’est installé debout devant moi, entre mes jambes, son sexe raide face à mon menton.

— Tu me branles un peu ?


J’ai posé ma main gauche sur sa jambe. De ma main droite j’ai entamé un massage sensuel de son bâton rigide ; à chaque décalottage de son gland, je pouvais apprécier sa forte odeur. Je prenais soin de bien serrer mes doigts autour de cette tige pour lui infliger un maximum de sensations à chaque va-et-vient. C’est accompagné de petits soupirs bruyants qu’il a attrapé ma tête pour diriger mes lèvres sur son sexe. Son attente était évidente : il voulait se mettre au chaud au fond de ma gorge.

J’ai pris sa tige en bouche dans l’intention de le sucer sensuellement comme j’ai l’habitude de pratiquer cette caresse, mais j’ai immédiatement compris que ce n’était pas ce qu’il attendait lorsqu’il a maintenu fermement ma tête avec ses mains de façon à la rendre immobile. Il alors agité son bassin comme s’il prenait une chatte : il me baisait la bouche. Il a imposé un rythme rapide à ses mouvements ; son sexe venait frapper mes amygdales à chaque butée. Le ton de la soirée était donné, notamment lorsqu’il a lâché tout son sperme au fond de ma gorge en prenant soin de bien accen la pression de ses mains sur ma tête pour se maintenir au plus profond.

— Ah, ça fait du bien de se vider dans la bouche d’une salope !


Bien évidemment, je m’attendais à entendre un tel langage de sa part ; je n’étais pas choquée, et encore une fois, sans pouvoir l’expliquer, je ressentis une certaine excitation à être traitée de la sorte.


— Allonge-toi sur le lit, sur le dos. Je vais te baiser.


Tout en terminant de déglutir pour finir d’avaler sa semence, je me suis exécutée, jambes écartées, prête à le recevoir.

— Je t’ai réservé une petite surprise ; je vais te faire découvrir un plaisir que tu n’as encore jamais connu.


Inquiète et excitée à la fois, je l’ai immédiatement questionné pour savoir ce qu’il avait en tête :

— Quel type de surprise ?
— Je vais lier tes poignets avec cette petite corde que je vais ensuite attacher aux pieds du lit. Tu vas voir : les filles qui aiment se faire dominer adorent, ça multiplie leur plaisir.
— Je ne suis pas sûre de vouloir essayer…
— Tu es venue ici pour prendre du plaisir, n’est-ce pas ? Il me semble que tu n’as rien regretté de notre première rencontre ?
— Oui, c’est vrai.
— Alors fais-moi confiance, laisse-moi faire.


En moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, mes poignets étaient ligotés, chacun à partir d’un pied de lit. Je comprenais désormais à quoi étaient destinés ces liens que j’avais aperçus un peu plus tôt. Les bras ouverts – les liens étant assez courts –, mes mains ne pouvaient se déplacer au-delà de chaque bord du lit. Max s’est installé sur moi, il a posé son sexe à l’entrée de mon vagin avant de le pénétrer sans ménagement. Il m’a baisée énergiquement de longues minutes ; son endurance était toujours aussi exceptionnelle. Lorsqu’il a deviné mon orgasme proche, il s’est retiré de mon conduit. J’étais frustrée : pourquoi agissait-il ainsi ?

— Ne bouge pas, je reviens, dit-il ironiquement.


Comment pouvais-je bouger ? Il est sorti de la chambre. Son absence me paraissait interminable. Que pouvait-il faire ? J’ai entendu du bruit ; je vous laisse imaginer ma stupeur lorsque Max est réapparu dans la chambre accompagné d’un jeune homme.

— Max, s’il te plaît, détache-moi, je t’en prie !
— Je te rappelle que tu es venue ce soir pour te faire baiser comme une salope. Samy est ici pour me donner un coup de main à accomplir cette tâche. C’est bien toi qui m’as dit que tu fantasmes d’avoir deux hommes dans ton lit ? Eh bien, on va te faire ce petit plaisir, ma chérie !


Telle une prisonnière, je ne pouvais m’échapper. J’ai pensé un instant à crier au secours aussi fort que je le pouvais, mais je ne saurais expliquer pourquoi je ne l’ai pas fait ; je suis restée sans voix. Peut-être que mon inconscient me l’interdisait, peut-être qu’au fond de moi je souhaitais être prise telle une salope par les deux beaux gosses qui se proposaient de réaliser mon fantasme.

À tour de rôle ils se sont allongés sur moi. Ils m’ont prise avec déchaînement ; j’étais abondamment souillée par leurs spermes qui se sont mélangés à plusieurs reprises dans mon bas-ventre. Plus tard dans la nuit, ils m’ont détachée. Max s’est allongé sur le lit et m’a demandé de venir m’empaler sur son sexe ; Samy s’est installé derrière moi pour étaler du gel sur mon petit trou avant de venir le dilater avec sa tige raide. Pour la première fois de ma vie je découvrais que le plaisir que l’on ressent lors d’une double pénétration est bien plus puissant que ce qu’un fantasme pouvait me laisser imaginer. Samy, qui jusqu’ici était resté assez silencieux, a trouvé bon d’exprimer son plaisir en s’adressant à Max :

— Ah oui, en effet, tu avais raison : il est vraiment étroit, son trou du cul ! Je vais devoir y aller tout doux.
— Je te l’avais dit : son dépucelage anal est tout récent.


Ces deux queues se sont mises en mouvement dans mes conduits, d’abord lentement, puis beaucoup plus frénétiquement. Samy a joui assez rapidement et il s’est retiré le premier de mon corps, laissant s’écouler son sperme chaud jusque sur le sexe de Max qui poursuivait ses mouvements dans mon vagin.

Nous avons multiplié les actes sexuels une bonne partie de la nuit ; Samy nous a quittés au petit matin. Pour ma part, j’ai été réveillée par l’odeur du café que Max m’a gentiment apporté au lit en fin de matinée. Nous avions tous les deux posé un congé pour cette journée du mardi. L’après-midi, Max en a profité pour me faire découvrir certains de ses jouets érotiques en attendant de me raccompagner à la gare où mon mari devait venir me récupérer en début de soirée.

Encore une fois, si j’avais dû savoir ce qui allait se passer cette nuit-là avant que cela se produise, je ne l’aurais jamais accepté ; mais maintenant que je l’ai vécu, je dois me rendre à l’évidence et être honnête : j’y ai pris beaucoup de plaisir !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!