Sexe Dans Les Jardins Communaux

Depuis l’an dernier je suis a la retraite pour m’occuper et échapper a la ‘tyrannie’ de ma femme je cultive un jardin communal a l’extérieur de la ville, jusqu'à il y a trois mois nous étions trois potes, Laurent Adrien et moi Yves, nous échangions pas mal de choses : jardinage et surtout histoires de cul !

hélas Adrien, le locataire du jardin situé entre celle de Laurent et la mienne, nous a quitté subitement suite a un a.v.c laissant une parcelle en pleine culture et ce n’est pas sa femme a demi paralysée qui peut prendre la suite, et puis un beau matin une petite blondinette est apparue, Vanessa celle dont parlait souvent son oncle en la traitant de ‘très délurée ‘avec un clin d’œil appuyée, un rictus sur la bouche et le pouce levé, nous n’avons jamais osé approfondir a quoi il faisait allusion mais ce devait être corsé …

Ne sachant pas trop faire la différence entre une bêche et une fourche, avec Laurent l’autre voisin de jardin nous l’avons briffée et conseillée et en même temps ‘apprivoisée’, nous la charrions souvent sur ses tenues pour travailler la terre, botte en caoutchouc, mini-mini short et top très … très court, la poitrine libre a en juger par ses seins lourds qui ballotent au rythme de ses mouvements, nous lui avons aussi appris que ‘biner’ n’était pas spécialement grossier !
Certains jours j’avoue que je la matais au travers des planches mal jointes de ma cabane … je me massais le paquet lorsque je voyais ce short qui lui moulait à la perfection cul et chatte lorsqu’elle était penchée de dos ou sa poitrine nue par l’échancrure du top, lorsque je dis ‘masser le paquet’ je finissais souvent par une branlette intégrale

Un après midi de plein été l’orage menace, je suis a l’ombre dans ma cabane, Vanessa arrache des mauvaises herbes, ses longs cheveux blonds collés au visage lui donnent un look de star de films ‘érotique’ pour rester poli, son corsage trempé colle dans cette vallée torride, même la raie du short bien humectée laisse deviner certains horizons.

.. que ce doit être délicieux de lécher un tel abricot que j’imagine fendu par la chaleur … je bande …
N’y tenant plus je sors pour aller me rafraichir avec le tuyau d’arrosage que je tiens en pluie au dessus de moi, bientôt mon marcel trempé colle littéralement a mon torse, cela fait rire Vanessa qui plaisante sur mes pectoraux

- Tu te moque ? vient voir ici … tient att ça !
- Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhh c’est froid ! …. Mais c’est si bon ! continuez Yves !

Je me prends au jeu et pulvérise littéralement la jeune fille de la tête aux pieds… soudain je lâche le jet qui continue à couler sur l’allée, le spectacle est suffoquant …ses seins apparaissent comme si rien ne les cachaient, les aréoles et les tétons crèvent le tissu… la toison pubienne est visible au travers du short blanc, s’apercevant subitement ce qu’elle montre au lieu de fuir se cacher elle prend le jet et finit de m’arroser , elle aussi a un certain moment relâche le tuyau, les yeux grands ouverts elle mate mon short détrempé… je baisse aussi les yeux, ma queue qui n’a pas perdu de volume, bien au contraire, je ne porte jamais de slip, forme un barre qui atteint ma cuisse

Soudain Vanessa titube, ce n’est sans doute pas la vision de mon sexe qui la perturbe, j’ai juste le temps de la rattr avant qu’elle ne tombe lourdement sur le sol, évanouissement sans doute un choc thermique, que faire de ce corps brulant sinon l’emmener sur le lit de fortune de ma cabane ?
Avoir ce corps frêle avec une apparence quasiment nu dans les bras n’est pas pour faire descendre la tension de ma queue bien au contraire, je dépose mon délicat fardeau sur la couverture
La première chose que je fais c’est de la débarrasser de ce corsage froid qui colle à sa peau …. quelle merveilleuse découverte que ces seins qui s’affaissent a peine de part la position allongée,

Les aréoles et les tétons sont rétractés, je m’empare d’un teeshirt propre et sec pour essuyer son torse alors que je devrais lui donner des gifles pour la faire réagir …a mon grand étonnement les tétons s’allongent et les aréoles s’élargissent preuve que la fille n’est pas complètement inconsciente, pour savoir si elle simule je vais directement dégrafer son short, la toison bouclée collée par l’eau apparait, au risque d’en prendre une je tire sur les jambières comme par miracle les fesses ses soulèvent pour aider au glissement de la toile rêche… ainsi Vanessa est parfaitement consciente et consentante que je la dénude …, une fois le short a terre je me penche pour aspirer un bout de sein complètement étiré tandis que ma main va entre les cuisses déjà séparées, elle ne peut réprimer un tressaillement de bonheur, mon majeur fend la toison pour décoller les lèvres et s’enfoncer dans le volcan surchauffé, mon doigt trouve immédiatement le point G et le gratte en tournant, Vanessa tend le ventre pour me confirmer ce que j’avais deviné : elle a envie de caresses, ses bras se nouent autour de mon cou et m’attire a elle

- Caresse moi … mon tonton le faisait dans sa cabane de jardin, c’est là qu’il m’a dépucelée il y a deux ans, j’y suis revenue souvent avant qu’il ait cet accident cérébral … je le regrette énormément
- C’est pour compenser sa disparition que tu me piège ainsi ?
- Oui …fait moi du bien Yves …
- Pourquoi moi plutôt que ton autre voisin Laurent ?
- Il n’est pas exclu de mes pensées …mais depuis que j’ai vu ton membre raide sous ton short mouillé je préfère commencer par toi !
- Tu pense coucher avec lui aussi ?
- Pourquoi pas ? ! déshabille-toi et occupe toi de moi à présent…

Trente secondes m’ont suffit pour me désaper, Vanessa tend la main vers ma queue qui me précède de vingt deux centimètres

- Met la dans ma bouche … mmmuuuuummmmmmmm qu’elle est boooooonnnnnne !
- Je suis encore assez souple pour te lécher la figue en même temps
- Je me serre, allonge toi …

Tous deux sur le flanc nous procédons a un merveilleux soixante neuf, mon gland est aspiré, léché, mordillé, je fais pareil avec son clitoris rose bonbon, j’en profite pour enfoncer mon nez dans son anus bordé de duvet qui cède sous ma poussée… est-elle vierge de ce coté ? je n’ai pas le temps de rêver car un liquide chaud et salé envahi mon palais, la jeune fille se colle a moi pour sombrer dans un formidable orgasme étouffé par ma bite, je lui fait plaisir en déchargeant sans retenue dans sa gorge, il était temps car je n’ai plus vingt ans et la position me faisait mal aux reins !

- Comment veux-tu me prendre Yves ?
- Ça te gêne si je m’allonge ?
- Je te chevauche ? chouette j’adore mener la danse !

L’instant d’après elle s’empale et s’assied sur mes burnes, son vagin fait quelques massages a ma hampe avant qu’elle ne prenne appuis sur mon torse pour décoller sa touffe de la mienne, Vanessa monte et descend lentement savourant ma grosse bite cherchant en même temps a masser ses terminaisons réceptives, j’empoigne ses deux mamelles dans mes mains…vive les jardins communaux ! soudain la lumière du jour inonde la pénombre intime de la cabane …

- Yves ? Vanessa ? Oh pardon ! je crois que je dérange…
- Reste Laurent ! nous parlions justement de toi il y a un instant !
- AAAH ?
- Referme la porte en vitesse et déshabille toi aussi, ma chatte peut supporter deux bites a la fois
- Vanessa ! quel langage moi qui te prenais pour un ange !
- Mais je SUIS un ange ! chargé de faire le bien autour de moi !
- Il ne faut pas me le dire deux fois, regarde comme je suis en forme !
- Ne va pas nous faire un infarctus vieux ! dépêche toi de nous rejoindre nous ne bougeons plus

A genoux derrière le cul de la jeune fille il dirige sa verge sur la mienne, qui m’aurait dit qu’un jour nos queues seraient comme deux doigts de la main ! Vanessa attend patiemment qu’il fasse un passage pour entrer dans sa grotte, soudain elle se raidie, la verge glisse sur la mienne créant chez moi une sensation nouvelle nullement désagréable

- Allez y mes amours bourrez moi autant que vous le pouvez
- Le temps de trouver nos marques et c’est parti
- Enfonce toi Yves je recule …j’avance … je recule … j’avance …
- Accélérez les retraités ! … voilà ! rrrrrrrhhhhhaaaaaaa que c’est boooooooonnnnnnnnn !
- Heureusement que j’ai joui tout a l’heure car c’est tellement bon que j’aurais déjà tout balancé dans son con !
- T’as déjà déchargé Yves ?
- Oui, dans sa bouche
- T’es encore vert mon salaud, si tu jouis avant moi je lui prends le petit !
- Binez moi, labourez moi, foutez moi le fion et la moule en champ de bataille ! ça commençait à être en friche depuis la disparition de tonton
- Oui Laurent, t’as bien entendu, elle baisait avec Adrien
- Je m’en doutais … il a bien fait de prendre du bon temps le bougre
- Tonton m’a tout appris, y compris la sodomie, même la double pénétration
- Aaah ? avec qui ?
- Avec un manche de pelle, quel amant infatigable ! continuez je vais partir … allez ! allez ! allez ! ah-ah-ah-ah-ah- aaaaaaaaahhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaooooooouuuuuuuuiiiiii !
- Je pisse dans ta moule de salope !
- Moi aussiiiiiiiiiiiiiii !

Notre trio s’effondre en sueur, Vanessa encore prête à baiser nous encourage en exhibant sa chatte poisseuse

- Vous n’allez pas me laisser à demi satisfaite ?
- Tu en veux encore ? tu va en avoir, j'avais préparé de beaux légumes pour faire la soupe, cette belle carotte et ce beau poireau suffiront ? il a même les racines au bout rien de tel pour réveiller ta chatte, et cette carotte elle a le diamètre de ton poignet
- Un poireau? il est super pour ma chatte et pour mon p’tit trou ?
- Cette carotte ?
- Impec !
- A quatre patte ma belle
- je suis habituée, tonton se servait de sa récolte lorsqu'il avait des pannes !

La scène est incroyable, chacun un légume à la main, vissant délicatement les légumes dans les cavités de la jeune femme qui, la joue collée à la couverture, attend patiemment d’être enfilée par ces bites factices

- Ça fait drôle …c’est plus dur qu’une bite, enfoncez encore un peu … à présent touillez, décrivez des cercles …hhhhhhhhhhhuuuuuuuuuummmmmmmmm c’est booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn, faites des mouvements d’avant en arrière aussi … rrrrrhhhhhhhhhhhhaaaaaaaaaaaaaa !!! oui-oui-oui-oui-oui !! encore !encore !
- Mais c’est qu’elle me fait rebander cette chaudasse !
- Moi aussi, regarde ma bite !
- Dés qu’elle a jouis retirons les et rebaisons-là !

Bloquée entre nous deux Vanessa en redemande encore et encore, en double, deux verges dans le même trou, nous réinventons le kamasoutra ! nous avons dormi tout l’après midi, depuis l’herbe pousse dans nos jardins mais le persil qu’elle a entre les cuisses est très bien entretenu !

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