La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°709)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°708) - Le temps des présentations -

Alors je m’exécute, je m’agenouille tandis que le coach a déjà sorti son volumineux sexe qu’il me présente. En effet, je vois apparaître devant mes yeux une queue plutôt longue et d'une épaisseur impressionnante, un véritable taureau, à la vue de ses énormes couilles pendantes ! Le coach bande effectivement déjà, comme il l’a dit lui-même, et d'un coup de reins sec et puissant, il enfonce son pénis entre mes lèvres, emplissant ainsi ma bouche et l'entrée de ma gorge... J'étouffe... mais peu lui importe, tant qu'il peut ainsi faire aller et venir son gros sexe dans la gaine chaude et humide de ma bouche soumise... Sa main pèse lourdement sur ma nuque et je suis dans l'impossibilité de résister... Je commence à paniquer car j'étouffe vraiment. L'air manque... mais c'est alors avec soulagement que je sens assez rapidement un flot épais emplir ma gorge... Il vient d'éjaculer et sa semence abondante se répand dans ma bouche de putain… Il m’impose de tout avaler et de lui nettoyer son gland et sa hampe. Puis il me fait lever et emmener les sandwichs et ensuite revenir chercher les bouteilles d’eau…

Nous nous restaurons, tous debout et toujours en rang, silencieux, parfaitement alignés. Dès que nous avons terminé, le coach nous emmène dans le bâtiment se trouvant à l’entrée de la propriété, servant de garage au rez-de-chaussée. Là, nous montons à l’étage en file indienne et découvrons une immense mais bien étrange pièce. Sont érigées des poutres épaisses de bois, toutes à la verticale, tenues au sol par un empiècement métallique. Face à ces poutres que l’on peut appeler d’épais mâts ou piloris, une longue estrade, sur laquelle sont placées des bancs en bois.

- Vous allez tous vous placer devant un pilori, debout, dos contre la poutre. Et je ne veux entendre aucun bruit !

J’ai sur ma droite une très jeune soumise asiatique, très belle mais semblant frêle et fragile, sur ma gauche un mâle semblant venir du fin fond de l’Afrique et plutôt robuste, d’une cinquante d’année.

Parmi cette cinquantaine d’esclaves, il y en a de tous pays, de tous continents ! Il est aisé de conclure qu’apparemment la planète entière est représentée ! Toujours tête basse, je reste sans un mot et me laisse attacher mains et chevilles, par un court cordage, mes pieds de part et d’autre du pilori, mes poignets et mains tenues liés derrière cette massive et verticale poutre de bois. Je ressens une bien étrange sensation au milieu de toute celles et ceux, comme moi, asservis et attachés. Tout autant stressé qu’excité, je me complets à m’afficher sans le moindre ressenti de honte. Et je peux affirmer que c’est le cas de tous les autres, car aucun ne montre de la gêne, de la pudeur, tous, à mon instar, ont l’air d’être si heureux de se trouver en cette situation peu ordinaire. Qu’il est bon de vivre sa soumission au grand jour, sans scrupule ni complexe comme tous mes congénères présents. Ma bite s’agite dans cette lourde et imposante cage de chasteté. Je rêvasse encore lorsque j’entends des voix et des pas s’approcher.

Ce sont une cinquantaine de personnes qui entrent en discutant, mais lorsque celles-ci nous voient, toutes se taisent et se figent en contemplant cette forêt de mâts sur lesquels sont tenus offerts et attachés leurs chiennes et chiens soumis. Monsieur le Marquis est là, l’œil rieur et n’est pas du tout interloqué. Il semble ne pas être surpris de découvrir ce décor à la fois grandiose et impudique. Monsieur Armand, l’att par un bras et lui chuchote quelques mots à l’oreille. Tous deux s’esclaffent ! Jamais je n’ai été exposé devant un si grand nombre de Dominantes et de Dominants et je ne sais pas pourquoi, mais à ce moment précis, je ne ressens aucun déshonneur, ni même le moindre affront, au contraire, mon être tout entier s’empare d’une extraordinaire fierté ! Fierté d’appartenir, d’être la propriété, d’être la possession... Je me surprends même à gonfler la poitrine, à dégager mes reins jusqu’ici en appui contre cette poutre pour les cambrer, les arc-bouter et les cintrer.


Maintenant les Maîtres et Maitresses se sont assis, les conversations ont repris dans un joyeux brouhaha. Des index se pointent sur nous, chacun montrant à celui assis près de lui ou d’elle sa soumise ou son soumis. Le silence à bien du mal à se faire, quand bien même Monsieur Armand cherche à l’obtenir...

- Mesdames, Messieurs, s’il vous plait…

Il ne cesse à répéter cette phrase, jusqu’au moment où Monsieur le Marquis à son tour se lève avec son charisme légendaire, son autorité naturelle, sa stature impressionnant, sa force tranquille et c’est en frappant dans ses mains.

- S’il vous plait, (voix plus forte : ) S’il vous plait ! Chers Amis venus de tous pays, chers Maîtresses et Maîtres, un peu d’attention, notre Hôte cherche à s’exprimer.

Et là, d’un coup d’un seul, toute l’assemblée se mut dans un silence parfait.

- Merci mon Cher Edouard … Chers Maîtresses et Maîtres, merci à Vous toutes et tous d’être venus jusqu’ici en Suisse, pour organiser ces premiers Championnat du Monde appelés Mondiaux de la Domination/soumission et qui se dérouleront, du 8 au 18 juillet prochain. Je ne sais où encore, à nous, entre autre, de définir en votant tous ensemble ce lieu, pendant les trois jours que nous allons passer ensemble ici. Vous êtes venus du monde entier avec votre meilleure chienne ou votre meilleur chien soumis que vous voulez voir concourir… Pendant ces trois jours, sans perdre de temps, nous aurons à jauger de leur capacité physique, mentale et sexuelle afin de confirmer leur sélection dans ces Mondiaux. Nous représentons le Comité d’Organisation, autant que nous tous (et notre esclave pour chacun d’entre nous) seront participants à ce Championnat du Monde. J’espère que toutes ces salopes sauront démontrer leur motivation afin d’être cooptées pour participer à cette perverse mais néanmoins délicieuse manifestation mondiale qui décernera à l’issue de la compétition, le Champion du Monde du meilleur Maître mais aussi le champion du Monde du meilleur esclave.
..

Des applaudissements retentissent, Monsieur Armand est contraint de se taire quelques instants. Je profite de ce temps, pour remettre mes idées en place : Ai-je bien tout compris de ce qu’on attend de moi ? Une compétition internationale entre esclaves ! Voilà qui n’est pas banal… Que va-t-on exiger de nous ?

- Mesdames et Messieurs, avant même de commencer nos travaux, je vous propose dans un premier temps de faire quelques photos de nos sujets ainsi exposés. Je les trouve magnifiques ainsi contraints, tous avec le même uniforme et apparemment avec la même envie, le même bonheur d’être ce qu’ils sont, ça se voit rien qu’à les regarder !… Une belle idée de Monsieur le Marquis d’Evans, ne trouvez-vous pas ?
- Bravo Edouard ! Lance une Dominante quelque peu excitée par la situation.

Les photos sont faites par le coach, plusieurs vues d’ensemble, jusqu’au moment où une Dominante se lève et arrive près d’une femelle. Elle soulève par devant sa marinière, ôte l’encolure et lui passe le pan de celle-ci derrière la tête afin de dégager sa belle et généreuse poitrine.

- Ne croyez-vous pas que c’est mieux ainsi ?
- Bravo, bravo !
- Même si je trouve l’idée de l’uniforme excellente, ces salopes doivent avoir l’habitude d’être nues, Non ?
- Oui ces putes doivent exhiber leurs mamelles !

Cette fois-ci, c’est un Dominant qui vient d’intervenir à la cantonade. Des applaudissements nourris retentissent encore. Alors la Dominante zélée, s’arrête devant moi et me questionne :

- Et toi aussi tu es une putain ?

Je me contente d’acquiescer par un mouvement de tête de haut en bas.

- Réponds lorsque je te parle
- Oui Madame, je suis une putain !
- Toi aussi, tu as besoin d’exhiber tes tétons ?
- Comme il vous plaira Madame.

Alors la Dominante soulève ma marinière et me la passe derrière la nuque, puis se saisit de mes deux tétons entre ses pouces et index…
- Dis-moi encore que tu es une putain !
- Oui Madame, je suis une putain…
- Et tu es une putain appartenant à qui ?
- A Monsieur le Marquis d’Evans, Madame.


La perverse Dominante subitement lâche mes tétons, se retourne en direction de Monsieur le Marquis, comme si elle était navrée de m’avoir fait subir l’affront devant tous ceux présents. Le Maître, voyant cette Dominante quelque peu désemparée, s’adresse alors à elle :

- Ma chère Amie, certes ce chien m’appartient, mais s’il est ici, c’est pour que tous, vous puissiez en disposer comme vous l’entendez. Je ne souhaite pas qu’il soit privilégié parce que ce chien est Ma Propriété. Au contraire même, z-en à votre gré !

Alors la Dominante, fait un véritable signe de remerciement empli d’une immense admiration et respect envers Monsieur le Marquis et sans hésiter une seconde de plus, elle me reprend les tétons et s’amuse à me les r en poussant sa perversité. Ses ongles parfaitement manucurés pénètrent mes chairs sensibles jusqu’à me faire gémir et grandir, autant que possible, ma bite encagée a du mal à rester tranquille, si elle pouvait s’exprimer, il y a longtemps qu’elle serait dressée au zénith.

- Tu es une bien belle et grosse salope toi ! Mais c’est normal ! Car nous savons tous ici que Monsieur le Marquis d’Evans possède un des meilleurs, sinon le meilleur Cheptel d’esclaves au monde …
- Oui Madame, je suis une belle salope.
- Et en plus tu mouilles.

La séquence photos est maintenant terminée. Il est alors décidé que chaque esclave doit être présenté individuellement. Accompagné du Maître ou de la Maitresse, l’esclave devra être détaché et mis totalement nu, hormis son collier gardé autour du cou. Et c’est ainsi, que par l’ironie du sort, je suis le premier à être exhibé. Le Maître exige qu’on me libère de mes entraves, qu’on m’ôte ma marinière puis Lui-même dégage ma nouille de cette cage de chasteté et m’entraine sur une estrade posée face à toutes Celles et Ceux Dominants. Impossible pour moi de contrecarrer mon excitation. Je sens ma tige inexorablement se redresser, tant j’éprouve de la fierté ! Le Maître me fait tenir debout, cuisses écartées, le regard bas, les mains sur la tête. Sous mon regard : ma bite raide, mon gland violacé et humide !

- Voici, Mon chien, l’esclave Endymion MDE, à Mon service depuis plus d’un an déjà. Jamais jusqu’avant Moi, il n’avait eu de Maître ou de Maîtresse, moi seul l’ai éduqué, dressé, apprêté et discipliné pour en faire un bon esclave, une belle catin, une belle pute. Voyez d’ailleurs, regardez sa bite comme elle est fière et altière. Regardez comme il mouille, comme il cambre son cul instinctivement… Tiens Mon chien, retourne toi, écarte toi les fesses et présente ton trou de salope…

J’exécute sans la moindre hésitation, je suis comme un fou, totalement envoûté par les mots du Maître, terriblement excité par ce que je vis, fasciné par ces regards posés sur moi et mon intimité, polarisé par ce sentiment de total abandon par ces pensée qui résonnent sans cesse dans ma tête : je ne suis qu’un chien, qu’une pute, rien que l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans...

(A suivre…)

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