Une Nièce Perverse Et Reconnaissante

Depuis un mois, la nièce de ma femme a un petit copain. Pour des raisons économiques, ils habitent chez nous. En général, je ferme toutes les portes, à la maison. Donc, par conséquent, j'entre dans les pièces sans frapper. Je n'avais jamais vu la nièce à poil. Elle est asiatique, donc je savais qu'elle était petite et fluette de partout. Par exemple, pour moi elle resterait toujours une , et la voir en train de faire l'amour avec son mec était une image surréaliste. Aussi, quand j'ai poussé la porte, je suis resté paralysé. Elle était dressée sur ses genoux, à cheval sur les cuisses de son copain, tenant la grosse queue de ce dernier, en tentant de la fourrer dans sa chatte. Elle avait un cul magnifique. On aurait dit un bonbon, auquel je n'avais pas accès. Petit, rond, cambré, il ressemblait à celui de la poupée Barbie. La pine de son copain était épaisse et massive. On aurait dit un sarment de vigne.
Voir ce joli petit cul, pourfendu par un membre noueux et chevalin, avait tout d'une scène de brutalité obscène. Pourtant, quand elle tourna la tête vers moi, la nièce avait les yeux qui brillaient. Sa langue pendait entre ses lèvres. De la salive en coulait. Ses seins se soulevaient en cadence, au rythme de sa respiration saccadée, due aux mouvements de son bassin, le long du gros manche qui lui rentrait dans le cul. Elle se pencha, posa ses mains sur les épaules de son copain, et glissa sa tête sous son bras.
Dans cette position, son cul était relevé. Je pouvais voir la grosse bite enfoncée dans son petit trou. Elle abaissa son torse, comme pour me montrer qu'elle était remplie par le sexe monstrueux enfoncé dans son cul. Elle ralentit le mouvement. Ses yeux cherchaient les miens et sa langue léchait ses lèvres, à chaque fois que le gros sexe s'enfonçait dans son cul. Sa respiration s'accéléra et devint plus forte. Ses cuisses s'ouvraient plus largement. Maintenant, elles se resserèrent sur le pieu de chair. On voyait les muscles de ses cuisses se raidir.

Elle montait et descendait à toutes vitesse le long du sexe qui sentait être vivant et vouloir lui pourfendre le cul, quand, dans un ultime sursaut, elle s'empala définitivement sur la grosse bite, en poussant un cri rauque. Elle était essoufflée. On pouvait voir les soubressauts des reins de son copain, en train de jouir entre les fesses de la nièce. C'était beau.
Elle glissa un doigt, puis deux et enfin toute la main, entre ses cuisses. La langue toujours pendue entre ses dents, elle se releva pour me montrer sa main enfoncée toute entière, dans sa chatte.
- C'était fabuleux ! dit-elle, dans un souffle !
- Tu veux essayer ? Me souffla-t- elle, avec un sourire narquois.
- Eh, et lui, qu'est-ce que t'en fais ?
- Lui ? Il m'a donné ce que je voulais, j'ai plus besoin de lui.
- Et tu crois que je peux en faire autant ?
- Toi, c'est pas pareil !
- Pourquoi ?
- Parce que ma tante te néglige. Tu mérites mieux que ça.
- Et qu'est-ce qu'on va lui dire ?
Elle se releva, congédia son cavalier d'un jour, et revint vers moi. Elle envoya sa main et constata :
- Je vois que mes séances de monte, te font de l'effet !
En effet, ma queue était raide. Voir cette petite fille se faire étriller par un pseudo loubard, m'avait excité. Elle ne me laissa pas le temps de penser plus loin. Elle s'approcha de moi, et, en un instant, elle m'a dépouillé de mes vêtements. J'étais là, décontenancé, à poil devant elle. Elle s'assit sur le lit, et attrapa ma queue. Ses lèvres se refermèrent autour de ma bite. Elle leva les yeux vers moi, et une lueur amusée et lubrique alluma son regard. Elle commença à faire courir sa langue autour du gland, exerçant une succion sur la petite fente, distributrice de liqueur.
A chaque que la pointe y passait, elle provoquait un frisson chez moi. Elle leva les yeux à nouveau, et, tout en me défiant du regard, ses lèvres descendirent jusqu'à toucher les poils de mon pubis. Elle ouvrit la bouche en grand, sa langue sortit et passa sous mes couilles. Elles posa ses mains sur mes fesses et imprima le mouvement de ma queue entre ses dents. Même la bouche pleine, elle avait un sourire angélique et coquin. Quand enfin, elle relâcha mon dard, elle me poussa vers le lit.
- J'ai vu comment tu me regardais, quand j' ai monté l'autre lourdaud ! Je vais te faire une spéciale cavalière.
Elle me fit m'allonger sur le dos. Elle se pencha vers moi, et reprit ma queue dans sa bouche. De nouveau ses lèvres se sont posées sur mes poils. Sa langue s'activa encore, et mon érection repartit de plus belle. Elle monta sur le lit. Elle était debout, une jambe de chaque côté de moi. Son sexe était rasé. Avec ses formes menues, elle ressemblait à une petite fille.
- Comment tu la trouves ?
- Qui ?
- Babette ?
- C'est qui Babette ?
- Je t'ai connu plus rapide ! C'est elle, dit-elle, en montrant sa chatte. Regarde ce que tu vas visiter.
Elle s'agenouilla, et saisissant ma pine, elle posa le gland sur ses petites lèvres. Elle se baissa vers moi, et déposa un léger baiser sur ma bouche. Elle se laissa retomber lentement sur mes cuisses, faisant pénétrer ma queue, lentement dans sa fente. Je poussai un soupir de plaisir.
- T'auras mon cul, aussi, dit-elle. Je sais que tu aimes ça. Et, dans ta position favorite, en tant que cavalier.
Elle activa ses hanches, montant et descendant le long ma pine. Elle faisait exprès de laisser le sortir et s'enfoncer à nouveau dans sa chatte. Jugeant le moment opportun, Elle souleva ses fesses un peu plus haut.
Mon sexe sortit de sa chatte, et elle s'en empara. Ses doigts s'enroulèrent autour du bâton de chair, et le dirigèrent vers son petit trou. Elle se laissa retomber sur ma pine, et se retrouva assise sur mes cuisses, le cul perforé par mon dard. Après quelques minutes d'allées et venues entre ses fesses, elle me demanda :
- Tu es prêt pour ta séance de monte ?
- Tu veux vraiment ?
- C'est moi qui ai proposé, non ?
Elle se leva et courut vers l'armoire. Elle en sortit avec un harnachement de cavalier. Une ceinture de cuir bien large qu'elle serra autour de ma taille. Un mors qu'elle prit entre les dents, les rênes dans mes mains. Elle remonta sur le lit, se mit à genoux, et enfonça sa tête, entre ses cuisses. Dans cette position, elle avait le cul en l'air, son petit trou offert.
- Allez, vas-y, me crie-t-elle.
Je saisis ma pine, posai le gland sur son petit trou et, d'un solide coup de reins, j'enfonçai ma queue dans on cul. Elle donnait de petits coups de reins pour que ma queue pénêtre plus avant encore. Ce jeu qui dura des heures, la première fois avec la nièce, se termina un peu prématurément. J'ai tenté de m'excuser, mais la nièce a clôt le verbiage avec un baiser sur ma bouche.
- Je n'ai pas oublié, et je n'oublierai jamais, que c'est grâce à toi que je suis devenue libre et libérée. J'espère de toute mon âme, que c'est moi qui t'offrirai ta dernière baise.

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